Histoire Ebook - Mot-clé - DragonRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearMarkale Jean - Le Mont Saint-Michel et l'énigme du dragonurn:md5:b4b8701a3ee6d93261b9738e614df5752013-02-03T20:28:00+00:002013-02-03T20:37:09+00:00balderMarkale JeanDragonFrance <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Markale_Jean_-_Le_Mont_Saint-Michel_et_l_enigme_du_dragon_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Markale Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le Mont Saint-Michel et l'énigme du dragon</strong><br />
Année : 1987<br />
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ENTRE MONTS ET GRANDES GRÈVES. Le Mont-Saint-Michel, c’est d’abord une très belle histoire d’amour. On y célèbre en effet les noces perpétuelles du Ciel et de la Terre, de la Terre et de la Mer, de la Mer et du Ciel. Et comme dans toutes les belles histoires d’amour, cela ne va pas sans violence, sans orage, sans souffle de vent, sans lumière derrière les brumes profondes qui se glissent entre monts et grandes grèves pour signifier que l’heure est venue d’accomplir de mystérieuses et silencieuses liturgies. Durant mon enfance, le Mont-Saint-Michel n’a guère été pour moi que quelques cartes postales retrouvées dans une vieille malle, et sur lesquelles, sans comprendre, je commençai à rêver sur les folles architectures du Moyen Âge. Mon imaginaire se plaisait à construire des villes qui n’existaient pas, et je créai, sans prendre appui sur autre chose que des bribes d’images, des pays merveilleux où il faisait bon se perdre en dehors du temps et de l’espace. À cet égard, les cartes postales désuètes qui représentaient le cloître du Mont, des arcs-boutants, des flèches, des clochetons, des remparts, formaient une étonnante pâte que je ne demandais qu’à faire lever afin d’en recouvrir les éléments qui, dans mon vécu quotidien, constituaient un obstacle à toute évasion. Car le Moyen Âge, tel que je le voyais à l’époque, à travers ces images quelque peu défraîchies, à travers aussi quelques monuments que j’avais l’habitude de fréquenter, était un prétexte à partir pour un voyage sans fin. Mais c’était un voyage immobile et, de ce fait, peut-être encore plus efficace parce qu’il permettait d’atteindre l’autre côté de l’horizon, là où plus rien n’est impossible, là où se rejoignent les rescapés de toutes les tourmentes pour se raconter les uns aux autres ce qu’ils ont vu et entendu, comme autrefois les Chevaliers de la Table Ronde lorsqu’ils rentraient à la cour d’Arthur et de Guenièvre. Et je lisais aussi les pages magnifiques où Victor Hugo évoque un Paris de la fin du XVe siècle, à travers les ricanements des gargouilles et les sourires des anges qui gardent les dédales obscurs d’une cité enfouie dans la mémoire. Le Moyen Âge, pour moi, ce ne pouvait être qu’une époque bénie où l’on risquait à chaque pas de rencontrer une merveille. J’ai su depuis que tout cela n’était que leurre et fantasme, mais je ne regrette certes pas d’avoir ainsi rêvé un univers médiéval qui correspondait alors pour moi à un besoin fondamental. Après tout, on sait que Viollet-le-Duc, lorsqu’il a reconstitué certains monuments à peine échappés aux morsures du temps, a opéré selon sa propre imagination, et qu’il n’a jamais prétendu faire autre chose que de donner sa propre vision du Moyen Âge. Cela ne nous empêche nullement de considérer Pierrefonds ou la façade de Notre-Dame de Paris comme d’authentiques chefs-d’oeuvre. À la limite, on pourrait même dire que ces monuments ainsi reconstitués correspondent davantage à notre sensibilité contemporaine qu’en leur état d’origine, lorsque les bâtisseurs s’acharnaient encore dans leur combat contre la pierre. Ainsi donc, je rêvais le Moyen Âge, moi aussi, à travers des églises gothiques, à travers quelques