Histoire Ebook - Rebatet Lucien RomainRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearRebatet Lucien Romain - Fidélité au national-socialismeurn:md5:2b5ca1418db068603a8e596c144d85f92020-11-17T01:56:00+00:002020-11-17T02:01:28+00:00balderRebatet Lucien RomainFascismeTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Rebatet_Lucien_Romain_-_Fidelite_au_national-socialisme.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Rebatet Lucien Romain</strong><br />
Ouvrage : <strong>Fidélité au national-socialisme</strong><br />
Année : 1944<br />
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Admettons que Hitler soit sur le point d’être vaincu. Mais que l’on songe alors aux efforts monstrueux sous lesquels il aura succombé : six ans d’une guerre larvée, acharnée, conduite par un blocus financier quasi-universel, par une propagande planétaire, par d’incessantes machinations diplomatiques, toutes les églises, toutes les morales, toutes les philosophies, toutes les académies lancées dans cet assaut ; l’union sacrée contre l’hitlérisme des prêtres et des maçons, des objecteurs de conscience communistes et des pires traîneurs de sabres, du Gotha et de l’usine, de la République laïque et judaïque et de L’Action française antisémite ; puis la guerre réelle, totale, dressant les quatre plus grandes puissances du globe, l’Angleterre, l’Amérique, la Russie et Israël, sans compter leurs vassaux, en une coalition hétéroclite mais monstrueuse, et cinq ans – au moins ! – de cette guerre infernale, menée avec les moyens les plus sauvages et les plus dégoûtants, vingt millions de morts, un continent rasé ; tout cela pour faire mordre la poussière au fils d’un douanier autrichien, d’un ancien caporal d’infanterie bavaroise, au minuscule agitateur entré dans la politique avec un parti de six membres qui tenait ses assises dans un bistro de faubourg et avait sept marks cinquante en caisse. <strong>...</strong></p>Rebatet Lucien Romain - L'étoile jauneurn:md5:e7dd6f44f6be2434ac84feba9c81bbda2012-11-20T14:40:00+00:002017-03-07T14:35:27+00:00balderRebatet Lucien RomainFranceHébraïsmeSeconde guerre mondialeVichy <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Rebatet_Lucien_Romain_-_L_etoile_jaune.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Rebatet Lucien Romain</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'étoile jaune</strong><br />
Année : 1942<br />
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Les Juifs de la France occupée, comme ceux de presque toute l’Europe, sont astreints, à partir de cette semaine, au port d’un signe distinctif : l’étoile jaune. Lorsque nous proposions, dans ce journal, quelques années avant la guerre, sous la signature de Robert Brasillach ou la mienne, l’établissement d’un statut des Juifs, nous ne parlions pas de cette mesure, indiscutablement sévère. Si les démocraties occidentales avaient été capables, à ce moment-là, de se dresser contre le danger juif si évident, de faire leur révolution antijudaïque, le sort des Juifs eût été sans nul doute moins rigoureux que celui qui les attend maintenant. Mais depuis, nos charges contre Israël se sont décuplées. Les Juifs ont la part capitale de responsabilités dans le déclenchement de la guerre et dans son extension. Ils ont été les agents essentiels du bellicisme français et anglo-saxon, ils n’ont cessé d’envenimer les disputes d’intérêts entre les nations européennes, ils ont torpillé toutes les solutions pacifiques qui pouvaient aisément intervenir. Ce sont eux qui ont scellé l’épouvantable alliance de leurs créatures Roosevelt et Churchill et de Staline. Tous les soldats chrétiens, de quelque camp qu’ils soient, qui meurent depuis un an dans les steppes russes sont d’abord les victimes des Juifs, s’ajoutent aux centaines de milliers de cadavres que la marxisme juif a entassé sur toute la planète. Il n’est pas, aujourd’hui, un seul Juif, quelles que soient ses origines, qui ne se conduise en agent sournois ou arrogant du bolchevisme, qui ne fasse des vœux pour sa victoire, et n’y travaille par tous les moyens dont il dispose. Le Juif se révèle ainsi dans toute sa virulence. Entre l’Aryen et lui, c’est la lutte décisive. Les Aryens ne peuvent pas laisser un tel ennemi libre de se dissimuler. L’étoile jaune qu’il leur impose est la conséquence naturelle de la duplicité judaïque. Le Juif, en face de l’Aryen, camoufle autant qu’il le peut sa race, transforme son nom, mais ne pense et n’agit souterrainement que pour une seule nationalité, la juive, et mène dans son sein la conspiration permanente contre les nations chrétiennes. Je ne sais plus quel homme politique disait autrefois : « Si les Juifs étaient noirs ou bleus, il n’y aurait plus de question juive. Tout le monde saurait les reconnaître, les écarter ». L’étoile jaune vient corriger cette bizarrerie qui veut qu’une espèce humaine radicalement opposée aux peuples de sang blanc, inassimilable de toute éternité à ce sang, ne soit pas toujours discernable au premier regard. Le monde chrétien, à la naissance des idées démocratiques, crut qu’il pouvait oublier les lois sagement édifiées au cours de nombreux siècles. Il ouvrit aux Juifs les portes des ghettos séculaires. Il a cruellement payé cette générosité inconsidérée. Nous voyons, au bout d’un siècle et demi, les dernières conséquences de l’émancipation juive. Cette race ennemie, fanatique et féroce, n’a pas cessé un seul instant d’aspirer à établir sur toute la race blanche une domination qui dégénérait immédiatement en une épouvantable anarchie. Dans tous les pays où elle a pu accéder au pouvoir, elle a semé la corruption, la misère, répandu des flots de sang. Elle a régné par l’or avec une insolence, une perfidie et une brutalité jamais atteintes par les pires tyrans. Cela s’achève aujourd’hui dans une guerre sans merci. Une telle expérience est suffisante, n’est-ce pas ? L’étoile jaune est la première étape vers ce ghetto, tant physique que moral, que nous devons, à mon sens, faire réintégrer aux Juifs le plus promptement possible. Je disais l’hiver dernier dans ce journal, ma joie d’avoir vu en Allemagne les premiers Juifs marqués de leur sceau jaune. Ce sera une joie beaucoup plus vive encore de voir cette étoile dans nos rues parisiennes, où, il n’y a pas trois ans, cette race exécrable nous piétinait. Nous avons pourtant un regret, qui est vif : c’est que l’étoile jaune ne soit pas imposée par une loi française. Nous sommes, ici, des nationalistes convaincus que l’Allemagne et la France ont dans le Juif un ennemi commun, et que, contre lui, la France doit mener la lutte aux côtés de l’Allemagne. S’il est un terrain d’entente complète entre les deux nations, c’est bien celui-ci. Il n’est aucun pays qui ait souffert des Juifs comme le nôtre. Ils lui ont valu le pire des malheurs, la défaite. Depuis, ils ont encore aggravé incroyablement ses maux, empoisonnant ses esprits, parvenant à peser de la plus funeste manière sur sa politique, étendant partout la plaie du marché noir, profitant de notre détresse pour édifier de nouvelles et ignobles fortunes. Ce que nous avons fait jusqu’ici contre ces misérables ne compte pour ainsi dire pas. Les quelques décrets timides qu’imprima le « Journal officiel » ont à peine été appliqués. Darquier de Pellepoix vient d’être enfin nommé aux Affaires juives. C’est un de nos compagnons des bagarres d’avant guerre. Nous connaissons son énergie, ses convictions solides, sa pertinence. Il était admirablement désigné pour la place qu’il occupe. Nos vœux et nos espoirs l’y ont accompagné. Il sait déjà quels sont nos désirs. Nous voulons que la France participe positivement à la défense aryenne contre les Juifs. Il y va de son prestige, et elle travaillera ainsi à son salut. Il est une décision qui s’impose de toute urgence : celle d’étendre à tous les Juifs de France l’étoile jaune. Elle est beaucoup plus nécessaire de l’autre côté de l’Allier que dans cette zone. Il n’y a jamais eu autant de Juifs en France. Nous avons hérité en dernier lieu de tous les fuyards de Hollande et de Belgique. Ceux qui ont gagné l’Amérique sont en nombre infime. La grande majorité de ces Juifs, tous ennemis mortels de la France et de la paix, est en zone libre. Il y a maintenant des Juifs galiciens, bukoviniens, lettons, subkarpathiques, qui sont devenus les Juifs de la Corrèze, de l’Ardèche, de la Savoie. Il faut leur infliger l’étoile, pour commencer ; que le paysan périgourdin ou provençal, que l’ouvrier lyonnais, devant ces pillards et ces provocateurs, sachent à qui ils ont affaire. Cette mesure est révolutionnaire ? C’est possible. Mais enfin, sommes-nous, oui ou non, en révolution ? L’étoile jaune fera gémir certains catholiques, disons même beaucoup de catholiques. Il est facile de leur répondre, d’apaiser l’inquiétude de leur conscience. L’étoile jaune renoue avec la tradition la plus strictement chrétienne, celle de la rouelle, qui, durant toutes les époques de vrai et solide foi, les grands siècles de pure civilisation catholique, marquait les Juifs du ghetto, avec le chapeau jaune des Juifs d’Avignon, les Juifs du Pape. Si l’Eglise moderne s’élève contre l’étoile jaune, il lui faut désavouer tous les papes qui l’imaginèrent, puis l’imposèrent. Lucien Rebatet. <strong>...