Histoire Ebook - Mot-clé - HermèsRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearD'Espagnet Jean - La philosophie des anciens rétablie dans sa puretéurn:md5:9781e4935bf7503e3e628694ac39dcf52019-09-29T12:26:00+01:002019-09-29T11:32:13+01:00balderD'Espagnet JeanHermèsHermétisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/D_Espagnet_Jean_-_La_philosophie_des_anciens_retablie_dans_sa_purete.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>D'Espagnet Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>La philosophie des anciens rétablie dans sa pureté L'ouvrage secret de la philosophie d'Hermès</strong><br />
Année : *<br />
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Rétablie dans sa pureté où l’on voit à découvert toute l’économie de la nature, et où se manifeste quantité d’erreurs de la philosophie ancienne, étant rédigée par canons et démonstrations certaines. <strong>...</strong></p>Hermès Trismégiste - Corpus Hermeticumurn:md5:f83aad5f97598d686b9d721b73a7d48c2015-07-15T14:05:00+01:002015-07-15T13:08:48+01:00balderHermès TrismégisteEgypteGrèceHermèsHermétisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Hermes_Trismegiste_-_Corpus_Hermeticum.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hermès Trismégiste</strong><br />
Ouvrage : <strong>Corpus Hermeticum</strong><br />
Année : *<br />
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Pymandre. Un jour que je réfléchissais aux choses essentielles et que mon cour s'élevait dans les hauteurs, toutes mes sensations corporelles s'engourdirent complètement comme celui qui, après une nourriture exagérée ou à cause d'une grande fatigue physique, est surpris par un profond sommeil. <strong>...</strong></p>Schuré Edouard - Les Grands Initiésurn:md5:99fce5f38122a6d2e0ece60595044a9c2012-12-24T00:26:00+00:002017-03-07T13:17:09+00:00balderSchuré EdouardChristGrèceHermèsHébraïsmeIndeInitiationReligion <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Schure_Edouard_-_Les_Grands_Inities.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Schuré Edouard</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les Grands Initiés Esquisse de l'histoire secrète des religions Rama, Krishna, Hermès, Moïse, Orphée, Pythagore, Platon, Jésus</strong><br />
Année : 1921<br />
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Le plus grand mal de notre temps est que la Science et la Religion y apparaissent comme deux forces ennemies et irréductibles. Mal intellectuel d’autant plus pernicieux qu’il vient de haut et s’infiltre sourdement, mais sûrement, dans tous les esprits, comme un poison subtil qu’on respire dans l’air. Or, tout mal de l’intelligence devient à la longue un mal de l’âme et par suite un mal social. Tant que le christianisme ne fi t qu’affirmer naïvement la foi chrétienne au milieu d’une Europe encore à demi-barbare, comme au moyen âge, il fut la plus grande des forces morales ; il a formé l’âme de l’homme moderne. - Tant que la science, expérimentale, ouvertement reconstituée au seizième siècle, ne fi t que revendiquer les droits légitimes de la raison et sa liberté illimitée, elle fut la plus grande des forces intellectuelles ; elle a renouvelé la face du monde, affranchi l’homme de chaînes séculaires et fourni à l’esprit humain des bases indestructibles. Mais depuis que l’Église, ne pouvant plus prouver son dogme primaire en face des objections de la science, s’y est enfermée comme dans une maison sans fenêtres, opposant la foi à la raison comme un commandement absolu et indiscutable ; depuis que la Science, enivrée de ses découvertes dans le monde physique, faisant abstraction du monde psychique et intellectuel, est devenue agnostique dans sa méthode, matérialiste dans ses principes comme dans sa fi n ; depuis que la Philosophie, désorientée et impuissante entre les deux, a en quelque sorte abdiqué ses