Histoire Ebook - Mot-clé - MéditationRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearKrishnamurti Jiddu - Le livre de la méditation et de la vieurn:md5:960e0b918f317cf6c8602d8b1eb61fa52016-04-18T00:57:00+01:002016-04-18T00:00:47+01:00balderKrishnamurti JidduMéditationThéosophie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Krishnamurti_Jiddu_-_Le_livre_de_la_meditation_et_de_la_vie.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Krishnamurti Jiddu</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le livre de la méditation et de la vie</strong><br />
Année : 1997<br />
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Jiddu Krishnamurti demeure une référence dès lors qu'on parle de spiritualité et de méditation. Loin de prétendre à fonder une église ou une secte, ce philosophe inclassable invite chacun de nous à prendre conscience des multiples conditionnements qui l'environnent – idéologies, croyances, modèles sociaux... – afin de s'en dégager et de trouver en lui-même la source de sa liberté. <strong>...</strong></p>Krishnamurti Jiddu - La vraie lumière en nous La vraie méditationurn:md5:3c5dfbb435c0840cf55d978eed2aedca2016-04-17T23:24:00+01:002016-04-17T23:43:21+01:00balderKrishnamurti JidduMéditationThéosophie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Krishnamurti_Jiddu_-_La_vraie_lumiere_en_nous_La_vraie_meditation.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Krishnamurti Jiddu</strong><br />
Ouvrage : <strong>La vraie lumière en nous La vraie méditation</strong><br />
Année : 1968-1983<br />
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Quatrième de Couverture. Au cours de nombreuses années de discussions avec des interlocuteurs venus de tous les horizons de la société, comme au cours de causeries publiques qui ont drainé des foules d'auditeurs partout dans le monde, Krishnamurti n'a cessé de souligner la nécessité de rentrer en soi-même, de se connaître soi-même, si l'on veut pouvoir comprendre les racines profondes des conflits communs à l'individu et à la société - car " nous sommes le monde ", et c'est donc notre chaos personnel qui est à la source du désordre général. Les extraits de causeries inédites présentés ici illustrent la vision intensément lucide grâce à laquelle Krishnamurti a su explorer et faire découvrir à tous la source originelle de sa vraie liberté, de sa vraie sagesse, de sa vraie vertu. Une vision qui défie le temps. J. Krishnamurti (1895-1986) est un penseur très à part dans l'histoire des mouvements spirituels. A l'écart des normes, des conventions, des traditions, des doctrines, des églises, il a toujours obstinément refusé toute position d'autorité, laissant à chaque individu la liberté entière d'interpréter son message. <strong>...</strong></p>Evola Julius - Méditations du haut des cimesurn:md5:4153ef704648f3821ba1badcf5addc582016-02-29T02:07:00+00:002016-03-01T04:03:36+00:00balderEvola JuliusEuropeFascismeInitiationItalieMéditationSymboliqueTradition <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Evola_Julius_-_Meditations_du_haut_des_cimes.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Evola Julius (Giulio Cesare Evola)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Méditations du haut des cimes Traduction de la deuxième édition italienne augmentée de trois articles</strong><br />
Année : 1974<br />
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Préface de la deuxième édition italienne. Nous avions réuni, à la fin de l'année 1973, et avec l'accord de l'auteur, une série de textes sur la montagne, qui parut au début de l'année 1974 sous le titre Meditazioni delle velte et fut très bien accueillie, tant par le public que par la critique. Nous publions maintenant une deuxième édition augmentée de trois articles, après la parution d' ne traduction espagnole et de traductions partielles en français et en allemand, et notre pensée se tourne vers le grand maître entre-temps disparu, dont les textes sur la montagne revêtent une importance qualitative tout à fait particulière. <strong>...</strong></p>Coquet Michel - Les chacras L'anatomie occulte de l'Hommeurn:md5:0990c22386c7d89cc01945665df051b92015-08-08T17:03:00+01:002015-08-08T17:03:00+01:00balderCoquet MichelMédecineMéditationYoga <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Coquet_Michel_-_Les_chacras_L_anatomie_occulte_de_l_Homme.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Coquet Michel</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les chacras L'anatomie occulte de l'Homme</strong><br />
