Histoire Ebook - Mot-clé - AgarthaRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearGivaudan Anne - Meurois Daniel - Le voyage à Shambhallaurn:md5:b0b782d1314479b7dd91fecefacd6e3d2013-06-17T12:41:00+01:002013-06-17T12:41:00+01:00balderGivaudan AnneAgartha <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Givaudan_Anne_-_Meurois_Daniel_-_Le_voyage_a_Shambhalla_s.jpg" alt="" /><br />
Auteurs : <strong>Givaudan Anne - Meurois Daniel</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le voyage à Shambhalla Un pèlerinage vers Soi</strong><br />
Année : 1986<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook2/Givaudan_Anne_-_Meurois_Daniel_-_Le_voyage_a_Shambhalla.zip">Givaudan_Anne_-_Meurois_Daniel_-_Le_voyage_a_Shambhalla.zip</a><br />
<br />
Au lecteur. Ce livre est une histoire d'amour... S ’il nous fallait le définir sans doute éprouverions-nous quelque difficulté à le faire plus précisément. En effet, le récit qui suit n’est rien d’autre qu’un appel de l’Homme à l’homme, le souffle d’un envol qui dura toute une nuit quelque part dans l’Himalaya. A l’image de ceux qui le précèdent, cet ouvrage est un témoignage. C’est aussi la transmission d’un cri ou d’un chant recueilli en un point de notre monde que les Traditions ont appelé Shambhalla, Shangri-la et encore de maints autres noms. Shambhalla n’est cependant pas à proprement parler une contrée de notre terre physique, aussi les pages qui composent ce livre sont-elles le fruit d’un travail de projection de la conscience hors du corps physique, ou si l’on préféré de voyages astraux dirigés en toute volonté. Peu de choses jusqu’à présent ont été écrites sur ce que l’on a coutume d’appeler le « royaume des Maîtres de sagesse ». Après que ce travail de rédaction nous fût confié parles Etres qui l’animent nous nous sommes efforcés de ne rien lire de ce qui avait déjà été imprimé sur le sujet afin de rester vierges de toute influence, consciente ou non. Aucune des Ecoles spiritualistes existant à ce jour n’a donc influencé si peu soit-il notre narration. Il fallait que cela soit précisé car la neutralité était indispensable afin de préserver le témoignage. A peine connaissions-nous les noms et la vie de Nicolas Roerich et d'Apollonius de Tyane réputés pour avoir eu des contacts répétés avec Shambhalla, le premier mettant surtout en évidence son rôle essentiel en tant que « gouvernement » invisible de la planète. Car la réalité est bien là, telle que nous l’avons nousmêmes vécue en l’espace d’une nuit où le temps nous prouva sa souplesse. Shambhalla nous est apparue, bien tangible, dégagée du mythe, peuplée d’Etres réalisés, certains diront ascensionnés, qui depuis des temps très reculés guident pas à pas la race humaine, tout en préservant son libre arbitre. Certains ésotéristes ont employé le terme de « gouvernement occulte » de la terre. Quant à nous, ce terme ne nous paraît plus adéquat actuellement car il ne rend pas compte de la transparence et de la pureté de l’état de conscience que nous y avons pu y trouver. Tout au long de la rédaction de cet ouvrage, force nous fut cependant de constater que le nom même de Shambhalla, son existence, étaient peu connus, voire totalement inconnus. Le virage que connaissent aujourd’hui nos civilisations demande à ce que cela change. Pas plus qu’auparavant pourtant, nous n’espérons prouver quoi que ce soit. Il y a des « choses » qui ne peuvent que se vivre. Notre but est uniquement d ’interpeller, de provoquer une méditation pour enfin, ainsi que la Fraternité himalayenne le souhaite, appeler à l’action. A ce titre, les douze chapitres qui suivent ne seront pas une nourriture pour les amateurs de révélations. Nous espérons simplement avoir été suffisamment bons interprètes pour réveiller la volonté d’agir chez tous ceux qui refusent de baisser les bras devant l’ombre de cette fin de cycle. Nous espérons également que ce livre ne sera pas compris comme un document de plus, matière à extrapoler. Le problème s ’il y en a un se résume à me transmission d ’énergie. Pour ce faire, les paroles des Etres qui sont le coeur de cet ouvrage n’ont pas été reproduites « à peu près », mais avec un soin extrême. Si au fil des pages le lecteur ressent un appel, ce sera le leur et ce sera vers eux, eux les véritables auteurs de ce travail, que leurs remerciements devront aller, eux qui refusent le titre de maître et qui avec un incroyable amour viennent nous secouer de notre torpeur. Nous faisant l’écho de leurs paroles nous nourrissons l’espoir, qu’à cette heure où nombreux sont ceux qui se complaisent à parler d'Apocalypse, de plus en plus d’êtres soient aptes à prendre conscience de leur responsabilité... « Car en réalité, il n’y a qu’un remède, avons-nous si souvent entendu à Shambhalla, il n’y a qu’un remède : L ’AMOUR. » <strong>...</strong></p>Vitriol - 017urn:md5:9852822d855b9fa5b0e52debff3e1baa2013-06-11T13:35:00+01:002013-06-11T13:35:00+01:00balderVitriolAgarthaConspirationRevueSatanisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Vitriol_-_017_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Vitriol Spiritualité et Politique des Sphères</strong><br />