droits pour tomber dans un scepticisme transcendant, une scission profonde s’est faite dans l’âme de la société comme dans celle des individus. Ce conflit, d’abord nécessaire et utile, puisqu’il a établi les droits de la Raison et de la Science, a fi ni par devenir une cause d’impuissance et de dessèchements. La Religion répond aux besoins du cœur, de là sa magie éternelle ; la Science à ceux de l’esprit de là sa force invincible. Mais depuis longtemps, ces puissances ne savent plus s’entendre. La Religion sans preuve et la Science sans espoir sont debout, l’une en face de l’autre, et se défient sans pouvoir se vaincre. De là une contradiction profonde, une guerre cachées non seulement entre l’État et l’Église mais encore dans la Science elle-même, dans le sein de toutes les églises et jusque dans la conscience de tous les individus pensants. Car, qui que nous soyons, à quelque école philosophique, esthétique et sociale que nous appartenions nous portons en nous ces deux mondes ennemis, en apparence irréconciliables, qui naissent de deux besoins indestructibles de l’homme : le besoin scientifique et le besoin religieux. Cette situation, qui dure depuis plus de cent ans, n’a certainement pas peu contribué à développer les facultés humaines en les tendant les unes contre les autres. Elle a inspiré à la poésie et à la musique des accents d’un pathétique et d’un grandiose inouï. Mais aujourd’hui la tension prolongée et suraiguë a produit l’effet contraire. Comme l’abattement succède à la fièvre chez un malade, elle s’est changée en marasme, en dégoût, en impuissance. La Science ne s’occupe que du monde physique et matériel ; la philosophie morale a perdu la direction des intelligences ; la Religion gouverne encore dans une certaine mesure les masses, mais elle ne règne plus sur les sommets sociaux ; toujours grande par la charité, elle ne rayonne plus par la foi. Les guides intellectuels de notre temps sont des incrédules ou des sceptiques parfaitement sincères et loyaux. Mais ils doutent de leur art et se regardent en souriant comme les augures romains. En public, en privé, ils prédisent les catastrophes sociales sans trouver le remède, ou enveloppent leurs sombres oracles d’euphémismes prudents. Sous de tels auspices, la littérature et l’art ont perdu le sens du divin. Déshabituée des horizons éternels, une grande partie de la jeunesse a versé dans ce que ses maîtres nouveaux appellent le naturalisme, dégradant ainsi le beau nom de Nature. Car ce qu’ils décorent de ce vocable n’est que l’apologie des bas instincts, la fange du vice ou la peinture complaisante de nos platitudes sociales, en un mot, la négation systématique de l’âme et de l’intelligence. Et la pauvre Psyché ayant perdu ses ailes gémit et soupire étrangement au fond de ceux-là même qui l’insultent et la nient. A force de matérialisme, de positivisme et de scepticisme cette fi n de siècle en est arrivée à une fausse idée de la Vérité et du Progrès. Nos savants, qui pratiquent la méthode expérimentale de Bacon pour l’étude de l’univers visible avec une précision merveilleuse et d’admirables résultats, se font de la Vérité une idée tout extérieure et matérielle. Ils pensent qu’on s’en rapproche à mesure qu’on accumule un plus grand nombre de faits. Dans leur domaine, ils ont raison. Ce qu’il y a de grave, c’est que nos philosophes et nos moralistes ont fi ni par penser de même. A ce compte, il est certain que les causes premières et les fi ns dernières resteront à jamais impénétrables à l’esprit humain. Car, supposez que nous sachions exactement ce qui se passe, matériellement parlant, dans toutes les planètes du système solaire, ce qui, soit dit en passant, serait une magnifique base d’induction ; supposez même que nous sachions quelle sorte d’habitants renferment les satellites de Sirius et de plusieurs étoiles de la voie lactée. Certes, il