Histoire Ebook - Mot-clé - FascismeRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearDegrelle Léon - Sire, Vous et moi...urn:md5:a5db55cfe356205f052d93b3256dc1b12024-02-10T00:27:00+00:002024-02-10T00:45:44+00:00balderDegrelle LéonBelgiqueBolchéviqueFascismeRoiRussie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Degrelle_Leon_-_Sire_Vous_et_moi.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>Sire, Vous et moi... Lettre ouverte au Roi des Beiges</strong><br />
Année : 1991<br />
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Au Roi Baudouin en son palais de Bruxelles. Sire, Le plus demeuré de vos sujets a certainement fini par se rendre compte, ces mois-ci, de la débâcle finale de ce qui fut l'URSS. Alors, ne croyez-vous pas qu'il serait temps - et Dieu sait avec quel retard ! - de rendre justice aux garçons intrépides de votre peuple qui, voilà cinquante ans, allèrent à des milliers de kilomètres de leur sol natal, offrir leur jeunesse et leur sang pour épargner à l'Europe le déferlement du communisme ?... Beaucoup, l'esprit peu agile, n'ont compris que tout récemment le péril que celui-ci avait représenté pendant trois quarts de siècle pour l'humanité entière. Lénine, puis Staline avaient pu impunément faire périr des dizaines de millions d'êtres humains, en traîner d'autres millions dans des goulags d'infamie. Ils avaient, depuis 1917, esclavagisé vingt peuples. Ils constituaient pour le reste de l'Europe un danger constant d'asservissement. Tout venant d'eux avait été toléré : les gouvernements dits "démocratiques" avaient avalé leurs millions de crimes comme autant de potions magiques. On se contentait, l'air malin, de prendre pour un "péché de jeunesse" (1929) le Tintin au Pays des Soviets de Hergé, l'inoubliable précurseur. Quant à nous, Rexistes, qui, dès 1936, avions mené notre combat national au cri de "Rex ou Moscou !", on nous inscrivait dès alors dans le dossier à charge qui nous verrait laminés, en 1945 - sous le marteau pilon de l'antifascisme ! <strong>...</strong></p>Brasillach Robert - Notre avant-guerreurn:md5:19648685bd4f99b10b5cb11704dd90c22023-12-14T18:51:00+00:002023-12-14T18:57:47+00:00balderBrasillach RobertFascismeFranceSeconde guerre mondiale <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Brasillach_Robert_-_Notre_avant-guerre.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Brasillach Robert</strong><br />
Ouvrage : <strong>Notre avant-guerre Une génération dans l'orage</strong><br />
Année : 1941<br />
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A mes amis. On n’a pas coutume d’écrire ses mémoires à trente ans. Aussi bien ne sontce pas des mémoires que je commence, dans ce cantonnement de la Ligne où, tout à l’heure, ne veilleront plus aux carrefours que les deux lampes bleues de la guerre. Mais il me semble en somme, puisqu’à notre tour, nous venons de connaître une époque désormais close, vingt-cinq ans après l’autre, sur le recommencement de tant d’erreurs et de folies du passé, il me semble que nous pouvons essayer d’en fixer les traits. Ces traits seront forcément personnels, et je n’ai jamais trop eu le coeur aux généralisations. Je sais des garçons de trente ans qui ont connu autre chose de la vie, de ses plaisirs, de ses espérances, que ce qu’en ont connu mes amis et moi-même. Pourtant, je ne crois pas qu’ils refuseront de retrouver quelques-uns des aspects de ces quinze ans, qui viennent d’être brutalement rejetés dans l’ombre. Il ne s’agit ici à aucun degré de confessions. Je n’ai pas à dire absolument tout ce qui m’a tenu à coeur, je rassemble seulement les images de quelques amis, les uns connus, les autres aussi inconnus que les personnages d’un roman pour qui le commence, et je voudrais justement qu’on pût lire ce livre comme un roman, comme une suite d’éducations sentimentales et intellectuelles. Je voudrais qu’on pût le lire comme une histoire plus vaste que la mienne, encore que je désire m’en tenir à ce que j’ai vu. Je voudrais surtout, de même qu’on respire parfois dans une chanson à demi oubliée, dans une ancienne photographie, dans de vieilles images, le parfum et le souvenir de l’avant-guerre de 1914, je voudrais qu’on pût respirer ici le souvenir d’un temps particulier. Ce temps est peutêtre différent de ce qu’on a nommé l’après-guerre. Il est notre jeunesse, il est notre avant-guerre à nous. I…, 13 septembre 1939. <strong>...