</strong></p>Rebatet Lucien Romain - Le fait juifurn:md5:dd9891f6cd4eb1eb52b0023463ddefbf2012-11-20T14:39:00+00:002017-03-07T14:35:36+00:00balderRebatet Lucien RomainConspirationHébraïsmeSeconde guerre mondiale <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Rebatet_Lucien_Romain_-_Le_fait_juif.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Rebatet Lucien Romain</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le fait juif</strong><br />
Année : 1944<br />
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Les lignes ci-dessous n’apprendront rien, je l’espère, à nos lecteurs d’avant 1939. Mais nous en avons d’autres aujourd’hui, beaucoup d’autres. Ce qu’ils nous écrivent, ce qu’ils viennent nous dire nous a persuadés de la nécessité où nous sommes de rappeler ici périodiquement certaines notions essentielles. Les vérités de base concernant le judaïsme sont de celles-ci. En dehors de toutes les explications plus ou moins contradictoires des savants, des anthropologues, concernant l’origine des Juifs, il y a un fait juif. Ce fait juif est du domaine de l’histoire la plus aisément contrôlable. L’histoire du peuple d’Israël peut combler cinquante bibliothèques. Tout citoyen du XXe siècle se flattant de quelque culture devrait en posséder chez lui au moins un précis. Le dernier en date de ces précis est l’excellente « Histoire de la Nation juive », qui vient de paraître au Mercure de France, très objective et très nourrie, par M. Alphonse Séché, l’auteur des prophétiques Guerres d’Enfer. Cette histoire, depuis ses chapitres les plus reculés, se résume en quelques évidences culminantes. Cette race nomade et parasite, dont les migrations et les appétits remplissent l’antique chronique, a, en tout lieu et en tout temps soulevé contre elle les mêmes accusations : captation méthodique et insatiable des richesses, par toutes les formes possibles de l’usure, de l’escroquerie, de la spoliation, de la spéculation, par tous les trafics “improductifs” de monnaie et de marchandise ; envahissement immédiat, par nuées venues on ne sait d’où, de chaque coin de terre qui a eu l’imprudence de s’associer à eux ; haine plus ou moins sournoise mais toujours très active pour les indigènes, leur culture, leurs religions, quelles qu’elles soient ; complicité funeste dans tous les mouvements de subversion politique, religieuse, sociale. Ces exploits s’achèvent invariablement par l’éviction brutale et sanglante des coupables. De ces évidences, les preuves sont accumulées de siècle en siècle avec une profusion hallucinante et monotone. De Babylone déjà, il nous est revenu les innombrables échos. En Egypte, chez les Perses, en Syrie, dans l’Empire romain, en Espagne, dans la France et l’Angleterre médiévale, dans la plus vieille Russie, en Pologne, sur toutes les terres germaniques, en Italie, dans les Etats pontificaux, en Bohême, en pays musulman, en Hongrie, en Roumanie, le drame juif s’est reproduit selon un scénario invariable. Songez que, dans la Rome impériale déjà, le Juif, comme toute la social-démocratie moderne, pratiquait auprès de la plèbe la plus basse démagogie, tout en tondant et pillant cette plèbe. Le réquisitoire contre Israël est répété à travers les âges, non point par d’obscurs pamphlétaires, des illuminés, des agités, mais des hommes qui s’appellent Titus, Tibère, Saint Louis, Philippe Auguste, Luther, Franklin, Napoléon, pour ne citer que ceuxlà, sans compter cinquante papes parmi les plus grands. Quoi qu’on en ait pu dire, l’humanité, qu’elle soit celle des Assyriens, des Grecs anciens ou des Yankees modernes, obéit à un certain nombre de règles immuables. Elle ne les transgresse jamais sans se précipiter dans d’absurdes et mortelles catastrophes. La défense contre le parasite et l’anarchiste juif est l’une de ces règle d’or. Nul pays, plus que nôtre, ne l’a appliquée. Rien ne faisait plus étroitement partie que l’antisémitisme du patrimoine politique et spirituel de l’ancienne France. Je l’ai écrit plusieurs fois : rien ne fût apparu plus burlesque et barbare à un François Ier, à un Rabelais, un Ronsard, un Henri IV, un Richelieu, un Turenne, un Pascal, un Bossuet, un Louis XIV, un Molière, un Voltaire que l’idée de discuter un instant la malfaisance et l’infériorité de la race juive. On ne le répétera jamais assez : la volonté du peuple français, la sagesse de nos monarques, qui, eux, savaient être fidèles aux volontés de leur peuple, ont pendant plus de quatre cent ans (XVe, XVIe, XVIIe, XVIIIe siècles) supprimé le problème juif en France par l’exclusion quasi totale des Juifs. La Révolution de 1789 allait changer cela. Tout n’est certainement pas à condamner en bloc, comme les historiens de l’ancienne droite l’ont fait trop volontiers, dans les aspirations du grand mouvement révolutionnaire français. Mais on ne peut plus calculer les maux qui ont été engendrés par ces fameux « principes ». Au nom de cette égalité et de cette liberté, qui n’ont jamais été plus atrocement bafouées que depuis qu’on les a inscrites sur les frontons des Républiques, la Constituante décréta en 1791 l’émancipation des Juifs, que l’Amérique, la première, leur avait accordée en 1776. Les autres Etats européens, peu à peu, bon gré mal gré, devaient suivre le courant. Les Juifs sont demeurés les seuls bénéficiaires des « idéaux » démocratiques, qui n’ont fait, pour la chrétienté, qu’alourdir le sort des travailleurs, engendrer de terrifiantes tueries. Il est aisé de comprendre pourquoi les Juifs, foncièrement antidémocrates par euxmêmes, frénétiquement racistes, entretenant partout les plus fabuleuses inégalités, soient les défenseurs acharnés de tous les régimes qui se recommandent des fictions démocratiques. Nous avons donc assisté, depuis le début du XIXe siècle, à une expérience sans précédent de libération des Juifs, tous tenus jusqu’alors en ghetto ou sous juridictions spéciales. Nous pouvons voir les résultats de cette expérience folle, pour laquelle on voulut oublier les leçons de vingt siècles. L’ouverture des ghettos équivalait à l’élargissement d’un peuple de malfaiteurs lâchés sur la planète. Depuis cet élargissement, le dossier à la charge d’Israël a décuplé. L’époque contemporaine, avec l’avènement du machinisme, devait, de toute manière, être difficile, abondante en remous. Le Juif a contribué, plus que quiconque, à la rendre atroce. C’est lui qui a donné à la féodalité internationale du capitalisme sa forme la plus inhumaine et la plus tentaculaire. C’est lui qui a fait dévier tous les efforts du socialisme aryen pour lui substituer deux produits spécifiques du judaïsme, la chienlit social-démocratique et le marxisme. On nous répond parfois que le Juif est une explication un peu trop simpliste à la guerre présente. Nous ne nions pas que le déséquilibre du monde, l’imbécillité des traités de 1919, le terrible mercantilisme de la politique anglo-saxonne n’entrent en bonne place parmi les causes de cette guerre . Mais derrière chacune de ces causes, on retrouve le Juif. Aucune volonté de guerre n’a été plus opiniâtre et plus déterminante que celle d’Israël. Ce qui, du reste, du point de vue juif, n’est pas si étonnant. Le coup