Histoire Ebook - Mot-clé - Viêt NamRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearBouny André - Agent orange Apocalypse Viêt Namurn:md5:c3f85a25b39bd8f612fd1fb9c37e57832018-09-24T00:12:00+01:002018-09-24T00:44:45+01:00balderBouny AndréViêt NamÉtats-Unis <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Bouny_Andre_-_Agent_orange_Apocalypse_Viet_Nam.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bouny André</strong><br />
Ouvrage : <strong>Agent orange Apocalypse Viêt Nam</strong><br />
Année : 2010<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook3/Bouny_Andre_-_Agent_orange_Apocalypse_Viet_Nam.zip">Bouny_Andre_-_Agent_orange_Apocalypse_Viet_Nam.zip</a><br />
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Effroyable. Si l’histoire de l’utilisation des poisons, (venins et toxiques) remonte à l’Antiquité, la synthèse chimique a permis d’en démultiplier les effets maléfiques. Ainsi la guerre du Viêt Nam fut-elle la plus grande guerre chimique de l’histoire de l’Humanité. L’objet de ce livre est d’expliquer précisément comment et pourquoi. On y apprend de quelle façon, aujourd’hui encore, un demi-siècle après le début des épandages, la dioxine pénètre dans l’organisme, quelles maladies elle engendre, et les terribles effets tératogènes qu’elle inflige aux enfants. La description scientifique des agents chimiques utilisés est aussi précise que la technologie méthodique mise en œuvre. Celle de l’effroyable catastrophe écologique fait prendre conscience que la destruction du règne végétal précède et précipite une dévastation plus terrible encore. Les nombreuses photographies exceptionnelles, signées de très grands noms, illustrent l’ampleur de la tragédie actuelle. Cartes géographiques, documents d’archives inédits et témoignages états-uniens viennent démontrer l’intentionnalité de ce véritable écocide. L’auteur propose en outre un nouveau calcul renversant du volume des agents chimiques déversés au Viêt Nam. Dans cet ouvrage exhaustif, il aborde la partie juridique avec les procédures intentées au nom des victimes vietnamiennes dans un lourd silence médiatique. À l’image du Tribunal international d’opinion qui s’est tenu en 2009 à Paris, ce livre a pour but d’informer le public, premier pas d’une prise de conscience sur la route de la réparation des torts et des souffrances, car il existe aussi un espoir... Un document bouleversant, comme l’Histoire officielle ne la raconte jamais, pour comprendre l’ampleur de la tragédie que vivent au quotidien une multitude de victimes de l’Agent Orange. <strong>...</strong></p>Bonvalot Gabriel - De Paris au Tonkin à travers le Thibet inconnuurn:md5:70ed9e2257fd551e6cbeb4777120f2312013-04-23T15:34:00+01:002013-04-23T14:35:30+01:00balderBonvalot GabrielAsieThibetTonkinViêt Nam <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Bonvalot_Gabriel_-_De_Paris_au_Tonkin_a_travers_le_Thibet_inconnu_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bonvalot Gabriel</strong><br />
Ouvrage : <strong>De Paris au Tonkin à travers le Thibet inconnu 1889 - 1890</strong><br />
Année : 1892<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook2/Bonvalot_Gabriel_-_De_Paris_au_Tonkin_a_travers_le_Thibet_inconnu.zip">Bonvalot_Gabriel_-_De_Paris_au_Tonkin_a_travers_le_Thibet_inconnu.zip</a><br />
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Quoique le titre de ce livre soit De Paris au Tonkin, je ne parlerai pas de la première moitié de cette route, parce qu’elle est bien connue et que je l’ai déjà décrite brièvement dans un volume publié il y a de cela huit ans. Ce récit ira également à grandes enjambées sur la route que les voyageurs Prjevalsky et Carey ont suivie avant nous. Je parlerai plus longuement des régions dont nous avons eu la primeur. Autrefois on invoquait les Muses avant d’écrire ; l’auteur les suppliait d’être favorables, d’être propices à son entreprise. Tout cela est vieux jeu, comme on dit, et, pour mon compte, je supplie les rhumatismes hargneux et la fièvre louche de « vouloir bien avoir l’extrême obligeance de me permettre » de tenir la parole que j’ai donnée à mon éditeur : de lui fournir à bref délai le manuscrit où je conterai à la diable un voyage que j’ai fait avec plaisir et qu’il est beaucoup