Histoire Ebook - Mot-clé - RéincarnationRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearEncausse Gérard - Réincarnation et métempsychoseurn:md5:8edb4db182b32fdb8bf667872fc7d61b2018-01-04T00:29:00+00:002018-08-06T21:26:37+01:00balderEncausse GérardAstralRéincarnation <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Encausse_Gerard_-_Reincarnation_et_metempsychose.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Encausse Gérard (Papus)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Réincarnation et métempsychose L’évolution physique, astrale et spirituelle</strong><br />
Année : 1945<br />
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La réincarnation. La réincarnation est le retour du Principe spirituel dans une nouvelle enveloppe charnelle. Pour un être humain, cette enveloppe est toujours un corps humain. Mais on peut se réincarner soit sur la même planète où l’on a vécu sa dernière existence, soit sur une autre planète. On ne peut fixer un temps précédant le retour dans un corps matériel, pas plus qu’on ne peut fixer un temps pour la vie terrestre. Des êtres humains passent trois ans sur terre, et d’autres y passent 90 ans. Si l’on disait : l’homme vit sur terre 30 ans, on parlerait comme un amateur de statistique, mais pas comme un observateur des lois réelles. La durée de la vie sur terre est un facteur personnel, de même la durée du temps qu’on passe avant de revenir sur terre est également un facteur personnel qui dépend de beaucoup de circonstances. Disons tout de suite qu’avant de venir se réincarner dans une planète, l’être spirituel se prête à la perte de la mémoire des existences antérieures. Nous donnerons tous les extraits des auteurs classiques, concernant ce fait et symbolisés par l’absorption du verre de l’eau du fleuve Léthé, ou fleuve de l’oubli, qu’on buvait avant de revenir sur terre. La réincarnation a, en effet, été enseignée comme un mystère ésotérique dans toutes les initiations de l’Antiquité. Voici un extrait des enseignements égyptiens 3 000 ans avant Jésus-Christ, sur la réincarnation : « A vant de naître, l’enfant a vécu, et la mort ne termine rien. La vie est un devenir, khépraou, elle passe semblable au jour solaire qui recommence. « L’Homme se compose d’intelligence, khou et de matière, khat. « L’intelligence est lumineuse et elle se revêt pour habiter le corps d’une substance qui est l’âme : ba. « Les Bêtes ont une âme : un ba, mais un ba privé d’intelligence, de khou. « La vie est un souffle : niwou. Lorsque le souffle se retire en ba, l’homme meurt. Cette première mort se manifeste matériellement, par la coagulation des liquides, la viduité des veines et des artères, la dissolution de la matière composant le corps. <strong>...</strong></p>Enquête sur la réincarnationurn:md5:2933dee03b426dcf597c8e1d592e1e7e2013-04-29T23:30:00+01:002013-04-29T22:40:19+01:00balderCollectif d'auteursHébraïsmeRéincarnation <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Enquete_sur_la_reincarnation_s.jpg" alt="" /><br />
Auteurs : <strong>Amar Yvan - Bentounès Cheikh - Desjardins Arnaud - Pelt Jean-Marie - Ricard Matthieu - De Souzenelle Annick - Steinsalzt - Vigne Jacques</strong><br />
Ouvrage : <strong>Enquête sur la réincarnation</strong><br />
Année : 2001<br />
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À travers les croyances, traditions, expériences, thérapies... la question de la réincarnation demeure. Cet ouvrage est la réédition d’un numéro spécial de la revue Nouvelles Clés consacré à ce thème, au fil d'une vaste enquête à travers le monde. Au début, lorsque l’idée nous est venue de réfléchir à un dossier spécial de Nouvelles Clés consacré à la réincarnation, nous avons franchement hésité. Quel sujet glissant ! N'allions-nous pas passer pour des farfelus - ou pour des casse-cou irresponsables, défiant inutilement d'inconcevables fadaises ? Heureusement, comme souvent, le réel s’est avéré plus généreux que prévu - et bien plus grand que la plus folle des fictions ! En enquêtant simplement comme des journalistes auprès de nos contemporains, nous nous sommes rendu compte à quel point ce sujet de la réincarnation traversait toutes les cultures, toutes les traditions, toutes les croyances, toutes les grandes problématiques métaphysiques, spirituelles, éthiques, qu’elles soient vues d’Orient ou d'Occident. Le résultat est le dossier touffu que vous tenez entre les mains. Un dossier à la fois riche et contradictoire, qui, mine de rien, repose beaucoup de grandes questions. Certes, nos descendants riront peut-être de notre époque où les Occidentaux adhèrent de plus en plus nombreux, non sans un certain enthousiasme, à la croyance orientale en la réincarnation... alors que celle-ci représente, pour les Orientaux eux-mêmes, une malédiction. <strong>...</strong></p>Guénon René - L'erreur spiriteurn:md5:140f00e370be48b767fa48dc29f0b4512012-04-07T18:28:00+01:002017-03-08T17:06:14+00:00balderGuénon RenéRéincarnation <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Guenon_Rene_-_L_erreur_spirite.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Guénon René</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'erreur spirite</strong><br />