d’arrêt porté par Hitler à la puissance juive, dans un de ses fiefs de prédilections, a été d’une portée incalculable, parce qu’à la face du monde, il replaçait le Juif dans sa condition éternelle. Il reste à savoir, et nous l’avons demandé cent fois ici depuis dix ans, si la sauvegarde des « droits » de la nation abjecte valait le trépas d’un seul caporal français. J’apprécie peu, pour ma part, un certain antisémitisme maniaque, qui a pris des traits du Juif à force de se pencher sur lui, colle l’étoile jaune à tout ce qui lui paraît hostile ou dangereux. Il faut rendre à l’Aryen ce qui revient à l’Aryen dans les fléaux qui nous accablent. La responsabilité du Juif n’en est pas moins primordiale, colossale, et justifiant n’importe quel châtiment. L’effrayante, la sanguinaire extension de la guerre est un crime avant tout juif. Le Yankee, dans sa majorité, était indifférent au conflit actuel. Il n’y est entré que traîné par le Juif, ni plus ni moins que l’Adémaï français de 1939. Le Juif seul explique l’effarante conjonction de la City et du Kremlin, c’est l’unique ciment qui ait pu lier ces blocs hétérogènes. On me permettra maintenant d’énumérer, faute de place, quelques points qui seraient autant de têtes de chapitre. On entend souvent en France, depuis trois ans, cet argument : « J’étais antisémite avant guerre, mais le traitement que les Allemands infligent aux Juifs a fini par me les rendre sympathiques ». Cette sensiblerie témoigne simplement de l’extravagante judaïsation des esprits français. L’Aryen français, dont le coeur a été pétri par les fausses larmes du Juif, s’abandonne à toutes les idioties sentimentales, tandis que le Juif, menant dans les airs et dans les bandes terroristes la guerre typiquement juive, accumule les pires férocités. L’Allemagne a pris des mesures de guerre, rudes comme toutes les mesures de guerre, contre une nation avec qui elle est engagée dans une lutte à mort. Pour prendre ces mesures, elle a attendu chez nous plus de deux années, jusqu’à ce que la participation unanime de notre énorme juiverie à la guerre sourde de l’espionnage, du terrorisme, du gaullisme et du bolchevisme soit devenue aveuglante. Le seul reproche que j’adresserai, quant à moi, à l’Allemagne, c’est d’avoir temporisé avant d’agir, d’avoir beaucoup trop longtemps toléré le judaïsme vichyssois, les épouvantables foyers de pestilence juive dans la zone sud, foyers devenus depuis ceux du terrorisme, après avoir été ceux de toutes les intrigues dissidentes. Le cas le plus déconcertant est celui de ces anciens antisémites qui, non contents de plaindre les Juifs, sont devenus leurs alliés. Ceuxlà sont légions dans les milieux militaires, dans les vieilles formations de la droite catholique. Cela démontre la fragilité de cet antisémitisme, comme de tout ce qui a été intrinsèquement « de droite », bien-pensant et revanchard. On avait du Juif une notion fumeuse, plus ou moins confondue avec celle du franc-maçon et de l’anticalotin. On aimait pas le Juif parce qu’il avait prêté vigoureusement la main aux lois combistes, parce qu’il passait pour pro-allemand (ce qui fut d’ailleurs relativement exact jusqu’en 1933), qu’il n’était pas convenable, patronait des manifestations d’art excentrique et fourrageait dans le linge des petites filles sous prétexte de psychologie sexuelle. Le racisme aryen, seule réponse valable au racisme juif, a déplu, par ses « excès », à ces pseudo-antisémites, qui avaient déjà donné la mesure de leur jobardise, tant galonnée que civile, tout au long de l’affaire Dreyfus. Il aura suffi que, du jour au lendemain, le Juif polonais le plus sordide, qui compissait les ciboires dans son ghetto natal, qui vendait au plus offrant les menus secrets de notre défense nationale, votait uniformément pour les plus absurdes désarmeurs, il aura suffi que ce Juif se déclarât tout à coup « antiboche » pour que l’excellent Français du type « sabre et goupillon » le pressât sur sa poitrine et lui fît un rempart de son corps. Avec d’aussi stupides animaux, le cynisme ancestral du Juif joue sur le velours. L’émigré youtre pousse des cris d’orfraie, en 1936, quand le bourgeois des Champs-Elysées se permet devant lui l’offense d’une cocarde tricolore. Deux ans plus tard, sur l’injonction du même youtre, le bourgeois à cocarde devient anti-munichois. Deux ans encore, et notre youtre mettra le bourgeois au garde à vous en lui passant au micro de Londres Sambre-et-Meuse et le Salut au drapeau : La France est notre mère, C’est elle qui nous nourrit… Le pauvre aryen à cocarde ne comprend pas que, pour le Juif, l’Internationale, la Déclaration des Droits de l’homme, la Jeune Garde, l’anticléricalisme à la Léo Taxil, ou, au contraire, la Marche lorraine et Sauvez la France au nom du Sacré-Coeur sont autant de coyonnades sic chrétiennes dont il joue, lui, Juif, avec la même désinvolture que s’il s’agissait des billes d’un cochonnet, puisque, pour lui, seul le résultat compte, le résultat juif. La force des Juifs, cette infime petite nation de vingt millions d’êtres sans aucun courage militaire, est faite, pour les trois quarts – je le redirai sans me lasser – de la vénalité, la complicité, l’ignorance des chrétiens. Ne parlons pas aujourd’hui de la vénalité, de la complicité, d’ailleurs éclatantes. Disons un mot de l’ignorance. Elle donne le vertige. Elle est le fruit naturel de l’émancipation du Juif. Le Juif, sitôt mis en liberté, a eu pour premier soin de faire oublier son passé. Tâche d’autant plus aisée que nous avions perdu en France, depuis des siècles, à peu près tout contact avec le Juif authentique. Avec l’enjuivement progressif des cercles intellectuels, de l’enseignement, il n’est pas aujourd’hui un Français sur dix mille qui possède, à propos du judaïsme, les notions élémentaires qu’à sur n’importe quel autre sujet un gamin de dix ans. De tous ces Français, convaincus que le problème juif n’existe pas, qu’il suffit d’un peu de bonhomie pour assimiler le Juif, combien en est-il qui sachent que, soixante ans après leur émancipation, ces candidats à l’ “assimilation” remportaient leur première victoire de Juifs libres en créant l’Alliance israélite universelle, formidable machine de guerre et de propagande, organe central de la nation juive, affirmant pour principe liminaire que le Juif ne reconnaît d’autre nationalité que la nationalité juive ? Devant l’Aryen typique de 1944, qu’il soit de Chicago, de Berne (ah ! les Suisses !) ou de Lyon, on est partagé entre le mépris et la pitié. Ce malheureux animal, gorgé de cinéma, d’imprimés, de radio, si vain de sa « civilisation » et de ses lumières, est certainement plus aveugle, plus borné, livré à des fatalités pour lui plus incompréhensibles que le dernier manant de Saint Louis ou de Louis XIV. Quand on pense à la candeur et à la sottise de ces gens-là en face des grossiers mensonges, des énormes fumisteries que les Juifs rééditent selon des recettes millénaires, la « conversion » étant l’une des plus usitées, on a parfois la tentation, je le confesse, de planter là de tels bipèdes, pour qui on sacrifie la moitié de sa vie, quand on ne risque pas sa peau tout court, et de considérer avec un détachement jovial et sadique la valse sanglante que le Juif leur fait si bien danser. Mais le sang parle et nous rappelle ce que nous défendons contre le Juif, par delà les pitoyables représentants d’une chrétienté frappée d’idiotie. Nous ne déserterons pas ce combat. La nation juive est la seule qui soit justiciable d’un châtiment collectif. Chez tout Juif, il y a en puissance la nocivité de sa race. On pourrait être saisi de commisération devant le destin implacable de ce peuple. Mais tous les moyens lui ont été fournis de le corriger. Israël est arrivé au zénith de sa puissance. L’or, les esprits, la chair des trois plus grands empires de la terre sont entre ses mains. Les trois quarts des églises chrétiennes, pour la première fois, lui offrent leur concours. Cette apogée se confond avec l’incendie universel. Ceux des non-Juifs qui n’ont pas encore compris sont décidément de fameux baudets. Mais ceux qui ont compris savent ce qu’il leur reste à faire, et le feront sans faiblesse, moins par esprit de représailles que pour assurer l’avenir contre de tels cataclysmes. Il nous appartient notamment en France d’ouvrir les yeux de notre peuple. Je ne parle pas tant des crétins de notre âge qui nous entourent et sont sans doute peu perfectibles, mais des générations futures. Il importe de restaurer la vieille tradition française de l’antijudaïsme, et d’abord par l’enseignement obligatoire de l’histoire juive, cette histoire d’une éloquence irrésistible et dont la juiverie a fait une étude interdite. Pendant que j’achève ces lignes, le « bombing » juif reprend dans la nuit parisienne. Des Français meurent encore à cette minute. Mais un jour viendra où toutes les victimes, passives ou militantes, de cette guerre, seront largement vengées. Lucien Rebatet. <strong>...</strong></p>Rebatet Lucien Romain - Drumont parmis nousurn:md5:14364679d95e0080ce219b43c41bafab2012-11-20T14:30:00+00:002017-03-07T14:35:44+00:00balderRebatet Lucien RomainEuropeFranceHébraïsmeSeconde guerre mondialeTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Rebatet_Lucien_Romain_-_Drumont_parmis_nous.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Rebatet Lucien Romain</strong><br />
