Desjardins Arnaud - Les chemins de la sagesse


Auteur : Desjardins Arnaud
Ouvrage : Les chemins de la sagesse
Année : 1972

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Les trois tomes des Chemins de la Sagesse, réédités aujourd’hui en un seul volume, ont été écrits alors que je vivais ma propre ascèse sous la direction de Swâmi Prajnanpad qui a quitté ce monde en 1974. J’étais alors producteur et réalisateur à l’O.R.T.F. Ayant eu l’occasion de présenter sur les antennes de la Télévision française un certain nombre de documents qui témoignaient d’une toute petite partie de ce que j’avais vu en Asie auprès de différents sages et maîtres spirituels,j’avais été amené à rencontrer plusieurs centaines de Français et de Françaises intéressés par l’enseignement de ces maîtres et à correspondre avec plusieurs centaines d’autres. Parmi eux se trouvaient des hommes ou des femmes que leur profession même orientait vers les chemins de la sagesse: médecins, psychologues, prêtres, religieuses, professeurs, mais surtout des mères de famille, étudiants, ingénieurs, commerçants, artisans, ouvriers que leur existence ne paraissait pas prédisposer à s’intéresser particulièrement au bouddhisme tantrique ou à l’advaïta védanta. Ces films de télévision et trois livres précédents m’avaient permis de constater que, si la vie spirituelle, la connaissance de soi et les anciennes traditions qui ont subsisté jusqu’à aujourd’hui étaient lettre morte et ne présentaient aucun intérêt pour certains de nos concitoyens, beaucoup d’autres, au contraire, y voyaient — ou croyaient y voir — ce qu’il y avait de plus important dans leur vie. Les circonstances m’ayant permis d’étudier auprès de gurus hindous, de rimpochés tibétains et de pirs soufis musulmans en Afghanistan, j’avais pu observer la diversité des méthodes et des techniques qui étaient enseignées aussi bien que les vérités communes derrière ces formes multiples. Certaines voies ne sont pas concevables en dehors du cadre religieux qui est le leur. D’autres ont immédiatement une valeur universelle. Parmi les sages auprès de qui j’ai vécu plus ou moins longtemps, Swâmi Prajnanpad n’a pas été pour moi un maître mais mon maître, ou plutôt il a bien voulu que je sois son élève. C’était un Indien — j’ose à peine dire un Hindou tant son enseignement (adhyatmayoga ou en anglais adhytmic tradition), même fondé sur les Upanishads, le Yoga Vashishta et d’autres écritures moins connues, transcendait les formes religieuses. Par tradition familiale, il fut un grand sanscritiste, puis un professeur de sciences avant d’abandonner le monde pour devenir sannyasin et atteindre la perfection du guru. C’est lui qui m’a guidé année après année, sur le chemin de l’expérience vécue. Mais je ne peux pas oublier les sages hindous, tibétains ou bhoutanais que j’ai décrits dans mes précédents livres, en particulier Ma Anandamayi, ni certains parmi les nombreux pirs soufis que j’ai rencontré dans les khanaqas d'Afghanistan. Je pense en particulier à « Soufi Saheb », qui a joué pour moi un rôle décisif à Said Akbar Khan et Khalifa SahebeTcharikar. En dehors de l’influence personnelle de Soufi Saheb, qui a marqué un tournant essentiel dans mon existence, les pirs afghans m’ont donné la preuve que, si l’enseignement fondamental du bouddhisme et du védanta est bien le même, cela est vrai aussi du taçawuf (mysticisme) musulman ou du moins qu’à l’intérieur du taçawuf et des tariqats (voies ou ordres soufis) existe un ésotérisme en lequel toutes les questions sont résolues et dont la valeur est aussi universelle. Si j’ai pu converser en anglais avec presque tous les gurus hindous (et c’est pour cela que j’ai parfois mentionné les expressions anglaises utilisées), j’ai eu le privilège, que je ne cesse de mesurer, d’avoir comme interprètes deux hommes aussi différents que possible l’un de l’autre mais tous deux remarquables : Sonam Topgey Kazi (qui fut deux fois mon hôte à Paris) auprès des rimpochés tibétains, bhoutanais et sikki mais et Ali Roanaq auprès des pirs afghans. Roanaq parle non seulement le persan, le pashtoun et l’arabe, mais le français comme vous et moi, et avec un troisième compagnon, nous avons sillonné tout l'Afghanistan à la recherche du pirekamel, du maître parfait, et épuisé toutes les subtilités du wahdatalshuhud et du wahdatalwudjud. De 1959 à 1974, j’avais passé à peu près la moitié de mon temps auprès de ces sages. Et, dans les neiges du Bhoutan, la paisible douceur des soirs sur les rizières du Bengale, la chaleur suffocante de la plaine du Gange en mai, le brouillard