moins amusant de « mettre sur le papier », je te l’avoue franchement, lecteur. En janvier 1889, chez mon brave ami Henri Lorin, qui me rappelait cela à Paris, à mon retour, nous parlions explorations, voyages ; il me demandait quel nouveau projet j’avais en tête et si je songeais encore à l’Asie. Je lui répondais qu’un beau voyage serait d’aller par terre de Paris au Tonkin, de jalonner hardiment une route à travers le tout vieux continent. Et lorsque Henri Lorin m’invita à lui montrer sur la carte mon itinéraire probable, je traçai une ligne à travers le Turkestan chinois, les hauts plateaux du Tibet et les vallées des grands fleuves de la Chine et de la presqu’île indo-chinoise. A ceux qui regardaient par-dessus mon épaule, ce plan paraissait superbe, et moi, encore fatigué du Pamir, je ne voulais pas même songer à l’exécuter : pour la bonne raison que lorsque je me chante voyage, je me laisse prendre incontinent à cette pipée de mon imagination. A quelques mois de là, je revenais de l’Exposition, qu’on installait et où j’avais été prendre l’air des pays lointains, lorsque ce même ami m’écrivit que quelqu’un désirait voyager avec moi en Asie. Il s’agissait de savoir si c’était une personne décidée à me suivre partout, mon intention n’étant pas de globe-trotter pour passer le temps, mais d’explorer. On me répondit selon mes désirs. Du coup, j’oubliai les promesses que j’avais faites de me reposer et je me précipitai sur les récits du père Huc et de Prjevalsky. Les pourparlers ne languirent point avec le duc de Chartres, qui offrait de subvenir aux frais d’une exploration à laquelle son fils participerait. Nous tombâmes immédiatement d’accord sur ce point, que notre oeuvre serait nationale et que nos collections seraient remises à nos musées. Mon futur compagnon, le prince Henri d’Orléans, fut enthousiasmé par le plan que je lui soumis, plan assez vague, le voyage ayant cela de commun avec la guerre qu’il est « tout d’exécution ». Avant d’être sur le terrain, il est enfantin et inutile de rien affirmer. <strong>...</strong></p>D'Estampes Louis - Sur les bords du fleuve Rougeurn:md5:23594395d81a991235c5ccf2b59174d92012-06-14T14:53:00+01:002017-03-08T14:46:55+00:00balderD'Estampes LouisChristianismeTonkinViêt Nam <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/D_Estampes_Louis_-_Sur_les_bords_du_fleuve_Rouge.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>D'Estampes Louis</strong><br />
Ouvrage : <strong>Sur les bords du fleuve Rouge</strong><br />
Année : 1889<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/D_Estampes_Louis_-_Sur_les_bords_du_fleuve_Rouge.zip">D_Estampes_Louis_-_Sur_les_bords_du_fleuve_Rouge.zip</a><br />
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Il nous a paru utile de grouper en un récit succinct, mais d'une exactitude soigneusement contrôlée, les exploits de nos soldats sur cette terre du Tonkin, où nos missionnaires les précédèrent dans les luttes combattues pour le triomphe de la civilisation chrétienne. Mais, avant de raconter les hauts faits contemporains, nous avons cru devoir fournir sur une région trop peu connue quelques notions historiques et ethnographiques qui servent d'introduction nécessaire, et ont, à défaut d'autre mérite, celui d'être brèves et puisées aux meilleurs sources. <strong>...</strong></p>Bonnetain Paul - Au Tonkinurn:md5:ddbf6d5d4c6521d2b310f88b7c568aa72012-04-27T14:24:00+01:002017-03-08T16:51:44+00:00balderBonnetain PaulTonkinViêt Nam <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Bonnetain_Paul_-_Au_Tonkin.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bonnetain Paul</strong><br />
Ouvrage : <strong>Au large</strong><br />
Année : 1885<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Bonnetain_Paul_-_Au_Tonkin.zip">Bonnetain_Paul_-_Au_Tonkin.zip</a><br />