Ouvrage : <strong>017</strong><br />
Année : 2010<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook2/Vitriol_-_017.zip">Vitriol_-_017.zip</a><br />
<br />
Les technologies du futur. La mutation de la conscience humaine sur l'onde 666. Avez-vous aimé avatar ? Shambhala, centre occulte du gouvernement mondial ? La huitième sphère. <strong>...</strong></p>Saint-Yves d'Alveydre Joseph Alexandre - Mission de l'Inde en Europeurn:md5:91f14a795f5c4fd2210c61f9ffe6b09b2013-06-01T14:51:00+01:002013-08-11T23:18:55+01:00balderSaint-Yves d'Alveydre Joseph AlexandreAgarthaAsieEuropeInde <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Saint-Yves_Joseph_Alexandre_-_Mission_de_l_Inde_en_Europe_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Saint-Yves d'Alveydre Joseph Alexandre</strong><br />
Ouvrage : <strong>Mission de l'Inde en Europe Mission de l'Europe en Asie la question du Mahatma et sa solution</strong><br />
Année : 1886<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook2/Saint-Yves_d_Alveydre_Joseph_Alexandre_-_Mission_de_l_Inde_en_Europe.zip">Saint-Yves_d_Alveydre_Joseph_Alexandre_-_Mission_de_l_Inde_en_Europe.zip</a><br />
<br />
C'est avec une véritable émotion que nous publions aujourd'hui cette œuvre, inconnue encore, de notre vénéré maître le marquis de Saint-Yves d'Alveydre. La Mission des Juifs, cette clef lumineuse de l'Histoire Universelle, la Mission des Souverains, cette prodigieuse mise au point des rouages secrets des Etats d'Europe, sont l’œuvre d'un chercheur muni des seules clefs intellectuelles. <strong>...</strong></p>Guénon René - Le Roi du Mondeurn:md5:dba0929039fb6417ecf87ac3da29f5542012-04-07T16:29:00+01:002017-03-08T17:06:44+00:00balderGuénon RenéAgarthaEuropeRoi <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Guenon_Rene_-_Le_Roi_du_Monde.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Guénon René</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le Roi du Monde</strong><br />
Année : 1927<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Guenon_Rene_-_Le_Roi_du_Monde.zip">Guenon_Rene_-_Le_Roi_du_Monde.zip</a><br />
<br />
NOTIONS SUR «L'AGARTTHA» EN OCCIDENT. L'ouvrage posthume de Saint-Yves d'Alveydre intitulé Mission de l'Inde, qui fut publié en 1910, contient la description d'un centre initiatique mystérieux désigné sous le nom d'Agarttha; beaucoup de lecteurs de ce livre durent d'ailleurs supposer que ce n'était là qu'un récit purement imaginaire, une sorte de fiction ne reposant sur rien de réel. En effet, il y a là-dedans, si l'on veut y prendre tout à la lettre, des invraisemblances qui pourraient, au moins pour qui s'en tient aux apparences extérieures, justifier une telle appréciation; et sans doute Saint-Yves avait-il eu de bonnes raisons de ne pas faire paraître lui-même cet ouvrage, écrit depuis fort longtemps, qui n'était vraiment pas mis au point. Jusque-là, d´autre côté, il n'avait guère, en Europe, été fait cuestion de l'Agarttha et de son chef, le Brahmâtmâ, que par un écrivain fort peu sérieux, Louis Jacolliot, dont il n'est pas possible d'invoquer l'autorité; nous connaissons, pour notre part, que celui-ci avait réelment entendu parler de ces choses au cours de son séjour dans l'Inde, mais il les a arrangées, comme tout, à sa manière éminemment fantaisiste. Mais il s'est produit, en 1924, un fait nouveau et quelque peu inattendu: le livre intitulé Bêtes, Hommes et Dieux, dans lequel M. Ferdinand Ossendowski raconte les péripéties du voyage mouvementé qu'il fit en 1920 et 1921 à travers l'Asie centrale, renferme, surtout dans sa dernière partie, des récits presque identiques à ceux de Saint-Yves; et le bruit qui a été fait autour de ce livre fournit, croyons-nous, une occasion favorable pour rompre enfin le silence sur cette question de l'Agarttha. Naturellement, des esprits sceptiques ou malveillants n'ont pas manqué d'accuser M. Ossendowski d'avoir purement et simplement plagié Saint-Yves, et de relever, à l'appui de cette allégation, tous les passages concordants des deux ouvrages; il y en a effectivement un bon nombre qui présentent, jusque dans les détails, une similitude assez étonnante. Il y a d'abord ce qui pouvait paraître le plus invraisemblable chez Saint-Yves lui-même, nous voulons dire l'affirmation de l'existence d'un monde souterrain étendant ses ramifications partout, sous les continents et même sous les océans, et par lequel s'établissent d'invisibles communications entre toutes les régions