</strong></p>Hépess Pierre - Le dernier bal du grand soir ou la république universelleurn:md5:d24f2f220000db48ce6d2a5d86f01d352023-11-19T18:18:00+00:002023-11-19T18:55:03+00:00balderHépess PierreAmériquesAngleterreArménieBolchéviqueConspirationEuropeFascismeFranc-maçonnerieFranceHébraïsmeIsraëlPalestinePremière guerre mondialeProtocoles des sages de SionRévolutionTalmudTurquieVatican <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Hepess_Pierre_-_Le_dernier_bal_du_grand_soir_ou_la_republique_universelle.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hépess Pierre</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le dernier bal du grand soir ou la république universelle Etude sociologique, politique et historique</strong><br />
Année : 1954<br />
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En souvenir des peuples martyrs du drame de 1914-1918... A la mémoire du million et demi de chrétiens massacrés et crucifiés par les ploutocrates
francs-maçons et les renégats. Ce fut le grand malheur des humbles que de se fier aux promesses solennelles des hommes d'Etats de la Démocratie. En matière de politique, la vertu, comme un vieux meuble, se vend, hélas à l'encan... <strong>...</strong></p>Evola Julius - Paneurope et Fascismeurn:md5:712e4ef79139b2b4e71ccc6b84a18b1f2023-07-18T00:05:00+01:002023-07-17T23:30:21+01:00balderEvola JuliusEuropeFascisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Evola_Julius_-_Paneurope_et_Fascisme.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Evola Julius</strong><br />
Ouvrage : <strong>Paneurope et Fascisme, entretien avec le comte Richard Nikolaus von Coudenhove-Kalergi</strong><br />
Année : 19**<br />
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Précédé de Richard Nikolaus von Coudenhove-Kalergi, un révolutionnaire conservateur méconnu. <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - Hitler unificateururn:md5:31bccf82d6a25e83c18dd5ce1673a0972022-08-16T01:27:00+01:002024-02-16T01:33:38+00:00balderDegrelle LéonAllemagneEuropeFascismeFührerTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Degrelle_Leon_-_Hitler_unificateur.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>Hitler unificateur</strong><br />
Année : 2006<br />
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Qui liquiderait la faillite ? "Le pouvoir, nous l'avons. Nous allons commencer un travail de géants." Tel fut, à Berlin, la nuit du 30 janvier 1933, un des premiers propos de Hitler, acclamé par une foule déferlant pendant cinq heures sous les fenêtres de la Chancellerie. A quelques mètres de lui, le vieux maréchal von Hindenburg rythmait à coups de canne sur le parquet le fracas des fanfares. Des milliers de torches coulaient comme la lave en fusion le long de la Wilhelmstrasse. Mais Hitler restait pensif, l’œil morne malgré sa victoire. Après son combat électoral presque impossible, tout autre que lui eut perdu les étriers, assailli de toutes parts, n'avançant que de traquenards en traquenards. Son combat politique avait duré quatorze ans. Il en avait quarante-trois, presque quarante-quatre, c'est-à-dire qu'il était physiquement et intellectuellement au sommet de sa force. Il avait converti, un par un, des millions d' Allemands, avait formé avec eux le parti le plus puissant du Reich, qu'entouraient de leur rempart humain des centaines de milliers de SA (Sturm Abteilung), des prolétaires pour les trois quarts. <strong>...</strong></p>Degrelle Léon - De Rex à Hitlerurn:md5:1d2e12fe7653f057c45ce2e80c54d5ba2022-08-14T01:43:00+01:002024-02-14T02:00:22+00:00balderDegrelle LéonBelgiqueEuropeFascismeFührerRexTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Degrelle_Leon_-_De_Rex_a_Hitler.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Degrelle Léon</strong><br />
