Histoire Ebook - Vaquié JeanRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearVaquié Jean - Bénédictions et malédictionsurn:md5:b943a3be6d118bc67cad670db209c5c32019-01-07T15:37:00+00:002019-01-07T15:42:30+00:00balderVaquié JeanCatholiqueProphétie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Vaquie_Jean_-_Benedictions_et_maledictions.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Vaquié Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>Bénédictions et malédictions Prophéties de la révélation privée</strong><br />
Année : 1987<br />
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Introduction. « On fait peu de cas de ce que j’ai révélé... » Le 19 septembre 1901, jour anniversaire de l’apparition de la Salette (19 septembre 1846), la Sainte Vierge, s’adressant à Marie-Julie Jahenny, la célèbre stigmatisée des environs de Nantes, lui fit la communication suivante : « J’ai encore aujourd’hui à mes yeux la trace des larmes que j’ai répandues à pareil jour, en voulant apporter à mes enfants la bonne nouvelle s’ils se convertissaient, mais la triste nouvelle s’ils persistaient dans leurs impiétés... On fait peu de cas de ce que j’ai révélé... « Voilà l’heure où vont s’accomplir les grandes promesses que les chefs de l’Eglise ont méprisées. Ils n’ont pas voulu de lumières ! De tout cela j’ai bien souffert. La douleur, en ce moment, oppresse mon coeur... « Mes enfants, quand je me rappelle ! Depuis le jour où j’ai apporté, sur la sainte montagne, à la terre menacée, mes avertissements... Quand je me rappelle la dureté avec laquelle on a reçu mes paroles ! <strong>...</strong></p>Vaquié Jean - Réflexions sur les ennemis et la manœuvreurn:md5:dba81b766777dd741ae7b401d2e898652012-11-21T15:34:00+00:002017-03-07T14:34:32+00:00balderVaquié JeanCatholiqueChristianisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Vaquie_Jean_-_Reflexions_sur_les_ennemis_et_la_manoeuvre.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Vaquié Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>Réflexions sur les ennemis et la manœuvre</strong><br />
Année : 1986<br />
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Avertissement. Il ne s'agit ici que de RÉFLEXIONS, c'est-à-dire de notes, souvent hâtives, les unes récentes, les autres anciennes, inspirées par les circonstances, mais toujours destinées aux militants de droite. Que l'on n'y cherche ni plan serré, ni démonstrations complètes. Il ne s'agit pas d'un traité. Le raisonnement général est homogène mais il n'est pas développé d'une manière professorale. Ce sont plutôt des affirmations que l'on admettra ou que l'on n'admettra pas. Nous les croyons cependant de nature à éclairer les amis qui luttent aujourd'hui dans une phase défavorable et contre un ennemi très supérieur en nombre et en moyens d'action. Jean Vaquié, 1986. <strong>...</strong></p>Vaquié Jean - L'influence Rose-Croix dans les milieux de la Traditionurn:md5:73edea2970c573c965795420893266ef2012-11-21T15:29:00+00:002017-03-07T14:34:39+00:00balderVaquié JeanCatholiqueRose-CroixTradition <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Vaquie_Jean_-_L_influence_Rose-Croix_dans_les_milieux_de_la_Tradition.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Vaquié Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'influence Rose-Croix dans les milieux de la Tradition</strong><br />
Année : 19**<br />
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1- L’IMPORTANCE DES LOGES ILLUMINISTES ROSE+CROIX DANS LA PRISE DE CONTRÔLE DE LA FRATERNITE SAINT PIE X : ASPECTS HISTORIQUES DE LA FRATERNITÉ DE LA ROSE+CROIX PAR JEAN VAQUIÉ, Les Rose+Croix appartiennent aux Hautes loges maçonniques. Cette partie (illuministe) dite « de droite » de la Franc-maçonnerie dirige la branche (rationaliste) dite « de gauche » : les Hautes Loges (à connotation religieuse et très traditionnelle) exercent une domination (par influence de cercles) sur les Basses Loges progressistes, laïcardes et très engagées dans la promotion de l’idéologie des droits de l’homme ou des fondements philosophiques de la doctrine de la liberté religieuse. Le fonctionnement de ces cercles maçonniques présente une certaine complexité, mais quelques grands principes se dégagent, dont celui de ce rapport de domination des Hautes Loges traditionnelles sur les Basses Loges rationalistes. Les loges rationalistes accomplissent