Histoire Ebook - Mariel PierreRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearMariel Pierre - Le nazisme société secrèteurn:md5:86098750ca332936c27a0dfb32b34d142013-10-19T00:50:00+01:002013-10-19T10:24:56+01:00balderMariel PierreAllemagneTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Gerson_Werner_-_Le_nazisme_societe_secrete_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Mariel Pierre (Marie Pierre-Maurice - Gerson Werner)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le nazisme société secrète</strong><br />
Année : 1969<br />
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Qu'est une société secrète ? Le Grand Larousse nous rappelle qu’une société est « une réunion de personnes soumises à un règlement commun ou régies par des conventions en vue d’une activité commune ou pour la défense de leurs intérêts ». Mais une « société secrète » ? Cette encyclopédie n’en fait pas mention. Quant au Petit Robert, on reste surpris de son insuffisance puisqu’il définit une société secrète comme étant « une association qui poursuit en secret des menées subversives ». Ce qui est étrangement limitatif car (nous aurons l’occasion d’y revenir), de nombreuses sociétés secrètes se donnent pour mission de défendre l’ordre, qu’il soit individuel ou social, et de s’opposer à toutes les formes de subversion. Essayons donc de voir plus loin et plus juste. Demandons-nous, d’abord, pourquoi une association peut être qualifiée de secrète. Nous trouverons deux raisons qui, dans quelques cas, ne s’excluent point. Une société est secrète du fait de son recrutement ou du fait de ses activités. Ainsi on sait, au moins dans les grandes lignes, comment sont « dressés » les associés laïcs de la Compagnie de jésus, mais on ignore leurs noms. En revanche, les francs-maçons anglo-saxons se font gloire et honneur, dans le monde profane de leur initiation, mais se taisent « sur les conventions qui les lient en vue d’une activité commune ». Dès 1946, sous le nomen mysticum de Geoffroy de Charnay, un érudit, M. Husson, a publié une copieuse étude exhaustive sur la Synarchie politique. Il n’est pas dans nos intentions de percer pourquoi, plus tard, d’autres ouvrages sur le même sujet ont accumulé les erreurs et les omissions, dont un grand nombre ne sont sans doute pas involontaires et tiennent plus de l’intoxication politique que de l’impartialité historique. Quoi qu’il en soit, nous nous contenterons, en ce moment, de suivre Geoffroy de Charnay, dans sa classification des diverses et nombreuses sociétés secrètes politiques. Il distingue trois catégories, ou, si l’on préfère, trois degrés. A. Ŕ Les sociétés secrètes inférieures dont le public connaît, sinon les buts exacts, au moins l’existence. En France, la plupart d’entre elles sont administrativement légales, ayant souscrit aux prescriptions de la loi de 1901. Parmi elles, citons la franc-maçonnerie bleue », la Société Théosophique en son cercle extérieur, de nombreuses « petites églises » ; on y classera aussi des groupes politiques allant des trotskistes aux nostalgiques de l’O. A. S. ; enfin quelques mouvements séparatistes, comme le « Gwan-an-Du » armoricain. Dans chacune de ces sociétés, les adhérents possèdent la mentalité du parfait militant. En dehors de quelques sinistres indicateurs, ces braves gens croient sincèrement, profondément à un idéal, religieux, philosophique ou politique. En un mot, dans ces sociétés, les idéologies prônées sont des appâts à l’aide desquels on draine une clientèle sincère, probe, désintéressée et naïve. Le recrutement y est très divers. Malgré ce qu’affirment les dirigeants, presque tous les postulants sont admis. Un esprit critique, une forte instruction, une intelligence éclairée, une situation sociale en vue, cependant, sont parfois plutôt des obstacles que des références. Sous le couvert d’initiations à des grades successifs, on diffuse des mots d’ordre ou des consignes d’action. Surtout, on étudie les nouveaux inscrits et, le cas échéant, on les dirige vers des « voies de garage » ou, au contraire, on les oriente vers la seconde catégorie de sociétés secrètes. On a écrit que les sociétés secrètes inférieures étaient comparables à des viviers où l’on abandonne le fretin à son sort obscur, mais où l’on pêche les « gros poissons » afin de les élever dans des bassins mieux adaptés à leurs qualités. Comme les noms, sinon les buts