vestiges entrevus, à travers les cartes postales du Mont-Saint-Michel. Le Mont m’attirait peut-être davantage parce qu’il se situait quelque part vers l’ouest et que j’ai toujours été hanté par le soleil couchant. Vivant à Paris, je suivais la course du soleil, et, parfois, sur les bords de la Seine, ou encore au dernier étage de mon immeuble, au-dessus des toits et des cheminées qui dressaient leurs silhouettes tourmentées, j’avais toujours quelque chose qui se nouait dans ma poitrine lorsque les lueurs rouges du couchant éclataient en fusées grandioses pour retomber ensuite derrière les remparts de pierre qui faisaient obstacle à mon envol. Oui, là-bas, vers un ouest qui me paraissait légendaire, il y avait un lieu où j’irais sans doute un jour, un lieu privilégié où les ombres du soir jouent avec la lumière d’un soleil qui se noie tragiquement dans la mer. Voilà le Mont-Saint-Michel de mon enfance. Il n’existe pas. Mais il est encore très vivant si j’explore les méandres de ma mémoire. D’ailleurs, à cette évocation d’un passé médiéval romantique, s’ajoutait une vision plus tragique. J’avais lu quelque part que le Mont était entouré de sables, et que ces sables étaient dangereux : on pouvait s’y enliser si l’on ne prenait pas soin de suivre des chemins dûment connus et répertoriés. Dommage : les sentiers battus, comme on dit, ont toujours provoqué en moi une sorte de révolte, un refus de suivre ce que les autres ont déjà suivi. Et je lisais aussi, dans Les Misérables de Victor Hugo, cette hallucinante description d’un homme en train de s’enliser dans les sombres cloaques des égouts de Paris. Certes, Victor Hugo connaissait le Mont-Saint-Michel. Il y était venu. Il avait contemplé l’impressionnante plaine où le sable et l’eau ne parviennent point à délimiter leurs domaines respectifs. Il avait entendu raconter de sombres histoires sur des voyageurs égarés dans la brume, et qui n’avaient jamais été retrouvés. Ils dormaient probablement de leur dernier sommeil dans quelques fondrières recouvertes d’un sable fin qui sent bon le goémon et le sel. L’enlisement a quelque chose de sinistre et d’envoûtant, comme si l’être humain se reconnaissait dans cette lente disparition à l’intérieur d’une nuit qui ne finit jamais, amenant une suffocation que seule l’angoisse peut égaler lorsque la souffrance étreint la poitrine. Cette évocation des sables mouvants avait, je l’avoue, un certain charme morbide pour moi, comme si je pensais que pour atteindre ce Mont des Merveilles, il fallait passer par les infernaux paluds dont parle François Villon dans sa Ballade pour prier Notre-Dame. Je n’allais pas tarder à apprendre que toute révélation poétique passe par une Saison en Enfer, et Jean-Arthur Rimbaud me montrait déjà le difficile chemin des Illuminations. Pouvais-je alors comprendre que Rimbaud avait réussi à revenir de ces « infernaux paluds » dans un état qui ne lui permettait plus de contempler la Merveille ? <strong>...</strong></p>Bersone Clotilde - L'élue du dragonurn:md5:030e3a6c1e96fbf09c1d6274ad7d73f22012-06-17T12:22:00+01:002021-12-27T15:49:01+00:00balderBersone ClotildeAmériquesDragonEx-LibrisEx-Libris LenculusFranc-maçonnerieHébraïsmeReptilienRomanSatanisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Bersone_Clotilde_-_L_elue_du_dragon.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bersone Clotilde (Boulin Paul)</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'élue du dragon</strong><br />
Année : 1932<br />