Ouvrage : <strong>Drumont parmis nous</strong><br />
Année : 1944<br />
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Edouard Drumont est né il y a cent ans à Paris. Je viens, pour célébrer cet anniversaire, de passer à nouveau trois jours avec lui. Je suis dans l’enthousiasme. Quel bougre ! Quel lapin ! Parbleu, je le savais. Mais depuis la guerre je n’avais pu reprendre le temps de faire ainsi un tour point trop incomplet de cet homme. Je me rappelle les semaines de l’hiver 1939, où je préparais le dernier numéro antijuif de Je Suis Partout, plongé dix heures par jour dans Drumont, n’arrivant plus à m’en détacher pour noircir mes propres feuillets, jalousant furieusement cet animal de Bernanos, qui, le premier, a su écrire avec La grande peur des bienpensants une histoire de cette vie extraordinaire, biographie sans doute inimitable, mais que tout auteur révolutionnaire de notre temps rêverait pourtant d’imiter. Ce n’est point encore, hélas ! cette année que je pourrai m’y essayer. Je ne puis, encore cette fois, que résumer sommairement Drumont. Commençons par quelques précisions que l’on oublie un peu trop souvent. Jules Renard, dans son Journal, qui est un des grands textes de notre langue, et que l’on cite peu volontiers, parce que les trois quarts des auteurs à la mode en sortent, Jules Renard écrit, parmi les déclarations solennelles qu’il se fait, le jour de la condamnation de Zola, « que M. Drumont n’a aucun talent, aucun ». Cher Renard, si probe avec ses pairs, si souvent perspicace, ce n’est qu’un mot de partisan exaspéré, voulant que désormais il soit bien entendu qu’on sera le dernier des sous-fifres si l’on n’est pas de son camp. Pauvre Renard, avec son honnêteté, sa candeur républicaine, type parfait du coyon aryen, allant se battre pour la peau des Youtres, contre un homme qui avait les mêmes ennemis que lui, et qui les a étrillés avec infiniment plus de force : les stupides mirliflores à sabretaches, les socialistes alimentaires, les conservateurs, les dévots ! Drumont sans talent ? On l’a répété beaucoup, avant ou après Jules Renard. C’est absurde. Nous ne célébrerions pas le centenaire de Drumont s’il n’avait été d’abord un superbe écrivain. Un homme qui aurait choisi le métier d’écrire et qui n’y aurait pas apporté un talent profond ne serait plus rien, cinquante, soixante ans après la parution de ses plus fameux livres. Drumont a été perfidement rejeté à la lisière des lettres. C’est une grossière injustice, qui ressortit encore à la tenace coalition juive contre un de ses plus redoutables adversaires. Il est vrai que Drumont composa mal ses livres, non qu’il fût incapable de le bien faire, mais parce que ces livres étaient pour lui des actes avant d’être des oeuvres littéraires. Je dirai tout à l’heure ce qui est devenu quelque peu caduc dans cette oeuvre. Mais il n’est pas une seule de ses pages où ne brille la trouvaille à quoi l’on reconnaît l’artiste. Drumont a le pittoresque, la couleur, le muscle, le nombre, la période aussi bien que le raccourci, un ensemble de dons qui l’élèvent très au-dessus des réussites éphémères du journalisme. Aucun des journalistes fameux qui bouleversèrent avec lui la France à la fin du dernier siècle n’est lisible. Drumont est non seulement lisible, mais on le relit avec une admiration toujours neuve. Son écriture est infiniment plus solide, plus proche de nos vraies traditions que celle des naturalistes et des impressionnistes, ses contemporains, un Maupassant, un Zola, le Goncourt des romans. Il est exact que par sa puissance d’observation, sa véracité de portraitiste, il a eu en lui du Saint-Simon et du Balzac (il ne cessait d’ailleurs de relire l’un et l’autre). Je voudrais citer quelques-unes de ses splendides formules. Je renonce à choisir parmi ces éclairs incessants. Et Drumont possède encore en propre un humour, une bonhomie de géant rabelaisien qui, liés à sa faculté constante d’indignation donnent à tous ses pamphlets ce poids humain dont nous n’avons retrouvé depuis l’équivalent que chez Céline. Car un pamphlétaire qui n’est que spirituel, qui est mû surtout par le fiel de sa nature, perd vite de sa force. Tout grand pamphlétaire a un fond de vaste bonté. S’il se jette avec cette fureur dans la bagarre, c’est par altruisme, parce qu’il aime ses semblables, sa patrie, et qu’il ne peut vraiment les voir s’abîmer, périr, sans crier gare, sans bondir au collet de leurs détrousseurs et de leurs assassins. Nous ne sommes pas surpris d’apprendre qu’au témoignage de tous ceux qui l’ont réellement connu, Drumont ait été « un brave type », comme l’est aujourd’hui notre Céline, le médecin si doux des petits moutards de Bezons. Pour que Drumont prenne dans notre littérature la grande place à laquelle il a droit, il suffira que cette littérature et que l’Université soient enfin désenjuivées. Je pense que ces simples précisions réjouiront les mânes du vieux lion, patron d’une famille littéraire qui depuis Agrippa d’Aubigné s’est acquis chez nous un certain nombre de droits à l’immortalité. L’antisémitisme de Drumont est d’une lucidité insurpassable. Tous les malheurs qu’Israël a entraînés pour les nations chrétiennes sont annoncés, décrits en 1886 dans La France juive. La définition historique, sociale, physique, morale du Juif que donne Drumont est complète. La doctrine raciste du XXe siècle y tient entièrement. Mais, antisémite d’abord, parce que rien ne saurait être réglé si on ne s’en prend d’abord au fait juif, Drumont est le contraire des antisémite maniaques et obtus qui ont tant desservi leur cause, qui, lorsqu’un Dupont leur déplaît, concluent aussitôt qu’il descend d’un de ces quelques douze Youtres qui se firent baptiser sous ce nom au XIIIe siècle. Drumont connaissait trop bien l’humanité pour s’imaginer qu’il suffirait de rejeter au ghetto la youtrerie mondiale pour voir fleurir l’âge d’or. Drumont savait que le parasite juif ne s’installe que sur des organismes déjà malade dont il aggrave aussitôt les tares, que sa prolifération condamnait la société qui tolérait et choyait cette vermine. Drumont a donc été, tout autant que des Juifs, l’ennemi des trusts, des oligarchies financières. Son réquisitoire anticapitaliste est l’inséparable de son réquisitoire antijuif. Il a splendidement distingué la saine tradition du socialisme français de ses déformations judaïques, des chimères qui préfiguraient la social-démocratie. Les idées sociales de Drumont ne sont point une concession. Elles répondent chez lui à une nécessité violemment ressentie. Il a les plus profondes attaches avec le peuple. Si le prolétaire est lamentablement avili, d’une mentalité inférieure à celle d’un sauvage de la forêt équatoriale, Drumont en accuse d’abord les conditions effroyables de son labeur. Il prévient clairement la bourgeoisie libérale que l’anarchie, le communisme ne sont pas le fait de quelques agitateurs qu’il suffira de coffrer pour tout résoudre, comme le croient les gros industriels et les prêtres des paroisses bien-pensantes, mais le fait de l’ignominieuse injustice, de l’inhumain