Histoire Ebook - Chiesa vivaRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearChiesa viva - 453 Une attitude déconcertante de Benoît XVIurn:md5:f5169e58ff31ef7733442ed68d83647c2013-03-19T01:31:00+00:002013-03-19T01:34:00+00:00balderChiesa vivaBenoit XVIHébraïsmeSatanismeVatican <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Chiesa_Viva_-_453_Une_attitude_deconcertante_de_Benoit_XVI_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Chiesa viva</strong><br />
Ouvrage : <strong>453 Une attitude déconcertante de Benoît XVI</strong><br />
Année : 2012<br />
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Sur cette photo, Benoît XVI, les deux bras levés, montre les mains dans une position étrange. Les petits doigts et les index levés, les deux doigts du milieu pliés vers la paume et les pouces détachés de la paume de la main. La Franc-maçonnerie a différents signes de “reconnaissance”, parmi lesquels le plus connu est celui de la “poignée de main” qui prévoit le positionnement du pouce de façon particulière. Tandis que le “signe” fait avec le bras généralement tendu et bien en vue, avec les petits doigts et les index levés, les deux doigts du milieu repliés ou pressés sur la paume et le pouce ouvert ou détaché de la paume, symbolise la devise: «I love the Devil» (J’aime le Diable). Ce “signe” est fréquemment utilisé dans le monde de la musique rock, du cinéma et du spectacle, mais aussi aux hauts niveaux du pouvoir politique et des Autorités suprêmes. Dans ce cas, son sens profond est la manifestation extérieure de l’appartenance à l’Ordre des Illuminés de Bavière. Les ex présidents américains Bill Clinton et George Bush par exemple, proviennent de deux sociétés élitistes des Illuminés de Bavière qui éduquent leurs futurs hommes du pouvoir. Bill Clinton vient du “The Order” de l’Université d’Oxford (GB), George Bush de “Skull and Bones” de l’Université de Yale (USA). Ces deux ex présidents, de même que l’actuel, outre les viceprésidents, Gouverneurs d’États et autres personnages politiques et parfois même leurs femmes, utilisent ce signe de “reconnaissance maçonnique” et d’“affiliation au Diable”, ouvertement et avec fierté et arrogance, comme pour signifier avec solennité et ostentation, leur victoire sur le Christ, sur l’Église Catholique et sur la Civilisation chrétienne. On ne peut ignorer que dans la Franc-maçonnerie et plus encore à ses plus hauts niveaux, est en vigueur la loi de l’obéissance aveugle au supérieur sous peine de mort. Et l’origine de cette obéissance est le “dieu” même de la Franc-maçonnerie, Lucifer, dont l’orgueil impose également à ses sujets la manifestation et l’ostentation arrogante de son pouvoir croissant sur les plus hautes Autorités qui sont associées à son plan d’instaurer le Règne de l’Antéchrist sur la terre avec un Lucifer triomphant sur Dieu et avec la substitution du Culte de Dieu par le Culte de Lucifer. Pourquoi donc cette photo de Benoît XVI dans cet étrange et déconcertante attitude ? <strong>...</strong></p>Chiesa viva - 452 L'Antéchrist dans l'Eglise de Christurn:md5:797f89f96c569fead76c9a7b986991362013-03-19T01:26:00+00:002013-03-19T01:29:31+00:00balderChiesa vivaBenoit XVIChristHébraïsmeSatanisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Chiesa_Viva_-_452_L_Antechrist_dans_l_Eglise_de_Christ_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Chiesa viva</strong><br />
Ouvrage : <strong>452 L'Antéchrist dans l'Eglise de Christ</strong><br />
Année : 2012<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Chiesa_viva_-_452_L_Antechrist_dans_l_Eglise_de_Christ.zip">Chiesa_viva_-_452_L_Antechrist_dans_l_Eglise_de_Christ.zip</a><br />