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Les ‘‘ MÉMOIRES ,, de Clotilde Bersone. Ce roman est tiré, presque page à page, des Mémoires inédits de Clotilde Bersone, qui aurait été, à Paris, de 1877 à 1880, la maîtresse de J. A. Garfield, élu en 1880 Président de la République des États-Unis, assassiné en 1881. Garfield était clandestinement le chef de la Haute Loge de France des Illuminés, dont la Bersone, sous le nom de Nymphe de la Nuit, fut d’abord l’Affiliée, puis l’Initiée et l’Inspirée, Grande Maîtresse élue de l’Esprit. Il existe au Hiéron de Paray-le-Monial, — qui fut longtemps un centre occultiste à peine dissimulé, — un double manuscrit authentique de ces Mémoires, datés de 1885. Ce sont, à notre avis, deux brouillons successifs de la déposition canoniquement exigée de Clotilde Bersone pour sa réconciliation avec l’Eglise romaine, à l’adresse de l’autorité diocésaine ou du. Saint-Office. Ce témoignage sent la fugitive apeurée beaucoup plus que la vraie repentie, et il y reste, de ses anciennes manières de voir et de sentir, des traces odieuses. Il se peut même que certaines descriptions de scènes magiques, bien invraisemblables, y soient à interpréter, dans un sens plus allégorique que littéral, comme une menace d’en dire davantage au besoin, sur les dessous de certaines affaires. N’importe ! Dans sa teneur originelle, en dépit des incertitudes et des contradictions, la pièce demeure un document du premier ordre. On a le droit d’en discuter plus d’un détail, non de lui dénier toute valeur. Nous en avons encore fait constater l’existence à l’endroit indiqué, postérieurement à notre première édition : toute disparition équivaudrait donc aujourd’hui à un aveu d’escamotage. La copie sur laquelle nous avons travaillé, avait d’ailleurs été prise, colligée et enrichie de notes d’une rare pertinence par un religieux de la Compagnie de Jésus, dont ses confrères des Etudes, en contestant son existence, nous contraignent aujourd’hui à préciser l’identité : c’était le R. P. Harald Richard, récemment décédé. Ajoutons enfin qu’il reste à certains témoins autorisés, comme Mme Juliette Adam, un souvenir assez précis de l’activité politique de la prétendue comtesse de Coutanceau, et que nous avons retrouvé mention, dans les journaux de l’époque, de quantité d’incidents rapportés dans ces Mémoires. Si donc quelqu’un se résout à entamer à leur sujet une discussion sérieuse, nous sommes à sa disposition. Pourquoi, dans ces conditions, n’avoir tiré de cette histoire vraie qu’un roman, dont la présentation — même réduite à quelques arrangements secondaires, — amoindrit fatalement la portée ? C’est qu’il nous était impossible de prendre juridiquement la responsabilité des graves imputations que l’auteur lance pêle-mêle, dans sa confession, contre toutes sortes de personnages mêlés à l’histoire de la II ? République, non seulement parmi les anticléricaux au pouvoir, mais jusque dans les rangs les plus réputés de l’opposition. Il nous aurait fallu soutenir la plupart de ces accusations dans une édition critique ; nous avons voulu au contraire, dans une adaptation, n’en retenir que le moins que nous avons pu, en les dépouillant de tout caractère de mise en cause personnelle. Même les noms des Grévy, Ferry, de Lanessan, Tirard ou d’autres moins connus, que nous avons conservés au hasard et souvent laissés à leur orthographe de fantaisie, ne doivent donc pas être pris ici à la lettre, d’une façon à porter à la mémoire de ces hommes publics le moindre préjudice privé. Qu’on les entende seulement, à la place de pseudonymes, comme des appellations quasi obligées, puisqu’il s’agissait d’une époque déterminée et encore toute proche, où rien ne pouvait éviter que certaines physionomies connues figurassent l’Etat, dans cette espèce de procès criminel ouvert, non contre tel ou tel homme en particulier, mais contre le régime. L’impression principale que nous avons cherché à dégager des pages qui suivent, c’est, en effet, que, depuis 1871, le pouvoir est en France aux mains d’une Puissance occulte, dont le Grand Orient et la Grande Loge ne