Grad Adolf Dimitri - Les grands mystères d'Israël


Auteur : Grad Adolf Dimitri
Ouvrage : Les grands mystères d'Israël
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Que nous évoquions les mystères entourant Israël ou, les secrets du peuple du livre ou, les voies étranges de la kabbale, ou encore, l'extraordinaire survivance des rites hébraïques ainsi que la proximité de la Chékinah (Présence Divine), ces sujets suscitent toujours une étonnante passion et une ferveur sans relâche chez ceux qui les étudient. Ces brûlantes questions ont engendrées ces dernières années une abondante littérature. Un nombre importants d'auteurs ont tentés de répondre à toutes ces questions et malgré tout, rien n'y fait, nous devons nous rendre à l'évidence, Israël reste et demeure en ce 3ème millénaire une interrogation historique, religieuse et spirituelle. Pogroms, persécution et génocide se sont succédés tout au long de l'histoire et cependant, le peuple juif et ses traditions ont survécus. Mieux encore, 2000 ans après avoir été disséminés sur toute la planète, Israël retrouve sa terre et renait tel un phénix suscitant haine, jalousie et rejet. Si les voies du Seigneur restent impénétrables, celles d'Israël le sont toutes autant. Son histoire reste encore aujourd'hui difficile à tracer et une multitude d'expert tentent de décortiquer ce que dit la Torah (Bible) pour le comparer aux ruines archéologiques. Entre ceux qui disent qu'il s'agit d'une légende et ceux qui affirment que les preuves existent, il n'en demeure pas moins que David et Salomon furent bien vivants, n'en déplaise à certains. Qu'on accepte ou pas l'hypothèse biblique, l'histoire juive commence bien par des récits religieux sur lesquels aujourd'hui, les historiens s'affrontent et peine à définir une base solide. Non seulement la Torah est un ensemble d'histoire relatant l'épopée de plusieurs familles ayant depuis le début des particularismes hébreux, mais elles racontent aussi leurs pérégrinations d'Égypte en Israël ainsi que la création d'un État et sa Constitution, une des toutes premières. Mais au-delà des récits historiques et des découvertes archéologiques, la Torah renferme dans ses écritures bien des merveilles et qui du reste sont encore très peu connues et comprises. Pour bien des chercheurs et aussi quelques grands Rabbins, la Torah contiendrait non pas un système de code dans son écriture, mais plusieurs systèmes de codage. Qu'il y est plusieurs cryptages différents dans la Torah, cela ne doit pas nous étonner et nous semble logique, puisse qu'il y a eu plusieurs rédacteurs et plusieurs narrateurs qui couchèrent l'histoire juive. Le texte hébreu de la Torah était primitivement écrit sans qu’aucune coupure entre les mots n'y ait été introduite : on a séparé les mots selon la compréhension la meilleure que l'on avait du message, sans éradiquer pour autant les autres aspects de celui-ci, laissés en sourdine, comme une musique jouée subtilement sur les autres octaves, selon les différentes césures du texte. L'alphabet hébreu ne comporte pas de voyelle, la Tradition nous permet de contempler l'infinie fluidité de la langue dont elle invite à traverser les soixante-dix niveaux de lecture ; soixante-dix ! mais essentiellement quatre niveaux exprimés par les quatre lettres du mot pardès, PRDS, qui signifie le « verger ». Nous y reviendrons au second chapitre. Nous aborderons dans cet ouvrage les aspects les plus méconnus de l'histoire d'Israël, pas seulement les codes de la Torah mais aussi ce que ne dévoile pas l'ésotérisme hébraïque et notamment ses racines la "Kabbale". Nous tenterons de répondre aux questions suivantes : Comment la tradition des anciens kabbalistes a-t-elle pu survivre après autant de vicissitude ? Que cache la pratique du Tserouf, l'histoire de la vie ou celle des Princes des cieux ? Pourquoi la synagogue Beth-El n'admettait que certains grands maîtres kabbalistes ? Et, pourquoi a-t-elle disparue ? Où est l’Arche d’Alliance et le trésor de Salomon ? Et enfin, l’Armagguedon mettra- t-il un terme à l’existence d’Israël ? L’avenir occulte et pertinemment occulté par les Grands-Maîtres et Gardiens d’Israël détient-t-il encore d’autres connaissances secrètes qui ne demandent qu’à s’exprimer, mais qui demeurent