Année : 2002<br />
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Les Orientaux ont développé au cours des millénaires un esprit d’introspection et leur prérogative fut le pouvoir d’approfondir leur nature invisible et d'en percer les subtils secrets. Des siècles de régime strictement végétarien et d’ascétisme mystique leur ont donné un tempérament léthargique les prédisposant à la méditation et à la contemplation. Il n’est donc pas étonnant que notre frère oriental ait appris bien des choses que nous ignorons encore sur les fonctions de la contrepartie spirituelle de l'homme physique. L'Occidental, quant à lui, agit moins par la méditation que par l’action et la réflexion. Son mental dynamique, voire turbulent, lui permet une approche de la connaissance plus rationnelle, ce qui contribua au développement de la science moderne. L'Occidental est donc surtoutcréateur de civilisation, alors que son frère oriental fut surtout un créateur de religion. Ces deux grands continents apprirent chacun les leçons nécessaires à leur épanouissement et développèrent les qualités de leur expression raciale respective. Les qualités et les défauts qu’ils développèrent peuvent être d’une manière générale ainsi décrites : l'Oriental devint un ascète souvent extrémiste dans sa pratique religieuse et l’Occidental, s'étant épris d’une science sans conscience, devint une machine sans âme et prostitua ses découvertes à des intérêts personnels. Si religion et science vécurent heureuses et unies dans la lointaine Antiquité, il en est tout autrement de nos jours. Un réel effort est nécessaire afin que notre petite pierre vienne s’unir aux efforts des gens de bonne volonté et qu’ensemble nous construisions une magnifique pyramide offrant comme aux temps jadis son mysticisme scientifique et sa science religieuse, car jamais l'un n'a vécu sans l’autre. L’homme est matière et esprit ; cette vérité donna naissance à la science et à la religion. On conçoit donc l’absurdité de supposer un seul instant que le corps puisse survivre sans la présence permanente de l’esprit ou, en d’autres termes, que la science puisse s'élever sans conscience. Ainsi notre effort, aussi modeste soit-il, est d'unir à nouveau ce que les hommes ont voulu séparer : l’âme et son mécanisme. Nous reconnaissons cependant qu’un dessein sous-jacent avait peut-être prévu ce déroulement et que de cette façon un aspect positif ait germé et porté ses fruits. Ainsi, le rationalisme occidental a certainement contribué à éviter les excès d’un mysticisme fanatique, superstitieux, voire fantaisiste, et la contemplation orientale, même dans ses excès, a permis de démontrer de façon expérimentale la puissance de la volonté sur le corps et également de faciliter une étude approfondie de l’ontologie grâce au développement et à l’application de facultés psychiques et spirituelles comme moyens d’étude et d'introspection. Comme nous pouvons le constater, l'Orient s'attache (ou réagit) aux causes et aux forces (l'esprit), alors que l'Occident centre surtout son intérêt sur le monde phénoménal, celui des effets et des formes (les corps). Les Maîtres de Sagesse orientaux et occidentaux, sachant cela, ont donc mis au point des systèmes religieux, mystiques et initiaques conformes aux capacités de chacune de ces races afin de permettre un épanouissement intérieur de l'homme et surtout d'éviter les risques nombreux dus à certaines techniques psycho-physiques qui, si elles s'avèrent utiles pour certains, peuvent rester inefficaces, voire dangereuses, pour d'autres. Il semblait donc intéressant de synthétiser en un tout harmonieux le visible et l'invisible, afin de mettre à la portée du lecteur un condensé permettant une approche simplifiée se rapportant à cette branche de la Yoga connue en Inde sous le nom de