sont eux-mêmes que des instruments. En un mot, Satan est notre vrai maître politique ; c’est notre Troisième République qui doit faire régner, au compte de Lucifer, l’Internationale maçonnique ; c’est elle la véritable « Elue du Dragon» : voilà tout le sens, le but et la portée de cet ouvrage. Nous ne sommes pas même en démocratie, pour reprendre un mot de Mgr Gouthe-Soulard ; nous sommes en démonocratie. L’accueil fait par le public à la première édition, si vite épuisée, de l’Élue du Dragon, nous est un gage de l’intérêt qu’il réserve à ce nouveau tirage. De nombreuses traductions nous en ont été demandées déjà à l’étranger puissent-elles contribuer à faire connaître et hardiment combattre le pouvoir des Sectes ! Notons seulement, pour en prévenir le lecteur, que ces Mémoires d’une prostituée .et d’une possédée ne sauraient, malgré toutes les précautions de langage que nous avons prises, être mis qu’entre des mains très averties. <strong>...</strong></p>Boulay R. A. - Les Serpents et les Dragons volantsurn:md5:7107c1d7dda9f0436976aa2c5de1b15f2012-05-01T13:22:00+01:002017-03-08T16:47:20+00:00balderBoulay R. A.CivilisationsDragonEx-Libris LenculusReptilienSumer <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Boulay_R_A_-_Les_Serpents_et_les_Dragons_volants.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Boulay R. A.</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les Serpents et les Dragons volants</strong><br />
Année : 1990<br />
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Prologue. Pourquoi les anciens Dieux étaient-ils si timides ? La littérature et la mythologie des anciennes cultures sont remplies avec des comptes de dragons, de serpents volants et autres lézards ailés. Qui étaient ces créatures volantes crachant le feu qui paraît avoir coexisté avec l’homme, quelquefois comme son bienfaiteur mais plus souvent comme son bourreau ? Elles étaient peut-être seulement que des créatures fabuleuses, le produit de l’imagination fertile de l’homme. D’un autre côté, il est possible qu’elles fussent la manifestation de quelque chose d’autre d’événements si traumatisants et profondément enracinés dans son passé, que la connaissance de leur vraie nature a été inconsciemment supprimée et il n’en reste seulement qu’un souvenir allégorique. Plusieurs civilisations de ce monde tracent leurs racines ancestrales à de tels dragons, lézards ou serpents volants. Dans la plupart des cas, ils sont crédités d’avoir apporté les avantages de la civilisation à l’espèce humaine. De plus, ils sont souvent décrits comme son créateur réel. L’homme ancien a décrit ces créatures comme des êtres supérieurs ou des dieux qui pouvaient facilement se déplacer dans les cieux dans leurs "chariots de feu" ou "bateaux du ciel." Ils vivaient habituellement dans une "demeure céleste" et sont souvent descendus pour perturber les affaires de l’homme. La culture la plus ancienne et importante, celle de Mésopotamie, a probablement été fondée par ces dieux serpents. La colonisation de cette planète par ces créatures est décrite dans un des anciens documents le plus dramatique et significatif la "Liste des Rois Sumériens." Daté du troisième millénaire avant J.-C., ce document fournit la succession des Rois de Sumer et leurs successeurs, la longueur de leurs règnes depuis, ce qui était pour les Sumériens, le commencement du temps quand leurs ancêtres sont venus ici et "descendirent" pour établir plusieurs villes sur la plaine alluviale de la Mésopotamie. S’appelant "Anounnaki," ces Proto- Sumériens sont crédités avec l’établissement de la civilisation occidentale sinon, celle du Monde. Aussi étonnant que cela puisse paraître, il existe beaucoup d’informations sur ces civilisations les Sumériens, qui furent plus tard remplacés par les Akkadiens