le Solve, alors que les loges traditionnelles illuministes réalisent le Coagula qui le suit chronologiquement. Jean Vaquié a produit un texte sur les Manifestes rosicruciens, dont voici quelques passages synthétiques. « Historiquement la "rose-croix" a été choisie comme pavillon par une société de pensée dont nous allons voir les premières manifestations et dont le dynamisme est tout entier dirigé vers la réformation universelle, c'est à dire dans le sens du renversement des institutions historiques chrétiennes et dans le sens de leur remplacement par autre chose. Autre chose qu'il s'agit précisément d'élaborer. Le pavillon rosicrucien est chrétien dans ses apparences, mais la marchandise qu'il couvre ne l'est pas. Trois coups de clairons teutoniques ont brusquement annoncé, dans les premières années du XVIIè siècle, l'existence, que l'on soupçonnait vaguement d'ailleurs, de la Fraternité de la Rose-Croix. Ces trois coups de clairons, ce sont les trois Manifestes rosicruciens que nous allons étudier maintenant. Et s'ils prennent place dans notre enquête sur les doctrines révolutionnaires, c'est précisément parce qu'ils ont inauguré, sur un certain plan tout au moins, la phase de la réformation politique. La "Réformation" luthérienne avait été surtout religieuse. La "Réformation Universelle" qu'entreprennent bruyamment les frères de la Rose-Croix s'étend à la philosophie, à la science et à la politique des États. Examinons tout cela. Quels sont donc ces trois manifestes dont le ton fut si tonitruant ? Le premier s'intitule la Fama Fraternitatis et date de 1614. Le second est la Confessio Fraternitatis et il a été publié l'année suivante, 1615. Le troisième a pour titre Les Noces Chymiques de Christian Rosenkreutz, édité en 1616. » <strong>...</strong></p>Vaquié Jean - Les origines et les finalités surnaturelles de la monarchie françaiseurn:md5:8c6d4fed5cd8a8fa62ee59dd43a791e02012-11-21T15:26:00+00:002017-03-07T14:34:45+00:00balderVaquié JeanCatholiqueFrance <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Vaquie_Jean_-_Les_origines_et_les_finalites_surnaturelles_de_la_monarchie_francaise.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Vaquié Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les origines et les finalités surnaturelles de la monarchie française</strong><br />
Année : 1989<br />
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Je suis donc chargé, Mesdames et Messieurs, de faire un exposé sur les origines et les finalités surnaturelles de la monarchie française. Vous ne serez donc pas étonnés que cet exposé comprenne deux parties : 1 - Les ORIGINES surnaturelles de notre monarchie nationale. 2 - Les Finalités surnaturelles de ces mêmes institutions monarchiques. <strong>...</strong></p>Vaquié Jean - Les Manifestes Rosicruciensurn:md5:b8b63e0977859160670e0aa669cea49e2012-11-21T15:24:00+00:002017-03-07T14:34:50+00:00balderVaquié JeanCatholiqueRose-Croix <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Vaquie_Jean_-_Les_Manifestes_Rosicruciens.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Vaquié Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les Manifestes Rosicruciens</strong><br />
Année : 19**<br />
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L'adjectif "rosicrucien" qualifie tout ce qui concerne la Rose-Croix. Et le substantif "rosicrucianisme" désigne la doctrine en usage dans la Rose-Croix. Mais qu'est-ce donc que cette mystérieuse et fameuse Rose-Croix ? Si l'on s'en tient à la simple emblématique, la Rose-Croix est l'association d'une rose et d'une croix. C'est une rose placée au centre d'une croix, originellement au centre d'une croix latine, par la suite au centre de toutes sortes de signes cruciformes. Quoi de plus chrétien que la rose et que la croix ? La rose est l'un des emblèmes de la Mère de Dieu, laquelle, dans les litanies qui lui sont consacrées, est saluée du nom de "Rose Mystique", avec le sens, simple et évident, de beauté cachée. Les éléments constitutifs de l'emblème rosicrucien sont donc d'origine chrétienne, cela ne fait aucun doute. Mais c'est l'association de ces deux éléments constitutifs qui a donné lieu à une nouvelle convention. Nouvelle convention qui est beaucoup moins chrétienne que les éléments constitutifs pris isolément. Or, de fait, la rose et la croix associées recouvrent toujours une intention