Histoire Ebook - Lémann JosephRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearLémann Joseph - La religion de combaturn:md5:d197be332f76166bc8b677b44162b71c2014-11-08T15:25:00+00:002015-01-12T16:59:20+00:00balderLémann JosephCatholiqueChristianisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Lemann_Joseph_-_La_religion_de_combat.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Lémann Joseph</strong><br />
Ouvrage : <strong>La religion de combat</strong><br />
Année : 1891<br />
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Une apologie du catholicisme sous une forme un peu belliqueuse ne déplaira pas au public. Les temps la réclament. Religion de prière, de pardon, de paix, de fraternité, li' catholicisme est aussi la religion de combat. Ce nom n’est pas une nouveauté. L’Église sur terre n'est-elle pas appelée militante? Elle est le camp militaire du Dieu des armées. Elle combat les erreurs, les vices, l’orgueil, la barbarie. <strong>...</strong></p>Lémann Joseph - Lémann Augustin - La question du Messie et le concile du Vaticanurn:md5:edb7aac95a26bf44d620ad642c593ba92012-05-21T19:31:00+01:002017-03-08T15:41:29+00:00balderLémann JosephChristPie IXVatican <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Lemann_Joseph_-_Lemann_Augustin_-_La_question_du_Messie_et_le_concile_du_Vatican.jpg" alt="" /><br />
Auteurs : <strong>Lémann Joseph - Lémann Augustin</strong><br />
Ouvrage : <strong>La question du Messie et le concile du Vatican</strong><br />
Année : 1869<br />
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PIE IX, PAPE. CHERS FILS, SALUT ET BENÉDICTION APOSTOLIQUE, Nous vous félicitons, chers Fils, de ce que, transférés dans la lumière et le royaume de Dieu, et admis à l'héritage du Seigneur, vous consacrez la force de la charité chrétienne, déposée en vous, à procurer le salut de ceux avec lesquels, autrefois, vous viviez dans les ténèbres. Nous tenons pour très-agréable votre dévouement envers ce Saint-Siége, sur lequel l'unité catholique trouve la solidité, et Nous demandons à Dieu que, de même que sa grâce à déjà brillé pour vous, de même, par votre zèle et par votre travail, elle éclaire l'esprit de vos frères, et qu'elle les amène tous, au plus t6t, auprès de Nous, pour qu'il n'y ait plus enfin qu'un seul troupeau et qu'un seul pasteur. C'est pourquoi, comme gage de la faveur céleste, et comme gage de Notre tendresse paternelle, Nous vous accordons, avec la plus grande affection, la Bénédiction Apostolique. <strong>...</strong></p>Lémann Joseph - Rothschildurn:md5:850569f2a665761a5b468fee4d10824d2012-05-21T18:26:00+01:002017-03-08T15:41:33+00:00balderLémann JosephConspirationFranceHébraïsmeIsraëlRothschild <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Lemann_Joseph_-_Rothschild.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Lémann Joseph</strong><br />
Ouvrage : <strong>Rothschild Les contemporains n° 173</strong><br />
Année : 1896<br />
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I. LA MAISON DE L' "ENSEIGNE ROUGE" DANS LA VIEILLE RUE DES JUIFS, A FRANCFORT : BERCEAU ET COMMENCEMENT D'UNE DYNASTIE FINANCIÈRE. Goethe a décrit ainsi l'aspect de la Judengasse ou quartier juif de Francfort : "Rue étroite, triste et sale, aux maisons enfumées, à la population grouillante". Il y avait là une maison ornée d'une enseigne rouge (roth Schild). C'est à cette enseigne, à cet écu rouge, que se rattache le nom de la famille qui allait devenir la plus opulente de l'univers. Une dynastie d'un nouveau genre, devait sortir de cet endroit humilié. Un certain Moïse Anselme (Moses Amschel), brocanteur de curiosités et de vieilles médailles, gagnait sa vie en colportant de village en village sa modeste balle sur son dos. On raconte de lui un trait qui peint bien sa caractéristique prudence. Chemin faisant, il rencontra un jour un de ses compatriotes, colporteur comme lui, mais plus fortuné que lui, puisqu'il possédait un âne. Sur l'offre obligeante qui lui en fut faite Amschel Moses s'allégea de son fardeau, qu'il déposa sur le bât. Arrivés au bort d'un ravin profond, sur lequel on avait jeté un branlant pont de planches, il arrêta l'âne, reprit sa balle, répondant à son compagnon qui le raillait : "Il arrive parfois des accidents dans des passages