Année : 1923<br />
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AVANT-PROPOS. En abordant la question du spiritisme, nous tenons à dire tout de suite, aussi nettement que possible, dans quel esprit nous entendons la traiter. Une foule d’ouvrages ont déjà été consacrés à cette question, et, dans ces derniers temps, ils sont devenus plus nombreux que jamais ; pourtant, nous ne pensons pas qu’on ait encore dit là-dessus tout ce qu’il y avait à dire, ni que le présent travail risque de faire double emploi avec aucun autre. Nous ne nous proposons pas, d’ailleurs, de faire un exposé complet du sujet sous tous ses aspects, ce qui nous obligerait à reproduire trop de choses qu’on peut trouver facilement dans d’autres ouvrages, et ce qui serait, par conséquent, une tâche aussi énorme que peu utile. Nous croyons préférable de nous borner aux points qui ont été traités jusqu’ici de la façon la plus insuffisante : c'est pourquoi nous nous attacherons tout d’abord à dissiper les confusions et les méprises que nous avons eu fréquemment l’occasion de constater en cet ordre d’idées, et ensuite nous montrerons surtout les erreurs qui forment le fond de la doctrine spirite, si tant est que l’on puisse consentir à appeler cela une doctrine. Nous pensons qu’il serait difficile, et d’ailleurs peu intéressant, d’envisager la question, dans son ensemble, au point de vue historique ; en effet, on peut faire l’histoire d’une secte bien définie, formant un tout nettement organisé, ou possédant au moins une certaine cohésion ; mais ce n’est pas ainsi que se présente le spiritisme. Il est nécessaire de faire remarquer que les spirites ont été, dès l’origine, divisés en plusieurs écoles, qui se sont encore multipliées par la suite, et qu’ils ont toujours constitué d’innombrables groupements indépendants et parfois rivaux les uns des autres ; si même il était possible de dresser une liste complète de toutes ces écoles et de tous ces groupements, la fastidieuse monotonie d’une telle énumération ne serait certes pas compensée par le profit qu’on en pourrait retirer. Et encore faut-il ajouter que, pour pouvoir se dire spirite, il n’est nullement indispensable d’appartenir à une association quelconque ; il suffit d’admettre certaines théories, qui s’accompagnent ordinairement de pratiques correspondantes ; bien des gens peuvent faire du spiritisme isolément, ou en petits groupes, sans se rattacher à aucune organisation, et il y a là un élément que l’historien ne saurait atteindre. En cela, le spiritisme se comporte tout autrement que le théosophisme et la plupart des écoles occultistes ; ce point est loin d’être le plus important parmi tous ceux qui l’en distinguent, mais il est la conséquence de certaines autres différences moins extérieures, sur lesquelles nous aurons l’occasion de nous expliquer. Nous pensons que ce que nous venons de dire fait assez comprendre pourquoi nous n’introduirons ici les considérations historiques que dans la mesure où elles nous paraîtront susceptibles d’éclairer notre exposé, et sans en faire l’objet d’une partie spéciale. Un autre point que nous n’entendons pas davantage traiter d’une façon complète, c’est l’examen des phénomènes que les spirites invoquent à l’appui de leurs théories, et que d’autres, tout en en admettant également la réalité, interprètent d’ailleurs d’une façon entièrement différente. Nous en dirons assez pour indiquer ce que nous pensons à cet égard, mais la description plus ou moins détaillée de ces phénomènes a été si souvent donnée par les expérimentateurs qu’il serait tout à fait superflu d’y revenir ; du reste, ce n’est pas là ce qui nous intéresse particulièrement, et nous préférons, à ce propos, signaler la possibilité de certaines explications que les expérimentateurs dont il s’agit, spirites ou non, ne soupçonnent certainement pas. Sans doute, il convient de remarquer que, dans le spiritisme, les théories ne sont jamais séparées de l’expérimentation, et nous n’entendons pas non plus les en séparer entièrement dans notre exposé ; mais ce que nous prétendons, c’est que les phénomènes ne fournissent qu’une base purement illusoire aux théories spirites, et aussi que, sans ces dernières, ce n’est plus du tout au spiritisme que l’on aurait affaire. D’ailleurs, cela ne nous empêche pas de reconnaître que, si le spiritisme était uniquement théorique, il serait beaucoup moins dangereux qu’il ne l’est et n’exercerait pas le même attrait sur bien des gens ; et nous insisterons d’autant plus sur ce danger qu’il constitue le plus pressant des motifs qui nous ont déterminé à écrire ce livre. <strong>...