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Sainteté, c’était le 31 décembre 2005, lorsque l’abbé Luigi Villa et moi, nous nous rendîmes chez un “ami” prêtre, pour une visite. Après un bref entretien dans le salon, nous fûmes appelés pour le déjeuner. À un moment donné de la conversation, le prêtre qui nous avait invités parla de quelques connaissances à lui qui étaient fils spirituels de Padre Pio et dit: «Ces amis m’ont dit que lorsqu’ils vont à San Giovanni Rotondo et qu’ils entrent dans la “nouvelle église”, ils n’arrivent pas même à prier». Je lui répondis: «Savez-vous pourquoi? Parce que ce n’est pas une “église”, mais un “temple satanique ». «Un temple satanique? Mais pourquoi ne publiez-vous pas quelque chose sur le sujet? Cela aurait une grande importance et serait d’un grand secours pour le Pape». «Pourquoi d’un grand secours pour le Pape?». «Parce que la franc-maçonnerie entend se libérer de lui et la publication d’une étude sur ce sujet permettrait d’éviter ce danger». «Depuis environ neuf ans, j’étudie cette “nouvelle église” et il faudra encore des années pour terminer». «Trop tard! Ça ne servira à rien». «Si je me libérais de tout autre travail, je pourrais m’en sortir en un an, ou peut-être encore moins». «Trop tard! Il faudrait le publier avant, bien avant, sinon ça ne servira plus à rien!». Je quittai la maison de cet “ami” prêtre, tout pensif et inquiet. Les jours suivants, je fus assailli par un sentiment de culpabilité et d’une angoisse suffocante de me sentir presque responsable d’une calamité qu’on aurait pu éviter si je m’étais engagé à fond dans l’étude de ce Temple satanique. Mais qu’est-ce que je pouvais faire, si au bout de tant d’années d’étude, je n’étais arrivé à écrire que six pages dont les trois premières n’étaient qu’une prémisse? J’étais désespéré. Je me sentais un poids insupportable sur la conscience. J’avais besoin d’aide. Le matin suivant, je pris une décision: je m’agenouillai devant l’image du Sacré Coeur et prononçai ces mots: «J’ai compris que je dois compléter cette étude en un temps bref, mais qu’est-ce que je peux y faire si en tant d’années je n’ai pas combiné grand’ chose? Faisons comme ça: je T’offre toute ma volonté et toutes mes ressources pour accomplir ce travail, mais toi, tu dois faire tout les reste!». C’était le matin du 3 janvier 2006. Je commençai à travailler et avant la fin de janvier, y compris les trois jours de voyage à San Giovanni Rotondo avec des amis, pour prendre les dernières mesures, l’étude était complétée! Le 20 février 2006, la typographie nous consignait les milliers de copies du Numéro Spécial de “Chiesa viva”. Nous avons aussitôt envoyé la Revue aux abonnés parmi lesquels se trouvait aussi le Prêtre “ami”. Les jours passaient. J’étais anxieusement en attente d’un coup de téléphone de sa part, qui n’arrivait pas. Je décidai de l’appeler moi-même. À peine eus-je entendu sa voix, je lui dis: «Avez-vous reçu la copie du Numéro Spécial sur le Temple satanique que je vous ai envoyé?». Il s’en suivit un silence terrible et puis une voix rauque qui scandait ces mots: «Quoi? … Vous me l’avez déjà envoyé?». <strong>...</strong></p>Chiesa viva - 451 Satan intronisé au Vaticanurn:md5:d2b877740cd01139ee2f0d503ba4f70a2013-03-19T01:13:00+00:002013-03-19T01:20:08+00:00balderChiesa vivaChristianismeHébraïsmeSatanismeVatican <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Chiesa_Viva_-_451_Satan_intronise_au_Vatican_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Chiesa viva</strong><br />
Ouvrage : <strong>451 Satan intronisé au Vatican «Rome perdra la Foi et deviendra le siège de l’Antéchrist!»</strong><br />
Année : 2012<br />
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«L’intronisation de Lucifer, l’Archange déchu, s’est déroulée au sein de la Citadelle Catholique Romaine, le 29 juin1963, date idéale pour la promesse historique qui allait s’accomplir. Comme le savaient très bien les principaux agents de ce Cérémonial, la tradition sataniste a depuis toujours prédit que le Temps du Prince serait inauguré au moment où un Pape prendrait le nom de l’Apôtre Paul. À partir du moment où le Conclave s’était terminé, le 21 juin 1963, avec l’élection de Paul VI, le temps d’organiser l’Évènement était plutôt court, mais le Tribunal Suprême avait décrété qu’aucune autre date ne pouvait être mieux adaptée pour