de détournement du christianisme institutionnel. Historiquement la "rose-croix" a été choisie comme pavillon par une société de pensée dont nous allons voir les premières manifestations et dont le dynamisme est tout entier dirigé vers la réformation universelle, c'est à dire dans le sens du renversement des institutions historiques chrétiennes et dans le sens de leur remplacement par autre chose. Autre chose qu'il s'agit précisément d'élaborer. Le pavillon rosicrucien est chrétien dans ses apparences, mais la marchandise qu'il couvre ne l'est pas. Trois coups de clairons teutoniques ont brusquement annoncé, dans les premières années du XVIIè siècle, l'existence, que l'on soupçonnait vaguement d'ailleurs, de la Fraternité de la Rose-Croix. Ces trois coups de clairons, ce sont les trois Manifestes rosicruciens que nous allons étudier maintenant. Et s'ils prennent place dans notre enquête sur les doctrines révolutionnaires, c'est précisément parce qu'ils ont inauguré, sur un certain plan tout au moins, la phase de la réformation politique. La "Réformation" luthérienne avait été surtout religieuse. La "Réformation Universelle" qu'entreprennent bruyamment les frères de la Rose-Croix s'étend à la philosophie, à la science et à la politique des États. Examinons tout cela. Quels sont donc ces trois manifestes dont le ton fut si tonitruant ? Le premier s'intitule la Fama Fraternitatis et date de 1614. Le second est la Confessio Fraternitatis et il a été publié l'année suivante, 1615. Le troisième a pour titre Les Noces Chymiques de Christian Rosenkreutz, édité en 1616. Pour situer dans le temps les Manifestes rosicruciens, il faut se souvenir qu'à l'époque de leur publication (1614- 1616), Luther était un homme du passé récent, mort en 1546 voilà 70 ans, tandis que Cromwel était un homme de l'avenir donc un homme encore inconnu, sa république devant dater de 1653, c'est à dire 37 ans plus tard. Voilà l'encadrement chronologique et événementiel des Manifestes que nous avons maintenant à analyser, sans plus tarder. La fama fraternitatis d'abord, puisque c'est le premier en date. Nous sommes donc en 1614 dans le Wurtemberg, c'est-à-dire entre la province de Bade, qui couvre la Forêt-Noire, et le Royaume de Bavière. Et nous sommes à l'Université de Tübingen. Sur certaines éditions, le titre du premier Manifeste est gravé dans un médaillon entouré de guirlandes à la manière du XVIIè siècle commençant : fama fraternitatis ou confrérie du très louable ordre de la Rose-Croix. 1614. Il n'y a ni nom d'éditeur, ni nom de ville d'origine. Simplement la mention Würtemberg. Et il n'y a pas non plus de nom d'auteur. Mais, mis à part quelques suppositions qui furent rapidement abandonnées, on soupçonna unanimement Valentin Andrea d'être le rédacteur de la Fama. Ce Valentin Andrea était un jeune pasteur luthérien de moins de trente ans, très connu par ailleurs, parce que très dynamique, très remuant et même très aventureux. Fama est un mot latin qui signifie renommée, gloire. Le ton est emphatique, dès le titre et il va le rester jusqu'à la fin. Le document se donne comme une déclaration solennelle qui s'adresse aux Princes et aux autorités de la science : "Nous, frères de la Fraternité de la Rose-Croix, dispensons notre salut, notre amour et nos prières aux régents, aux ordres, aux hommes savants et à tout homme qui lit notre écho dans une intention chrétienne." On va en effet nous exposer une certaine forme du Christianisme. Mais ce sera un christianisme libre, un christianisme insatisfait et frondeur. Bref, ce sera un christianisme révolutionnaire. Le texte retrace les circonstances qui justifient cette solennelle déclaration : "Dieu a présentement favorisé la naissan-ce d'esprits hautement éclairés qui ont pour mission de rétablir dans ses droits l'art (nous dirions la culture, la civilisation) en partie souillé et imparfait, afin que l'homme achève de comprendre à la fois la noblesse et la magnificence qui sont les siennes et sa condition de microcosme, et encore la profondeur de ses possibilités dans la pénétration de sa propre nature". La Fama nous annonce donc une réforme de la philosophie qui va enfin nous aider à comprendre notre état et notre statut d'être humain, état et statut dont l'intelligence profonde nous échappe jusqu'à présent. Et le texte continue : "Or Dieu a gratifié notre siècle par une foule de