serait merveilleux de savoir tout cela, mais en saurions-nous davantage sur la totalité de notre amas stellaire, sans parler de la nébuleuse d’Andromède et de la nuée de Magellan ? - Cela fait que notre temps conçoit le développement de l’humanité comme la marche éternelle vers une vérité indéfinie, indéfinissable et à jamais inaccessible. Voilà la conception de la philosophie positiviste d’Auguste Comte et de Herbert Spencer qui a pré valu de nos jours. Or, la Vérité était tout autre chose pour les sages et les théosophes de l’Orient et de la Grèce. Ils savaient sans doute qu’on ne peut l’embrasser et l’équilibrer sans une connaissance sommaire du monde physique, mais ils savaient aussi qu’elle réside avant tout en nous-mêmes, dans les principes intellectuels et dans la vie spirituelle de l’âme. Pour eux, l’âme était la seule, la divine réalité et la clef de l’univers. En ramassant leur volonté à son centre en développant ses facultés latentes, ils atteignaient à ce foyer vivant qu’ils nommaient Dieu, dont la lumière fait comprendre les hommes et les êtres. Pour eux, ce que nous nommons le Progrès, à savoir l’histoire du monde et des hommes, n’était que l’évolution dans le temps et dans l’espace de cette Cause centrale et de cette Fin dernière. – Et vous croyez peut-être que ces théosophes furent de purs contemplatifs, des rêveurs impuissants, des fakirs perchés sur leurs colonnes ? Erreur. Le monde n’a pas connu de plus grands hommes d’action, dans le sens le plus fécond, le plus incalculable du mot. Ils brillent comme des étoiles de première grandeur dans le ciel des âmes. Ils s’appellent Krishna, Bouddha, Zoroastre, Hermès, Moïse, Pythagore, Jésus, et ce furent de puissants mouleurs d’esprits, de formidables éveilleurs d’âmes, de salutaires organisateurs de sociétés. Ne vivant que pour leur idée, toujours prêts à mourir, et sachant que la mort pour la Vérité est l’action efficace et suprême, ils ont créé les sciences et les religions, par suite les lettres et les arts dont le suc nous nourrit encore et nous fait vivres. Et qu’est en train de produire le positivisme et le scepticisme de nos jours ? Une génération sèche, sans idéal, sans lumière et sans foi, ne croyant ni à l’âme ni à Dieu, ni à l’avenir de l’humanité, ni à cette vie ni à l’autre, sans énergie dans la volonté, doutant d’elle-même et de la liberté humaine. « C’est par leurs fruits que vous les jugerez », a dit Jésus. Ce mot du Maître des maîtres s’applique aux doctrines comme aux hommes. Oui, cette pensée s’impose : Ou la vérité est à Jamais inaccessible à l’homme, ou elle a été possédée dans une large mesure par les plus grands sages et les premiers initiateurs de la terre. Elle se trouve donc au fond de toutes les grandes religions et dans les livres sacrés de tous les peuples. Seulement, il faut savoir l’y trouver et l’en dégager. Si l’on regarde l’histoire des religions avec des yeux dessillés par cette vérité centrale que l’initiation intérieure peut seule donner, on demeure à la fois surpris et émerveillé. Ce qu’on aperçoit alors ne ressemble guère à ce qu’enseigne l’Église qui borne la révélation au christianisme et ne l’admet que dans son sens primaire. Mais cela ressemble tout aussi peu, à ce qu’enseigne la science purement naturaliste dans notre Université. Celle-ci se place cependant à un point de vue plus large. Elle met toutes les religions sur la même ligne et leur applique une méthode unique d’investigation. Son érudition est profonde, son zèle admirable, mais elle ne s’est pas encore élevée au point de vue de l’ésotérisme comparé, qui montre l’histoire des religions et de l’humanité sous un aspect entièrement nouveau. De cette hauteur, voici ce qu’on aperçoit : Toutes les grandes religions ont une histoire extérieure et une histoire intérieure ; l’une apparente, l’autre cachée. Par l’histoire extérieure, j’entends