Ouvrage : <strong>De Rex à Hitler Sauver notre peuple et l'Europe</strong><br />
Année : 196*<br />
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Première partie. Tendus vers le National-Sacialisme. Chapitre 1. Veillée d'armes. Le temps de la lâcheté. - Confusion, corruption, espérances. - Plus loin que le palier allemand. - Egalité et fraternité des Nationalismes. - Les Poniatowski et les Saxons de Hitler. - L'uniforme marqué de l'écusson de chaque pays. - Serment à l'Europe, non au Reich. - L'autonomie parfaite des Légions. - Représenter son peuple ! - Elite politique et morale. - Gratuité du sacrifice. - Dans la joie et dans la foi. <strong>...</strong></p>Brenner Lenni - Le sionisme à l’âge des dictateursurn:md5:7b371494f39107f73d5b7affa841df822021-05-24T13:50:00+01:002021-05-24T12:55:26+01:00balderBrenner LenniEuropeFascismeHébraïsmeIsraëlTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Brenner_Lenni_-_Le_sionisme_a_l_age_des_dictateurs.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Brenner Lenni</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le sionisme à l’âge des dictateurs</strong><br />
Année : 1983<br />
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En guise d’introduction. Edward Mortimer. Contradiction, collusion et controverse. The Times, Londres, 11 février 1984 : Qui déclara, en mars 1912, devant un auditoire assemblé à Berlin, que « chaque pays ne peut absorber qu’un nombre de Juifs limité, s’il compte éviter les problèmes internes. Ce seuil a d’ores et déjà été dépassé en Allemagne » ? Non, ce n’était pas Adolf Hitler, mais Chaim Weizmann, qui allait devenir président de l’Organisation sioniste mondiale, puis premier président de l’État d’Israël. Et où pouvez-vous trouver l’affirmation suivante, écrite au départ en 1917, mais republiée jusqu’en 1936 : « Le Juif est une caricature de l’être humain normal et naturel, tant sur le plan physique que spirituel. Comme individu membre d’une société, il se révolte et perturbe le cadre des obligations sociales, et ne connaît ni ordre ni discipline » ? <strong>...</strong></p>Petrement Laurence - La pensée religieuse du Comte Ernst de Reventlowurn:md5:b242b4547dcd0f24c82d6eef2779be232021-01-23T01:32:00+00:002021-01-23T01:34:56+00:00balderPetrement LaurenceAllemagneFascismeReligionTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Petrement_Laurence_-_La_pensee_religieuse_du_Comte_Ernst_de_Reventlow.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Petrement Laurence</strong><br />
Ouvrage : <strong>La pensée religieuse du Comte Ernst de Reventlow Un national-socialiste atypique</strong><br />
Année : 2012<br />
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Introduction. Représentant au Reichstag du Deutschvölkische Freiheitspartei aux côtés d‟Albrecht von Graefe, Reinhold Wulle et Wilhelm Henning à partir de mai 1924 puis du NSDAP à partir de 1928, journaliste prolifique - son biographe Horst Boog évoque non sans humour « l‟incommensurabilité » de ses écrits - et rédacteur en chef du périodique « völkisch » Der Reichswart, le Comte Ernst de Reventlow (1869-1943) s'est illustré par son parcours politique et par sa plume qu'il met au service des idées « völkisch », dont il est un activiste incontournable : « Avec lui s‟éteint aujourd‟hui un homme droit, un national-socialiste engagé et un Allemand qui avait le courage de ses convictions » peut-on lire dans la presse à propos de son décès au soir du 22 novembre 1943. Comme le fait remarquer Horst Boog , c‟est un homme visiblement complexe, aux très multiples facettes: il est tout à la fois aristocrate, officier de marine (il porte le grade de Kapitänleutnant), intellectuel aux connaissances encyclopédiques, historiographe, homme de lettres, journaliste, critique et homme politique. <strong>...</strong></p>Villard Pierre - Voyage au bout de Célineurn:md5:efe9cf72a39a894dc5ccd17c372680722020-12-16T03:00:00+00:002020-12-16T03:04:18+00:00balderVillard PierreDanemarkFascismeFrance <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Villard_Pierre_-_Voyage_au_bout_de_Celine.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Villard Pierre</strong><br />