comme celui-ci, et puisque cette balle contient tout ce que je possède, vous ne me saurez pas mauvais gré d'être prudent". Bien lui en prit de l'être, car l'âne et son conducteur s'étaient à peine engagés sur le pont qu'il s'effondrait sous leur double poids, les entraînant dans l'abîme1. Mayer Amschel, son fils, naquit en 1743. Destiné par ses parents à devenir rabbin, il fut envoyé à Fürth pour y suivre un cours de théologie juive ; mais la vocation lui faisait défaut. Son goût le portait à collectionner et à trafiquer de vieilles médailles et anciennes monnaies ; il se lia avec des numismates qui apprécièrent sa sagacité et son jugement, et entra comme employé dans la maison de banque des Oppenheim, de Hanovre. Il y resta quelques années, très estimé des chefs de cette maison. Sobre, économe, actif, il mit de côté quelque argent et s'établit pour son compte, achetant et vendant médailles et monnaies, joignant à ce commerce, dans lequel il était passé maître, celui des objets d'art, des métaux précieux, des avances sur dépôts, jusqu'au jour où il put se consacrer exclusivement aux opérations de banque. Ce fut lui qui fit l'achat de la vieille maison à l'Enseigne rouge de la Judengasse de Francfort. En y entrant, il en prit le nom, et devint Rothschild. La fortune signa cette appellation. Il y établit sa femme, Gudula Schnape, la mère de tous les Rothschild, des cinq Crésus modernes. L'humble juive n'allait- elle pas faire pendant à Marie-Lætitia Ramolino, la mère de la famille des rois du nom de Napoléon ? Disons, en passant qu'elle ne consentit jamais à quitter, pour un plus brillant séjour, la maison de l'Enseigne rouge : elle l'habita jusqu'en 1849 ; elle s'y éteignit doucement, dans sa quatre-vingt-seizième année. A sa réputation d'habileté, Mayer Anselme-Rothschild joignait celle d'une rare intégrité. On l'appelait l'honnête juif. Il sut gagner la confiance du landgrave ou électeur de Hesse-Cassel, Guillaume IX. Ce souverain s'était formé un trésor, un amas d'or, de pierres précieuses. En 1806, survint la grande débâcle des petits princes allemands : leurs principautés furent envahies de toutes parts par les armées de Napoléon. On vint annoncer à Guillaume IX l'envahissement de ses petits États : précipitamment, il fit venir en secret, dans son palais, Mayer-Anselme. De cette entrevue et de ce qui la suivit date la grandeur de la maison Rothschild. Les détails précis en étaient peu connus. Les mémoires d'un témoin, d'un contemporain, du général baron de Marbot, ont apporté une lumière propice ; laissons-le parler : "Obligé de quitter Cassel à la hâte pour se réfugier en Angleterre, l'Électeur de Hesse, qui passait pour le plus riche capitaliste d'Europe, ne pouvant emporter la totalité de son trésor, fit venir un juif francfortois, nommé Rothschild, banquier de troisième ordre et peu marquant, mais connu pour la scrupuleuse régularité avec laquelle il pratiquait sa religion, ce qui détermina l'Electeur à lui confier 15 millions en espèces. Les intérêts, de cet argent devaient appartenir au banquier qui ne serait tenu qu'à rendre le capital. "Le palais de Cassel ayant été occupe par nos troupes, les agents du Trésor français y saisirent des valeurs considérables, surtout en tableaux ; mais, on n'y trouva pas d'argent monnayé. Il paraissait cependant impossible, que, dans sa fuite précipitée, l'Électeur eût enlevé la totalité de son immense fortune. Or, comme d'après ce qu'on était convenu d'appeler les lois de la guerre, les capitaux et les revenus des valeurs trouvées en pays ennemi appartiennent de droit au vainqueur, on voulut savoir ce qu'était devenu le trésor de Cassel. Les informations prises à ce sujet ayant fait connaître qu'avant son départ l'Electeur avait passé une journée entière avec le Juif Rothschild, une Commission impériale se rendit chez celui-ci, dont la caisse et les registres furet minutieusement examinés. Mais, ce fut en vain : on ne trouva aucune trace du dépôt fait par l'Électeur. Les menaces et l'intimidation n'eurent aucun succès, de sorte que la Commission, bien persuadée qu'aucun intérêt mondain ne déterminerait un homme aussi religieux que Rothschild à se parjurer, voulut lui déférer le serment. Il refusa de le prêter ; il fut question de l'arrêter ; mais l'empereur s'opposa à cet acte de violence, le jugeant inefficace. On eut alors recours à un moyen fort peu honorable. Ne pouvant vaincre la résistance du banquier, on espéra le gagner par l'appât du gain : on lui proposa de lui laisser la moitié du trésor s'il voulait livrer l'autre à l'administration française ; celle-ci lui donnerait un récépissé de la totalité, accompagné d'un acte de saisie, prouvant qu'il n'avait fait que céder à la force, ce qui le mettrait à l'abri de toute réclamation ; mais la probité du juif fit encore repousser ce moyen, et, de guerre lasse, on le laissa en repos. <strong>...