les dogmes et les mythes enseignés publiquement dans les temples et les écoles, reconnus dans le culte et les superstitions populaires. Par l’histoire intérieure, j’entends la science profonde, la doctrine secrète, l’action occulte des grands initiés, prophètes ou réformateurs qui ont créé, soutenu, propagé ces mêmes religions. La première, l’histoire officielle, celle qui se lit partout se passe au grand jour; elle n’en est pas moins obscure, embrouillée, contradictoire. La seconde, que j’appelle la tradition ésotérique ou la doctrine des Mystères, est très difficile à démêler. Car elle se passe dans le fond des temples, dans les confréries secrètes, et ses drames les plus saisissants se déroulent tout entiers dans l’âme des grands prophètes, qui n’ont confié à aucun parchemin ni à aucun disciple leurs crises suprêmes, leurs extases divines. Il faut la deviner. Mais une fois qu’on la voit, elle apparaît lumineuse, organique, toujours en harmonie avec elle-même. On pourrait aussi l’appeler l’histoire de la religion éternelle et universelle. En elle se montre le dessous des choses, l’endroit de la conscience humaine, dont l’histoire n’offre que l’envers laborieux. Là, nous saisissons le point générateur de la Religion et de la Philosophie qui se rejoignent à l’autre bout de l’ellipse par la science intégrale. Ce point correspond aux vérités transcendantes. Nous y trouvons la cause, l’origine et la fi n du prodigieux travail des siècles, la Providence en ses agents terrestres. Cette histoire est la seule dont je me sois occupé dans ce livre. <strong>...</strong></p>Renooz Céline - L'ère de vérité Livre 2 Le Monde Ancienurn:md5:f7269febbbb44b88042265bbc520c1502012-12-21T16:42:00+00:002017-03-07T13:20:36+00:00balderRenooz CélineGrèceHermèsHistoire InterditeReligionRévolution <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Renooz_Celine_-_L_ere_de_verite_Livre_2_Le_Monde_Ancien.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Renooz Céline</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'ère de vérité Histoire de la pensée humaine et de l'évolution morale de l'humanité à travers les ages et chez tous les peuples Livre 2 Le Monde Ancien</strong><br />
Année : 1924<br />
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Apparition du Prêtre destructeur de la Religion naturelle. L'âge noir (Kali-Youga). Polythéisme opposé à la Théogonie. Révolution religieuse universelle. La science primitive cachée par les Hermès. Le Surnaturel opposé aux lois de la Nature. L'autorité brutale usurpe le pouvoir de l'autorité morale. Documents détruits ou altérés. Bibliothèques brûlées. Renaissance Pythagoricienne. Décadence des nations. Fin de la civilisation antique. <strong>...</strong></p>Bosc Ernest - Isis dévoilée ou l'égyptologie sacréeurn:md5:8b63a40bd32a3c452988804c85bad5ab2012-12-20T00:48:00+00:002017-03-07T13:21:56+00:00balderBosc ErnestEgypteHermèsInitiationIsisKabbaleMusiqueMythologieReligionSymbolique <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Bosc_Ernest_-_Isis_devoilee_ou_l_egyptologie_sacree.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bosc Ernest (Marcus de Vèze J.)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Isis dévoilée ou l'égyptologie sacrée</strong><br />
Année : 1897<br />
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Hiéroglyphes, Papyrus, Livres d'Hermès, Religion, Mythes, Symboles, Psychologie, Philosophie, Morale, Art Sacré, Occultisme, Mystères, Initiation, Musique. <strong>...</strong></p>Ménard Louis - Hermès Trismégisteurn:md5:c39f832c621e189261fa2b5e0a1d36112012-11-14T15:36:00+00:002017-03-07T14:52:32+00:00balderMénard LouisChristChristianismeEuropeHermèsHermétismeHébraïsmeMagie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Menard_Louis_-_Hermes_Trismegiste.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Ménard Louis</strong><br />