encore réservée qu’à une certaine classe de Sage ? C’est ce que nous verrons plus loin. En parlant de la connaissance secrète que la mémoire des peuples porte encore et qu'elle qualifie "d'occulte", on emploie le mot "TRADITION". Celui- ci doit être compris dans son acception étymologique : le verbe latin "tradere" signifie "faire passer à un autre, transmettre"; il est usité en matière d'héritage. La Tradition est donc ce qui a été transmis au cours des âges, cet héritage de connaissances appartenant à l'humanité entière et qui est un bien par lequel celle-ci, à chacune de ses étapes, peut comprendre l'Univers, découvrir ses racines et enfin se situer par rapport à la Divinité. Par ailleurs, on allie souvent au mot "Tradition" l'adjectif "ESOTERIQUE" dont le sens est "secret, caché" par opposition à "exotérique" : "révélé, connu". Il s'agit donc d'un Savoir qui a été tenu secret et dont la transmission s'est faite, de génération en génération, à certains groupes d'hommes relativement restreints. Enfin, on qualifie cette Tradition Ésotérique "d'occidentale" afin de la distinguer de la Tradition Ésotérique de l'Orient qui, sans différer quant au fond de la nôtre, se manifeste par un symbolisme qui lui est propre... L'Occultisme Occidental prend en effet sa source dans la Kabbale mais il est loin de lui être comparable. Les déviances Occidentales étant ce qu'elles sont, le véritable fond de la kabbale est aujourd'hui hélas, complètement dévoyer. La Tradition Ésotérique Occidentale est donc ce lot de connaissances que nous a légué l'Est Méditerranéen et qui propose d'expliquer ce qu'est notre Univers, la vie et la structure complète de l'être humain. Il convient de reconsidérer brièvement les origines de la Kabbale. Celles-ci se résument en une personnalité bien connue : Moise. En effet, Moise fut un initié des temples d'Égypte. Il fut élevé par la soeur de Pharaon et était destiné aux plus grands honneurs lorsqu'il apprit, par une machination sordide, qu'il n'était qu'un enfant d'esclaves, ces Isriars qui servaient en Égypte. Les origines de sa naissance furent divulguées et sa place dans la société égyptienne se trouva compromise. A la suite d'une fâcheuse aventure il tua un égyptien et dut, pour se soustraire au châtiment, quitter l'Égypte. Il s'en alla et aborda le pays de Madian; il y fut accueilli par le prêtre Jethro. Il vécu auprès de celui-ci pendant de nombreuses années et épousa sa fille, Séphora. de ce mariage naquirent deux fils. Jethro avait autrefois étudié a Barzippa (Babylone), aussi conseilla-t-il à Moise de quitter les collines de Madian et d'aller en Chaldée parfaire ses connaissances. Lorsque les Isriars furent libérés de l'esclavage, Moise les instruisit. A un groupe restreint, il révéla les connaissances qu'il avait acquises en Égypte et à Babylone : la Kabbale. A la masse restante, il enseigna les origines de notre humanité et de notre Univers, le jardin d'Éden, un homme et une femme, un serpent, un arbre et un fruit... Nous avons là, la Genèse de notre Bible. Celle-ci est donc issue de l'enseignement destiné à la multitude et non pas à une élite ; la Kabbale, quant à elle, a été et est encore jalousement gardée par une minorité. Au cours du temps, les Israélites conservèrent précieusement la Kabbale, ayant compris qu'il s'agissait là des véritables racines du message Sinaïtique. Ce secret fut confortée par l'attitude même des Chrétiens d'Orient et surtout d'Occident : le coeur empli de haine, les Chrétiens accusèrent plus tard les Juifs de toutes les turpitudes et maudirent tout ce qu'ils ne pouvaient comprendre. La Kabbale faisait parti de ce lot que l'on devait brûler. Encore de nos jours cette attitude envers Israël n’a guère changée. La Kabbale fait donc aujourd'hui partie de l'héritage d'un seul peuple. Sa langue hébraïque est une langue sacrée, le sens de son écriture : de droite à gauche suivait le parcours du soleil dans le ciel d'alors, avant la première grande catastrophe (l'engloutissement ou le déluge biblique). Le soleil se levait, en ces temps très lointains, au point cardinal qui correspond à notre actuel Ouest et se couchait à l'Est. La langue hébraïque est donc la langue de la Kabbale. Cette langue était apprise par les initiés des temps