révélation, par le livre de la nature et par la règle de tous les arts". Autre-ment dit, le progrès qui c'est récemment manifesté dans toutes les sciences annonce une rénovation complète de la civilisation. Voici maintenant la présentation du génial philosophe qui est le fondateur de l'ordre de la Rose-Croix au nom duquel la déclaration est faite : "Aussi a pris naissance le projet d'une réformation universelle auquel notre défunt Père Christian Rosenkreutz, esprit religieux et hautement illuminé, Allemand, chef et fondateur de notre Fraternité, a consacré de grands et longs efforts." Et la déclaration préliminaire se termine par des considérations un peu alambiquées que l'on peut résumer ainsi : il n'est plus temps de s'en tenir aux anciens dogmes, il faut au contraire réviser ses connaissances, pour repartir sur des bases nouvelles. Nous tenons là la quintessence de l'intention qui va être développée par la suite : une réformation universelle qui sera le prolongement de la réformation plus proprement religieuse de Luther. Ce sera une réformation de la science et de la philosophie puisque la Fama s'adresse aux notoriétés intellectuelles ("les ordres"). Et ce sera aussi une réformation de la politique des États puisque ce même document s'adresse aux "régents", c'est-à-dire aux Princes. Nous en avons fini avec les considérations préliminaires, avec les "généralités". Elles sont relativement courtes mais elles condensent bien les intentions de l'auteur. Après cela, tout le reste de ce premier "manifeste" va être consacré à la biographie du fondateur de la Fraternité de la Rose-Croix, Christian Rosenkreutz. On ne tarde pas à se convaincre que ce Christian Rosenkreutz est un personnage mythique. Mais c'est aussi un per-sonnage typique. Il présente tous les traits communs à ces illuminés gyrovagues qui, à la fin du moyen-âge, se mêlant aux étudiants sérieux, sillonnèrent la Chrétienté et périgrinèrent d'Université en Université, soit pour écouter des cours, soit pour en donner eux-mêmes. Un des modèles les plus accomplis de cette sorte de personnages est incontestable-ment Paracelse que précisément Valentin Andrea, l'auteur de la Fama, prend explicitement comme exemple. Paracelse est un médecin et un alchimiste Suisse qui a réellement existé. Il a vécu au début du XVIè siècle, de 1493 à 1541, donc 73 ans avant la publication de la Fama. Nous allons le retrouver tout à l'heure, mais écoutons Valentin Andrea nous raconter la vie mythique et typique de Christian Rosenkreutz. Entrons donc dans la "Chanson de geste rosicrucienne" qui va nous rappeler, sous bien des rapports, les Romans et les Poèmes du cycle du Graal ; elle nous rapellera surtout, évidemment, les romans graaliens de la deuxième génération, non pas ceux de Chrétien de Troyes dans lesquels l'inspiration chrétienne est encore prédominante, mais ceux de Wolfram von Eschenbach où c'est l'influence arabe qui l'emporté. Christian Rosenkreutz serait né en 1378. Ses parents, nobles et pauvres, comme il se doit, le confient à des religieux qui lui dispensent une instruction soignée, lui apprenant le latin et le grec. Il est bien évident que cet enfant prédestiné se montre d'une extrême précocité. Il est difficile qu'il en soit autrement. Dès que ses forces le lui permettent, il part en pèlerinage au saint sépulcre, accompagné par un des religieux du collège où il a été élevé. Mais voilà qu'à l'escale de Chypre, le religieux accompagnateur tombe malade et meurt. Les liens que rattachent le jeune homme à la religion institutionnelle viennent de se rompre. Christian Rosenkreutz, qui a atteint sa pleine maturité intellectuelle et qui n'a plus besoin de son mentor, continue seul son pèlerinage. Cependant, au lieu d'aller directement à Jérusalem, il marque un long arrêt dans une ville de Turquie où il gagne sa vie en exerçant la médecine, malgré son jeune âge, que Valentin Andrea semble avoir un peu oublié. C'est dans cette ville de Turquie qu'il entend parler, pour la première fois, des sages de damcar et des révélations qui leur ont été faites sur la nature toute entière. Voila donc des "Sages", notons le en passant, qui reçoivent des révélations, non plus sur les choses surnaturelles, comme les saints du christianisme, mais sur les choses de la nature. Ne soyons pas trop regardants sur l'origine de ces "révélations". Il n'en faut pas plus à Christian