glacé de Darjeeling en janvier, la splendeur du Kérala après la mousson ou le mystère des jardins d’Afghanistan derrière les hauts murs de terre, avec la fraîcheur des ruisseaux qui les traversent, j’avais souvent, bien souvent, moi qui partais, pensé à ceux qui restent, aux Français et Françaises qui ne connaîtront ni ces maîtres, ni leurs disciples, ni leurs enseignements et qui éprouvent eux aussi un désir profond de cette paix et de cette sérénité dont je suivais peu à peu le chemin. Et je les sentais, ceux que je ne connaissais pas, comme des frères et comme des soeurs. Je pensais aux moines cisterciens et aux religieux avec qui je poursuivais un dialogue qui s’approfondissait sans cesse à mesure que nous partagions nos découvertes et nos certitudes. Et je pensais à tous ceux qui doutent, qui hésitent, qui souffrent, à ceux qui ont cru trouver un chemin et qui, au bout de dix ou quinze ans, font le constat de leur échec, à ceux que des guides irresponsables ont enfoncés encore plus profondément dans les ténèbres et l’erreur, à ceux qui ont lu tant de livres, écouté tant de conférences mais qui, tout simplement, demeurent toujours malheureux. Si Ashrams ou Le Message des Tibétains étaient censés s’adresser au public général, Les Chemins de la Sagesse a été écrit en pensant à ces chercheurs. Certes la lecture ne remplacera jamais l’expérience personnelle. Mais ces livres, d’un bout à l’autre, sont l’expression d’une telle expérience, la description d’un chemin qui a été effectivement suivi, d’erreur en erreur, de vérité en vérité, jus qu’a ce que la paix si longtemps cherchée au-dehors se révèle à l’intérieur comme la manifestation de l’être lui-même. Ceci n’est pas un exposé du védanta et les mots sanscrits y sont réduits au minimum. Je n’ai pas non plus utilisé le vocabulaire arabe ou persan du taçawuf parlé des différents nafs, de wahada (un), de tawhid (unification) et de wahed (l’Unité). Il n'y a qu’un terme afghan que je veux employer au moins une fois, c’est celui d’etemad qui signifie confiance, parce que c’est avec ce mot que Soufi Saheb a marqué mon existence et parce que c’est celui que je voudrais répéter à tous. Soufi Saheb m’a dit : « Quand on a peur, on nage tout le temps de toutes ses forces pour rester à la surface. Quand on a confiance, on se laisse couler, on se noie et on atteint la profondeur. » Confiance, etemad. C’est la lumière qui est la vérité ultime. Ce ne sont pas les ténèbres. Tous les hommes cherchent le bonheur. Ceux qui sont trop malheureux pensent: « Que je puisse seulement échapper à ma souffrance et je ne demande rien d’autre. » Mais si leur angoisse ou leur désespoir se dissipe, les aspirations et les désirs commencent à redresser la tête. Parfois un homme, qui a ce qu’il faut pour être heureux et qui l’est en effet, se sent étreint par la vision de toute la misère matérielle et morale répandue dans le monde : pauvreté maladie, infirmité, famine, guerre, enfants tués sous les yeux de leurs parents, parents tués sous les yeux de leurs enfants. Autant que s’il souffrait lui-même, il pense : ce n’est pas possible d’accepter sans rien faire que tant de malheur existe. Rien de ce en quoi l’humanité a cru n’a réussi à triompher de la souffrance. Ni la science, ni l’instruction, ni la machine, ni le progrès, ni la liberté, ni la victoire, ni l’information, ni la coopération, ni l’émancipation, ni la production, ni l’empire, ni la royauté, ni la révolution, ni la démocratie, ni le socialisme, ni la religion n'ont donné aux hommes l’harmonie et le bonheur. Il suffit de lire de bout en bout, ne serait-ce qu’une fois, un quotidien pour savoir à quoi s’en tenir. Toutes les religions affirment montrer le chemin de l’amour et de la paix. Mais ni Krishna, ni Lao-Tseu, ni Bouddha, ni Jésus-Christ ni Mohammed n'ont définitivement établi la paix et l’amour dans ce monde. Au nom de certaines religions, des fanatismes ont été attisés, des guerres déclarées, des hommes torturés, des vérités niées, des souffrances multipliées. Il y a cent ans, l’humanité occidentale croyait au progrès, depuis la barbarie, l’ignorance et l’obscurantisme primitif jus qu’aux bienfaits de la civilisation. Cette bienfaisante civilisation dont ils étaient fiers, les Européens prétendirent l’apporter au reste du monde, qualifié de sauvage, moyenâgeux ou arriéré L’idée de progrès de l’humanité si évidente et certaine pour la race blanche, était en contradiction avec la tradition de toute l’Asie qui voit, dans ce que nous appelons les temps historiques, la fin d’un cycle (kalpa) l’âge sombre (kali