l’Intronisation du Prince que celle de la fête des saints Pierre et Paul et qu’aucun autre lieu ne pouvait être meilleur que la Chapelle Saint Paul, située qu’elle était si près du Palais Apostolique. L’entière et délicate question du Cérémonial fut confiée aux très sages mains du Gardien de Rome, homme de confiance du Prince. C’était un expert de l’élaboré Cérémonial de l’Église Catholique Romaine, un Expert du Cérémonial du Prince des Ténèbres et du Feu, prélat au visage de granit et à la langue fourchue. Le but immédiat de chaque Cérémonial, il le savait bien, était de vénérer “l’abomination de la désolation”. Mais le but ultime étaient d’assurer que s’accomplisse la Montée du Prince dans la Citadelle comme une force irrésistible. Le Gardien affronta en face le problème de la sécurité. Les éléments moins voyants comme le Pentagramme, les bougies noires et les draperies adaptées à l’occasion pouvaient bien être utilisés dans le Cérémonial de Rome. Mais d’autres Rubriques, comme la Jatte des Os et le Tapage Rituel par exemple, ou les animaux sacrificiels et la Victime auraient été de trop. Il faudrait accomplir une Intronisation Parallèle et une Concélébration avec les mêmes effets célébrée par des Frères, dans une Chapelle Satellite Autorisée. <strong>...</strong></p>Chiesa viva - 444 Est-ce que nous retournons au paganisme ?urn:md5:e941a1484b74c5fe4d7cd9b647b704482013-03-19T01:04:00+00:002013-03-19T01:23:59+00:00balderChiesa vivaBenoit XVIVatican <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Chiesa_Viva_-_444_Est-ce_que_nous_retournons_au_paganisme_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Chiesa viva</strong><br />
Ouvrage : <strong>444 Est-ce que nous retournons au paganisme ?</strong><br />
Année : 2011<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Chiesa_viva_-_444_Est-ce_que_nous_retournons_au_paganisme.zip">Chiesa_viva_-_444_Est-ce_que_nous_retournons_au_paganisme.zip</a><br />
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Voici de nouveau la merveilleuse annonce: “CHRISTUS NATUS EST NOBIS!” Nous ne sommes donc plus abandonnés, nous ne sommes plus seuls, perdus dans un monde possédé du démon. POUR NOUS LE CHRIST EST NÉ, VENEZ ET ADORONS! Bien sûr, mais pas le “PÈRE NOËL” à base de “panettone et de cadeaux”, mais le Noël de Jésus Christ, vrai “Dieu” et vrai “Homme”, dont les deux natures, divine et humaine, sont unies en une seule Personne, dans la “Deuxième” de la Très Sainte Trinité. Cette union des deux natures en une seule Personne s’appelle “Union Hypostatique”. Et les trois Personnes divines sont égales et inséparables, mais seule la deuxième s’est faite “Homme”, tout en restant unie au Père et au Saint Esprit même pendant sa vie terrestre, étant donné qu’une Personne Divine ne peut pas se séparer des autres. Donc, Jésus-Christ, tout en se faisant “Homme”, ne cessa jamais d’être Dieu! Le Concile Vatican I écrivit: «L’Église Catholique Apostolique Romaine croit et professe qu’il n’y a qu’un seul Dieu vivant et vrai, immense, incompréhensible, infini en intelligence, volonté et en tout perfectionnement et que, étant une seule unité spirituelle, absolument simple et immuable, doit être dit en réalité et par son essence distincte du monde, en soi et par soi, tout à fait bienheureux et ineffable, supérieur à toutes choses qui en dehors de Lui, sont ou peuvent être pensées». (Cfr. D.B. 1782). Donc, l’essence de Dieu, dans la doctrine scholastique, est “essence” par laquelle une chose est telle et non une autre, constituée dans son espèce, et est “subsistance”, parce qu’elle existe en soi et non pas dans un autre. Donc, l’essence divine est constituée par le fait que Dieu est “Etre Subsistant” en soi. «Je suis Celui qui est…», «Celui qui m’a envoyé à vous» (Ex. 3, 13-14). Voilà pourquoi, le titre que le Cardinal Joseph Ratzinger a donné à son livre: “Le Dieu de Jésus-Christ” (Queriniana) signifie clairement que Jésus-Christ a un autre Dieu et que donc, Jésus-Christ n’est pas Dieu. Face à cette très grave affirmation nous ne pouvons pas rester indifférents, mais nous devons sentir le saint orgueil de défendre “JÉSUS-DIEU”, notre Sauveur et Rédempteur. <strong>...</strong></p>Chiesa viva - 441 Paul VIurn:md5:c170189b16eaff66e49979bf26ece1712013-03-19T01:02:00+00:002013-03-19T01:24:31+00:00balderChiesa vivaPaul VIVatican <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Chiesa_Viva_-_441_Paul_VI_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Chiesa viva</strong><br />