Laya Yoga, ou Yoga des centres. Cependant, nous n'avons aucunement l'intention d'enseigner ou de conseiller une technique ou une méthode quelconque, étant donné que chacun doit être à même de découvrir sa propre école traditionnelle, celle qui répond le mieux à ses aspirations du moment. Du Laya Yoga, nous ne garderons donc que l'étude particulière sur les centres psychiques ou çakras. Bien des étudiants avancés sur le sentier mystique ont lis l’accent sur le fait que l’homme véritable n’est pas ensemble de ses corps denses ou subtils, mais qu'il est avant tout un « Soi Divin » faisant partie intégrante d'un grand Tout, je dirai même d’un Absolu. De nombreux auteurs initiés ont traité de ce Soi Divin avec éloquence et connaissance - .cependant, moins nombreux sont les chercheurs qui ont approfondi le corps éthérique, corps d'énergie unissant le corps physique au Soi divin, permettant à ce dernier d’influencer et de trans-lettre son dessein à la forme terrestre afin que l’intention divine puisse finalement s'exprimer sur la terre à travers une personnalité rendue parfaite et s’exprimant n puissance, en amour et en sagesse. Les Maîtres de la connaissance insistent particulièrement sur le fait que ce corps éthérique ou vital est le responsable de nombreuses maladies et que sa reconnaissance par la science permettrait un progrès spectaculaire dans le domaine de la médecine. L’étude du corps éthérique est restée depuis longtemps le domaine réservé de l'élite des clairvoyants initiés, je parle bien entendu des véritables Initiés dont la vision débouche sur un autre plan de conscience que celui des voyants tout juste capables de percevoir les fantasmagories de l'astral inférieur, refuge des fantaisies, des désirs inassouvis, des mirages. De ce fait, peu nombreux sont les étudiants capables de savoir que tel ou tel centre psychique de leur corps éthérique est hyperactif ou au contraire hypo actif. Nous avons donc cherché à combler cette lacune car, contrairement à la croyance, peu de gens sont de véritables clairvoyants, et pour cela nous avons pris comme point de départ la grande loi cosmique qui veut que le corps physique soit l'exacte reproduction de son archétype vital. Ce corps est, nous le verrons en détail, constitué d’un ensemble de fils d’énergie très finement entrecroisés. Lorsque plusieurs de ces filaments d’énergie se croisent au même endroit, cela crée un centre radiant de force concentrée que nous appelons un centre psychique et que les Orientaux nomment çakra (roue) ou padma (lotus) en raison du fait que, perçu par clairvoyance, un centre, s'il est inactif, ressemble à une simple roue, et s’il est actif, prend l'apparence d'une fleur de lotus épanouie et irradiante, constituée de plusieurs pétales de différentes couleurs, ces couleurs n’étant que les manifestations des taux de fréquence vibratoire de l'énergie des pétales du centre. Les occultistes et les mystiques des anciennes traditions acceptent l'idée que l’homme est né lumière et qu’au cours du temps cette lumière s’est peu à peu voilée à mesure que l'homme a développé des corps de moins en moins subtils, jusqu’à devenir l’homme terrestre que nous sommes maintenant. Cependant ce corps est entièrement construit sur le moule du corps vital, ses nerfs sont la reproduction des filaments d'énergie du corps vital. De même, chaque centre psychique s'est au cours du temps extériorisé physiquement sous la forme d’une glande endocrine (c'est-à-dire à sécrétion interne). Bien entendu, l'étude des glandes et la parfaite compréhension de leurs différentes fonctions ne permettront jamais de remplacer la connaissance acquise par la vision intérieure, mais il reste possible, en approfondissant la nature de nos pensées, en déterminant quelles sont nos qualités ou nos vices, nos tendances les plus secrètes, nos traits de caractères, nos idéaux, de définir, par la connaissance des qualités des glandes elles-mêmes, lesquelles sont à développer ou au contraire à régulariser. Bien entendu cette recherche n’est pas toujours facile car un vice ou une qualité sont souvent déterminés par l’interaction de plusieurs glandes. Il convient donc de faire soi-même l’étude