chaos créé par le capitalisme et par l’omnipotence juive. Il méprise le socialisme électoral, il méprise non moins le « socialisme chrétien », tout neuf aux alentours de 1890, et dont Drumont a analysé une fois pour toutes l’essence, ce qu’il appelle la privation méritoire : « Ne vous révoltez pas, prenez votre mal en patience. Le Bon Dieu vous attend là-haut, prêt à ouvrir la porte du paradis aux prolétaires qui auront été bien sages, qui n’auront pas demandé d’augmentations de salaires et qui auront toujours payé leur terme avant midi. » Par contre, on découvre constamment chez lui un sentiment d’estime pour la sincérité, même quand elle est aberrante, qu’elle est aussi loin de lui que celle d’un Jules Guesde. Accessoirement, si l’on ose dire, il prévoit l’effondrement d’une construction sapée et périmée comme la monarchie austro-hongroise. En pleine montée de l’esprit revanchard, il est le seul écrivain patriote qui traite de l’Allemagne avec impartialité, affirme qu’il n’est nullement impossible de vivre en paix avec elle. Le seul aussi qui, refaisant l’histoire de l’imbécile guerre de 1870, dédaigne les couplets ordinaires sur les « Pruscos » pour dénoncer les crimes des bellicistes à la Gambetta, les Reynaud avant la lettre, qui repoussèrent après Sedan une paix honorable et peu coûteuse, prolongèrent de cinq mois, par sottise, par fatuité, par calculs de politiciens, une bataille perdue d’avance. Mais que ne relèverait-on pas encore ! Tout est chez Drumont. Sans doute, il y a eu avant lui Taine et Renan, après lui Maurras, celui notamment de la trentième année, du Soleil, de la Gazette de France, le plus pénétrant, le plus percutant, le plus libre. Mais les uns et les autres franchissent peu la limite de la théorie dans leur critique de la démocratie. Drumont n’a pas des idées moins fermes, moins judicieuses. Mais il est dans la vie. Il brasse les réalités, les étreint, les flaire. Sa documentation, inégale parfois en qualité, est prodigieuse par sa masse. Et c’est bien ce qui déclenchera contre lui un tir aussi acharné. Ce réaliste va à l’essentiel, à l’argent. D’où cet épluchage opiniâtre et impitoyable de comptes, de budgets, de fonds secrets, de commandes. Un tel besoins de précisions eût même entravé, fatigué, beaucoup d’autres talents aussi robustes. Mais l’instinct du visionnaire l’emporte, il l’élève à chaque instant aux sommets où se développent les plus larges pensées, d’où l’on surplombe les règles éternelles de l’humanité. On demeure absolument confondu de l’infaillibilité avec laquelle Drumont put passer du particulier au général. Car il faut bien le dire : les scandales, les turpitudes, les cruautés qu’il dénonce sont de l’eau de rose auprès des océans de purin et de sang qui ont déferlé depuis sur nous. Ce qui est sans doute le plus admirable chez Drumont, c’est que, partant de causes encore si anodines ou voilées, il ait déroulé avec cette dramatique lucidité toute la chaîne de leurs effets, abouti à sa terrible cosmogonie du judaïsme et de l’or. C’est ici que, cherchant un pamphlétaire, nous faisons la rencontre solennelle du génie. Cette puissance prophétique, ce contact avec l’humanité la plus chaude et la plus vraie, ce vaste sentiment de l’histoire qui lui permet d’embrasser d’un coup d’oeil des siècles pour se prouver que les plus monstrueux événements demeurent toujours possibles, font de Drumont un homme « moderne » par excellence, l’homme à la taille de notre temps, qui, lui aussi, est monstrueux. De La France juive, de La Fin d’un monde, de La dernière Bataille se lève un formidable précurseur de la révolution raciste et socialiste qui seule peut sauver notre globe. Et voilà bien encore de quoi écraser l’objection grotesque, mais qui a la vie si dure, que les révolutionnaires français d’aujourd’hui veulent importer dans notre patrie un régime qui n’est pas de chez elle. S’il n’y a pas chez Drumont toutes les bases de notre révolution, c’est qu’aucun mot de notre langue n’a plus le moindre sens, et que Léon Blum peut être considéré comme l’authentique successeur de Louis XIV. Pourquoi les idées de Drumont sont-elles demeurées, de son vivant, des idées ? Il y eut certainement chez lui une part de naïveté, qui coexiste toujours avec les lumières d’une absolue certitudes. Naïveté du reste fort relative si l’on songe à la magistrale tactique du lutteur, durant l’affaire de Panama, par exemple. « Trop livresque… », disait aussi Clemenceau. Pour aller plus avant que ces formules faciles dans la psychologie de Drumont et de ses lacunes, il faudrait étudier longuement ses articles quotidiens, tous ses papiers intimes qui peuvent être encore réunis. Drumont n’était certainement pas un tribun. Cependant, mieux soutenu, à quoi fût-il arrivé ? On peut aligner bien des hypothèses. Mais ce qui est certain, c’est que l’échec de sa carrière politique a eu des causes plus que suffisantes auxquelles Drumont lui-même était parfaitement étranger. Et si l’heure de Drumont n’a pas sonné, ce ne sont pas tant les Juifs que les chrétiens qui l’empêchèrent. Voilà encore un des traits qui rend Drumont si passionnant. Quand il mourut, au plus noir de l’autre guerre, ruiné, aux trois-quarts oublié, ayant abandonné sa Libre Parole à de torves faquins, il put croire que, hormis ses livres, il avait sinistrement raté sa vie. Or cette vie politique, où il eût fort bien pu ne point s’engager, couronne sa démonstration avec une évidence qu’aucun ouvrage de plume n’aurait eue. Cette vie publique de Drumont est aussi riche d’enseignements que ses livres. Catholique militant autant qu’antidémocrate, voulant défendre d’abord sa religion contre les Juifs, Drumont, quand il entra dans l’action, après le vertigineux succès de la France juive, voulut faire confiance à l’Eglise, à la droite catholique. C’est là qu’il chercha ses appuis, ses troupes. Cinq ans plus tard, aux premières pages du Testament d’un antisémite, il reconnaissait son erreur dans ces lignes : « Mon erreur fondamentale a été de croire qu’il existait encore une vieille France, un ensemble de braves gens, gentilshommes, bourgeois, propriétaires, fidèles aux sentiments d’honneur, aux traditions de leur race et qui, égarés, affolés par les turlutaines qu’on leur débite depuis cent ans, reprendraient conscience d’eux-mêmes si on leur montraient la situation telle qu’elle est, et se réuniraient pour essayer de sauver leur pays. J’étais l’homme le plus réformateur, le plus avancé, le plus épris de justice sociale qu’il y eut en France ; cette erreur m’a fait passer pour un rétrograde, elle m’a enlevé toute action sur la masse. La masse, en effet, plus sûrement guidée par son instinct que nous le sommes par nos connaissances, a horreur du parti conservateur, elle s’éloigne de lui comme les chevaux d’un endroit où il y a un mort. NE VOUS METTEZ JAMAIS AVEC LES CONSERVATEURS. » Drumont cherchait des hommes. Il s’était adressé à des larves de la plus odieuse sottise, la sottise qui naît de la peur. Il faut relire chez lui et chez Bernanos l’histoire des inqualifiables avanies que lui fit subir cette bourgeoisie bien-pensante, pétrie d’hypocrisie et de frousse, éprouvant l’horreur congénitale de cet homme qui était tout entier courage et vérité. On ne peut même pas esquisser dans un journal ce honteux et gigantesque vaudeville, le haut clergé volant au secours de la synagogue pour condamner la France juive. On n’en rappellera qu’un seul épisode, la fameuse élection municipale du Gros-Caillou, quartier bien-pensant par excellence. Drumont, candidat catholique, fut battu à plate couture par l’archevêché et la bourgeoisie pratiquante. Contre ce vrai croisé, l’Eglise avait lâché Léo Taxil, franc-maçon et pornographe anticlérical de bas étage. On a le regret de le dire : la plus grande tare politique de Drumont fut de n’être point resté dans l’incroyance de sa jeunesse. Il était trop chrétien pour un catholicisme dégénéré. Les Juifs n’avaient point eu besoin d’intervenir. En six ans, la chrétienté officielle avait brisé l’enthousiasme d’un de ses plus grands apôtres, la bourgeoisie le tenait pour un communard déguisé, cependant que les républicains, sourds aux clameurs de son anticléricalisme si justifié, lui