Ouvrage : <strong>441 Paul VI Le Pape qui changea l’Église</strong><br />
Année : 2011<br />
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De Pape Paul VI, il y en a eu deux: celui qu’on a vu et écouté dans les audiences générales et privées et celui que nous ont décrit les livres et les journaux de son temps, surtout comme initiateur de Vatican II avec Jean XXIII et son continuateur jusqu’à la conclusion de Vatican II. Hé bien, nous osons dire: Paul VI, c’est un Pape qui changea l’Église. C’est ce qu’écrivait l’“Avvenire” (journal de la Conf. Épisc. Ital.) du 19 mars 1999 sous le titre: “La chaire de Paul VI. Ruini trace un profil du Pape qui changea l’Église”. Donc le Cardinal Ruini avait lui aussi reconnu que Paul avait changé l’Église. Mais nous devons dire que le cardinal Ruini a passé sous silence le fait que Paul VI après son élection au pontificat, avait juré «de ne pas diminuer ni de changer rien de ce que j’ai trouvé conservé par mes très intègres prédécesseurs et de n’admettre aucune espèce de nouveauté, mais de conserver et de vénérer avec ferveur, de toutes mes forces et de tout mon zèle, comme vrai disciple et successeur, ce qui fut transmis». Pourquoi le cardinal Ruini a-t-il menti comme s’il ne connaissait pas l’énorme bouleversement provoqué par le parjure Paul VI dans toutes les structures de l’Église ? Qui s’attendait à toutes ces intrigues et manipulations postconciliaires capables de changer ab imis, toute l’Église de la Tradition et qui a jamais soupçonné que Paul VI avait trouvé tant de lieutenants comploteurs pour mener l’Église à la ruine ? Il est désormais impossible de recenser le massacre qu’il a opéré et celui qu’il a couvert ou encouragé, ou toléré, ou développé, comme le nihilisme, le paganisme moral, le divorce, l’avortement, la sécularisation, la pornographie, la politique temporelle, le communisme… Ainsi, l’abandon de la religiosité de la vie, à cause de la perte des valeurs chrétiennes, a conduit le monde catholique à un tel point de détérioration qu’il nous a fait complètement oublier ce qu’était la vie de l’Église avant ce malheureux Vatican II ! Et nous en sommes arrivés nous aussi, comme Luther, à déchirer la “tunique sans couture” de Notre Seigneur Jésus-Christ, le vrai seul chef de son Corps Mystique, l’Église. <strong>...</strong></p>Chiesa Viva - 381 Une "nouvelle église" dédiée à Saint Padre Piourn:md5:cfc21c60c240a862d4daabaf24c6bfbe2012-12-02T17:24:00+00:002017-03-07T14:05:58+00:00balderChiesa vivaCatholiqueChristianismeRevue <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Chiesa_viva_-_381.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Chiesa viva</strong><br />
Ouvrage : <strong>381 Une nouvelle église dédiée à Saint Padre Pio Temple maçonnique ?</strong><br />
Année : 2006<br />
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L’effusion du Sang de Notre Seigneur, avec sa mort en Croix, constitue la cause méritoire de notre salut éternel. C’est de la Croix que nous vient tout bénéfice spirituel, toute grâce et efficacité des Sacrements. C’est pour cette raison que depuis toujours, l’Église a voulu exalter le Crucifix en L’offrant continuellement à la contemplation de ses fidèles. Donc toute la spiritualité catholique est basée sur la Croix ! Mais Jésus-Christ crucifié n’est pas seulement la cause méritoire de notre Rédemption, Il est aussi la cause exemplaire de notre vie. Il est obligatoirement le modèle pour toute âme qui veut se sauver et se sanctifier. Ôter de nos yeux le Crucifix signifie perdre le