antiques, notamment les Esséniens. Il faut savoir également qu'à l'origine, ce que l'on appelait "Kabbale", réunissait divers ouvrages écrit entre le XIème et le XIIIème siècle, et qui sont principalement le "Sepher ha Bahir"(livre de la clarté), le "Sepher Yetsirah"(livre de la formation) et le "Sepher ha Zohar"(livre de la splendeur). A notre époque, le terme "Kabbale" désigne principalement le courant de pensée qui s'est formée sur la base de ces enseignements mais très peu en on compris toute la signification et beaucoup ont échoués quant à sa maîtrise. Il est courant de lire dans ses ouvrages kabbalistique sérieux, que Moïse, lorsqu'il reçut les tables de la loi sur le mont Sinaï, conserva secrètement une partie des enseignements, qu'il transmit de vive voix, d'initié à initié. Les doctrines ésotériques furent aussi dissimulés dans la bible (l'ancien testament) d'une manière codé. L'hébreu étant une écriture extrêmement complexe, la signification des textes de la bible, pour être "décodés" requiert l'utilisation de certaines "clés" de décodage, qui sont : La Témoura, fait appel aux anagrammes. L'hébreu n'ayant pas de voyelles, par l'usage de la Témoura, le Kabbaliste interpose les lettres d'un même mot, afin de découvrir un autre mot donnant une nouvelle interprétation de la phrase. La Guématria, fait appel à la numérologie. Chaque lettre hébraïque désignant aussi un nombre, deux mots de même valeur numérique se complètent et peuvent se remplacer mutuellement. La Notarika, fait appel aux acrostiches, ou abréviations. C'est ainsi que dans un mot, il peut y avoir toute une phrase de camouflée. Exemple : AMEN est la Notarika de : Adonaï Melekh Naman (Dieu roi fidèle) ! C'est une tradition qui s'est transmise d'abord oralement de maître à disciples, depuis Adam jusqu'à Moïse, en passant par Abraham, Isaac, Jacob et Joseph, puis qui fut transcrite, codée et commentée dans des ouvrages comme la Bible, les livres des Prophètes et d'autres textes, dont les plus important ont été rédigés en terre d'Israël entre le premier et le sixième siècle et en Espagne entre le treizième et le quinzième siècle. La kabbale embrasse une immense vision, massive, détaillée et cohérente de notre relation avec l'univers. On y trouve des discours métaphysiques d'une puissance extraordinaire qui sont combinés à des méthodes spécifiques pour nous aider à dépasser notre état d'esprit quotidien et découvrir au plus profond de nous même une autre lumière, d'autres forcent qui nous conduisent bien au-delà des lieux communs de notre vie quotidienne. Or, ses origines primitives se perdent dans les ruines de l' Antiquité. Il apparaitrait en effet de plus en plus clairement que, depuis sa naissance même, il y a environ 5000 ans, le judaïsme a toujours possédé un coté ésotérique. Cette approche du divin s'est parfois enfouie profondément, exerçant une force cachée mais puissante à peine discernable. En d'autres périodes de l'histoire juive, elle a éclaté en une floraison splendide et captivé pratiquement des générations entières. Ce n’est que depuis peu que des chercheurs passionnés, tentent de mettre au jour les savoirs oubliés d’un passé parfois glorieux, parfois ténébreux mais toujours d’une richesse historique incomparable. Parmi ces richesses, on y trouve des pépites de spiritualité et de sagesse que beaucoup d’hommes de foi actuel envient sans oser le dire. Il est exacte, qu’aujourd’hui beaucoup aussi souhaiteraient mettre un terme à ces recherches sur les mystères d’Israël tant il vrai, que ce passé soulève bien des interrogations sur des affirmations scientifiques qui, quant à elles, amènent d’avantage de doutes que de réponses. Ainsi par exemple l’hypothèse qui voudrait que les juifs soient les descendant des Hyksôs est particulièrement intéressante. Selon les différents auteurs anciens les Hyksôs étaient3 : Pour Sextus Julius Africanus (Julius l'Africain, v.180-v.250), que cite Syncellus, ils étaient des Rois-Pasteurs venant de Phénicie. Selon cet auteur, les premiers Rois Thébains étaient aussi des Rois-Pasteurs. Flavius Josèphe (37-v.100 ap. J.C) nous raconte qu'à son époque certains les disaient arabes. Selon Manéthon, ces Rois-Pasteurs et leurs descendants, furent maîtres de l'Égypte 511 ans. Flavius Josèphe, dans