</strong></p>Lémann Joseph - Napoléon et les juifsurn:md5:8c427bb2912f9d5d38c1fda536bf71322012-05-21T18:22:00+01:002017-03-08T15:41:43+00:00balderLémann JosephHébraïsmeNapoléon <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Lemann_Joseph_-_Napoleon_et_les_juifs.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Lémann Joseph</strong><br />
Ouvrage : <strong>Napoléon et les juifs</strong><br />
Année : 1891<br />
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PREFACE. Ce nouveau volume vient mettre en lumière, et montrer dans les détails, l’organisation de la prépondérance juive: il fait suite à celui qui en a raconté les origines. Cette organisation ne se borne pas à être, comme beaucoup le croient, une concentration savante de forces hébraïques: elle compte parmi ses éléments les forces vives elles-mêmes de la nation hospitalière. Elle se développe, aidée des événements, des institutions, des lois, des mœurs. Les événements lui ont été favorables; les mœurs n'ont plus offert bientôt qu'une faible résistance; les lois et les institutions se sont prêtées à ses racines. En outre, elle s’accroît de la décadence d'autrui: Le magnifique essor des nations chrétiennes avait été comparé par le Prophète royal à la majesté des grandes eaux. Ces eaux majestueuses, en coulant à pleins bords, passaient, victorieuses, par-dessus un rocher, transformé en écueil par le Talmud: c'était le peuple juif, renfermé dans leur sein. Mais le jour où les eaux sont devenues basses, où les lois, les institutions, les mœurs, se sont affaiblies, le rocher a émergé, pour devenir une cime, un sommet, une prépondérance. Un pareil état de choses s'explique difficilement si l'on ne prend la peine de remonter jusqu'à l'Empire, continuateur de la Révolution française. A l'Assemblée constituante, de 1789 à 1791, la prépondérance juive fut redevable de son origine; à Napoléon, de 1806 à 1815, elle est redevable de son organisation. Ce vaste génie, aux intentions conservatrices et généreuses, a fait en grande partie fausse route dans ses mesures vis-à-vis du peuple juif. Il a voulu emporter d'assaut la fusion de ce peuple avec les autres peuples, et le résultat n'est pas un vrai succès. Il a cru, par ses lois et ses institutions, fortifier la société et dissoudre les hébreux, et c'est le contraire qui devait se produire. Enfin, lorsque la lutte s'est engagée entre le puissant Empereur et les débris vivants du Sinaï, ce sont les débris qui ont résisté, et triomphé. Ces diverses péripéties forment un épisode très peu connu de l'Empire, et du plus vif intérêt. Nous le racontons. Puisse le lecteur, quel qu'il soit, nous rendre ce témoignage: que la vérité nous est chère, et, non moins, la charité ! Notre tâche est difficile. Mais en prenant la défense du peuple chrétien, et, à l'exemple de Dieu, le parti d'Isaac contre Ismaël, nous n'oublions pas les ménagements qui peuvent aider à la possibilité d'une réconciliation. Les deux peuples n'appartiennent-ils pas ensemble au Christ de Dieu, l'un comme enfant, l'autre comme ancêtre ?... Napoléon faisait assurément une chose louable, lorsqu'il travaillait à un rapprochement: son tort fut de l'avoir tenté sans l'Eglise. C'était tenter l'impossible ! Seule, l'Eglise peut reprendre en sous-oeuvre l'édifice de concorde, en réparer les brèches et le perfectionner. Quelle heureuse chose pour la société, lorsqu'on dira: Les Israélites et les autres peuples sont frères, non sous des apparences civiles, mais pour de bon ! Fasse donc le ciel que cette étude historique, qui éclaire les situations en racontant loyalement le bien et le mal, diminue aussi la distance qui sépare ! Lyon, le 19 mars 1891. <strong>...</strong></p>Lémann Joseph - L'entrée des Israélites dans la société françaiseurn:md5:b40b0fc77afaa6da93c4f9dd80d227022012-05-21T18:18:00+01:002017-03-08T15:41:48+00:00balderLémann JosephFranceHébraïsmeRévolution <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Lemann_Joseph_-_L_entree_des_Israelites_dans_la_societe_francaise.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Lémann Joseph</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'entrée des Israélites dans la société française</strong><br />