jetteraient jusqu’au tombeau l’anathème majeur de cette époque : créature des Jésuites. J’incline à croire, comme Bernanos, que, dès 1892, Drumont avait perdu l’espoir et ne se battait plus que pour l’honneur, l’amour de la vérité et l’avenir. Il s’offrira du moins le luxe de dépeindre, tels qu’ils sont, le stupide polichinelle Déroulède, allié au youtre Naquet, l’inodore Albert de Mun, allié au youtre Arthur Meyer, les militaires, qui ont donné une fois pour toutes la mesure de leur jobardise et de leur pleutrerie civique dans la foirade du boulangisme, les forbans de nonciature, les larbins à mitres, les bedaux, les aristocrates souillés de sang juif. Panama, le Ralliement – cette reptation de l’Église devant la démocratie qui la paiera à coups de pied – l’affaire Dreyfus – à l’origine, ne l’oublions jamais, dix youtres qui jouent vingt milles officiers français ! D’autres que Drumont, sans doute, ont fait de ces mornes infamies des tableaux plus circonstanciés. Mais personne n’a comme lui dévoilé les ressorts profonds : la cupidité, l’imbécillité, la trouille. Drumont, dans sa violence, est le seul homme que l’esprit de parti n’altère pas. Il ne cède pas une seule ordure de la république judéodémocratique. Mais il démontra que ses adversaires, « l’opposition », à peine moins corrompus, ne se distinguaient d’elle, en somme, que par leur idiotie. La République, du moins, savait manoeuvrer. Tel a été ce grand homme, un de nos maîtres s’il en fut. Nous avons le sentiment hallucinant qu’il vit parmi nous. Les archevêques, condamnant en chaire sa France juive, donnent la main au Gerlier de 1944. Nous voyons Déroulède se précipiter dans les bras de Bernard Lecache en brandissant la bannière du gaullisme. Nous reconnaissons, sous les basanes, les rabats, les huits-reflets de 1890, les Giraud, les de Lattre de Tassigny , les Louis Marin, les Gillouin, les Maritains, les Du Moulin de la Barthète. Rien n’a changé, parce que les conditions de la vie politique française demeurent les mêmes en 1944 qu’en 1890. Nous sommes toujours en judéo-démocratie, sous le quadruple blason de l’étoile à six branches, du triangle, du sabre et du goupillon. J’abandonne à regret cette biographie, qui ressemble à un film désuet, avec ses prolétaires à culottes à pont qui gardent un chasse-pot au fond de leur soupente, ses journalistes aux moustaches cirées, ses duels entre messieurs en redingote et cravate-plastron, ce film qui débouche dans une épopée tantôt pantagruélique, tantôt shakespearienne, avec d’un côté ses youtres pornographes et proxénètes, de l’autre ses youtres affermant Lourdes, ses vieux héros militaires, brûlés au feu de vingt batailles, et qui se volatilisent devant deux bavochards de métingues, ses évêques captant les héritages, ses secrétaires du Sacré Collège trempant jusqu’à la tonsure dans de sordides escroqueries, et l’aryen à plat ventre devant Shylock pour lui vendre une livre de sa propre chair. Lucien Rebatet. <strong>...</strong></p>Rebatet Lucien Romain - Le bolchevisme contre la civilisationurn:md5:65bb80584a6b5a3101f2fca198baada62012-11-20T14:09:00+00:002017-03-07T14:35:52+00:00balderRebatet Lucien RomainBolchéviqueCivilisationsEuropeHébraïsmeRussieSeconde guerre mondialeTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Rebatet_Lucien_Romain_-_Le_bolchevisme_contre_la_civilisation.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Rebatet Lucien Romain</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le bolchevisme contre la civilisation</strong><br />
Année : 1941<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Rebatet_Lucien_Romain_-_Le_bolchevisme_contre_la_civilisation.zip">Rebatet_Lucien_Romain_-_Le_bolchevisme_contre_la_civilisation.zip</a><br />
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Le bolchevisme, bourreau de la Russie. Le bolchevisme est né des théories du Juif Karl Marx, qui écrivait il y a déjà près de cent ans son Manifeste du parti communiste, et du nihilisme judéo-russe. Utopie, désespoir anarchique des Slaves, messianisme et instinct destructeur d’Israël, férocité asiatique : il n’est rien dans ces dogmes et ces méthodes barbares qui ne soit profondément étranger à notre Occident. C’est un travestissement, une affreuse corruption du socialisme humain et si souvent réaliste des doctrinaires français tels que Proudhon et Georges Sorel. N’oublions pas, en passant, que ce dernier fut l’un des plus grands précurseurs des principes nationalistes et anticapitalistes sur lesquels l’Europe est en train de se refaire. Comment la barbarie soviétique a pu triompher. Le parti bolcheviste, après d’interminables disputes et dissidences, s’était créé en 1912 avec une écume d’extrémistes, de terroristes, de Juifs fanatiques, « bande de professionnels de la Révolution », comme les appelait leur chef et leur farouche animateur, Lénine. Au début de la Grande Guerre, Lénine, Asiate aux yeux bridés, ayant probablement du sang juif dans les veines1, guette en Suisse où il est exilé le moment de l’action. Il suit avec une joyeuse impatience les revers terribles qu’essuie sa patrie. Au printemps de 1917, le régime tsariste, en décadence depuis des années, corrompu, n’ayant plus à sa tête qu’un souverain impuissant et isolé, s’effondre sous les coups de l’orage guerrier qu’il a tant contribué à déchaîner. De nombreux généraux ont trahi ou révélé une incapacité complète. L’espionnage, le défaitisme sévissent partout. L’aristocratie, la bourgeoisie, frivoles, égoïstes, ont failli à tous leurs devoirs. Les armées, mal encadrées, misérablement nourries, sont démoralisées par des campagnes terriblement meurtrières où l’on ne compte plus les défaites, où les succès ont tous été sans lendemain. Les populations des grands centres, où le ravitaillement n’arrive plus, sont affamées, exaspérées par la nullité des politiciens du ministère. A Pétrograd, des grèves éclatent, les régiments se mutinent. La gauche de la Douma constitue un gouvernement provisoire ayant à sa tête Kerensky, tandis qu’en face d’elle se dresse le premier soviet d’ouvriers et de soldats. Le tsar abdique sans résistance. Les sociaux-démocrates du nouveau ministère Kerensky, par leur stupide impéritie, aggravent la confusion, sont paralysés devant les provocateurs, les émeutiers dont la force croît de jour en jour. Sur le front, les armées se débandent. Lénine est arrivé de Zurich. Il a traversé l’Allemagne en wagon plombé avec une trentaine de ses compagnons. Il prêche aussitôt la révolution à outrance, ridiculise Kerensky. A ses côtés, on voit surgir un frénétique et sinistre personnage, le Juif Bronstein, dit Trotsky, fils d’un rabbin. Le ministère Kerensky se désagrège lamentablement. Deux millions de soldats déserteurs errent sur les routes. Les paysans sont en pleines jacqueries, pillant ou tuant leurs propriétaires. La faim sévit partout, les communications sont pratiquement interrompues. Après plusieurs mois d’un désordre général, Lénine et Trotsky, les 24 et 25 octobre, font leur coup d’État à Pétrograd, avec leurs bandes armées. Le Palais d’Hiver où s’était réfugié le gouvernement Kerensky, est emporté d’assaut. Le Congrès des Soviets acclame les deux nouveaux dictateurs rouges. Le bolchevisme est au pouvoir. Pour qu’il pût ainsi triompher, il a donc fallu les terribles malheurs d’une interminable guerre, la décomposition d’un immense empire, l’abdication de tous les cadres sociaux et militaires, l’effroi semé par une tourbe d’agitateurs et d’hommes de main. Le bolchevisme s’élève par le cynisme de ses chefs, qui se sont toujours déclarés prêts aux pires félonies, aux plus sanglantes violences. Il ne pourra s’établir que sur des monceaux de cadavres et grâce à la passivité du peuple slave. L’un de ses premiers actes est une indigne trahison. La Russie, qui a entraîné ses alliés occidentaux dans la guerre et qui depuis des mois ne se bat pour ainsi dire plus, consacre sa défection en entamant dès le début de décembre, avec l’Allemagne, les pourparlers d’une paix séparée qui sera signée à Brest-Litovsk. L’abandon des bolcheviks nous vaudra les redoutables offensives allemandes du printemps 1918 qui nous mettront à deux doigts de notre perte et nous coûteront des dizaines de