de la terre; M. Ossendowski, du reste, ne prend pas cette affirmation à son compte, il déclare même qu'il ne sait qu'en penser, mais il l'attribue à divers personnages qu'il a rencontrés au cours de son voyage. Il y a aussi, sur des points plus particuliers, le passage où le «Roi du Monde» est représenté devant le tombeau de son prédécesseur, celui où il est question de l'origine des Bohémiens, qui auraient vécu jadis dans l'Agarttha2, et bien d'autres encore. Saint-Yves dit qu'il est des moments, pendant la célébration souterraine des «Mystères cosmiques», où les voyageurs qui se trouvent dans le désert s'arrêtent, où les animaux eux-mêmes demeurent silencieux3; M. Ossendowski assure qu'il a assisté lui-même à un de ces moments de recueillement général. Il y a surtout, comme coïncidence étrange, l'histoire d'une île, aujourd'hui disparue, où vivaient des hommes et des animaux extraordinaires: là, Saint-Yves cite le résumé du périple d' Iambule par Diodore de Sicile, tandis que M. Ossendowski parle du voyage d'un ancien bouddhiste du Népal, et cependant leurs descriptions sont fort peu différentes; si vraiment il existe de cette histoire deux versions provenant de sources aussi éloignées l'une de l'autre, il pourrait être intéressant de les retrouver et de les comparer avec soin. Nous avons tenu à signaler tous ces rapprochements, mais nous tenons aussi à dire qu'ils ne nous convainquent nullement de la réalité du plagiat; notre intention, d'ailleurs, n'est pas d'entrer ici dans une discussion qui, au fond, ne nous intéresse que médiocrement. Indépendamment des témoignages que M. Ossendowski nous a indiqués de lui-même, nous savons, par de tout autres sources, que les récits du genre de ceux dont il s'agit sont chose courante en Mongolie et dans toute l'Asie centrale; et nous ajouterons tout de suite qu'il existe quelque chose de semblable dans les traditions de presque tous les peuples. D'un autre côté, si M. Ossendowski avait copié en partie la Mission de l'Inde, nous ne voyons pas trop pourquoi il aurait omis certains passages à effet, ni pourquoi il aurait changé la forme de certains mots, écrivant par exemple Agharti au lieu d'Agarttha, ce qui s'explique au contraire très bien s'il a eu de source mongole les informations que Saint-Yves avait obtenues de source hindoue (car nous savons que celui-ci fut en relations avec deux Hindous au moins)4; nous ne comprenons pas davantage pourquoi il aurait employé, pour désigner le chef de la hiérarchie initiatique, le titre de «Roi du Monde» qui ne figure nulle part chez Saint-Yves. Même si l'on devait admettre certains emprunts, il n'en resterait pas moins que M. Ossendowski dit parfois des choses qui n'ont pas leur équivalent dans la Mission de l'Inde, et qui sont de celles qu'il n'a certainement pas pu inventer de toutes pièces, d'autant plus que, bien plus préoccupé de politique que d'idées et de doctrines, et ignorant de tout ce qui touche à l'ésotérisme, il a été manifestement incapable d'en saisir lui-même la portée exacte. Telle est, par exemple, l'histoire d'une «pierre noire» envoyée jadis par le «Roi du Monde» au Dalaï-Lama, puis transportée à Ourga, en Mongolie, et qui disparut il y a environ cent ans5; or, dans de nombreuses traditions, les «pierres noires» jouent un rôle important, depuis celle qui était le symbole de Cybèle jusqu'à celle qui est enchâssée dans la Kaabah de La Mecque6. Voici un autre exemple: le Bogdo-Khan ou «Bouddha vivant», qui réside à Ourga, conserve, entre autres choses précieuses, l'anneau de Gengis-Khan, sur lequel est gravé un swastika, et une plaque de cuivre portant le sceau du «Roi du Monde»; il semble que M. Ossendowski n'ait pu voir que le premier de ces deux objets, mais il lui aurait été assez difficile d'imaginer l'existence du second: n'aurait-il pas dû lui venir naturellement à l'esprit de parler ici d'une plaque d'or? Ces quelques observations préliminaires sont suffisantes pour ce que nous nous proposons, car nous entendons demeurer absolument étranger à toute polémique et à toute question de personnes; si nous citons M. Ossendowski et même Saint-Yves, c'est uniquement parce que ce qu'ils ont dit peut servir de point de départ à des considérations qui n'ont rien à voir avec ce qu'on pourra penser de l'un et de l'autre, et dont la portée dépasse singulièrement leurs individualités, aussi bien que la nôtre, qui, en ce domaine, ne doit pas compter davantage. Nous ne voulons point nous livrer, à propos de leurs ouvrages, à une «critique de textes» plus ou moins vaine, mais bien apporter des indications qui n'ont encore été données nulle part, à notre connaissance tout au moins, et qui sont susceptibles d'aider dans une certaine mesure à élucider ce que M. Ossendowski appelle le «mystère des mystères». <strong>...</strong></p>