Année : 1886<br />
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LE BUT DE CET OUVRAGE. I. On ignore presque généralement de quelle manière les israélites sont entrés dans la société moderne, pour en devenir les membres. Les détails précis de cette entrée sont à peu près inconnus. On la rattache vaguement à la Révolution de 1789, et on s'en tient là. La nation française a eu la générosité de leur ouvrir les avenues de la société; après quoi, elle ne s'est plus inquiétée des résultats. Quand on s'est aperçu que les juifs étaient citoyens, ils étaient déjà, en partie, les maîtres. La légèreté a donc engendré l'ignorance en une question d'une gravité exceptionnelle. L'orgueil, hélas ! y a, peut-être, aussi sa part. Chose inconcevable, deux phénomènes gigantesques sont, depuis quelques années, devant tous les yeux: la prépondérance croissante de la race juive et la crise attristante des Etats chrétiens. Mais peu de personnes songent à scruter les causes de ce contraste. Il semble même qu'on craigne de les rechercher, de peur d'avoir à condamner des principes d'erreur devenus chers à une société superbe. Qu'il soit donc permis à un fils d'Israël, accueilli dans la cité de la lumière, la sainte Eglise de Dieu, d'exposer, en cette matière, la vérité, toute la vérité, il aura soin de ne pas la séparer de la miséricorde, parce qu'il en a eu besoin lui-même ! Veritatem dico, non mentior. Rien n’a été négligé de notre part pour être en mesure de dire la vérité. Nous sommes allé aux sources. La divine providence nous a fait découvrir des documents précieux, originaux, complètement inédits. Vingt ans ont été consacrés à les rassembler, et à les étudier en eux-mêmes et à la clarté des événements contemporains. En livrant ces pages au public, nous apprendrons aux israélites eux-mêmes comment s'est accomplie leur entrée dans la société française et universelle. Exposé de la vérité historique, ce livre aura, par cela même, pour fin première d'être un tribut de reconnaissance. Les israélites, aujourd'hui libres, paisibles et honorés, ne savent pas toute l'étendue des bienfaits dont ils sont redevables au bon roi Louis XVI qui, le premier, a préparé leur émancipation civile. Il nous est doux de penser que beaucoup de nobles coeurs parmi eux accueilleront avec surprise et bonheur la révélation des bienfaits du Roi. Mais ce livre aborde une autre explication: celle du mystérieux problème de l'élévation sociale du peuple d'Israël et des épreuves des Nations. L'étrange mouvement, dit révolutionnaire, qui, en faisant monter les israélites, fait descendre les Etats chrétiens, est loyal, comprendra, à propos de la question juive, ce qu'il n'avait peut-être pas soupçonné, savoir: quelle faute capitale, désastreuse, les Nations ont commise en se débarrassant de la maternelle, discrète et prudente coopération de l'Église catholique, et en substituant, à l'antique droit chrétien qui les régissait, leurs fameux droits de l'homme. Elles-mêmes ont alors ouvert la brèche par laquelle les juifs ont passé et sont devenus des souverains. Heureusement que dans son inépuisable miséricorde envers les sociétés comme à l'égard des individus, le Tout-Puissant tire le bien du mal. S'il a permis les fautes des Nations et l'entrée d'Israël dans la société civile, c'est évidemment pour réaliser un ordre de choses plus parfait: car Dieu suit cette marche glorieuse qui consiste, dit excellemment saint Thomas d'Aquin, à aller sans cesse du moins parfait au plus parfait. Nations chrétiennes, qui, de vivantes que vous étiez, semblez mourir, peuple d'Israël, qui, de mort que tu étais, sembles revivre, dans la mort ou dans la vie, vous trouverez quelqu'un qui vous attend: le Christ de Dieu ! Indéracinable pierre