Ouvrage : <strong>Voyage au bout de Céline Sur les traces de Louis-Ferdinand Céline au Danemark</strong><br />
Année : 2020<br />
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«A travers le hublot de Fanehuset, j’aperçois ma Lucette ! J’observe sa brasse svelte, les lignes de son corps dans le bleu de la mer, pendant que je rédige ma réponse à Milton ; elle nage comme elle danse ma Lili ! Elle nage comme une ondine. Ma plume, elle, ne trouve pas les mots idoines, elle patine dans les concepts ! Il ne me lâche pas les baskets, ce Milton, avec ses questions d’esthète ! Et dire que trois courriers de curieux attendent sur mon bureau et ma réponse à l’avocat Tixier-Vignancour. La loi d’amnistie, ça commence à faire long ! Un hiver de plus et je crois bien que je vais rentrer en France entre quatre planches de sapin ! Et ce Milton ! c’est le raisonnement sans résonance. Comment lui expliquer, à ce Milton, que tout est d’abord résonance ? que le raisonnement vient seulement en récompense, comme un effet de ce qui résonne en soi. La résonance, c’est une longueur d’onde, une fréquence de l’émotion produite par la langue parlée. Au commencement était l’émotion ! Lorsque j’écris, je reconstitue l’émotion dans la feuille de papier de telle manière que le lecteur puisse entendre la petite musique célinienne... Mon roman est un sismographe à émotion. Tout ce qu’on entend n’est-il pas lignes de force émotives, nervures de langage ? Le poste radiophonique fonctionne aussi avec des ondes ; que des ondes en somme ! <strong>...</strong></p>Hitler Adolf - Guerre aux juifsurn:md5:0bf3a16ba7f1b7f20986f8cc85f9e3f92020-11-21T02:36:00+00:002021-11-03T01:24:36+00:00balderHitler AdolfAllemagneConspirationEuropeEx-LibrisEx-Libris LenculusFascismeFührerHébraïsmeRévolutionTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Hitler_Adolf_-_Guerre_aux_juifs.jpg" alt="" /><br />
Auteurs : <strong> Hitler Adolf - Rosenberg Alfred - Goebbels Joseph - Streicher Julius</strong><br />
Ouvrage : <strong>Guerre aux juifs</strong><br />
Année : 1938<br />
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Avant-propos. « Ce qui me donna le plus à réfléchir, ce fut le genre d’activité des Juifs dans certains domaines dont j’arrivai peu à peu à percer le mystère. « Car, était-il une saleté quelconque, une infamie sous quelque forme que ce fût, surtout dans la vie sociale, à laquelle un Juif au moins n’avait pas participé ? « Sitôt qu’on portait le scalpel dans un abcès de cette sorte, on découvrait comme un ver dans un corps en putréfaction un petit youtre tout ébloui par cette lumière subite. » C’est en ces termes qui ne laissent place à aucune ambiguïté qu’Adolf Hitler, au début de Mein Kampf, parle de ses premiers contacts avec les Israélites. Et Alfred Rosenberg, le grand théoricien du IIIe Reich, résume à son tour le Judaïsme en ces quelques lignes : « En étudiant l’histoire et la littérature des Juifs, on y trouve presque uniquement une activité acharnée, sans bornes, un rassemblement tout à fait unilatéral de toutes leurs forces en vue de la propriété matérielle. De cette tournure d’esprit — presque amorale, peut-on dire — résulte aussi un code de morale qui ne connaît qu’un article : l’avantage du Juif. Ainsi admet-on, approuve-t-on même la fourberie, le vol, le meurtre. De là découle l’autorisation religieuse et morale du parjure, la religion talmudique du « Mensonge légal. » Tous les penchants naturellement