et les cultures Babyloniennes. Des nombreux monuments, objets fabriqués et tablettes cunéiformes qui ont été déterrés récemment, il est possible de reconstruire les événements qui se sont déroulés au début de l’espèce humaine. Il y a aussi plusieurs preuves qui ont été originairement dérivées de la même source mais auxquelles on a donné une interprétation religieuse en étant transmise à travers des canaux sacerdotaux ou religieux. C’est de ce réservoir de sources anciennes que les histoires de l’Ancien Testament furent dérivées. D’une combinaison de ces anciennes sources séculières et religieuses, il est donc possible de rapiécer ensemble l’histoire de notre descendance qui se trouve dans la venue des dieux serpents étrangers ou des astronautes qui ont colonisé la Terre il y a de cela plusieurs millénaires. On y découvre que nos ancêtres commencèrent une colonie sur la Terre pour obtenir des métaux pour leur planète. Dans le but de transformer et de transporter ces métaux par vaisseau cargo au vaisseau mère orbitant, ils construisirent cinq villes opérationnelles en Mésopotamie. Une de celle-ci servie comme plate-forme de lancement spatial. Les Sumériens appelaient ces "dieux" les Anounnaki, littéralement les fils d’Anou, leur dieu principal et leur chef. Les Anounnaki étaient une race extra-terrestre. En réalité, ils étaient une race de reptiles. Ils nécessitèrent une main-d’oeuvre peu coûteuse et, pour cette raison, ils créèrent un homme primitif. En combinant les caractéristiques du singe homme natal avec leur propre nature Saurienne, ils produisirent "l’Adam" de l’Ancien Testament. Cet Adam était demi-humain et demi-reptile. Cependant, puisqu’il était un clone, il ne pouvait pas se reproduire. Comme les conditions commencèrent à changer sur la Terre et le climat s’assécha, il est devenu nécessaire de modifier l’Adam pour mieux l’adapter au climat variable. L’Homo-Saurien fut modifié et ils lui donnèrent plus de traits de mammifères. Ce fut la "Chute de l’Homme" biblique où Adam a acquis la "connaissance" ou la capacité de se reproduire sexuellement. Comme résultat de cette modification génétique, l’homme a perdu la plupart de son apparence et de sa nature Saurienne, sa peau brillante et écailleuse. Il a acquis des caractéristiques des mammifèresune peau flexible et douce, des poils, le besoin de transpirer et la capacité de se reproduire. Il n’était plus nu. Il devait maintenant porter des vêtements pour son confort et sa protection. À toute fin pratique, l’homme était maintenant un Homo sapiens. L’homme moderne ou l’homme de Cro-Magnon arrivait en scène. L’homme a bientôt peuplé la Terre comme esclaves pour ces maîtres Sauriens. Il fut testé par les astronautes qui descendirent pour s’accoupler avec les filles de l’homme. Connus dans les Saintes Écritures comme les Néfilim, ils ne produisirent non seulement que des progénitures mélangées, mais ils firent des expériences génétiques qui sont mal tournées et produisirent un grand nombre de formes monstrueuses. Ce fut une période pénible pour l’espèce humaine, puisque durant cette époque, il était littéralement de la nourriture pour les dieux. C’est le temps des Patriarches bibliques et ses rois dieux sumériens. L’agitation sur la Terre fut soudainement terminée par le début d’une catastrophe naturelle mondiale, connu comme le Déluge ou la Grande Inondation. À ce moment, les dieux se retirèrent à leurs vaisseaux spatiaux, laissant derrière leurs progénitures semi-divines pour périr avec l’espèce humaine. Après le Déluge, ils descendirent à nouveau pour établir de nouvelles villes sur les plaines de la Mésopotamie. S’accouplant encore avec l’espèce humaine, ils produisirent une race d’êtres semi-divins pour gouverner leur empire sur la Terre. De plus, une race de dieux guerriers fut établie dans les terres du Levant. Descendant des Néfilim, mais connue par le nom de Rephaim, cette race barbare persécuta l’humanité pendant des milliers d’années et n’a pas été éliminée comme menace jusqu’au premier millénaire avant J.