Histoire Ebook - Vacher de Lapouge GeorgesRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearVacher de Lapouge Georges - Race et milieu social Essais d'anthroposociologieurn:md5:bbd8444619183a641040e17c9d7c78442012-11-30T15:18:00+00:002017-03-07T14:11:47+00:00balderVacher de Lapouge GeorgesEugénismeRacialismeSociologie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Vacher_de_Lapouge_Georges_-_Race_et_milieu_social_Essais_d_anthroposociologie.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Vacher de Lapouge Georges</strong><br />
Ouvrage : <strong>Race et milieu social Essais d'anthroposociologie Système et faits sociaux</strong><br />
Année : 1909<br />
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Tous les êtres vivants sont soumis à la sélection naturelle l'humanité est soumise en outre aux sélections sociales, c'est-à-dire à l'influence du milieu créé par elle-même. L'étude de l'homme comprend donc une branche de plus que celle des autres, animaux; l'anthroposociologie, qui a pour objet l'étude des réactions réciproques de la race et du milieu social. En choisissant ces derniers mots pour titre de ce recueil, j'ai voulu attirer l'attention du public sur l'étendue très générale de l'anthroposociologie, dont il a l'habitude d'associer le nom à certaines questions particulières, sans se rendre compte de l'immensité de son domaine. Pour ce qu'on appelait autrefois les gens du monde, et même pour une large partie des scientistes, l'anthroposociologie est la théorie de la supériorité de la race aryenne, de la race demi-divine aux yeux de ciel et aux cheveux de lumière, comme l'économie politique est la théorie du libre-échange. Cette notion un peu courte a été vulgarisée par les Houzé, les Finot, les Manouvrier, les Chamberlain, et autres caricaturistes de l'anthroposociologie. Si on la rapproche de la définition, que nous venons de rappeler, de la science elle-même; on voit combien elle est éloignée de la vérité. Les réactions réciproques de la race et du milieu. sont infiniment plus compliquées chez l'homme que chez les autres êtres. La première raison de ces complications est la complexité même du milieu. Le milieu se compose, en ce qui concerne les animaux et les plantes, d'un certain nombre d'éléments : la composition chimique du sol, de l'eau, l'intensité, l'époque et la durée des vents, des pluies, ou de la sécheresse, la température, sa répartition annuelle, ses inégalités, l'insolation, l'altitude, la latitude, la présence ou l'absence, la rareté ou l'abondance de certaines plantes, de certains animaux qui constituent la base de la nourriture, et de ceux qui sont des concurrents, des parasites ou des destructeurs. La puissance vitale et la fécondité de l'espèce ou de l'individu, certaines qualités biologiques, intrinsèques, les circonstances accidentelles des rencontres, interviennent comme causes compensatrices ou conniventes, et de la balance résulte la survie ou l'extermination de l'individu et de sa race, mais. ni la plante ni l'animal ne peuvent modifier ou créer leur milieu. L'homme est beaucoup moins soumis aux contingences du milieu physique, et connaît des moyens de le modifier. Il a des vêtements, des habitations; des procédés de chauffage; la production régulière des vivres est assurée par la culture; il a supprimé les grands destructeurs et apprend à se défendre contre les infiniment petits. Son intelligence le soustrait ainsi dans une large mesure aux causes naturelles de sélection; mais les dangers auxquels il échappe à l'égard du milieu naturel ne sont rien auprès de ceux du milieu social qu'il se crée. La concurrence avec ses semblables est telle, que chaque individu, est directement ou indirectement en compétition sur quelque point avec presque tous les autres, même avec ceux dont il est séparé par l'entière épaisseur du globe. L'existence en société le soumet à une infinité de causes de sélection, plus dangereuses encore pour l'espèce que pour l'individu. Je ne reviendrai pas sur le caractère presque constamment péjoratif des sélections politiques, militaires, religieuses, économiques, ce que j'en ai dit dans mon livre sur les Sélection sociales est suffisant. Je rappellerai que l'assistance et la solidarité, qui paraissent de nature à corriger les effets de la sélection, les corrigent seulement à l'égard de l'individu, mais les aggravent à l'égard de l'espèce; au point, de constituer un des pires dangers dont soit menacé l'avenir physique et mental de l'humanité. <strong>...</strong></p>Vacher de Lapouge Georges - Du patrimoine En droit romain & en droit françaisurn:md5:0308701a37ce30b85e266dc5b88494b52012-11-30T14:52:00+00:002017-03-07T14:11:51+00:00balderVacher de Lapouge GeorgesFranceRome <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Vacher_de_Lapouge_Georges_-_Du_patrimoine_En_droit_romain_et_en_droit_francais.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Vacher de Lapouge Georges</strong><br />