de l'angle, placée au centre des siècles et des mondes pour tout réunir, il harmonise les contrastes et rapproche les extrêmes: il vous réunira ! Aussi, est-ce pour Lui que nous avons écrit ! II. Lorsque les prophètes d'Israël, éclairés d'en haut sur la venue et les caractères du Messie, éclairés également sur l'aveuglement futur de leur nation, prononçaient leurs prophéties, ils étaient tellement inconsolables de l'infidélité qui se préparait tellement remplis de patriotisme, qu'ils ne se séparaient pas de leur patrie coupable, et, quoique fidèles, quoique éclairés et saints, ils disaient des paroles comme celles-ci: Nous attendions la lumière et nous voilà dans les ténèbres. Nous allons comme les aveugles, en touchant les murailles; nous marchons à tâtons, comme si nous étions sans yeux. Nous nous heurtons en plein midi; nous sommes dans des antres obscurs, comme les morts. Nous rugissons tous comme des ours. Nous soupirons et gémissons comme des colombes. Nous espérions le salut, et le salut est bien loin de nous; car nos iniquités se sont multipliées, et nos péchés portent témoignage contre nous. Que cette manière de dire est touchante ! Les saints prophètes d'Israël ne pouvaient se résoudre à séparer leur cause du reste de la nation; inconsolables de son aveuglement et du malheur général, ils parlaient comme s'ils en faisaient partie ! Imitant de bien loin, mais avec attendrissement, la piété de nos pères, nous nous sommes placé quelquefois, dans notre récit, au milieu de nos anciens coreligionnaires, principalement lorsqu'il s'agissait de déplorer leurs ténèbres ou de raconter leurs malheurs. L'humilité commandait à l'historien de disparaître; la charité lui a fait prendre place à côté de ceux qu'il ne cessera d'aimer ! Une ambition, due également à la divine charité, se décèlera dans ces pages: celle d'aider à la réunion des deux peuples de Dieu, du peuple catholique et du peuple israélite. Quelle ère de grandeur et de prospérité se lèverait sur le monde, si ces deux peuples pouvaient s'unir ! Eux seuls survivent à tous les changements. « Tous deux ont semé la vérité, et c'est pourquoi ils sont immortels; peuples prodigieux, ils tracent seuls une ligne splendide, un sillon lumineux dont on ne voit point le terme: sortis de Dieu, ils retournent à Dieu; sortis de l'éternité, ils retournent à l'éternité; et dans leur mouvement rapide, dans leur course invincible, ils illuminent les espaces et repoussent majestueusement derrière eux les vagues du temps. » Quel dommage pour le genre humain qu'ils aient, jusqu'à ce jour, parcouru leur carrière, séparés l'un de l'autre. Le royaume de Dieu n'attend-il pas qu'ils se donnent enfin la main ? « Après que dans la mêlée des nations, tous les enseignements auront subi l'épreuve du feu, et que les religions intermédiaires auront succombé, il ne subsistera en face l'une de l'autre que la vérité totale et l'erreur totale, le christianisme et l'athéisme, Dieu seul et l'homme seul. Alors, aucun nuage ne s'interposant plus entre les deux peuples choisis, entre le juif et le chrétien, entre le peuple du passé et le peuple de l'avenir, ils s'apercevront des extrémités de l'univers; ils se regarderont fixement, et, s'étant reconnus, ils se mettront en marche comme deux géants pour s'embrasser. » Nos pages portent dans leurs plis cette espérance. En songeant avec délices à cette union fraternelle, nous pensions dans notre cœur, et notre pensée aura certainement gardé quelque chose de ce passage au cœur. Puisse cette empreinte être un gage de plus que nous avons dit la vérité ! Car ce sont les préjugés, l'antipathie, la haine, qui faussent le jugement de l'historien. L'amour, qui agrandit le cœur, rend plus limpide le regard ! Il lui est permis de dire, en écrivant l'histoire de même qu'en soignant les plaies: L'amour a donné sa parole qu'il est aussi la vérité. Lyon, le 15 décembre 1885. <strong>...</strong></p>Lémann Joseph - Lémann Augustin - La cause des restes d'Israël introduite au concile oecuménique du Vaticanurn:md5:9324867d0a13bd25d86df6aeeaaa0b192012-05-21T18:09:00+01:002017-03-08T15:42:00+00:00balderLémann JosephChristianismeHébraïsmeIsraëlPie IXVatican <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Lemann_Joseph_-_Lemann_Augustin_-_La_cause_des_restes_d_Israel_introduite_au_concile_oecumenique_du_Vatican.jpg" alt="" /><br />