nécessaire, l’auteur ne faisant ici que donner les outils. Nous allons prendre un exemple très simple. Une personne hyper-active dans la vie quotidienne, toujours énervée, ne tenant jamais en place, très émotive de surcroît, mais ayant une bonne santé et une bonne ossature ainsi qu’une grande vitalité intellectuelle, pourra présumer avec un bon pourcentage de chance qu’elle appartient à la catégorie des hyperthyro ïdiens (il existe bien d’autres signes que chacun pourra découvrir). Dans un tel cas, il faut étudier et méditer sur le centre correspondant ou plutôt sur les qualités de sa nature (et non pas sur le centre lui-même), puis essayer de conformer sa vie et ses pensées au dessein du centre, qui ici sera le centre laryngé, afin de les harmoniser avec lui. Ainsi, en changeant la nature de nos pensées, nous pouvons remédier aux problèmes psychologiques et physiques, tant il est vrai que l'énergie suit la pensée ou, comme l’affirment les mystiques, que la pensée est créatrice. Nos pensées quotidiennes, surtout lorsqu’elles s'expriment avec une grande proportion de libre arbitre ou, en d'autres termes, lorsque notre conscience objective agit par sa propre volonté, affectent, selon l’intensité de nos émotions, les centres psychiques majeurs, les inhibant ou les stimulant. Nous savons que ce sont ces centres de force qui envoient certaines énergies qualifiées dans toutes les parties du corps par l'intermédiaire des systèmes nerveux, systèmes importants puisqu'ils vont eux-mêmes agir et conditionner tout le système endocrinien. Les glandes endocrines si elles sont inactives causeront des tares génétiques importantes, actives elles produiront des facultés extraordinaires ; par exemple un crétin auquel on administre de la thyroxine pourra redevenir normal. Les glandes agissant les unes sur les autres déterminent donc chez l’individu son tempérament, son caractère et sa personnalité, ainsi que ses facultés tant physiques que spirituelles, le courant sanguin étant porteur, via les hormones, de forces et d’énergies à prédominance constructive, ou au contraire destructive. Bien entendu, il ne s’agit pas de croire qu'il existe de bonnes et de mauvaises glandes, car toutes sont d'égale importance, mais les bons effets résulteront de glandes parfaitement actives et les mauvais de glandes inactives. Notre étude portera donc tout spécialement sur le triple instrument de l’âme, à savoir : Les sept centres majeurs de force, système qui, vu sous l’angle circulatoire, est gouverné par la lune. Les trois systèmes nerveux, le cérébro-spinal, le sympathique et le périphérique que l'on dit régis par Vénus. Le système endocrinien qui est l’extériorisation la plus dense des deux systèmes précédents et qui est gouverné par Saturne. En ce qui concerne le nombre des centres importants, j'ai confronté des thèses quelque peu différentes. Les Orientaux et les théosophes mentionnent sept centres d’importance majeure : le centre coccygien, le centre sacré, le centre solaire, le centre cardiaque, le centre laryngé, le centre frontal et le centre coronal. L'école Shingon japonaise omet le centre sacré et donne le centre des épaules et les deux centres situés sur chaque genou. D’autres écoles unissent en un tout la pinéale et la pituitaire. Toutes ces théories sont bonnes mais procèdent simplement de techniques différentes. Il semble en définitive qu’il y ait douze centres psychiques : les sept majeurs cités ci-dessus, plus le centre éthérique de la rate (différent du centre sacré), une partie spirituelle à l’intérieur du cœur physique, les parathyroïdes comptant pour deux, et l’alta-major. Les autres centres mentionnés dans les écrits orientaux sont à mettre dans la catégorie des centres moyens ou mineurs. J'aimerais à nouveau préciser au lecteur non averti qu’en ce qui concerne le choix d’une méthode pour apprendre à stimuler les centres et le corps psychiques, il est impératif de prendre conscience que la vie citadine et la pollution qu'elle implique peut apporter de nombreux dangers à ceux qui, contre toute prudence, s’adonnent à des techniques spécifiques sur les centres situés le long de l’épine dorsale. On peut affirmer