Ouvrage : <strong>Du patrimoine En droit romain & en droit français (Théorie du patrimoine)</strong><br />
Année : 1879<br />
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Définition. On entend par patrimoine l'universalité juridique des biens d'une personne. L'exacte notion du patrimoine est subordonnée à la détermination précise de chacun des mots employés et de sa valeur scientifique : cette détermination doit donc nous occuper tout d'abord. <strong>...</strong></p>Vacher de Lapouge Georges - Les sélections socialesurn:md5:9ec6c18e864ce26b38d513971a1691792012-11-27T22:07:00+00:002017-03-07T14:11:56+00:00balderVacher de Lapouge GeorgesAlgérieAllemagneAngleterreChristianismeCivilisationsDrogueEducationEgypteEspagneEugénismeEuropeFranceGrèceHébraïsmeIslamPhénicienRacialismeRomeSexualitéTaxinomie racialeÉtats-Unis <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Vacher_de_Lapouge_Georges_-_Les_selections_sociales.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Vacher de Lapouge Georges</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les sélections sociales Cours libre de science politique Professé à l'université de Montpellier (1888-1889)</strong><br />
Année : 1896<br />
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Ce volume est le développement d'un travail publié sous le même titre en 1887, dans la Revue d'Anthropologie et en brochure. J'avais résumé dans ce mémoire les leçons consacrées dans mon cours de 1886-87 à la question des sélections sociales. J'ai repris cette question pour sujet de l'année 1888-89. C'est le texte de ces nouvelles leçons qui paraît aujourd'hui. Les leçons de 1886 avaient été faites et écrites sous la pression de l'évidence. Cette évidence ne s'imposait pas au même degré à tous les esprits. On m'a reproché le manque d'historique et de documents. <strong>...</strong></p>Vacher de Lapouge Georges - L'Aryen Son rôle socialurn:md5:0647df53a3aea5e1100f879e8f24a1b72012-11-26T22:54:00+00:002017-03-07T14:13:41+00:00balderVacher de Lapouge GeorgesEugénismeEuropeRacialismeSociologie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Vacher_de_Lapouge_Georges_-_L_Aryen_son_role_social.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Vacher de Lapouge Georges</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'Aryen Son rôle social Cours libre de science politique Professé à l'université de Montpellier</strong><br />
Année : 1898<br />
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Ce volume reproduit la sténographie de mon cours de 1889-90. J'ai passé près de deux ans à le transcrire et le documenter, remplaçant d'une manière constante les références du manuscrit par les plus récentes. Si grande que soit la masse des matériaux nouveaux, je n'ai eu presque rien à changer au fond ni à la forme. J'ai seulement adouci l'emphase oratoire de certains passages. Ce qui impressionne le plus au cours gagne quelquefois à être écrit autrement. Les obstacles apportés à la diffusion de mes idées n'auront servi qu'à les faire venir au jour avec des preuves plus complètes à l'appui. De ces idées, beaucoup ont paru, quand je les émettais en chaire, des boutades d'un esprit paradoxal. Il a fallu peu d'années pour que la plupart se trouvassent vérifiées par la marche des événements, qui se précipitent avec une rapidité foudroyante, substituant un monde nouveau à· celui de notre jeunesse. Plus d'une page paraîtra écrite sous la pression de faits récents, qui fut simplement arrachée à un mémoire antérieur, lue et commentée au cours. L'avenir, et plus prochain qu'on ne pense, se chargera de vérifier d'autres thèses hardies et de réaliser d'autres prévisions, trop contraires à l'état de choses, actuel mais croulant, pour être acceptées autrement que comme des paradoxes par des gens nourris du passé. Si j'ai le temps de le faire, je publierai encore le cours de 1890-91, Le Sémite, son rôle social. Je me demande cependant si, au bout de dix ans, il n'est pas meilleur de récrire que de rajuster un