Rosenkreutz pour se détourner de son pèlerinage au Saint Sépulcre. Il prend une bifurcation tout à fait symptomatique de l'état d'esprit qui va désormais le régir : il part pour la ville de Damcar et on ne nous reparlera plus du Saint Sépulcre. Quelle est donc cette ville de Damcar ? S'agit-il de Damas ou de Damiette ? On ne sait. On nous dit seulement qu'elle est située en Arabie, une Arabie romanesque où la précision géographique ne s'impose pas. A Damcar, Rosenkreutz entre en conférence avec les sages dont il a tellement entendu parler. Ceux-ci lui donnent à lire un livre étonnant qui est pour lui une véritable révélation : le Liber Mundi. <strong>...</strong></p>Vaquié Jean - Le concile des méchants m'a assiégéurn:md5:f512c0d3055f32b8b0c879bd5a5ce89a2012-11-21T15:17:00+00:002017-03-07T14:34:55+00:00balderVaquié JeanCatholiqueChristianisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Vaquie_Jean_-_Le_concile_des_mechants_m_a_assiege.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Vaquié Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le concile des méchants m'a assiégé</strong><br />
Année : 1991<br />
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Nous voudrions montrer que le XXIe Concile oecuménique, couramment appelé Vatican II, est prédit, et même schématiquement décrit, dans le Psaume XXI de la Vulgate. Ce psaume contient cette singulière locution : "Concilium malignantium obsedit me", qui signifie : le Concile des méchants m'a assiégé. Le psaume et le concile sont ainsi placés sous le même symbole numérique, particularité qui éveille déjà l'idée d'une correspondance. Le Psaume XXI est l'un des plus anciennement commenté parce qu'il contient, énoncées d'avance par le psalmiste, quelques-unes des "paroles de la Croix". Mais, jusqu'à notre époque, l'expression "concilium malignantium" n'avait pas attiré particulièrement l'attention parce que le Concile qu'elle désigne n'avait pas eu lieu. Les prophéties ne deviennent certaines qu'après leur réalisation. Ce vénérable psaume fait donc l'objet d'une exégèse classique que non seulement il n'est pas question pour nous de contester, mais qui va nous servir de fondement pour proposer une amplification de son sens traditionnel. <strong>...</strong></p>Vaquié Jean - L'imposture guénonienneurn:md5:43f7c10cda65ca398dc7f8a7404df6142012-04-03T02:24:00+01:002017-03-08T17:36:06+00:00balderVaquié JeanHébraïsmeTradition <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Vaquie_Jean_-_L_imposture_guenonienne.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Vaquié Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'imposture guénonienne</strong><br />
Année : 1981<br />
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Les livres de René Guénon sont réédités à un rythme croissant. Le guénonisme se répand dans toutes les écoles de pensée à tendance traditionnelle. Il est facile de constater l’activité d’un véritable réseau guénonien. Or, la pièce maîtresse de la doctrine de Guénon est incontestablement "La Grande Tradition Primordiale" à laquelle il se réfère inlassablement. L’un de ses disciples, Jean Robin, a publié récemment un livre très érudit et très élogieux, intitulé "René Guénon, Témoin de la Tradition" (Editions de la Maisnie, Paris, 1.978). Nous savons d’autre part que la Sainte Eglise est "Gardienne de l’Ecriture et de la Tradition". Nous sommes donc amenés à compares la Tradition invoquée par Guénon et celle qui est conservée par l’Eglise, afin d’examiner leur correspondance ou au contraire leur incompatibilité. Dans une première partie, nous exposerons les grandes lignes de la "tradition primordiale", selon R. Guénon, et dans une seconde, celle de l’Eglise dont le véritable nom est la "Tradition Apostolique". <strong>...</strong></p>Vaquié Jean - Les vertus anti-théologalesurn:md5:facef082b2a56894dafb7f32cb8f68402012-04-03T02:22:00+01:002017-03-08T17:36:10+00:00balderVaquié JeanChristianisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Vaquie_Jean_-_Les_vertus_anti-theologales.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Vaquié Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les vertus anti-théologales</strong><br />
Année : 1987<br />