Auteurs : <strong>Lémann Joseph - Lémann Augustin</strong><br />
Ouvrage : <strong>La cause des restes d'Israël introduite au concile oecuménique du Vatican sous la bénédiction de S. S. Le Pape Pie IX</strong><br />
Année : 1912<br />
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Cher Monseigneur, Avec le frère hien-aimé, trop tôt ravi à votre tendresse, vous avez étudié les Saintes Ecritures, dans des dispositions de loyauté et de persévérance admirables. Les patriarches et les prophètes vous ont conduits à l'étable de Bethléem, à râtelier de Nazareth, aux miracles de Notre-Seigneur Jésus-Christ, à la Croix du Calvaire. Vos intelligences se sont docilement ouvertes aux lumières de la vérité divine, vos cœurs se sont laissés doucement pénétrer par la grâce de Dieu, et, contemplant, ravis, la personnalité surhumaine du Christ jésus, vous vous êtes écriés, avec l'Apôtre Pierre : Tu es Ghristus, Filius Dei Vivi ! <strong>...</strong></p>Lémann Joseph - La vierge Marie dans l'histoire de l'Orient chrétienurn:md5:9136521e71341054150d5d1ab40c43302012-05-21T18:06:00+01:002017-03-08T15:42:00+00:00balderLémann JosephChristianismeOrient <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Lemann_Joseph_-_La_vierge_Marie_dans_l_histoire_de_l_Orient_chretien.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Lémann Joseph</strong><br />
Ouvrage : <strong>La vierge Marie dans l'histoire de l'Orient chrétien</strong><br />
Année : 1904<br />
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CHAPITRE VI - D’OU ÉMANERA L’ACTE SUPRÊME QUI FERA SORTIR L’ORIENT DU TOMBEAU. I. Il est impossible aux Puissances de rien conjecturer sur un avenir de résurrection concernant l’Orient ; seuls, les Livres saints permettent d’entrevoir des conclusions réjouissantes. - II. Pour cette résurrection dont l’heure est le secret du Ciel, un homme extraordinaire est tenu en réserve : le prophète Elie. Toutes les conditions nécessaires pour rappeler l’Orient à la vie sont réunies dans cet homme, et le Christ l’a nommé le Restaurateur. Signe unique donné par l’Ecriture pour augurer de son retour. - III. Comment le débordement du mal pourrait exciter les justes en détresse à faire intervenir la Vierge Marie dans ce retour. - IV. Un peuple extraordinaire, dont les restes sont épars comme des ossements, doit aussi aider au relève-ment de l’Orient. Connexion légitime entre une résurrection israélite et une résurrection orientale. Exemple d’un mort qui fait revivre un antre mort. - V. Le moyen pratique qui doit être employé pour le relèvement de l’Orient est désigné, dans les Ecritures, sous les termes pleins de charme de «réunion des cœurs». Cette réunion des cœurs semble exiger la participation des Arabes, postérité d’Ismaël. Ce serait la fin du mahométisme. - VI. Une Jérusalem doit être le centre de toute cette restauration orientale. Le cantique de Tobie, au sortir des ténèbres de sa cécité, la désigne sous des couleurs qui ne peuvent convenir qu’à l’Eglise catholique et à la Vierge Marie. <strong>...</strong></p>Lémann Joseph - La prépondérance juive Tome 2 Son organisation Napoléon Ier et les israélitesurn:md5:ba2f72722cfee97c35eb91ae4e4375042012-05-21T17:58:00+01:002017-03-08T15:42:06+00:00balderLémann JosephConspirationFranceHébraïsmeNapoléonRévolutionTalmud <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Lemann_Joseph_-_La_preponderance_juive_Tome_2.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Lémann Joseph</strong><br />
Ouvrage : <strong>La prépondérance juive Tome 2 Son organisation (1806-1815) Napoléon Ier et les israélites</strong><br />
Année : 1894<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Lemann_Joseph_-_La_preponderance_juive_Tome_2_Son_organisation_Napoleon_Ier_et_les_israelites.zip">Lemann_Joseph_-_La_preponderance_juive_Tome_2_Son_organisation_Napoleon_Ier_et_les_israelites.zip</a><br />