réels, de ces sociétés secrètes sont seuls connus du public, elles sont parfois désignées, comme boucs émissaires, à l’aveugle fureur populaire. Qu’on nous pardonne ce cruel jeu de mots, mais on les couvre de tous les péchés d’Israël. Ces déchaînements de haine sont préparés par des campagnes de calomnies savamment orchestrées dont les instigateurs, bien souvent, sont les propres dirigeants, les Supérieurs Inconnus qui, debout derrière un voile, invisibles et présents, tirent les ficelles de ces marionnettes. Ainsi, en sacrifiant leurs troupeaux d’esclaves, les chefs occultes assurent-ils leur propre sécurité et continuent-ils avec d’autres figurants leur action souterraine. <strong>...</strong></p>Mariel Pierre - L'Europe païenne du XXe siècleurn:md5:ff023aeb89054e70b413f737528674752012-06-17T19:26:00+01:002017-03-08T14:09:54+00:00balderMariel PierreAllemagneAngleterreEuropeEx-Libris LenculusMagiePaganismeTziganes <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Mariel_Pierre_-_L_Europe_paienne_du_XXe_siecle.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Mariel Pierre (Marie Pierre-Maurice)</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'Europe païenne du XXe siècle, magie noire en Angleterre, tziganes, gitans et romanichels, l’Allemagne païenne</strong><br />
Année : 1964<br />
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Âgé de soixante-douze ans, dans la nuit du décembre 1947, Aleister Crowley mourut à Hastings, d’une crise cardiaque. Ses obsèques furent aussi insolites que l’avait été sa vie son cadavre fut revêtu d’une robe blanche, rouge et or, et ceint d’une écharpe où étaient brodés les signes du Zodiaque. Comme un roi, il fut déposé dans son cercueil, couronne en tête, glaive et sceptre aux poings. La chambre mortuaire fut transformée en « pastos » où signes et objets magiques remplaçaient les symboles chrétiens. Une seule suscription Perdurabo, le nomen mysticum qui avait été imposé au défunt en 1898. Le 5 décembre, la dépouille mortelle fut transportée à Brighton, afin d’y être incinérée. Les quelques disciples fidèles furent littéralement noyés dans une foule indiscrète de reporters, de photographes et de curieux. La municipalité de Brighton prévint les organisateurs qu’elle ne s’opposerait pas, — tout en les désapprouvant, — aux rites non-chrétiens qui pourraient être exécutés, à l’exception d’un seul : danser nu autour du cercueil. Les disciples protestèrent qu’ils n’en avaient jamais eu l’intention, qu’ils étaient les victimes de journalistes imaginatifs. La bière fut placée dans le choeur d’un oratoire attenant au four crématoire. Malgré l’hiver rigoureux, elle disparaissait sous des gerbes de roses rouges. Dans la nef, régnait une véritable cohue. Malgré les protestations des amis du défunt, les badauds ricanaient et s’interpellaient. Il était manifeste qu’une bagarre risquait d’éclater au moindre incident. <strong>...</strong></p>Mariel Pierre - La revanche des nazisurn:md5:5489e2a84a9158385a027ee5829ce5082012-06-17T19:24:00+01:002017-03-08T14:10:10+00:00balderMariel PierreAllemagneAmériquesEuropeEx-Libris LenculusTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Mariel_Pierre_-_La_revanche_des_nazis.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Mariel Pierre (Marie Pierre-Maurice)</strong><br />
Ouvrage : <strong>La revanche des nazis</strong><br />
Année : 1971<br />
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Lorsque la défaite devint certaine, les dirigeants nazis préparèrent minutieusement leurs positions de repli. Si Eichmann et quelques autres ont été par la suite découverts, nombreux sont les chefs hitlériens qui ont réussi à échapper jusqu’à ce jour aux recherches. Outre de nombreuses complicités dans divers pays, ils disposaient en effet de ressources considérables : le trésor secret du IIIe Reich n’a jamais été retrouvé, pas plus que les fabuleuses collections de Goering.
A l’heure actuelle, en Amérique du Sud, de véritables petits états nazis indépendants jouissent de la complicité des gouvernements officiels. Ils entretiennent des relations étroites avec le Celtisme européen, la Soka-Gakkaï, le Ku-Klux-Klan américain et nombre d’organisations d’Afrique du Sud. L’efficacité de la répression anti-nazie diminue avec le temps de même que le souvenir des crimes hitlériens s’estompe : la revanche des nazis est pour demain. <strong>...</strong></p>