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L'institution maçonnique n'a pas élaboré une véritable doctrine puisqu'au contraire elle s'interdit de dogmatiser. En revanche elle a mis au point une stratégie anti-chrétienne d'une grand efficacité. Cette stratégie va consister à neutraliser les combattants de l'Eglise militante. Pour cela, elle va tuer en eux ce qui fait leur force, c'est-à-dire les vertus théologales : la foi, l'espérance, la charité. Contre la foi, la maçonnerie a inventé la Tolérance. C'est la “vertu” des gens qui nient l'existence de la vérité objective. La “Mère Loge” (car la loge exerce une réelle maternité intellectuelle) se vante de donner à ses fils tous les moyens dont ils ont besoin pour atteindre “la vérité”; mais il ne s'agit que d'une vérité relative et subjective c'est-à-dire d'une simple opinion personnelle qui restera donc essentiellement discutable. La “libre pensée” maçonnique refuse d'admettre toute vérité à priori. Elle fait du doute systématique la base de son système de réflexion ; c'est pourquoi elle a tant contribué à répandre le cartésianisme, le fameux “doute cartésien”. La maçonnerie a même réussi à convaincre les Français qu'ils sont cartésiens par nature, alors qu'au contraire le génie de notre langue, donc de notre pensée, est un génie déductif et analytique qui part du principe (a priori par conséquent) pour aboutir aux conséquences. Les Français ont le goût des principes et ils savent les formuler : là réside une des raisons de leur influence (bonne ou mauvaise) dans le monde. C'est tout le contraire de l'attitude mentale maçonnique. La discussion est l'activité principale de la loge : un adage y est inlassablement répété : de la discussion jaillit la lumière. C'est encore une fausse maxime car, de fait, jaillit non pas la lumière mais l'obstination : celui qui a défendu sa thèse n'admet plus d'en changer. La vraie lumière vient du “Père des lumières”, donc de la Révélation, et elle descend vers nous qui la recevons par le Magistère. En Maçonnerie tout l'art du Vénérable est de faire cohabiter des frères ennemis. Il n'y a pas de dogmes : la maçonnerie ne dogmatise pas : telle est la grande formule. Formule qui constitue même un symptôme : quand une quelconque publication met sa fierté à “ne pas dogmatiser”, on peut être certain qu'elle subit, de près ou de loin, l'influence maçonnique, puisqu'elle en adopte les locutions. Si les maçons ont la haine du dogme, c'est qu'ils ont la haine de l'Église. Ils sont fils spirituels de Ponce-Pilate, le Docteur sceptique, qui est leur “patron”. “Qu'est ce que la vérité” disait-il. Il l'avait devant lui et comble de l'aveuglement, il ne la reconnaissait pas. Le progrès. C'est la fausse espérance ; c'est l'espérance projetée sur la terre ; c'est le mythe de l'épanouissement sans fin de la nature ; c'est l'espoir insensé d'une félicité naturelle qui ne devrait rien à la Grâce. Ce progrès temporel doit porter à son achèvement la pyramide tronquée qui forme l'un des emblèmes des maçons ; c'est le progrès du corps mystique de l'Antéchrist qui attend de la terre sa plénitude. Nous savons très bien qu'il existe un véritable progrès. L'Église n'est pas statique ; elle est en progrès sous l'impulsion de la Grâce. Deux exemples : 1 – Le Corps mystique de N.S.J.-C. est en perpétuel progrès ; le nombre des élus va vers sa perfection ; quand les élus seront au complet le recrutement des hommes s'arrêtera. 2 – L'édifice du dogme lui aussi est en progrès, en ce sens qu'il se complète d'âge en âge ; à la fin des temps, il formera une construction spirituelle et intellectuelle à laquelle il ne manquera rien. La solidarité est l'interdépendance naturelle. Les maçons l'élèvent à la hauteur d'une vertu parce qu'elle ne réclame pas la médiation du Christ. La solidarité se passe de l'aide de Notre Seigneur. Elle engendre le socialisme qui est l'utopie de penser que, par des moyens adéquates, par le simple effet de l'interdépendance humaine, on triomphera de la pauvreté et de la souffrance. La solidarité est en opposition avec la charité chrétienne laquelle réclame l'intermédiaire de N.S.. Un verre d'eau donné au Nom de Jésus-Christ (“en Mon Nom” dit le texte évangélique) aura sa récompense dans la vie éternelle. S'il est donné au nom de la solidarité humaine, il ne recueillera qu'une récompense temporelle. La tolérance est en opposition avec la Foi. Le progrès est en opposition avec l'Espérance. La solidarité est en opposition avec la Charité. Ce sont les trois “vertus anti-théologales” qui ont cours dans le corps mystique de l'Antéchrist. Réflexions sur les ennemis et la manoeuvre, Jean Vaquié, Lecture et Tradition n° 126 Juillet- Août 1987. <strong>...</strong></p>Vaquié Jean - L'école moderne de l'ésotérisme chrétienurn:md5:d9aeccf9840d7cb1b305d179f78cb39c2012-04-03T02:20:00+01:002017-03-08T17:36:17+00:00balderVaquié JeanChristianisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Vaquie_Jean_-_L_ecole_moderne_de_l_esoterisme_chretien.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Vaquié Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'école moderne de l'ésotérisme chrétien</strong><br />