son Contre Apion, est le seul à utiliser le mot Hyksôs auquel il n'attache d'ailleurs pas une grande importance puisqu'il utilise surtout le mot Pasteurs dans tout le reste de son récit. Il est difficile de distinguer dans ce qu'a raconté Manéthon, comment Josèphe ou Apion l'ont interpréter. Selon les différents auteurs modernes : Se basant peut-être sur l'inscription de la Reine Hatshepsout (1479-1457) qui parle des Smaou (étrangers ou nomades ou barbares) de nombreux auteurs modernes leurs donnent une origine de pillards arabes ou de bédouins. - En 1858, Adolphe Uhlemann prétend qu'ils ne sont seulement que l'invention d'un narrateur. - En 1914, Otto Procksch (et Joseph Pieper en 1925) affirme qu'ils sont des Hittites. - En 1928, Meyker en fait des Indo Aryens. - En 1933, Carl Watzinger est le premier à voir pour eux une origine Hourrite, sa théorie sera reprise par l'égyptologue Allemand Hans Wolfgang Helck en 1971, qui fait valoir que les Hyksôs étaient pour une partie Hourrite et pour une autre des Indo-aryens ayant migré au Proche Orient. Selon Helck, ils vivaient dans l'Empire Hourrite s'étendant sur la plupart de l'Asie Orientale à cette époque. Pratiquement tous les chercheurs ont rejeté cette théorie et Helck lui-même, en 1993, a souligné qu'aucune preuve d'une invasion Hourrite à grande échelle n'avait été trouvée. Toutefois, dans le même article, il propose la possibilité qu'ils soient des peuples Indo-européens venus principalement d'Anatolie, qui envahissent l'Égypte par la mer, mais là encore cette hypothèse n'est pas soutenue par la plupart des érudits. - En 1952, Immanuel Velikovsky avance qu'ils sont des Amalécites Bibliques. - En 1966, John Van Seters prétend qu'ils sont des anciens Amorites (Amoréens) de Babylone. - En 1978, Dayton les voit Mycéniens. - En 1988, Israel M.Sieff les assimile au Royaume d'Israël, de Saül (1030-1010 ou 1047-1007) à Salomon (970-931), sans, à l'évidence, tenir compte des dates !! (Idée pourtant reprise par George Chetwynd Griffith en 1991). - En 1990, Benjamin Mazar les positionne comme Syro-cananéens, sans plus de précision, idée déjà avancé par Weinstein en 1981, Kempinsky en 1985 et Dever en 1985. - En 1991, Kirsten Heinsohn prétend qu'ils sont des anciens Akkadiens. - En 1992 Heribert Illig confirme leur origine Phénicienne. Comme on le voit, les théories se croisent et s’entrecroisent à volontés. Il n’est pas facile de situer exactement qui étaient les Hyksôs néanmoins, passé toutes ces propositions, et l'on peut sûrement en trouver d'autres, aujourd'hui il est généralement supposé que les Hyksôs étaient des Sémites probablement venus du Levant, de la Syrie ou de Canaan. Cette théorie s'appuie sur différentes preuves : Kamosé (ou Kamès ou Kamosis, 1553-1549) lorsqu'il se réfère à Apopi (1581-1541) sur une de ses stèles, le nomme Chef de Rétjénou (ou Retenu, c'est à dire Canaan). Un des Rois Hyksôs, Khyan (1621-1581) a son nom qui est généralement interprété comme Amoréen. Yakhob-har ( ? -1621) à lui aussi, comme le confirme Kim Steven et Bardrum Ryholt, un nom qui penche vers une origine Ouest-sémitique ou Cananéenne. Cependant, les données les plus récentes montrent, selon Dominique Valbelle, que la langue des Hyksôs n'appartenait pas à la famille des langues Sémitiques. Il convient de préciser qu'à aujourd'hui rien ne prouve que les Hyksôs fussent un peuple homogène. La seule certitude donnée par l'onomastique est que des éléments prépondérants pouvaient avoir eu des ancêtres Ouestsémitiques. Ian Shaw nous dit que des influences Palestiniennes et Minoennes de cette époque ont été mises à jour dans le Delta. Depuis 1966, les fouilles d'Avaris, par la mission Autrichienne de Manfred Bietak, confirmeraient ce fait. Comme on le voit, l’origine des hébreux est particulièrement difficile à déterminer mais globalement, il est à peu près certain que les premiers hébreux sont issus des tribus Hyksôs et étaient certainement dans les colonnes qui formèrent l’Exode ultérieurement. Le peuple hébreu est décidément un peuple bien mystérieux et aujourd’hui il le demeure encore. C’est ce que nous allons découvrir tout au long de notre ouvrage et que je vous invite à présent à découvrir. ...

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