Histoire Ebook - Bergier JacquesRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearBergier Jacques - Visa pour un autre Terreurn:md5:463b696221f7a13aaca4c52f6a2f90a82017-03-09T20:19:00+00:002017-03-09T20:21:28+00:00balderBergier JacquesCivilisationsTradition <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Bergier_Jacques_-_Visa_pour_un_autre_Terre.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bergier Jacques</strong><br />
Ouvrage : <strong>Visa pour un autre Terre</strong><br />
Année : 1974<br />
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Chapitre premier, Le pudding magique. Notre image de la science est le plus souvent celle de Pascal : une vaste sphère s’étendant au loin. À l’intérieur de cette sphère et en pleine lumière, il y a ce qui est connu. À l’extérieur, dans la ténèbre extérieure, se trouve l’inconnu. Quand le rayon de la sphère augmente, la surface augmente aussi et donc le nombre de points de contact avec l’inconnu. C’est une belle image, et qui fait partie des idées généralement reçues. Mais elle m’apparaît comme fausse. L’objet de ce livre est de le montrer. J’ai, depuis quarante ans maintenant, l’expérience de deux domaines où les faits comptent avant tout : la recherche scientifique et le renseignement. J’ai également quelque expérience, moindre que dans les deux domaines précédemment cités, mais non négligeable, de la police. Et je puis affirmer que l’image de Pascal est fausse parce que le connu et l’inconnu sont mélangés. Au risque de choquer les philosophes, je dirais que l’image du monde est celle d’un pudding contenant des fruits confits. Dans la grande masse du connu apparaissent soudain des fragments de l’inconnu qui sont impossibles à déloger et qui sont très différents de la structure générale de l’univers. La science, qui n’aime pas ce genre de choses, cherche à les éliminer. Elle a généralement pour cela d’excellentes raisons. Elle affirme : « Il ne peut pas tomber de pierres du ciel parce qu’il n’y a pas de pierres dans le ciel. » Cela n’empêche pas les météorites de tomber. À la préfecture de police, le téléphone peut sonner aussi bien pour annoncer un meurtre, un chantage ou un kidnapping que pour annoncer une possession diabolique, un envoûtement ou une manifestation d’esprits frappeurs. Au laboratoire, l’inexplicable peut se manifester aussi bien que le connu. Les mêmes instruments servent à détecter des particules bien identifiées, dont certaines sont d’ailleurs fabriquées dans nos propres instruments, et des événements cosmiques exceptionnels qui sont peut-être des particules venant d’une autre galaxie d’étoiles et ayant traversé des millions d’années-lumière et peut-être des astronefs étrangers voyageant à une vitesse voisine de celle de la lumière et s’étant contractés à la dimension d’une particule. Tous les jours, des scientifiques officiels, dans les sciences exactes et naturelles, m’apportent des expériences impubliables parce que contredisant toutes les lois acquises. <strong>...</strong></p>Bergier Jacques - Les extra-terrestres dans l'Histoireurn:md5:12a80dd52a56c851f557559ff830ac5f2014-11-13T00:08:00+00:002014-11-13T00:10:49+00:00balderBergier JacquesHistoire InterditeOVNI <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Bergier_Jacques_-_Les_extra-terrestres_dans_l_Histoire.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bergier Jacques</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les extra-terrestres dans l'Histoire</strong><br />
Année : 1970<br />
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Prologue. Plaidoyer pour une histoire ouverte. La conception d’une histoire fermée est relativement récente. Par histoire fermée, j’entends une histoire dont tous les événements sont provoqués par des causes naturelles ou par des causes humaines. Pendant presque tout son passé, l’humanité a cru qu’intervenaient aussi, dans l’histoire, des causes extérieures : démons, créatures surnaturelles, dieux et finalement Dieu. C’est au XIXe siècle que le concept d’une histoire sans intervention extérieure dont la causalité se limite uniquement à notre planète, a paru s’imposer. Et, comme beaucoup d’idées du XIXe siècle, celle-ci est discutable et il est permis de la discuter. Ce livre a pour but de repérer, dans la préhistoire et dans l’histoire, les interventions extérieures, dont il est impossible de ramener l’origine à notre planète. La conception de ce livre se veut exclusivement rationaliste, c’est-à-dire que les interventions dont je parlerai sont le fait d’êtres intelligents, plus puissants que nous ; d’êtres matériels habitant l’espace. Je ne parlerai pas des interventions dites surnaturelles, chacun ayant sur ce sujet le droit d’avoir son opinion personnelle. Je ne parlerai pas non plus des soucoupes volantes, qui ont déjà, dans cette collection, fait l’objet d’un livre avec lequel je ne suis d’ailleurs pas d’accord. <strong>...</strong></p>Bergier Jacques - Les livres mauditsurn:md5:b12722faf8359553400c2aaee208d9e42012-06-16T19:07:00+01:002017-03-08T14:23:48+00:00balderBergier JacquesAlexandrieConspiration <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Bergier_Jacques_-_Les_livres_maudits.jpg" alt="" /><br />
