Auteur : Rebatet Lucien Romain (François Vinteuil - François Vinneuil)
Ouvrage : Les tribus du cinéma et du théâtre Les juifs en France 4
Année : 1941
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CHAPITRE PREMIER. COMMENT LES JUIFS ONT EU LA VOCATION DU CINÉMA. Je vais aborder ici l’un des chapitres les plus classiques, les plus ahurissants aussi de l’invasion juive en France. Pour montrer avec une clarté suffisante les étapes de cet incroyable fléau, il est nécessaire, je crois, de déborder un peu le cadre de cette collection. Le cinéma est essentiellement international Juifs qui l’ont saccagé chez nous appartenaient à l’espèce la plus insaisissable, la plus vagabonde. Il faudra franchir de temps à autre les frontières de notre pays pour bien découvrir la trame de leurs méfaits. Le cinéma a vu le jour en France. Ses précurseurs s’étaient nommés Étienne Marey, magnifique chercheur au nom trop peu connu, Émile Reynaud, Démeny, Le Prince. Au printemps 1895, les frères Auguste et Louis Lumière faisaient breveter le premier appareil de projection, et donnaient en décembre suivant, boulevard des Capucines, la première représentation publique de cinéma, devançant de six mois Edison qui poursuivait en Amérique des études parallèles aux leurs. On ne doit pas oublier non plus que deux autres pionniers de la photographie animée qui travaillaient à cette époque aux Etats-Unis s’appelaient Eugène Lauste, Parisien de Montmartre, et Jean- Acmé Le Roy, descendant d’émigrés français. Les premiers vulgarisateurs de la découverte, en même temps scénaristes, metteurs en scène, comédiens, opérateurs et exploitants de films ont été Charles Pathé et Léon Gaumont. Le premier artiste véritable du cinéma fut le délicieux bricoleur-poète Georges Méliès, créateur du premier studio et d’innombrables et féeriques truquages. Le premier commanditaire de films fut un honnête industriel du nom de Grivolas, offrant un million à Charles Pathé, qui avait débuté dans des baraques de fêtes foraines. Jusque-là, nous n’avons été qu’entre Aryens. Dans leur Histoire du Cinéma1, si vivante et si prodigieusement documentée, Maurice Bardèche et Robert Brasillach nous ont fait le tableau le plus pittoresque de l’entrée du Juif dans le « septième art » La chose se passa en Amérique aux alentours de 1900. Il y avait dans les ghettos de New-York et de Chicago quelques petits Juifs du nom de Marcus Loew, Adolphe Zukor, William Fox, Cari Laemmle, nomades débarqués d’autres ghettos obscurs de l’Europe orientale ou des impasses les plus sordides de Withechapel. Ils étaient tous fripiers, brocanteurs ou revendeurs de fourrures maquillées, plus ou moins receleurs ou carambouilleurs. Ces faméliques vagabonds étaient prêts à n’importe quoi. Ils n’avaient rien à perdre, ni réputation ni fortune. Ils tenaient l’Amérique pour la terre de tous les miracles. Avec les bénéfices de quelques petites filouteries et quelques centaines de dollars d’emprunt, ils se jetèrent frénétiquement sur la nouvelle découverte. On a beaucoup parlé de leur hardiesse. Le mot d’astuce conviendrait mieux. Les Lumière, Edison considéraient au plus leur admirable invention comme une curiosité scientifique, intéressante sans doute pour les laboratoires, mais dont le succès de spectacle serait bien vite épuisé. Edison, il est vrai, devait revenir de son erreur et défendre ses prérogatives avec une âpreté au gain fort remarquable. Mais les brocanteurs juifs étaient déjà solidement installés dans la place, plusieurs fois millionnaires et maîtres des premiers « circuits » de salles obscures. ...

Guyénot Laurent - Du yahvisme au sionisme
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