milliers de morts. Le bolchevisme, création juive On ne doit jamais oublier, pour bien comprendre le bolchevisme, à la fois chimérique et férocement acharné contre tout l’ordre chrétien, que les gredins et les visionnaires sanglants qui composent ses cadres sont juifs pour la plupart. On a déjà signalé le judaïsme absolu de son prophète Karl Marx, de Trotsky, son chef militaire, celui, mitigé, de Lénine. Presque tous les précurseurs des Soviets, mencheviks, socialistes révolutionnaires, anarchistes sont juifs. Dans les derniers temps du tsarisme, on comptait 80 % de Juifs dans l’extrême-gauche de la jeunesse universitaire. Parmi cette même jeunesse, tous les professeurs juifs, tolérés par un pourvoir défaillant, sèment l’idéologie marxiste. C’est un Juif, Nakhamkers, qui, le 1er mars 1917, crée dans chaque unité de l’armée, des soviets de soldats, supprime toute hiérarchie, toute discipline, et consacre ainsi le pire désordre. Parmi les 224 bolcheviks qui de Suisse ont suivi Lénine en Russie, soit par le wagon plombé, soit par d’autres convois, on compte seulement 24 Russes, 30 Polonais, Arméniens, Géorgiens et 170 Juifs ! En août 1917, à la présidence du parti bolcheviste, se trouvent 6 Juifs pour 10 membres. Parmi les principaux vainqueurs de la Révolution d’octobre, on relève les noms des Juifs Zinovieff, Kameneff, Uritsky, Steckloff, Martoff, Souchanoff, Ioffé, Sagerski, Bogdanoff, Larin, Kamkoff, Ganetzky, Dan, Parvas-Helphand, Abramovitch, Axebrod, Garin, Bobroff, Kiasanoff, Piatnisky, Maklakowsky, pseudonymes plus ou moins russifiés, qui cachent des noms judéo-allemands, Apfelbaum, Krochmal, Silberstein, Katz, Goldberg, Goldenbach, Rein, Natansohn, etc. Ces échappés de ghetto de Galicie et de Volhynie deviennent du jour au lendemain des personnages de premier plan du nouveau régime. <strong>...</strong></p>Rebatet Lucien Romain - Une histoire de la musiqueurn:md5:e40f665458e6b3edc1a39dba3f60d11d2012-02-25T02:06:00+00:002017-03-08T18:57:54+00:00balderRebatet Lucien RomainMusique <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Rebatet_Lucien_Romain_-_Une_histoire_de_la_musique.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Rebatet Lucien Romain (François Vinteuil - François Vinneuil)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Une histoire de la musique</strong><br />
Année : 1969<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Rebatet_Lucien_Romain_-_Une_histoire_de_la_musique.zip">Rebatet_Lucien_Romain_-_Une_histoire_de_la_musique.zip</a><br />
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Avant-Propos. Les histoires de la musique sont des encyclopédies collectives, ou bien des manuels dus à un seul signataire d'une réputation confirmée. Dans le premier cas, les différents chapitres sont répartis entre des spécialistes pleins de savoir, fort passionnants dans le détail de leur érudition, mais plus ou moins déformés par leurs travaux, dont les thèses se heurtent les unes les autres avec des discordances déroutantes pour le lecteur, qui voit le même musicien exalté ou dénigré selon les rubriques où son nom parait. <strong>...</strong></p>Rebatet Lucien Romain - Pourquoi les roumains sont antisémitesurn:md5:97af85e21c7bbe4d734d25badb040ea62012-02-25T01:56:00+00:002017-03-08T18:58:01+00:00balderRebatet Lucien RomainHébraïsmeJe suis partoutRoumanieVichy <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Rebatet_Lucien_Romain_-_Pourquoi_les_roumains_sont_antisemites.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Rebatet Lucien Romain (François Vinteuil - François Vinneuil)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Pourquoi les roumains sont antisémites</strong><br />
Année : 1939<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Rebatet_Lucien_Romain_-_Pourquoi_les_roumains_sont_antisemites.zip">Rebatet_Lucien_Romain_-_Pourquoi_les_roumains_sont_antisemites.zip</a><br />
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Je Suis Partout, 17 février 1939. La Roumanie n’a pas toujours eu des Juifs Il y a en clinique certains cas types de maladies que les médecins offrent en exemples à leurs étudiants. S’il existait un enseignement pour la question juive, la Roumanie pourrait y jouer à la perfection ce rôle. Il n’est certainement pas de pays où l’on puisse suivre plus clairement les étapes de l’invasion juive et de l’antisémitisme, accompagnés de phénomènes qui se reproduisent avec une singulière régularité. La Roumanie se confond aujourd’hui avec le grand réservoir juif de l’Europe orientale. Elle est même un de ses principaux secteurs. On se figure communément que le Juif y est fixé depuis un temps immémorial. La vérité est tout autre. Après avoir subi sous toutes ses formes la domination étrangère, soutenu d’innombrables luttes, les deux principautés de Moldavie (Roumanie du Nord) et de Valachie (Roumanie du Sud) menaient, au XIXe siècle, une existence obscure et patriarcale, apparemment peu propre à attirer les émigrants israélites. D’autant que la Turquie se réservait le monopole de tous les échanges commerciaux sur cette terre de son empire, en chargeait des agents grecs ou arméniens. Les recensements de l’époque, en effet, donnent environ 3300 Juifs pour la Valachie (population totale d’environ 1 650 000 habitants). La Moldavie, plus proche des grands centres juifs, en comptait à peu près 12 000, soit 2 % de sa population, ceci en l’année 1803. Encore faut-il noter que beaucoup de ces Juifs étaient arrivés assez récemment, après le partage de la Pologne. Deux des grands spécialistes de la question, et qui l’ont traitée chacun d’un côté différent de la barricade, l’antisémite roumain Verax, dans son livre étonnant de précision et de pittoresque (Bucarest 1903), et le Juif Bernard Lazare (Cahiers de la Quinzaine, Paris 1902) sont d’accord au moins sur ces chiffres linéaires. Bernard Lazare fait bien état de ces familles juives venues de Hongrie ou de Russie, chassées par les persécutions, au cours du Moyen Age. On conviendra que leur descendance, dans l’énorme population juive de la Roumanie actuelle, est une imperceptible minorité. Les principautés bénéficient d’un commencement d’émancipation en 1821, après la guerre de l’indépendance grecque qui marque le réveil des chrétiens de l’Europe orientale. Elles obtiennent surtout de la Turquie la liberté de commerce. Aussitôt, une nombreuse émigration de Juifs polonais s’infiltre en Moldavie. Nous en trouvons déjà 37 000 en 1831. Au recensement de 1839, on en compte 118 922, pour une population de douze cent mille chrétiens. En Valachie, ils n’étaient encore que 6000. La demi-libération de 1821 rendait le Roumain maître d’une terre exceptionnellement favorisée : magnifique grenier à grains, cheptel immense, forêts inépuisables, riches gisements minéraux. La transformation rapide de l’outillage agricole, du vêtement, de l’habitation, devaient accroître l’essor du pays. Mais le Juif fraîchement émigré possédait, par son expérience du négoce, un avantage considérable sur le chrétien. Il allait être le premier et presque le seul bénéficiaire de l’ascension matérielle du pays. La Roumanie ne s’est pas encore relevée de ce handicap centenaire. Sa pauvreté en capitaux nationaux, paradoxale dans un pays aussi bien pourvu de richesses naturelles, le terrible encombrement des professions libérales où l’élite s’est rejetée et où elle rencontre encore la concurrence juive, sont inséparables du problème juif. Les Juifs, dès leur entrée, avaient mis la main sur l’artisanat et le petit commerce naissants : Ils se concentrent dans les villes d’année en année plus peuplées, tandis que les nouveaux arrivants, selon le processus classique, s’installent d’abord dans les bourgades et établissent parmi les paysans leur dangereux système de prêts usuraires. <strong>...</strong></p>Rebatet Lucien Romain - Les tribus du cinéma et du théâtreurn:md5:cc7cbed0fc7a2080e2de35001154cff42012-02-25T01:52:00+00:002022-01-10T22:39:15+00:00balderRebatet Lucien RomainCinémaEx-LibrisEx-Libris LenculusHébraïsmeLes juifs en FranceThéâtre <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Rebatet_Lucien_Romain_-_Les_tribus_du_cinema_et_du_theatre.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Rebatet Lucien Romain (François Vinteuil - François Vinneuil)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les tribus du cinéma et du théâtre Les juifs en France 4</strong><br />