yuga) au cours duquel la culture dégénère de plus en plus et la quantité l’emporte partout sur la qualité L’horreur des deux guerres mondiales, les craintes de plus en plus précises devant les conséquences désastreuses à long terme de la plupart des inventions, la tension nerveuse et le déséquilibre mental sans cesse croissants, enfin la découverte des spiritualités orientales ont détruit dans presque tous les esprits l’illusion que ledit progrès mettrait un terme aux souffrances humaines. L’humanité a produit beaucoup de grands hommes, honorés de leur vivant ou après leur mort, des chefs, des penseurs, des savants. Mais malgré César, Ashoka, Akbar, Jeanne d’Arc, Saint Louis, Léonard de Vinci, Karl Marx, Shakespeare, Abraham Lincoln. Victor Hugo, James Watt, Thomas Edison, Louis Pasteur, Flemming, Freud, Jaurès, Gandhi, en fin de compte « le monde ne va pas mieux». Beaucoup de gens commencent même à constater que tout va de mal en pis. Par contre, de nombreux témoignages, parvenus jusqu’à nous à travers les siècles, affirment que le mensonge, la violence, la souffrance — et même la mort — ne sont pas le fin mot de l’histoire. Des textes, des œuvres d’art, le souvenir d’hommes et de femmes ayant vécu parmi nous, proclament qu’il est possible d’échapper à l’aveuglement général. Aussi humaines et tristement humaines soient-elles, les religions ont toutes donné, à l’origine, un enseignement conduisant aude-là de la condition humaine, ou conduisant à la véritable humanité, et à un ordre social juste. Si les hommes demeurent « endormis », « aveugles », «plongés dans les ténèbres de l’erreur », « déchus », et le prouvent abondamment, des hommes ont aussi prouvé qu’il était possible de s’éveiller, de se libérer, d’atteindre la perfection. Il y a toujours eu des saints et des sages à la surface de la planète. Il n'y en a jamais eu que fort peu. Plus les hommes doutent d’eux-mêmes et se sentent perdus, plus ils rêvent de sérénité et de certitude. Le mysticisme, le yoga, la méditation, l’ésotérisme, la Connaissance sont beaucoup plus à la mode aujourd’hui qu’ils ne l’étaient il y a cent ou même cinquante ans. Ce livre, Les Chemins de la Sagesse, s’adressent à ceux qui s’intéressent déjà à ces questions, qui sont déjà convaincus d’une part de la réalité de la sagesse et, d’autre part, qu’il existe des chemins pour y parvenir. Comment ont-ils acquis cette conviction, sur quelle certitude est-elle fondée, est-ce même une certitude ou seulement une compensation à leurs frustrations, ceci est une autre question. L’étudiant qui s’inscrit à la faculté de médecine ne met pas en doute qu’il existe des maladies, qu’il existe des moyens de les soigner et souvent de les guérir, qu’il existe des hommes connaissant ces moyens et pouvant les lui enseigner. Les films que j’ai tournés en séjournant auprès de maîtres hindous, dans des monastères et des ermitages tibétains,parmi les moines zen, ainsi que mes trois premiers livres ont au contraire été des témoignages : « Voici, ceci existe. Je viens à mon tour, après tant d’autres, annoncer une bonne nouvelle. Un homme peut devenir un sage. J’en ai approchés. J’ai vécu auprès d’eux. Des enseignements, des disciplines permettent de préparer la révélation de cette sagesse. » A travers les siècles, ces connaissances ont été incarnées et transmises par une succession ininterrompue de maîtres et de disciples. Elles inspiraient toute la culture et la civilisation des communautés qui s’en réclamaient. Un homme était d’abord un chrétien appartenant à la Chrétienté, un musulman appartenant à l’Islam, un hindou, un bouddhiste. Malgré toutes les « vicissitudes de l’histoire », l’Inde ou la Chine en 1900 après JésusChrist avaient conservé la même culture et la même civilisation que l’Inde ou la Chine en 600 avant Jésus-Christ. A la source de différences manifestes, éclatantes, toutes les traditions anciennes et durables ont une essence commune, la « Philosophia Perennis », la sagesse éternelle, le sanathana dharma des hindous. Si on prend la peine de dépasser les apparences pour découvrir ce dont elles sont l’expression, les similitudes entre les enseignements judaïque, védantique, bouddhique, islamique, taoïste et chrétien se révèlent de plus en plus frappantes. Chaque religion a eu ses abus, ses réformateurs, ses fidèles ignorants et superstitieux, ses maîtres, ses saints, ses sages. Audelà des différences théologiques irréconciliables, un certain nombre de principes fondamentaux ont été reconnus partout et en tout temps. La loi de Moïse, les instructions de Bouddha, les règles éthiques (yama, niyama et les shastras) des hindous, les hadiths de Mohammed ne s’opposent pas, au contraire. Toutes ces traditions, tous ces enseignements, toutes ces cultures étaient inspirés par une même vérité, immense de conséquences mais toute simple et qui exprime en une phrase des milliers de textes, des millénaires de civilisation, des coutumes et des codes de lois, des œuvres d’art immortelles, des sciences traditionnelles. Cette vérité cette petite phrase, la voici « Le sens de la vie réside dans l’être et non dans l’avoir. » Quatorze mots qui résument toute la connaissance, toute la sagesse. Quatorze mots qui ont imprégné l’existence des hommes pendant des millénaires, même l’existence de ceux qui possédaient plus ou beaucoup plus de richesses que les autres. « Être » cela veut dire très précisément : être libre de l’avoir. Quatorze mots qui expliquent tout ce qu’a été le monde et tout ce qu’il n’est plus. L’Europe a apporté au reste de l’espèce humaine le triomphe du pire hypnotisme qui puisse maintenir les hommes dans l’esclavage et la souffrance « Le sens de la vie réside dans l’avoir et non dans l’être. » Le mot d’ordre a d’ailleurs été ouvertement proclamé : « Il faut créer des besoins. » Les civilisations fondées sur l’être ont duré des millénaires l’Inde à la veille de l’indépendance, la Chine à la veille du régime de Mao, manifestaient les mêmes principes immuables depuis trois mille ans. Les civilisations fondées sur l’avoir se sont écroulées sous les coups de leurs ennemis parce que, derrière une façade de prospérité, elles s’étaient d’abord effondrées de l’intérieur. Si jamais un paysan hindou déterrait dans un champ une statue de Shiva ou de Krishna vieille de trois mille ans, elle lui parlerait de sa civilisation actuelle. Si un paysan italien ou provençal trouvait une statue de Junon ou de Mercure, il n'y verrait qu’un vestige historique. L’Inde et la Chine étaient depuis longtemps parfaitement civilisées à l’époque de l’Empire romain qui nous paraît si loin dans le temps. Le sentiment d’avoir ses racines non dans l’histoire mais dans l’éternité a imprégné,jus qu’aux bouleversements actuels, toute la mentalité des Hindous et des Chinois tant soit peu instruits. Ces cultures traditionnelles ont transmis, de génération en génération, des connaissances que le monde moderne croit découvrir et qu’il aborde à peine. En matière d’anthropologie, psychologie des profondeurs, sociologie, influence des structures sociales sur le facteur individuel, etc., le védanta, le yoga, le tantrisme, les différentes écoles bouddhiques, le soufisme ont formulé, vérifié, mis en pratique un ensemble organisé et cohérent de connaissances rigoureuses. Il m’arrive rarement de lire un ouvrage français, anglais ou américain consacré à une des « sciences humaines » sans constater qu’une des « conquêtes de l’esprit moderne » ou « conquêtes du vingtième siècle » quant à la sexologie, l’éducation et la psychologie infantile, les motivations inconscientes (ou, plus généralement encore, la réalité même de l’inconscient et du refoulement), le langage et la communication, n’est que l’expression tâtonnante d’affirmations qui se trouvent répétées dans d’innombrables Écritures et commentaires traditionnels. Je les ai moi-même entendu enseigner par des maîtres contemporains pour qui ces textes avaient une valeur concrète, pratique, actuelle. Si ce n’est pas du parti pris, c’est une bien grande ignorance de la part de nos contemporains de présenter ainsi, comme leur toute nouvelle science, des petits fragments d’une connaissance totale, si oubliée et perdue par l’Occident moderne : la science de l’être. L’ésotérisme est donc la science de l’être, ou de la croissance de l’être, ou de l’évolution de l’être. C’est par rapport à cette science fondamentale que s’ordonnent toutes les sciences traditionnelles. Les sciences modernes qui ne s'y rattachent pas ne mèneront jamais à la Connaissance réelle. Elles ne changent pas l’être du chercheur scientifique, du savant ou du technicien. Les connaissances véritables ne peuvent, au contraire, être acquises qu’au fur et à mesure de cette transformation de l’être. L’homme qui, aujourd’hui, s’intéresse au védanta, au yoga, au zen, au soufisme, aux Pères de l Église, à l’hésychasme orthodoxe, est un homme qui ressent, plus ou moins confusément ou consciemment, le besoin d’être. Cela paraît tout simple. C’est pourtant devenu l’entreprise d’une vie et demande beaucoup d’efforts, beaucoup de courage, beaucoup de persévérance. ...

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