que, de nos jours, un disciple sur mille naît avec des conditions karmiques favorables à cette forme d’ascèse, qu’il s’agisse de son pays de naissance, de sa condition sociale ou de son véhicule physique. Il est vital de savoir qu’une très longue préparation est nécessaire avant d’être mis en présence d’un instructeur éclairé et une vie n’est pas toujours suffisante. Pour cela, il existe en Occident des écoles traditionnelles parfaitement compétentes qui évitent avec sagesse tous les excès et prennent en considération les conditions difficiles et contraignantes de notre société. Dans de telles écoles, un enseignement non sectaire et non dogmatique est proposé à l'aspirant, ainsi qu'une technique initiatique équilibrée et harmonieuse, afin que des valeurs nouvelles imprègnent toutes ses pensées et lui permettent d'exprimer, grâce à une personnalité magnétique et bien intégrée, le dessein de son âme. Cette condition est essentielle avant que ne soit entrepris un entraînement purement psychique, l'école lui enseignera les raisons profondes qui le poussent à vouloir progresser vers un objectif qui n'est pas toujours reconnu, elle posera la question du juste motif à laquelle devra répondre le néophyte selon sa propre vision, et cela avant de pouvoir parcourir le sentier difficile de la réintégration ; enfin elle insistera sur la notion fondamentale du SERVICE. Si tout cela est parfaitement compris et réalisé, les exercices spirituels de concentration et méditation donneront rapidement de fructueux résultats. L'intention de cet essai est de rendre accessible dans la mesure du possible une connaissance qui trop longtemps est restée voilée par une terminologie orientalisée qui le plus souvent n'avait d'intérêt que pour l’élite intellectuelle des familiers du sanskrit. Le lecteur doit être prévenu que l’auteur de ces lignes ne revendique que bien peu des connaissances données dans cet ouvrage. Une petite partie lui fut communiquée à partir de l’enseignement de l’école Shingon (secte ésotérique et tantrique nipponne) par l’intermédiaire d’un maître de Kyudo (tir à l’arc Zen). Maître Masahiko Tokuda ; qu’il en soit ici affectueusement remercié. D'autres connaissances viennent du Maître de Sagesse Djwal Khul mieux connu sous le pseudonyme du « Tibétain », qui aida à la compilation de la Doctrine secrète de H.P. Blavatsky et à l’oeuvre non moins exceptionnelle transcrite par A.A. Bailey. D'utiles informations m'ont également été données par l’Eglise Catholique Libérale dont l’un des évêques fondateur fut le grand clairvoyant Mgr C.W. Leadbeater à qui l’on doit un exceptionnel ouvrage sur les çakras. Enfin, les données traditionnelles hindoues concernant les çakras ont été tirées des ouvrages les plus sérieux tels que ceux d'Arthur Avalon, du Lama Anagarika Govinda, d'Aurobindo, de Tara Michaël et de Jean Herbert. De tout cela, une synthèse s’imposait afin de permettre une approche plus pratique qu’intellectuelle des centres psychiques. <strong>...</strong></p>Coquet Michel - La méditation Seishinurn:md5:3a8cfb3fc1e15d22e633e6e3005eb3ed2015-08-08T16:55:00+01:002015-08-08T15:58:58+01:00balderCoquet MichelAsieMéditation <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Coquet_Michel_-_La_meditation_Seishin.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Coquet Michel</strong><br />
Ouvrage : <strong>La méditation Seishin Tiré de « Budo ésotérique ou la voie des arts martiaux »</strong><br />
Année : 1985<br />
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C'est à l’université de Koya-san (près de Kyoto), qu'il me fut donné de rencontrer un groupe d'étudiants se préparant à devenir des moines de l'école Shingon. Certains membres de ce groupe s'entraînaient au karatédo et recevaient un enseignement privé sur cet art, par l'intermédiaire d’un maître de temple, du nom de Heiya. C'est du moins de cette manière qu’il voulait être appelé par ce groupe. Je n'eus que peu de contacts avec le groupe luim ême, car je ne restais jamais très longtemps à Koya-san. Mes relations avec Heiya Sensei furent cependant très riches. Lorsque je revins en France, Heiya Sensei, qui connaissait mon désir d'enseigner le budo