Auteurs : <strong>Bergier Jacques - Bernard Thomas</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les livres maudits</strong><br />
Année : 1971<br />
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Des livres au contenu prodigieux ont été systématiquement détruits tout au long de l'Histoire, d'autres ont été rendus inaccessibles au public grâce à des méthodes de chiffrage. C'est le cas du livre de Thoth, des stances de Dzyan, du manuscrit Voynich et d'Excalibur, le livre qui rend fou. Ils sont successivement étudiés par Jacques Bergier dans cet ouvrage inédit, qui examine également le pourquoi des destructions massives d'ouvrages ésotériques, comme ce fut le cas dans l'incendie de la Bibliothèque d'Alexandrie. Une conclusion s'impose : il existe une conspiration contre un certain type de savoir, faussement appelé occulte, une conspiration qui couvre tous les pays et se rencontre à toutes les époques. Qui donc brûle les livres maudits ? <strong>...</strong></p>Bergier Jacques - La guerre secrète du pétroleurn:md5:dcad0968867f210f81c3d8e0b8e42e8f2012-06-16T19:00:00+01:002017-03-08T14:23:55+00:00balderBergier JacquesArabieEx-Libris LenculusIsraëlPétrole <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Bergier_Jacques_-_La_guerre_secrete_du_petrole.jpg" alt="" /><br />
Auteurs : <strong>Bergier Jacques - Bernard Thomas</strong><br />
Ouvrage : <strong>La guerre secrète du pétrole</strong><br />
Année : 1968<br />
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Le pétrole est le sang de notre civilisation. Sans pétrole les moteurs s’arrêtent : plus de Défense nationale, plus de T.N.T., plus de napalm, mais également plus de nylon, plus de détergents... On sait aujourd’hui que la guerre des Six Jours fut largement une guerre du pétrole. On sait moins que la guerre du Viêt-Nam en est une autre. Huit trusts ont su se rendre maîtres des sources pétrolières. Chacun d’eux brasse des milliers de milliards, couvrant le monde entier de tentacules gigantesques. En face, un géant, unique mais impressionnant, l’U.R.S.S., deuxième pays producteur du monde. La lutte se déroule partout où se trouve un puits de pétrole, partout où il passe, partout où il pourrait jaillir. Enjeu : la liberté et parfois la survie des nations. De tout cela on ne parle jamais. Les grands maîtres du pétrole préfèrent ne pas dévoiler les mobiles et les moyens de leurs actions. Dans ce livre, Jacques Bergier et Bernard Thomas font le point sur ces luttes secrètes. Leurs stupéfiantes révélations expliquent le sens caché de bien des événements de portée internationale. INTRODUCTION. Guerre effroyable au Vietnam ; massacre de centaines de milliers de communistes (ou soupçonnés de l’être) en Indonésie ; émeutes sanglantes dans les possessions anglaises, à Hong-Kong et Aden notamment ; révolutions incessantes en Afrique Noire, au Nigeria, au Congo, en Rhodésie ; guerre au Yémen entre « royalistes » et « républicains » ; reprise des incidents de frontière entre Corée du Nord et Corée du Sud, après quatorze années de trêve ; guerre israélo-arabe, surtout, la plus spectaculaire, la plus proche de nous : les explosions se succèdent à travers le monde. Chacune peut dégénérer en un conflit généralisé. Aucun individu raisonnable ne peut s’empêcher d’avoir des sueurs froides à l’annonce des nouvelles de la semaine. Une gigantesque partie d’échecs est en cours, à l’échelle de la planète : Hommes, races, nations, sentiments, idéaux ne sont que des pions poussés par des adversaires qui pensent en termes de puissance, non de philanthropie. Des pions inconscients, dans la plupart des cas. On utilise les rivalités, les haines locales, on les envenime, et les pions s’entre-tuent, persuadés de la justesse de leurs revendications. Jusqu’au moment où, dans un sursaut de désespoir, ils se révoltent. Cela arrive aussi. La lecture des journaux, aussi bien informés soient-ils, ne nous livre que la croûte des choses : le point de vue partiel et passionnel des belligérants. Lorsque le débat s’élève, on nous parle par exemple d’un combat idéologique entre communisme et capitalisme, sans nous en expliquer les véritables raisons. Sans nous révéler pourquoi ce combat a éclaté ici plutôt que là. Bref, il existe bel et bien un complot du silence autour de certains faits. Prenons l’exemple du conflit israélien, et tâchons d’oublier un instant les motifs subjectifs pour lesquels nos sympathies vont à un camp, ou à l’autre. Le point de départ de la guerre est clair : les Sionistes sont venus occuper un territoire précédemment habité par des hommes d’une autre religion, les Palestiniens musulmans. On comprend ce qui a poussé là les Sionistes : le retour à la Terre Promise après 2 000 ans d’errance et de persécutions. On comprend que les Arabes se soient senti spoliés. On comprend fort bien