Année : 1971<br />
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Nous entreprenons l’étude d’une école de pensée qui n’est pas encore très connue et dont il convient de préciser la place, d’abord par rapport au progressisme qui a inspiré le Concile, mais aussi par rapport, au traditionalisme qui anime les adversaires du Concile. Reportons-nous, pour saisir l’enchaînement des circonstances à son début, aux dernières années du XIX° Siècle. Le MODERNISME, un instant contenu et refoulé par les prises de position très nettes des Papes Grégoire XVI dans "Mirari Vos", Pie IX dans "Quanta Cura" et le "Syllabus", et Pie X dans "Pascendi", le modernisme donc a repris une grande vigueur après la tourmente de la deuxième guerre mondiale de 1939-1945. Il s’est alors légèrement modifié pour s’incorporer les thèses socialistes triomphantes à cette époque et il a pris, à cette occasion, le nom de PROGRESSISME. Ce sont les thèmes progressistes qui ont été officialisés par les Déclarations et les Constitutions conciliaires de Vatican II. Par réaction contre cette puissante ligne de pensée, il s’est développé, dans toute l’Eglise et spécialement en France, un fort courant anti-progressiste et donc anti-conciliaire. Ce courant a reçu, de ses adversaires, l’appellation d’INTÉGRISME et il s’est donné à lui-même le nom de TRADITIONALISME. Les traditionalistes entendent résister à l’influence de la franc-maçonnerie, devenue dominante dans les hautes instances ecclésiastiques. Ils n’admettent, ni les "orientations" post-conciliaires, ni même les documents officiels émanés directement du Concile, les considérant comme profondément entachés de modernisme et de progressisme et comme inspirés par la maçonnerie. Animé par cet esprit de résistance, le traditionalisme est devenu un courant de pensée, minoritaire certes, mais très vigoureux. Or il se trouve qu’à l’intérieur du traditionalisme, c’est à dire dans cette partie de l’Eglise qui est restée fidèle à la foi, un nouveau courant, discret mais tenace, à pris naissance, celui de l’ÉSOTÉRISME CHRETIEN. Ce courant présente, comme son nom le suggère, un double caractère. Il est chrétien sous quelques aspects, mais en même temps il véhicule des doctrines ésotériques qu’il proclame parfaitement compatibles avec le christianisme le plus "traditionnel". C’est cette prétendue COMPATIBILITE qui fait problème. Il est important d’examiner quel est le contenu notionnel de l’ésotérisme que l’on cherche ainsi à incorporer au christianisme, et de montrer que l’ésotérisme dont il est question ne relève pas du même esprit que le christianisme orthodoxe. Cette démonstration est d’autant plus nécessaire que les ésotéristes chrétiens se déclarent fortement anti-progressistes et qu’ils se rendent ainsi très séduisants pour les traditionalistes qui se sont prononcés contre le Concile. Nous allons donc examiner les documents que l’on peut raisonnablement attribuer à l’école de l’ésotérisme chrétien. Mais pour juger ces documents nous allons rencontrer une première difficulté. Quelles sont les positions relatives de l’ésotérisme et de l’OCCULTISME ? Ces deux disciplines sont-elles aussi différentes qu’on le dit aujourd’hui ? Les SCIENCES OCCULTES (ou occultisme) sont ainsi appelées parce que ce sont des sciences "défendues". Elles sont dites occultes parce que, pour s’y adonner, il faut "se cacher". Et elles sont défendues, par le pouvoir royal et par les évêques, parce qu’elles sont nocives pour la société civile et pour l’Eglise. Les sciences occultes sont essentiellement la magie, l’évocation des esprits, les arts divinatoires, les sortilèges et pour finir la sorcellerie. De ces sciences, l’Ecriture nous dit que Dieu les a toutes "en abomination". Or elles comportent