traditionnel en Europe, me dévoila une méthode de méditation. Cette méditation est appelée Seishin. Selon Heiya Sensei, cette technique n'avait jamais été enseignée autre part que dans des groupes très clos, appartenant plus ou moins aux ascètes du Shugendo. Il me dit aussi que cette méditation était comparable au Zen, et peut être pratiquée par tous, sans danger, pourvu que soient respectées les règles simples qui la régissent. Seishin est un mot composé de deux idéogrammes Sei : l’esprit, et Shin : le c'ur. Il est difficile de connaître l’exacte signification du mot en lui-même, mais il semble que Heiya Sensei entendait par Sei : l'énergie du principe vital et par Shin : ce qui se rapporte au sentiment élevé de la conscience. Seishin, indique à la fois un principe de vie et de conscience. Quoi qu'il en soit, Seishin renferme un pouvoir réel lorsqu'il est pratiqué régulièrement. Les effets sont divers et toujours propres aux individus qui la pratiquent. Lorsqu'il est raisonnablement appliqué et que le méditant parvient à une certaine maîtrise, on peut être à même de réduire son temps de sommeil. D'autres effets arrivent rapidement: l'oubli total du corps, l'arrêt presque total de la respiration. Et lorsque la notion de temps, d'espace, de lieu ont disparu, il ne reste que le Soi. « Il ne sait qui il est, mais cependant, il est ». La réalisation du Soi émerge alors, progressivement pour certains, dans une expérience soudaine pour d’autres. Cette méditation est fort simple. Elle est unique et sa forme extérieure peut lasser celui qui n'est pas motivé. Seul l’ego se lasse, « Le Soi est un puits sans fond qu'il faut pénétrer sans cesse ». «Celui qui se lasse, est comme un homme qui joue près d’un portail, il finit par se lasser de l'endroit, mais il ne fait pas l'effort de passer le portail pour découvrir les trésors illimités du château. ». Enfin, un dernier mot : la méditation Seishin résume en elle-même les cinq étapes qui mènent l’aspirant aux portes de la libération, puisqu'en effet, au fur et à mesure de sa pratique, lui sont donnés intérieurement et extérieurement les éléments essentiels nécessaires à l'aboutissement de ses projets spirituels. <strong>...</strong></p>Chaumette Yves - Vers la source de conscienceurn:md5:9503c3cf84378caa4a4d4e72bfa94e202012-11-02T22:34:00+00:002017-03-07T15:13:16+00:00balderChaumette YvesMéditation <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Chaumette_Yves_-_Vers_la_source_de_conscience.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Chaumette Yves</strong><br />
Ouvrage : <strong>Vers la source de conscience Tome 1 et 2</strong><br />
Année : 2002<br />
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Pourquoi cet entraînement ? Le but des exercices proposés ici est de percevoir l'Esprit en nous, d'entrer en contact avec notre Etre réel, notre Soi profond, ce qui est la Source de notre Etre, la Source de l'attention. C'est aussi le facteur psychique qui intègre nos expériences et la source de cohésion de notre corps. La pratique de ces exercices constitue un entraînement qui permet de ressentir une diversité d'énergies subjectives diffusées par la pure conscience. Nous l'appelons AUTO-ÉCOLE ou école du Soi, car nous apprenons par nous-mêmes. C'est notre Soi réel, notre identité profonde qui se dévoile, c'est notre expérimentation et l'assimilation de ces contacts qui forment notre progression et la construction de nous-mêmes. Cette découverte de Soi, cette élaboration ne peut se lire dans des textes ou des "enseignements" ; certes ces écrits nous mettent sur la voie. Mais ce sont les expériences en nous-mêmes, l'expérimentation et l'exploration de cette Source qui nous apportent la Joie, la Victoire et la raison d'être de notre existence. Et par là-même la raison de cet entraînement. Aussi, ces cahiers reprennent des citations et textes de réflexion, surtout ils comprennent des schémas de méditation qui sont autant de protocoles d'expérience ou cartes d'invitation pour explorer plus avant notre Réalité intérieure. Vous êtes donc invités à pratiquer les exercices de votre choix dans ce cahier, l'essentiel étant l'attention portée à votre besoin