-C. Dans l’ancienne Mésopotamie, les dieux résidèrent dans un temple sur le dessus d’un ziggourat, une pyramide à étages élevée au-dessus des plaines. Ils y étaient protégés du public et seulement quelques prêtres de confiance y avaient accès. Dans cet endroit, ils mangèrent en secret étant entourés de rideaux, afin que même les assistants prêtres ne puissent les voir. On se demande si leurs manières de table étaient si atroces qu’ils devaient se cacher même de leurs serviteurs. Où était-ce encore beaucoup plus sinistre ? Dans l’Ancien Testament, le besoin évident du secret est aussi vrai. Pendant l’événement connu comme l’Exode, la divinité vivait dans une tente et n’a jamais été vue ; de plus, elle ne mangeait jamais en public. Des directives spécifiques furent données à Moïse pour la préparation de la nourriture qui était laissée sur un gril près des quartiers de la divinité pour qu’il puisse manger en secret. Il était défendu aux êtres humains de le voir. Le Dieu dit à Moïse : "Vous ne pouvez pas voir mon visage, parce que l’homme ne peut pas me voir et vivre." Et cette prohibition contre être vu par les êtres humains est portée à l’extrême partout dans les Saintes Écritures. C’est même devenu un ordre de ne pas faire "une image" ou une ressemblance de la divinité. Donc l’homme est non seulement interdit de voir à quoi son dieu ressemble mais même de faire une image de ce qu’il pensait à quoi il ressemblait. Pourquoi le tabou ? Serait-ce que son apparence serait si étrangère et répulsive qu’il devait être retenu de l’homme ? On supposerait logiquement que si les divinités étaient si supérieures et grandes comme les Saintes Écritures l’indiquent, qu’ils seraient flattés et permettraient à l’homme de voir et de copier leur magnificence ! <strong>...</strong></p>Ricard Marc-André - La magie des dragonsurn:md5:e1a98a992825f24fb1d24d51d2baa25d2012-05-01T13:04:00+01:002017-03-08T16:47:26+00:00balderRicard Marc-AndréDragonMagieRituel <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Ricard_Marc-Andre_-_La_magie_des_dragons.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Ricard Marc-André</strong><br />
Ouvrage : <strong>La magie des dragons Les véritables Enseignements et Rituels draconiques</strong><br />
Année : 2003<br />
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Introduction. Ce livre n'est pas une invention ni l’œuvre d'un esprit créatif. Il relate les choses telles qu'elles sont et uniquement la vérité. C'est ni plus ni moins "La Bible des Dragons". Le savoir et la connaissance existent depuis toujours. L'être humain n'a jamais, pour ainsi dire, véritablement inventé ce qui est ou ce qui sera dans l'avenir. Car l' homme inspiré est en mesure de se brancher, de se connecter à même la source d'informacion, directement au réservoir des connaissances, pour ensuite coucher ce savoir sur papier et le transmettre à tous ceux qui désirent parfaire leur apprentissage et atteindre la perfection. C'est donc ainsi que les enseignements de la Magie des Dragons me furent transmis et révélés par l'intermédiaire de mon guide ailé et très sage conseiller PNFYR ou Pinifère en langue française. La Magie des Dragons est un livre unique en son genre. Jamais vous n'avez vu un ouvrage comme celui-ci. Voilà pourquoi il vous sera si précieux. C'est un système ésotérique de Haute Magie cérémonielle, une formation magique complète, qui œuvre principalement avec le support des dragons et la force draconique omniprésence. C'est l'une des splendeurs de l'hermétisme. <strong>...</strong></p>