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PREFACE. Ce nouveau volume vient mettre en lumière, et montrer dans les détails, l'organisation de la prépondérance juive : il fait suite à celui qui en a raconté les origines. Cette organisation ne se borne pas à être, comme beaucoup le croient, une concentration savante de forces hébraïques : elle compte parmi ses éléments les forces vives elles-mêmes de la nation hospitalière. Elle se développe, aidée des événements, des institutions, des lois, des mœurs. Les événements lui ont été favorables; les mœurs n'ont plus offert bientôt qu'une faible résistance; les lois et les institutions se sont prêtées à ses racines. En outre, elle s'accroît de la décadence d'autrui : Le magnifique essor des nations chrétiennes avait été comparé par le Prophète royal à la majesté des grandes eaux. Ces eaux majestueuses, en coulant à pleins bords, passaient, victorieuses, par-dessus un rocher, transformé en écueil par le Talmud : c'était le peuple juif, renfermé dans leur sein. Mais le jour où les eaux sont devenues basses, où les lois, les institutions, les mœurs, se sont affaiblies, le rocher a émergé, pour devenir une cime, un sommet, une prépondérance. <strong>...</strong></p>Lémann Joseph - La prépondérance juive Tome 1 Ses originesurn:md5:ee261856b62d82a575760c16913ffc792012-05-21T17:54:00+01:002017-03-08T15:42:15+00:00balderLémann JosephFranc-maçonnerieFranceHébraïsmeRévolution <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Lemann_Joseph_-_La_preponderance_juive_Tome_1.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Lémann Joseph</strong><br />
Ouvrage : <strong>La prépondérance juive Tome 1 Ses origines (1789-1791)</strong><br />
Année : 1889<br />
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A QUI S'ADRESSE L'HOMMAGE DE CE LIVRE. I. Nous ne venons pas appeler l'attention sur la prépondérance juive, ce qui n'est plus nécessaire; encore moins la préconiser, ce qui serait un mal, mais nous venons l'expliquer. On sait vaguement qu'elle est issue de la Révolution française, mais on ignore les circonstances et les péripéties de sa genèse. Ce livre les raconte. C'est un acte de naissance que nous nous permettons de faire passer sous les yeux de M. Sadi Carnot, Président actuel de la République française, sous les yeux de l'Assemblée nationale récemment sortie des comices de septembre 1889, et sous les yeux de MM. les Membres de ces loyales Assemblées provinciales, qui, d'un bout de la France à l'autre, ont rapproché dans une belle synthèse patriotique les choses anciennes et les choses nouvelles. L'hommage s'adresse d'abord à M. Sadi Carnot, parce que le père de Monsieur le Président de la République a écrit la vie de celui qui fut le principal agent de l'émancipation juive auprès de la Constituante, du prêtre-député Grégoire. Le biographe s'est tenu dans le voisinage de la vérité plutôt que dans la vérité elle-même. Mieux renseigné par ces pages qui sollicitent l'honneur d'être lues, le chef de l'État jugera peut-être opportun de préserver le palais de l'Elysée de l'influence hébraïque que lui a léguée la maison de son père. Nous nommons ensuite, dans notre hommage, l'Assemblée nationale sortie des comices de septembre 1889, parce qu'elle se trouve rappeler, et pour le nom et pour les dates, la première assemblée française à qui incomba le fardeau de s'occuper pour la première fois de la question juive. L'expression ne semblera pas trop forte, quand on aura pris connaissance de cet ouvrage. De 1789 à 1791, l'Assemblée nationale, devenue la Constituante, eut le cauchemar de cette question. Dans l'hypothèse où l'Assemblée nationale de 1889 viendrait à en être saisie de nouveau durant sa législature qui commence (ce qui ne serait nullement impossible), il reste à savoir si elle se résignerait aux hésitations et aux perplexités de sa devancière, et si, en fin de compte, elle capitulerait, comme elle, devant les juifs. Aurions-nous pu oublier, dans notre hommage, Messieurs les membres des Assemblées provinciales de ce centenaire ? En reprenant, avec une largeur de vues et une précision admirables, toutes les questions contenues dans les cahiers de 1789, ils n'ont délibéré sur la question israélite qu'avec une extrême réserve, uniquement à propos de l'accaparement et de l'agiotage. Les documents authentiques leur manquaient pour juger, sur les autres points, l'israélitisme contemporain. Qu'ils veuillent bien nous permettre de leur présenter ces documents: ils pourront leur être utiles, si les rênes du pouvoir reviennent entre leurs mains. Les termes