</strong></p>Dommergue Polacco de Ménasce Roger - Comment méditer l'athéisme et la réincarnation ?urn:md5:94617d6266181f004d6332169fa9b69d2012-02-10T17:31:00+00:002017-03-08T19:08:35+00:00balderDommergue Polacco de Ménasce RogerRéincarnation <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Dommergue_Polacco_de_Menasce_Roger_-_Comment_mediter_l_atheisme_et_la_reincarnation.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Dommergue Polacco de Ménasce Roger</strong><br />
Ouvrage : <strong>Comment méditer l'athéisme et la réincarnation ?</strong><br />
Année : 19**<br />
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L’atheisme est-il raisonnable? Le véritable athée est inconscient. Il est comme l’homme primitif qui n’avait pas encore acquis le sens religieux. Il se tait. L’athée qui s’affirme est un déiste qui s’ignore. En niant Dieu, il affirme naïvement son existence. On ne nie pas rien, on ne nie pas le néant. En niant Dieu il apporte un hommage négatif au sacré: c’est donc comme le bien portant de Knock qui était un malade qui s’ignore, un croyant qui s’ignore. L’athée est comme Karl Marx, qui , niant toute « valeur », donne ainsi à sa négation péremptoire une valeur affirmative absurde qui détruit l’affirmation elle-même. Si « rien n’a de valeur » l’affirmation « rien n’a de valeur » n’a aucune valeur et ne signifie absolument rien. De même la formule ubuesque de 1968, « il est interdit d’interdire », défie l’intelligence de l’idiot du village, car s’il est interdit d’interdire, il est interdit d’interdire d’interdire... Si Dieu n’existe pas je n’ai aucune raison de le nier. L’athée qui s’affirme a, dans sa naïveté, un avantage, il critique souvent judicieusement des choses critiquables, mais qui n’ont rien à voir avec Dieu: sottise dogmatique, inquisitions, guerres « religieuses », massacres à substrata infantiles, qui ne sont que l’expression d’une mentalité affligeante. De là il infère sans logique l’inexistence de Dieu. Il nie donc l’existence d’un principe créatif initial, a-temporel, a-spatial, directif comme l’est la vie. Et pourtant la logique sait que rien, absolument rien, ne sort de rien. Tout a une origine décelable, analysable, tout sans exception, hormis Dieu qui ne peut être conceptualisé par nos cerveaux fort limités, comme d’ailleurs une méditation sur le concept d’éternité, symbiose de Dieu, nous le montre. Une telle méditation peut rendre fou. Seuls les grands mystiques peuvent atteindre l’extase, contemplation divine, et nous ne pouvons que les croire sur parole, car leur qualité spirituelle et morale, nous interdit de douter de leur expérience. Les athées « militants » et donc illogiques, sont très rares. Tout homme normal qui n’a pas été pourri par le laïcisme, cet école de fanatisme antispirituel, dont sortent tous les enfants suicidés, rockers et drogués, qui n’a pas subi les carences profondes de la nourriture industrielle, possède un sentiment religieux, c’est à dire déiste. L’athéisme, comme la démence, implique une insuffisance de la glande génitale interne (ou interstitielle), que nous savons déjà depuis quarante ans atrophiée chez les déments. D’ailleurs l’athée militant ne dialogue jamais. J’ai tenté par des textes précis et élaborés d’avoir un dialogue avec l’Union des Athées. Il n’y eut jamais le moindre dialogue qui aurait pu prouver un véritable désaccord par un échange exhaustif d’arguments et d’honnêté. Tout ce que j’ai jamais pu obtenir est: « ce que vous écrivez prouve notre profond désaccord »... Je n’ai jamais pu rien obtenir hormis cette phrase vide de tout argumentation et puérilement péremptoire. Aucun « désaccord » ne fut jamais prouvé par un échange authentique. Le président de l’Union était voué à l’adoration perpétuelle et quasi mystique de son athéisme monologuant. Demandez lui par exemple si dans l’Histoire, un groupe athée ( car il n’y a jamais eu de peuples athées depuis que l’homme a atteint un niveau de conscience élémentaire ), a jamais réalisé quelque chose comme les pyramides, le temple de Louxor, la statuaire égyptienne, le parthénon, les cathédrales, les peintures de Giotto, Raphaël, Vinci, Boticelli... Il restera muet car il ne peut répondre. <strong>...</strong></p>