une partie THEORIQUE, philosophique et intellectuelle, mais aussi une partie PRATIQUE, c’est à dire rituelle et opérative. Cependant, et on le conçoit très bien, il n’y a pas, dans l’occultisme, de coupure entre la théorie et la pratique. La pratique est la suite logique de la théorie. C’est ainsi que les principes de la magie rituelle sont contenus dans un certain corps de doctrine. Le titre que Eliphas Lévi (ancien abbé Constant) a donné à son principal ouvrage illustre bien ce rapport de filiation : "DOGME ET RITUEL DE LA HAUTE MAGIE" (1855). Le "dogme, c’est la partie philosophique et relevée. Le "rituel", c’est la partie laborieuse et même dangereuse (parce qu’elle est démoniaque). L’occultisme, dans son ensemble, possède ainsi un "haut de gamme" et un "bas de gamme". Tant que les sciences occultes sont restées des sciences interdites, les théoriciens et les praticiens sont, eux aussi, restés soumis à la même clandestinité. Mais quand les censures se sont relachées, les doctrinaires n’ont plus voulu être confondus avec les praticiens qu’ils considéraient comme compromettants. Et ils ont donné à leur occultisme de haut de gamme le nom d’ESOTERISME. Ils ont continué à étudier l’hermétisme, la gnose, l’alchimie, la cabbale, le rosicrucianisme, l’hidouisme, mais sans conduire ces diverses disciplines jusqu’à leurs conséquences pratiques que sont la magie, l’évocation des esprits, les arts divinatoires... Conséquences pratiques qu’ils méprisent et qu’ils condamnent et auxquelles ils ont réservé le terme péjoratif d’OCCULTISME. Le divorce a été tel qu’il est devenu une véritable rivalité. Paul Lecour, le fondateur de la revue "Atlantis", a même énoncé un principe qui fait maintenant autorité : "L’occultisme est le fléau du monde. L’ésotérisme est le salut du monde". En d’autres termes, selon lui, l’occultisme est démoniaque et l’ésotérisme est divin. <strong>...</strong></p>Vaquié Jean - La révolution liturgique de 1963urn:md5:e4aebb7aa6ef2db969d7d4cd5f0974e12012-04-03T02:17:00+01:002017-03-08T17:36:22+00:00balderVaquié JeanChristianisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Vaquie_Jean_-_La_revolution_liturgique_de_1963.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Vaquié Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>La révolution liturgique de 1963</strong><br />
Année : 1971<br />
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PRÉFACE DE LÉON DE PONCINS. J'ai montré dans de précédents ouvrages la subversion à I'oeuvre dans l'Eglise par le biais du judaïsme et de la franc-maçonnerie. Je voudrais présenter aujourd'hui aux lecteurs un remarquable travail de Jean VAQUIÉ, qui nous montre la subversion progressiste à I'oeuvre dans l'Eglise par le biais de la réforme liturgique. Car la subversion est à I'oeuvre dans le monde entier et désorganise actuellement toutes les bases des sociétés humaines : politiques, sociales, économiques et religieuses. Elle s'est d'abord attaquée aux régimes politiques traditionnels et s'est acharnée à démolir toutes les vieilles monarchies existantes : cela a été I'oeuvre des révolutions qui se sont succédées sans interruption de 1789 à nos jours. Puis elle s'est attaquée aux structures économiques et sociales : telle a été l'oeuvre du marxisme de 1870 à 1968. Finalement, elle s'est attaquée à la religion du dehors : telle fut I'oeuvre du XIXè siècle. Mais ces dernières décades, il s'est produit un fait nouveau d'une extrême gravité : la subversion a réussi à s'infiltrer dans l'Eglise et c'est maintenant par l'intérieur qu'elle la noyaute, la désagrège et la décompose. Après un travail souterrain assez lent et qui a duré plus d'un siècle, sa puissance a brusquement éclaté au grand jour et ses progrès ont été foudroyants, puisque maintenant la majorité de l’Épiscopat est submergée par la réforme progressiste ou même, cas de plus en plus fréquent, lui est ouvertement acquis. L’étude de Jean Vaquié que nous publions ici nous expose avec une grande clarté I'oeuvre de désagrégation qui s'opère dans l'Église par le biais de la réforme liturgique. Mais auparavant, je voudrais citer un texte remarquable publié en introduction d'un célèbre ouvrage sur les sociétés secrètes par N. Deschamps et Claudio Jannet (deuxième édition de 1880). Ce texte vieux de près d'un siècle reste plus que jamais d'une actualité brûlante. <strong>...</strong></p>