sens de la douleur, signifie perdre le sens de la vie. Voilà pourquoi le crucifix, forme symbolique de notre religion, a caractérisé le ‘’plan’’ même de l’église, en y renfermant un univers symbolique qui a conféré à son édifice, le caractère de ‘’lieu saint’’. Dans le ‘’Dictionnaire d’Architecture’’ nous lisons: «L’antique Basilique Saint Pierre, à Rome, commencée vers 320 et consacrée en 326 par le Pape Silvestre I, constituait un des premiers exemples d’architecture chrétienne. Elle avait le typique plan basilical en croix latine, avec une salle divisée en cinq nefs longitudinales et croisée perpendiculairement par un transept». Plus loin, nous lisons: «Entre le VIII et le XI siècle s’imposa dans la construction ecclésiastique occidentale le plan en forme de croix (croix ‘’latine’’, c’est-à-dire avec des axes de longueur différente), qui reprenait la forme symbolique par excellence de la religion chrétienne. Le bras court de la croix (transept) sépare nettement le chœur de la nef centrale». Dans le ‘’Dictionnaire’’ de Viollet-Le-Duc, on y lit: «Dans la plus grande partie des ‘’plans’’ des églises du Moyen-Âge, du XI au XIV siècle, on observe que l’axe de la nef et celui du Chœur forment une ligne brisée au transept. C’est un symbolisme émouvant; c’est un acte de foi sublime aux yeux d’un architecte chrétien! Mais que voulaient-ils, les architectes de ces temps de Foi? Élever des Basiliques, des Temples où l’on puisse dignement renouveler le ‘’Sacrifice’’ de la Messe, vivant mémorial du Sacrifice du Christ sur le Calvaire. C’est pour cela qu’ils voulaient rappeler la Victime du Golgotha, attachée à la Croix. Et voici là, la Croix, seule, immense, la nef et le transept qui représentent le corps et les bras étendus. L’autel central représente la tête auguste du Dieu immolé, et les chapelles en éventail autour de l’abside, forment la couronne glorieuse qui ceint le front du Sauveur du monde. Se rappelant ensuite que l’Évangéliste a écrit que Jésus ‘’inclinato capite, tradidit spiritum’’ (ayant incliné la tête, rendit l’Esprit), les constructeurs de cathédrales ont volontairement incliné le choeur sur les bras du transept et la tête vers les épaules». <strong>...</strong></p>Chiesa Viva - 420 Brescia : la nouvelle église paroissiale de Padergnone est un Temple maçonnique-satanique !urn:md5:812dbc6fe6049c4adfeaebf695fd50112012-12-01T23:27:00+00:002017-03-07T14:06:10+00:00balderChiesa vivaCatholiqueConspirationFranc-maçonnerieRevueSatanisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Chiesa_viva_-_420.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Chiesa viva</strong><br />
Ouvrage : <strong>420 Brescia : la nouvelle église paroissiale de Padergnone est un Temple maçonnique-satanique !</strong><br />
Année : 2009<br />
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Reportons ici l’intéressant article de Mgr. Panteghini: “Une église entre symbole et catéchèse”, paru sur le “Bulletin des paroisses de Padergnone, Rodengo e Saiano”. «C’est une lapalissade, de dire que construire une église n’est pas une entreprise facile. On construit en regardant un passé riche en suggestions et en expériences, on construit pour l’aujourd’hui en pensant au futur, on construit pour un peuple, on construit pour Dieu. De même, en décrire en de brèves périodes, hommes et symboles, n’est pas une petite entreprise; je demande donc pardon si de quelque manière, je serai contraint à un langage technique et même obscur. L’église de Padergnone est le résultat d’une longue et patiente “ruminatio” entre la commande, le curé Gian Piero Forbice, l’auteur du projet, l’architecte Fabrizio Viola et l’expert en art et liturgie Mgr. Ivo Panteghini. Au début, la seule chose certaine fut le titre que le temple recevrait: dédié au Christ Ressuscité. Justement à partir de ce titre naquit l’idée de la structure: une église à plan circulaire, comme toutes les églises dédiées à l’Anastasis, caractérisée cependant par un mouvement ascensionnel qui évoquerait ce cierge qu’on élève