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Le Tonkin jusqu'en 1875. Il nous serait aisé de faire précéder ces vieilles notes de voyage d'un long chapitre historique relatant en détail les différents rapports que l'Europe essaya de nouer avec le Tonkin pendant deux siècles et demi, jusqu'au jour où nous y plantâmes notre pavillon. Il serait fort savant, ce chapitre, bourré de dates, et, de plus, très facile à écrire, nombre de laborieux publicistes ayant déjà réuni tous les renseignements nécessaires à une telle compilation ; mais nous imaginons qu'il intéresserait médiocrement le lecteur. <strong>...</strong></p>Bonnetain Paul - De Pouvourville Albert - Bourde Paul - Anthologie franco-indochinoise Tome IIurn:md5:fc2de4ce881b7591cc8b64041f909f6f2012-04-27T12:20:00+01:002017-03-08T16:52:20+00:00balderBonnetain PaulViêt Nam <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Bonnetain_Paul_-_De_Pouvourville_Albert_-_Bourde_Paul_-_Anthologie_franco-indochinoise_Tome_II.jpg" alt="" /><br />
Auteurs : <strong>Bonnetain Paul - De Pouvourville Albert - Bourde Paul</strong><br />
Ouvrage : <strong>Anthologie franco-indochinoise Morceaux choisis des écrivains français, accompagnés de notes grammaticales et historiques. Tome II</strong><br />
Année : 1895<br />
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A NOS LECTEURS. Nous n'avons rien de bien particulier à dire à nos lecteurs au début de ce second fascicule. Nous voulons seulement, en tes remerciant de leur accueil, leur faim part d'un perfectionnement que nous désirons apporter A notre Anthologie. Comme ils le savent, en matière de style et de composition, les exemples qu'on met sous les yeux frappent beaucoup plus que les préceptes. Il y a, croyons-nous, intérêt à relever avec soin les particularités de syntaxe qui abondent dans les morceaux choisie et à les justifier par des rapprochements avec la langue des classiques. D'aucuns auraient peur que de pareilles notes, jointes aux notes historiques, ne fissent parfois oublier de lire le texte dans sa belle et vivante continuité. Que nos lecteurs se rassurent! Notre recueil n'est ni un € aide-mémoire», ni un «cahier d'expressions». Qui ne sait que te meilleur aide-mémoire est celui que chacun se fait à soi-même? Faisons d'abord lire les meilleures pages indochinoises à nos élèves; faisons, s'il est possible, qu'ils les comprennent et les goûtent une bonne fois. Ils sauront bien ensuite revenir d'eux mêmes à l'excellent et à l'exquis, sans qu'il soit besoin de le leurs servir à part, ailf risqïàèd'altérer ainsi là fraîcheur, de leurs impressions, et, d'ôter aux œuvres des écrivains Indochinois quelque chose de leur fleur, sinon de leur éclat. <strong>...</strong></p>Boissière Jules - Propos d'un intoxiquéurn:md5:3e4c6baca6e4024a2e2d09619eac8ea52012-04-26T15:38:00+01:002017-03-08T16:52:39+00:00balderBoissière JulesDrogueOpiumTonkinViêt Nam <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Boissiere_Jules_-_Propos_d_un_intoxique.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Boissière Jules</strong><br />
Ouvrage : <strong>Propos d'un intoxiqué</strong><br />
Année : 1890<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Boissiere_Jules_-_Propos_d_un_intoxique.zip">Boissiere_Jules_-_Propos_d_un_intoxique.zip</a><br />
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Propos d'un intoxiqué. Hanoi, février 1890. L'opium nous a paru mériter l'honneur d'une étude spéciale : il tient en Indochine une place assez grande dans la vie des Annamites, des Chinois, voire des Européens. Mais peu désireux d'expérimenter sur nous mêmes les effets de la sainte drogue, nous avons dû solliciter les confidences d'un intoxiqué, lettré curieux, subtil et raffiné. Ce dernier, dédaigneux comme tous ses pareils des anathèmes de la conscience publique, n'a pas craint de nous dédier huit volumes manuscrits de Notes et d'impressions. Essayons de cueillir quelques pages, résolu d'ailleurs à imposer silence au narrateur si ses théories semblent trop cyniques et son ricanement trop injurieux. KHOU-Mi. Lecteur, écoutez la profession de foi que Baruch de Spinoza, d'Amsterdam, inscrit au chapitre premier de son Tractatus politicus : «Je me suis abstenu de tourner en dérision les actions humaines, de les prendre en pitié ou en haine ; je n'ai voulu que les comprendre... En face des passions, j'y ai vu non des vices, mais des propriétés... » Peut-être trouverez-vous ci-après bien des aphorismes que vous jugerez immoraux. Je souhaite que vous m'apportiez, comme Baruch de Spinoza l'eût fait, à défaut de la sympathie qui peut tout aimer, l'intelligence qui sait tout comprendre. Haiphong, 20 mai 1885. <strong>...</strong></p>