pleins de noblesse et de mesure qu'ils ont employés à l'égard des israélites, dans leur récente et trop courte délibération, prouvent qu'ils sauraient combattre et conjurer le péril sémitique en ne lésant pas ces deux choses saintes: les gloires de l'ancien peuple de Dieu, et le mouvement des conversions vers le catholicisme. II C'est un acte de naissance, avons-nous dit, que nous plaçons sous des yeux capables de l'apprécier. L'acte de naissance, en effet, peut se rédiger ainsi qu'il suit : LA PRÉPONDÉRANCE JUIVE Est née des Droits de l'homme et de la France déchristianisée, dans le local de l'Assemblée nationale: du 14 août 1789 au 27 septembre 1791, durée de cet enfantement laborieux. Mise au jour, cette prépondérance va grandir. Ses développements seront l'objet d'études subséquentes. Signalons tout de suite l'auxiliaire de sa prodigieuse croissance, par un apologue greffé sur un mot historique: « La Révolution fera le tour du monde », annonce, un jour, Mirabeau. Tenant parole au tribun qui s'engageait ainsi pour elle, la Révolution se met en marche; Dés le début de sa gigantesque tournée, elle est abordée par un singulier compagnon: le juiferrant. Ils se regardent et se disent: unissons-nous. « Je commence le tour du monde, ajoute, avec un empressement juvénile, la Révolution. « — Il y a dix-huit siècles que je l'accomplis, répond le juif-errant; je te guiderai !... » Depuis lors, tous les continents et tous les peuples les ont vus passer ensemble. Cet apologue suffit à faire comprendre la rapidité d'accroissement qui s'est manifestée dans la prépondérance juive. Évidemment, les Juifs avaient tout à gagner dans la compagnie de la Révolution. Ils n'ont plus besoin de discuter, comme jadis, pour leur mode d’existence, auprès des gouvernements: la Révolution discute en leur faveur. Ils ne batailleront plus comme au temps du moyen âge, elle bataille pour eux. Ils n'ont qu'à laisser faire leur jeune et sauvage alliée, qu'à l'exciter seulement quand elle n'avance pas assez vite à leurs côtés: marche, marche ! A l'heure où nous traçons cette préface, la prépondérance juive (pour ne parler que de son développement en France) se trouve énergiquement décrite dans ces réflexions du journal l’Univers, à propos de la circulaire du grand rabbin de Paris sur le centenaire de 1789 : « En France, les Juifs ne sont-ils pas chez eux ? Ils n'y sont que depuis cent ans, et déjà ils l'ont à moitié conquise. Bientôt elle sera à eux tout entière. Ne possèdent-ils pas aujourd'hui la terre, l'argent, l'influence ? Ne disposent-ils pas du gouvernement et de la presse ? A l'heure actuelle, M. de Rothschild et ses coreligionnaires sont plus maîtres en France que le Président de la République et ses ministres. Ils règnent à la Bourse, et ce palais là, c'est le vrai centre du pouvoir et de l'action. » Quel chemin parcouru, grand Dieu ! de l'acte de naissance présenté plus haut, à cette mainmise sur le gouvernement de la France ! Mais les fils d'Israël ont dressé eux-mêmes le barrage de bois qui subjugue et humilie toute prépondérance: la Croix ! Elle seule peut être, contre eux, le salut de la société moderne, et leur salut, à eux dans la société moderne. Lyon, le 6 octobre 1889. <strong>...</strong></p>Lémann Joseph - La Mère des chrétiens et la Reine de l'Égliseurn:md5:81094d8cc0c9dd23c9d7c480e66db6982012-05-21T17:49:00+01:002017-03-08T15:42:22+00:00balderLémann JosephChristianisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Lemann_Joseph_-_La_Mere_des_chretiens_et_la_Reine_de_l_Eglise.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Lémann Joseph</strong><br />
Ouvrage : <strong>La Mère des chrétiens et la Reine de l'Église</strong><br />
Année : 1900<br />
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MON CHER CHANOINE, L'autorité des Théologiens qui ont examiné votre ouvrage LA MÈRE DES CHRÉTIENS ET LA REINE DE L'EGLISE et les expressions qu'ils emploient pour formuler leur jugement rendent facile l'IMPRIMATUR que vous désires. « Veuille la Sainte Vierge féconder de sa bénédiction les germes de grâce contenus dans votre livre! » Ce vœu du R. Père Selon, je le forme à mon tour et f accepte avec reconnaissance, au nom du Congrès Mariai, l'offrande de ce beau et pieux travail. <strong>...</strong></p>