que Juifs et Arabes en soient venus aux mains : lorsque deux paysans ne sont pas d’accord à propos d’un champ, il peut arriver qu’ils sortent le couteau. Mais si des richissimes amis leur prêtent des canons de 75, nous soupçonnons que des intérêts plus graves sont en jeu. En réalité, le Sinaï est un désert où l’on meurt de soif. La Palestine en était à peu près un, avant l’arrivée des Israéliens. Essayons d’être objectifs : rien ne ressemble davantage à une dune de sable qu’une autre dune. Avec un peu de bonne volonté, on aurait pu reloger le million de réfugiés palestiniens un peu plus loin, au lieu de les parquer sous des tentes misérables, de les maintenir depuis vingt ans dans un état qui n’est pas tout à fait la mort, grâce aux trois cents calories par jour que leur distribue l’O.N.U. Il y a théoriquement de la place pour tout le monde dans cette partie du globe. Or, ce ne sont pas des canons de 75, mais des milliards de matériel de guerre qui ont été distribués de part et d’autre. De quoi planter suffisamment de blé, de riz et d’oliviers, creuser suffisamment de canaux d’irrigation dans le désert, pour rendre riches et heureux, non seulement les Palestiniens clochardisés, mais d’autres Millions de sous-alimentés en d’autres lieux. Il faut bien en conclure que les réfugiés ne sont qu’un prétexte. Ces bouts de sable valaient, la peine, pour certains, d’y investir des milliards, non pas pour les rendre fertiles, mais pour les posséder. De quoi s’agit-il ? D’une querelle . raciste, religieuse, idéologique ? S’il s’agit d’apprendre aux gens les bienfaits de la libre entreprise capitaliste, ou au contraire ceux du socialisme marxiste, est-ce une méthode logique que d’envoyer des bombes avant des tracteurs ? Est-il raisonnable de dépenser tant d’argent pour catéchiser une poignée d’illettrés ? Est-ce au nom de la philanthropie qu’on les barde d’armements ? Est-ce par souci humanitaire qu’on risque de déclencher une troisième guerre mondiale ? Ni ce qu’on appelle l’impérialisme d’Israël d’un côté, ni la frustration des Arabes de l’autre, leur volonté de récupérer quatre arpents de sable, n’expliquent le napalm ou les appels au génocide d’un Choukheiri. Ils n’expliquent surtout pas les chars, les avions, les missiles, les radars mis à leur disposition. Ni l’empressement qu’on a montré à les remplacer dès qu’ils ont été détruits. La réalité tient en un mot : l’énergie. Un pays qui ne dépense pas d’énergie est pareil à un être humain qui passerait sa vie sans rien faire, allongé sur un lit : il est . à peu près mort. Un pays possédant des sources d’énergie insuffisantes sur son territoire doit aller en chercher ailleurs leurs pour vivre : c’est le cas du Japon, de l’Angleterre ou de la France. Un pays que ses richesses naturelles ont rendu si puissant qu’il éprouve un besoin supplémentaire d’activité, va également en chercher ailleurs : c’est le cas des États-Unis. Or, cette énergie, plus que le charbon, l’électricité ou l’atome, c’est le pétrole. « Cherchez le pétrole « , pourrait-on dire aux êtres humains soucieux de comprendre ce qui se passe autour d’eux. A l’origine ou dans le développement d’à peu près tous les conflits depuis le début du siècle, on trouve le pétrole. C’est que le pétrole est le sang de notre civilisation. Sans lui, les moteurs des bateaux, des avions de guerre ou de commerce, des blindés et des voitures particulières, s’arrêtent ; plus d’huile ni de graisses pour les rouages ; plus de caoutchouc synthétique pour les pneus, plus de plexiglas pour les cockpits des avions, de glaces pour les automobiles. Plus de défense nationale possible. Plus de travail non plus. Napalm, T.N.T., nylon, tergal, dacron, orlon, insecticide, engrais chimique, carrosserie, assiettes, tuyaux d’arrosage, crème de beauté, table de jardin, nappe pour la table, vernis, fleurs artificielles, toitures, rideaux, rouge à lèvres, noir pour les yeux, vernis à ongle, sous-vêtement, lessive, éponge, cuvette, brosse à dents, cire, gaz de cuisine, encre d’imprimerie, asphalte, paraffine, films : près de 300 000 produits divers sont tirés du pétrole. La catastrophe provoquée en Occident par le manque de pétrole serait inimaginable. Or, certains ont su se rendre maîtres des sources pétrolières : ce sont les grands trusts. L’argent allant aux riches et la puissance aux puissants, leur emprise sur le monde tend à devenir démesurée. Les super-bénéfices réalisés par eux ne restent pas inactifs au fond des coffres bancaires. Remis en circulation, ils servent de moyens de pression dans les domaines les plus divers : scientifique, économique, politique, voire même culturel. Au bout du compte, ces investissements colossaux, d’allure parfois inoffensive, font boule de neige et reviennent à leur point de départ sous forme de super-superbénéfices. Chacun des grands trusts dirige plus ou moins directement des centaines de sociétés filiales, brassant des milliards de milliards, couvrant le monde entier de tentacules gigantesques. <strong>...</strong></p>