intérieur et une pratique régulière. Il a fallu des années pour que nous apprenions à être adultes, il faut de la patience pour apprendre à percevoir, assimiler et utiliser notre Etre réel. Ces exercices peuvent se pratiquer en groupe, ce qui rend l'entraînement plus attrayant et vous pouvez nous joindre si vous souhaitez une aide. Les termes des exercices ont été choisis avec soin, ils ont été testés, éprouvés des dizaines de fois. Votre propre expérience par la suite vous amènera peut-être à chercher et trouver des variantes à ces exercices. Cette école du Soi, auto-école, repose donc sur un entraînement quotidien qui ne demande que quelques minutes et peut s'allier à d'autres mouvements ou voies spirituelles. À qui s'adresse ce cahier ? Ce manuel s'adresse à tous ceux qui souhaitent découvrir le Soi. Pourtant l'expérience montre qu'il faut avoir fait ses premiers pas vers la réalité subjective -que ce soit par le yoga, la relaxation, la sophrologie, le Zen, la méditation taoïste ... – pour se sentir libre de choisir un exercice et d'expérimenter par soi-même. Le manuel parlera donc plus facilement à ceux qui ont plus d'expérience ou qui entraînent d'autres chercheurs. Il offre alors un éventail d'exercices sûrs et aide à élargir la pratique de votre groupe. Ce cahier s'adresse à des personnes capables de s'exercer. Pratiquer les exercices seul suppose discipline et confiance en soi, confiance dans sa capacité de percevoir, d'explorer et de découvrir des faits subjectifs, cela suppose une certaine aisance en ce domaine subtil. Il est plus facile de s'exercer en groupe, du moins au début. Le groupe favorise l'entraînement, on est guidé, on apprend facilement à échanger, on peut surmonter ses peurs ; le groupe amène aussi des difficultés, car le contact avec les autres est survalorisé, des éléments affectifs sont amplifiés au détriment des faits centraux à la conscience. Mais le groupe est un lieu d'apprentissage pour la plupart d'entre nous, au moins pendant un temps. Pour s'exercer, il faut une approche théorique donnée par des lectures, des conférences… pour savoir que quelque chose est possible dans cette direction. Nous nous sommes beaucoup servis des livres d'Alice Bailey, de l'Agni Yoga mais tout écrit spirituel peut vous aider (Srî Aurobindo, Teilhard de Chardin, les grandes traditions : le Tao, le Soufisme, la Kabale, le Bouddhisme…). Ces cahiers proposent donc une pratique, ils ne constituent pas un enseignement. Répétons-le, cette pratique n'est pas exclusive ; elle peut accompagner ou s'enrichir d'autres exercices (religieux, spirituels). L'Auto-école met l'accent sur la perception des énergies subjectives, quel que soit le nom que vous leur donnez, sur la découverte expérimentale de Soi. <strong>...</strong></p>Desjardins Arnaud - Approches de la méditationurn:md5:165fa85368515d69aee69136fcc073672012-08-08T15:41:00+01:002017-03-08T11:39:46+00:00balderDesjardins ArnaudMéditation <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Desjardins_Arnaud_-_Approches_de_la_meditation.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Desjardins Arnaud</strong><br />
Ouvrage : <strong>Approches de la méditation</strong><br />
Année : 1989<br />
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Cet ouvrage n’a rien d’un traité exhaustif décrivant toutes les pratiques qui peuvent être considé-rées comme une forme ou une autre de méditation. Cherchez ce mot dans un dictionnaire et vous verrez le nombre d’acceptions diverses sous lequel il peut être envisagé. Comme l’annonce le titre, il ne s’agit ici que de quelques approches accessibles aux hommes et femmes engagés dans la vie du siècle. Je n’ai pas évoqué les visualisations de divinités qui sont au coeur du yoga tantrique hindou ou bouddhiste ni la répétition d’une formule sacrée, telle que le japa des hindous ou le dhikr des soufis, bien que je m’y sois moi-même exercé autrefois. Par contre, cet ouvrage doit cer-tainement beaucoup à mes premières années dans les « Groupes » issus de G.I. Gurdjieff, à Karl-fried von Dürckheim et à un yogi du nom de Dattatreyananda à qui Mâ Anandamayi avait deman-dé de perfectionner mon expérience du yoga en 1961 