Ouvrage : <strong>Hermès Trismégiste</strong><br />
Année : 1867<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Menard_Louis_-_Hermes_Trismegiste.zip">Menard_Louis_-_Hermes_Trismegiste.zip</a><br />
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Les livres d'Hermès Trismégiste ont joui d'une grande autorité pendant les premiers siècles de l'Église. Les docteurs chrétiens en invoquaient souvent le témoignage avec celui des Sibylles, qui avaient annoncé la venue du Christ aux païens pendant que les prophètes l'annonçaient aux Hébreux : « Hermès, dit Lactance, a découvert, je ne sais comment, presque toute la vérité. » On le regardait comme une sorte de révélateur inspiré, et ses écrits passaient pour des monuments authentiques de l'ancienne théologie des Egyptiens. Cette opinion fut acceptée par Marsile Ficin, Palrizzi, et les autres érudits de la Renaissance qui ont traduit ou commenté les livres hermétiques. Ils crurent y trouver la source première des initiations orphiques, de la philosophie de Pythagore et de Platon. Des doutes néanmoins ne tardèrent pas à s'élever sur l'authenticité de ces livres et de ceux qui portent le nom des Sibylles, et les progrès de la critique finirent par démontrer le caractère apocryphe des uns et des autres. Un savant commentaire a fixé la date des différentes séries des oracles sibyllins, œuvre en partie juive, en partie chrétienne, que Lactance et d'autres docteurs de l'Église, dupes eux-mêmes de la fraude de leurs devanciers, opposent souvent aux païens pour les convaincre de la vérité du christianisme. <strong>...</strong></p>Constant Alphonse-Louis - La Clef des grands mystèresurn:md5:65b8329cc9cfbbdaee15e01930a8436e2012-04-06T00:19:00+01:002017-03-08T17:11:37+00:00balderConstant Alphonse-LouisAbrahamHermèsHébraïsmeHénochIsraël <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Constant_Alphonse-Louis_-_La_Clef_des_grands_mysteres.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Constant Alphonse-Louis (Eliphas Lévi)</strong><br />
Ouvrage : <strong>La Clef des grands mystères suivant Hénoch, Abraham, Hermès Trismégiste, et Salomon</strong><br />
Année : 1861<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Constant_Alphonse-Louis_-_La_Clef_des_grands_mysteres.zip">Constant_Alphonse-Louis_-_La_Clef_des_grands_mysteres.zip</a><br />
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PRÉFACE. le domaine du mystère est donc un champ ouvert aux ·conquêtes de l'intelligence. On peut y marcher avec audace, jamais on n'en amoindrira l'étendue, .on changera seulement d'horizons. Tout savoir est le rêve de l'impossible, mais malheur à qui n'ose pas tout apprendre, et qui ne sait pas que pour savoir quelque chose il faut se résigner à étudier toujours! On dit que pour bien apprendre il faut oublier plusieurs fois. Le monde a suivi cette méthode. Tout ce qui est en question de nos jours avait été résolu par des anciens; antérieures à nos annales, leurs solutions écrites en hiéroglyphes n'avaient plus de sens pour nous; un homme en a retrouvé la clef, il a ouvert les nécropoles de la science antique et il donne à son siècle tout un monde de théorèmes oubliés, de synthèses simples et sublimes comme la nature, rayonnant toujours de l'unité et se multipliant comme les nombres, avec des proportions si exactes que le connu démontre et révèle l'inconnu. Comprendre cette science c'est voir Dieu. L'auteur de ce livre, en terminant son ouvrage, pensera l'avoir démontré. Puis, quand vous aurez vu Dieu, l'hiérophante vous dira: Tournez-vous, et dans l'ombre que vous projetez en présence de ce soleil des intelligences, il vous fera apparaitre le diable, ce fantôme noir que vous voyez quand vous ne regardez pas Dieu, et quand vous croyez remplir le ciel de votre ombre, parce que les vapeurs de la terre semblent la grandir en montant. <strong>...</strong></p>