égoïstes sont renforcés par cette « moralité » tolérante. Alors que, chez presque tous les peuples du monde, les idées morales et religieuses barrent la route à l’arbitraire purement instinctif et à la licence effrénée, chez les Juifs c’est l’inverse ! « Aussi depuis 2500 ans nous assistons éternellement à la même histoire : avide des biens de ce monde, le Juif s’en va de ville en ville, de pays en pays, et séjourne là où il trouve le moins de résistance à son activité de parasite des « Affaires. » On le chasse, il revient ; on en massacre une génération, la suivante recommence imperturbablement le même jeu. Moitié fourbe et moitié démon, à la fois ridicule et tragique, méprisé de tout ce qui est noble — et s’estimant néanmoins ; innocent, parce qu’incapable de comprendre autre chose que soi-même — le Juif‑Errant fils du principe du Mal traverse l’histoire du monde. Changeant sans cesse de nom et cependant toujours identique, protestant toujours de sa sincérité et mentant sans cesse croyant toujours à sa « mission » et pourtant condamné par son absolue stérilité au métier de parasite, tel est le Juif éternel. » Voici, n’est-ce pas, une position nette et des gens proprement accommodés ; et ce n’est pas sans une certaine surprise et une indéniable incompréhension que tous les peuples du monde ont accueilli ces déclarations qui ne laissent point place à la moindre équivoque. « Guerre aux Juifs et Persécution religieuse — Vague d’antisémitisme en Allemagne. » C’est ainsi que l’Europe et l’Amérique ont jugé l’action du Führer et de ses collaborateurs, cherchant vainement une explication à cette offensive de grand style contre les Israélites. Les causes de cette action sont cependant de la plus extrême simplicité, et les dirigeants du IIIe Reich n’ont jamais caché les raisons et les mobiles de leurs actes. La « Guerre aux Juifs » en Allemagne est tout au contraire une guerre purement défensive, un acte d’autodéfense contre l’emprise morale et matérielle du judaïsme dont l’Allemagne a manqué mourir. Auto-défense à l’intérieur, où l’infiltration juive avait abouti à une main-mise totale sur les moyens d’expression de la pensée — livre, journal, théâtre, cinéma — où le Juif, maître tout puissant de la Bourse et de la grosse industrie, était devenu ipso‑facto le maître du travailleur allemand, du pain allemand, de la volonté productrice allemande, le tyran brutal de l’esprit et du corps allemand. Autodéfense à l’extérieur, où le Juif seul soulève contre l’Allemagne les « Démocraties » qui se mordront un jour les doigts de l’avoir accueilli. Sans le Juif, le péril Russe ne menacerait pas jour et nuit l’Allemagne de son rougeoiement de sang ; sans le Juif, la France n’eût jamais connu la honte et la folie du pacte soviétique ; sans le Juif l’Angleterre et la France auraient depuis longtemps renoué avec l’Allemagne les relations qui doivent automatiquement exister entre ces trois grands peuples. Contre le Juif du dehors comme du dedans, l’Allemagne, État souverain, prend telles mesures qu’il lui plaît et n’a à en rendre compte à personne. Libre aux sentimentaux de la Société des Nations — ce Conservatoire de l’Idéal Judéo‑Maçonnique, — de s’indigner vertueusement en toute hypocrisie. Les chefs de l’Allemagne, après avoir extirpé le Juif de leur sol, s’accouderont eux aussi à leurs fenêtres pour voir un peu ce qui se passe au dehors, et le spectacle sera réjouissant… et peut-être avant peu. Déjà la France sent qu’elle a des poux, et cette nation étourdie étouffe mal, sous une indignation de commande — plus gouvernementale que populaire — contre la « croisade hitlérienne anti-juive », sa démangeaison chaque jour grandissante et sa croissante envie de se gratter… Aujourd’hui, nous ne saurions mieux faire que de passer la plume aux Chefs Allemands, qui vont nous expliquer comment et pourquoi ils ont été amenés à faire campagne contre l’envahissement et l’encerclement Judaïques. <strong>...</strong></p>