Année : 1941<br />
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CHAPITRE PREMIER. COMMENT LES JUIFS ONT EU LA VOCATION DU CINÉMA. Je vais aborder ici l’un des chapitres les plus classiques, les plus ahurissants aussi de l’invasion juive en France. Pour montrer avec une clarté suffisante les étapes de cet incroyable fléau, il est nécessaire, je crois, de déborder un peu le cadre de cette collection. Le cinéma est essentiellement international Juifs qui l’ont saccagé chez nous appartenaient à l’espèce la plus insaisissable, la plus vagabonde. Il faudra franchir de temps à autre les frontières de notre pays pour bien découvrir la trame de leurs méfaits. Le cinéma a vu le jour en France. Ses précurseurs s’étaient nommés Étienne Marey, magnifique chercheur au nom trop peu connu, Émile Reynaud, Démeny, Le Prince. Au printemps 1895, les frères Auguste et Louis Lumière faisaient breveter le premier appareil de projection, et donnaient en décembre suivant, boulevard des Capucines, la première représentation publique de cinéma, devançant de six mois Edison qui poursuivait en Amérique des études parallèles aux leurs. On ne doit pas oublier non plus que deux autres pionniers de la photographie animée qui travaillaient à cette époque aux Etats-Unis s’appelaient Eugène Lauste, Parisien de Montmartre, et Jean- Acmé Le Roy, descendant d’émigrés français. Les premiers vulgarisateurs de la découverte, en même temps scénaristes, metteurs en scène, comédiens, opérateurs et exploitants de films ont été Charles Pathé et Léon Gaumont. Le premier artiste véritable du cinéma fut le délicieux bricoleur-poète Georges Méliès, créateur du premier studio et d’innombrables et féeriques truquages. Le premier commanditaire de films fut un honnête industriel du nom de Grivolas, offrant un million à Charles Pathé, qui avait débuté dans des baraques de fêtes foraines. Jusque-là, nous n’avons été qu’entre Aryens. Dans leur Histoire du Cinéma1, si vivante et si prodigieusement documentée, Maurice Bardèche et Robert Brasillach nous ont fait le tableau le plus pittoresque de l’entrée du Juif dans le « septième art » La chose se passa en Amérique aux alentours de 1900. Il y avait dans les ghettos de New-York et de Chicago quelques petits Juifs du nom de Marcus Loew, Adolphe Zukor, William Fox, Cari Laemmle, nomades débarqués d’autres ghettos obscurs de l’Europe orientale ou des impasses les plus sordides de Withechapel. Ils étaient tous fripiers, brocanteurs ou revendeurs de fourrures maquillées, plus ou moins receleurs ou carambouilleurs. Ces faméliques vagabonds étaient prêts à n’importe quoi. Ils n’avaient rien à perdre, ni réputation ni fortune. Ils tenaient l’Amérique pour la terre de tous les miracles. Avec les bénéfices de quelques petites filouteries et quelques centaines de dollars d’emprunt, ils se jetèrent frénétiquement sur la nouvelle découverte. On a beaucoup parlé de leur hardiesse. Le mot d’astuce conviendrait mieux. Les Lumière, Edison considéraient au plus leur admirable invention comme une curiosité scientifique, intéressante sans doute pour les laboratoires, mais dont le succès de spectacle serait bien vite épuisé. Edison, il est vrai, devait revenir de son erreur et défendre ses prérogatives avec une âpreté au gain fort remarquable. Mais les brocanteurs juifs étaient déjà solidement installés dans la place, plusieurs fois millionnaires et maîtres des premiers « circuits » de salles obscures. <strong>...</strong></p>Rebatet Lucien Romain - Les mémoires d'un fasciste - Tome IIurn:md5:d8438fecc95010fff16e5a6a8ed7de562012-02-25T01:09:00+00:002017-03-08T18:58:25+00:00balderRebatet Lucien RomainFascismeFranceHébraïsmeTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Rebatet_Lucien_Romain_-_Les_memoires_d_un_fasciste_-_Tome_II.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Rebatet Lucien Romain (François Vinteuil - François Vinneuil)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les mémoires d'un fasciste - Tome II 1941 - 1947</strong><br />
Année : 1976<br />
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Comme nous l'avons expliqué dans la présentation des Décombres, l’œuvre proprement autobiographique de Lucien Rebatet se répartit en carnets, en cahiers de Journal, généralement inédits, et en textes de souvenirs personnels et de choses vues, inédits ou non, qu'il semble avoir eu l'intention de publier en un tout sous le titre général : « Les mémoires d'un fasciste ». Dans ce tout, il comptait vraisemblablement faire entrer les 536 premières pages de l'ancienne édition des Décombres. Nous avons repris Les mémoires d'un fasciste comme titre général, publié Les Décombres dans le Tome I. Les neuf dixièmes de ce Tome II, entièrement inédits, ont été rédigés par Lucien Rebatet à partir de décembre 1970. Ils reprennent à peu près là ou l'auteur s'était arrêté à la fin du Tome I, c'est-à-dire à l'automne 1940, et couvrent les années 1941 à 1944. La mort de Lucien Rebatet, survenue brutalement le 24 août 1972, l'empêcha de mener plus loin son entreprise. Ses Mémoires proprement dites s'arrêtent donc à l'automne 1944. Fort justement, à notre avis, Madame Rebatet y a ajouté trois textes : en premier lieu, une large part d'un article sur Céline publié dans le numéro 3 de l'Herne (1963), dans lequel Lucien Rebatet évoque l'arrivée de « Ferdinand » à Sigmaringen en novembre 1944, son séjour et son départ pour le Danemark quatre mois plus tard. En second lieu trois pages de notes extraites d'un manuscrit inédit consacré à la genèse des Deux étendards (auquel l'auteur fait allusion à la page 113) et se rapportant à la fin de 1944, au début de 1945 et au 8 mai de la même année, date à laquelle Lucien Rebatet se constitua prisonnier des troupes françaises à Feldkirch. Enfin l'article célèbre On ne fusille pas le dimanche, publié par Jean Galtier-Boissière en 1953 dans le numéro 21 du Crapouillot, et dans lequel Lucien Rebatet évoque son procès, sa condamnation à mort et les cent quarante et un jours de chaînes qu'il fit avant d'être gracié le 9 avril 1947. Jean-Jacques PAUVERT <strong>...</strong></p>Rebatet Lucien Romain - Les Juifs et l'antisémitismeurn:md5:d5a70f09f877d5d9974a685c999ad0f02012-02-25T01:05:00+00:002017-03-08T18:58:39+00:00balderRebatet Lucien RomainHébraïsmeJe suis partoutVichy <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Rebatet_Lucien_Romain_-_Les_Juifs_et_l_antisemitisme.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Rebatet Lucien Romain (François Vinteuil - François Vinneuil)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les Juifs et l'antisémitisme</strong><br />
Année : 1938<br />
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PREFACE. Le texte présenté ici n'a, à notre connaissance jamais été réédité depuis sa première parution dans les deux numéros spéciaux du journal Je Suis Partout. Le premier numéro, qui date du 15 avril 1938, était sobrement intitulé "Les Juifs". C'est de sa deuxième page que nous avons tiré le titre de ce livre. Le second, intitulé "Les Juifs et la France", date du 17 février 1939. Lucien Rebatet en avait été le principal rédacteur. L'article d'Alain Laubraux ("Scandales")e t celui de Charles Lesca sur la situation en Amérique latine ont été intégrés dans le présent ouvrage. Les articles de Robert Brasillach et de Pierre-Antoine Cousteau font I'objet d'une publication à part, réunis dans une brochure, sous un titre emprunté à un des articlesd e RobertB rasillach: "La Question juive". Lucien Rebatet, fameux journaliste et écrivain, a connu quelques déboires après la défaite de I'Allemagne du fait de son engagemenpt olitique. Il fut arrêté en Autriche le 8 mai 1945 sur mandat d'arrêt du juge Zoussman et condamné à mort le 23 novembre 1946 pour ses écrits. Grâcié par Vincent Auriol le l2 avril 1947 en compagnie de Pierre-Antoine Cousteau, sa condamnation fut commuée en peine de travaux forcés à perpétuité. Le 16 juillet 1952, il fut finalement libéré, après sept ans et deux mois de prison. <strong>...</strong></p>