et 1963. Quant à celui qui fut plus que tout autre mon gourou, Sri Swâmi Prajnanpad, je lui dois d’avoir reconnu l’importance d’une longue ascèse, menée dans le courant de l’existence, pour tarir à leur source les perturbations et même les simples distractions du mental. L’énergie investie dans des attachements présents, dits normaux, ou périmés, dits névrotiques, est libérée peu à peu et se trouve disponible pour un retour au Centre, au Coeur. Chercher à réaliser le Soi en conservant ses attachements est une vaine entreprise. Trop souvent, concentration (dharana) et méditation (dhyana) consistent à dénier, renier ce qui est en nous. On ne peut avoir ni dharana, ni dhyana, ni samadhi. Ce sont des états (ou une absence d’état) qui se révèlent d’eux-mêmes lorsque les conditions intérieures sont réunies. Dans le tome III des Chemins de la Sagesse paru en 1973, j’écrivais déjà, page 175: « Qui médite? Le mental. Sur quoi? Sur ce qui n’est pas le mental. N’importe qui ne peut pas conduire une voiture. Pour conduire il faut être un chauffeur. Pour nager il faut être un nageur. Pour méditer il faut être un méditateur. N’importe qui peut, immédiatement, s’asseoir jambes plus ou moins bien croisées, dos plus ou moins droit et rester plus ou moins longtemps dans cette position. N’importe qui ne peut pas être un méditateur. N’est un méditateur que celui qui peut faire silence au point de disparaître, celui qui ne demande rien, ne cherche rien, ne se souvient de rien, ne prévoit rien, ne compare rien, a renoncé à toutes les expériences transcendantes. L’égoïste n’est jamais un méditateur. Celui qui demeure prisonnier d’une méthode, d’une technique non plus. Celui qui se bat avec lui-même pour concentrer son at-tention encore moins. » Ces propos sévères mais fidèles à Swâmi Prajnanpad ont amené beaucoup de mes lecteurs ou auditeurs à conclure que je considérais l’assise immobile comme inutile. C’est faux. J’ai calculé que j’avais dû, dans cette existence, consacrer moi-même au moins quatre mille heures à la médi-tation. Cela paraît beaucoup vu de France. C’est peu, très peu, vu de l’Inde ou du Japon. Je sou-haite que ce livre rende justice à cette « méditation » en témoignant que l’intériorisation silen-cieuse a sa place dans l’ensemble d’une voie que Swâmi Prajnanpad désignait comme « adhyatma yoga », yoga en direction du Soi. Le titre de cet ouvrage précise « approches » au pluriel. Ces approches sont nombreuses. Même le but vers lequel elles pointent peut être envisagé intellectuellement de diverses manières qui ne se contredisent qu’en apparence. Et, pour commencer, ce but peut être légitimement présenté comme un non-but ou une absence de but. Il s’agit toujours d’une découverte intérieure, d’une réalisation personnelle mais supra-individuelle, celle de l’essence ultime de notre conscience ou de notre esprit. Pour s’en rappro-cher, il nous est proposé de nous centrer dans le « hara » (bas-ventre), dans le coeur ou, au contraire, de surtout ne nous centrer nulle part pour redonner à l’« Esprit vaste » sa dimension infinie. Le néophyte peut être dérouté désemparé même, en présence de ces divergences. L’important est de suivre une voie et d’être guidé sur cette voie. Les bouddhistes utilisent le terme « véhicule » ou « radeau pour passer sur l’autre rive ». Personne n’a jamais accompli un voyage simultanément dans deux véhicules différents et les « pièces détachées » d’un modèle ne s’adaptent que rarement à un autre. Ce qui est évoqué ici n’est pas un syncrétisme mais une synthèse. Quant aux formes ultimes, ou plutôt au sans-forme ultime de la méditation il se transmet de maître à disciple. Composés à partir de paroles enregistrées au magnétophone, les chapitres qui vont suivre en ont les inconvénients : défauts de structure et redites car la même idée peut être reprise dans des contextes ou selon des points de vue différents – et les avantages : abord familier s’adressant di-rectement au lecteur comme à l’auditeur. J’ai voulu en faire un ouvrage concret, fondé sur l’expérience et susceptible de rendre service. Ce livre est une simple introduction à un monde qui le dépasse infiniment. <strong>...</strong></p>