livre. Cela, en tout cas, est plus court. .l'ai d'ailleurs autre chose à publier d'abord : le progrès de l'âge et des infirmités me presse. Je voudrais pouvoir faire pour l'éthique sélectionniste ce que j'ai fait pour la politique. Un premier volume, Contre la morale, attend déjà depuis Cinq ans. Il comprend l'étude historique et critique des prescrits et des prohibitions des diverses morales ; il paraîtra bientôt. Le second, La plus grande conscience, contiendra l'exposé des prescriptions de la morale sélectionniste. Comme celui des Sélections, l'esprit du présent livre est moniste et sélectionniste. Le lecteur pourra retenir les faits sans retenir la doctrine, c'est à lui d'en juger comme il lui conviendra. Je dois d'ailleurs faire remarquer combien les idées sélectionnistes ont fait de progrès, même en France, depuis la publication des Sélections. En Amérique, on est passé déjà aux applications. Chez nous, on va moins vite, mais on commence à s'émouvoir. Ceux qui parlent d' Homo Alpinus et de sélections sociales ne comprennent pas tous ni toujours ce qu'ils disent, mais ils sentent que de ce côté peut se trouver la solution des inquiétants problèmes de l'heure présente. Le trouble des idées est profond. La faillite de la Révolution est éclatante. La ploutocratie laisse tomber son masque démocratique, et on se demande si la démocratie est possible. Sous le nom de République, l'Empire continue, et l'on se demande si les formes politiques valent contre le tempérament des peuples. Le conflit des races commence ouvertement, dans les nations et entre les nations, et l'on se demande si les idées de fraternité, d'égalité des hommes n'allaient point contre des lois de nature; On commence à se douter que les sentiments ont juste une valeur sentimentale, que l'évolution des peuples est régie par des lois inflexibles. Un grand changement s'annonce et ce n'est pas le cours de Rhétorique sociale du Collège de France qui rendra leur force aux idées du Contrat social et de l'Encyclopédie. Demain, il y aura deux camps en présence : celui des écoles métaphysiques, religieuses ou anticléricales, et celui des écoles scientifiques, dont le sélectionnisme est pour le moment l'expression bien imparfaite encore, mais la plus adéquate. La science sociale s'intègre. Elle naît par morceaux, comme toute science. Elle est loin d'être au point où l'on pourra en faire la philosophie. Qui oserait faire la philosophie de la chimie, science déjà plus parfaite et centenaire? On ose pourtant faire de la sociologie, c'est-à-dire de la philosophie de la science sociale, mais on commence à avoir honte de l'oser, comme on aurait honte de parler aujourd'hui d'alchimie. Il est trop tôt, et surtout trop tard. La phase métaphysique est finie, les fantaisies ne sont plus de mise. L'économique avance, l'histoire comparée des institutions progresse, l'anthropologie appliquée commence à jeter un peu de lumière sur les causes naturelles des échecs politiques des deux derniers siècles. C'est de ce côté que doivent porter les efforts. Après l'économique, l'anthropologie est venue resserrer le cercle qui étreint la prétendue liberté humaine : nous sommes loin du temps de Rousseau ! Par ces sciences nous apprenons au moins ce qui est impossible. Cela nous force à limiter nos ambitions et nous donnera sans doute plus tard le moyen de réaliser le possible. Il est inutile de se heurter avec obstination aux lois naturelles. Vouloir les supprimer est une pensée d'enfant, mais les connaître est apprendre à les réaliser. L'art politique viendra de la science. En vain l'on pourra multiplier les chaires et les sophistes pour la défense des préjugés de l'autre siècle. Le passé est passé, ce qui est mort est mort. La politique sentimentale idéaliste du christianisme a vécu. Aux fictions de Justice, d'Egalité, de Fraternité, la politique scientifique préfère la réalité des Forces, des Lois, des Races, de l'Evolution. Malheur aux peuples qui s'attarderont dans les rêves! En vain l'on essaie d'entraver les recherches qui tendent à découvrir les lois scientifiques de l'évolution sociale. Les ouvriers sont à l’œuvre, sur tout le globe, et nul, qu'il soit homme ou coterie, n'a la main si longue qu'elle puisse s'abattre sur tous. On peut détruire ou laisser détruire des documents scientifiques, fermer un cours, empêcher la publication d'un livre, supprimer au besoin un savant, on ne supprime pas la science. Rennes, La Chapelle-Boby, 20 août 1898. <strong>...</strong></p>