dans l’obscurité de la nuit de Pâques, symbole du Christ qui illumine et de sa victoire. Le plan est donc circulaire, mais il assume une évolution en spirale avec comme point de départ idéal l’autel et comme sommet, une croix flamboyante. La salle est définie par des murailles de moellons, pas parfaitement coïncidents: elles veulent signifier la rencontre, l’étreinte entre le Christ et son peuple. La paroi du Christ est en muraille mixte, parcourue par des files de briques, évoquant la double nature du Fils de Dieu. Au milieu de la paroi du peuple, s’ouvre l’étroite porte “de la pénitence”, fermée par une unique plaque de fer sur laquelle se trouvent, comme des blessures, des croix et des entailles verticales. L’entrée principale est marquée par un splendide portail de bronze, oeuvre de F. Severino qui, en des lignes sobres et essentielles, a décrit la lutte terrestre et apocalyptique entre le bien et le mal. Le bénitier, toujours de Severino, est en terre cuite, dont la cuvette semble écraser le démon du doute. L’intérieur est dominé par la gigantesque statue du Christ Ressuscité, œuvre de Poli, avec comme fond, un grand vitrail dont les couleurs renvoient aux quatre éléments universels: la terre, l’air, le feu et l’eau. Le Christ ressuscité et vivant est ainsi proclamé Seigneur et “Epaphax” de l’univers et de l’histoire. <strong>...</strong></p>Chiesa viva - 413 La Sainte Vierge condamne la Franc-maçonnerie !urn:md5:0ff967fb6329ace4c7343f72ce90d1f52012-12-01T23:22:00+00:002017-03-07T14:06:15+00:00balderChiesa vivaCatholiqueFranc-maçonnerieReligionRevueVatican <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Chiesa_viva_-_413.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Chiesa viva</strong><br />
Ouvrage : <strong>413 La Sainte Vierge condamne la Franc-maçonnerie !</strong><br />
Année : 2009<br />
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C’était en l’année 1563. Dans la province basque de Biscaye, près de la frontière avec la France, dans une famille de l’aristocratie espagnole naissait Maria Francisca de Jesus Torres y Berriochoa, première fille de Diego Torres et de Maria Berriochoa, tous deux fervents catholiques. D’une rare beauté et douée d’une vive intelligence, de nature douce avec une forte inclination à la vertu, Mariana, dès son enfance, évitait les jeux des enfants de son âge pour se réfugier en secret dans l’église attenante à sa maison et où elle avait été baptisée. Et souvent sa mère l’y trouvait prosternée devant le Tabernacle. Lorsqu’elle avait sept ans, un incendie détruisit l’église endommageant la maison et la propriété paternelle, précipitant dans la misère la famille toute entière qui dut se transférer avec les trois enfants dans la petite ville de Santiago de Galicie, dans la partie nord occidentale de l’Espagne. Un jour qu’elle était agenouillée devant le Tabernacle, Mariana s’exclama à haute voix: «Oh mon aimé! Quand donc viendra le jour où je pourrai m’unir à Toi dans la Sainte Communion?» Aussitôt elle entendit ces paroles provenant du Tabernacle: «N’importe quel jour que tu désires, ma fille, car ton cœur est déjà prêt!». Ayant révélé le secret de ce colloque à un père franciscain, on commença tout de suite les préparatifs et ainsi, le 8 décembre 1572, à l’âge de neuf ans, Mariana recevait sa première Sainte Communion. Dans cette première union avec Jésus, le torrent de la grâce divine inonda son cœur, la faisant tomber en extase. Pour la première fois, elle vit la Mère Immaculée qui après lui avoir expliqué la grandeur du vœu de chasteté, lui enseigna la formule et le sens d’un tel vœu, lui ordinant de le prononcer un jour, dans l’ordre religieux de l’Immaculée Conception. <strong>...</strong></p>Chiesa viva - 430 Karol Wojtyła Bienheureux ?urn:md5:bff447a7c7b154e7908a4f33737e5cb02012-09-09T23:12:00+01:002017-03-08T10:28:17+00:00balderChiesa vivaCatholiqueChristianismeHébraïsmeJean-Paul IIRevueSatanismeVatican <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Chiesa_viva_-_430_Karol_Wojtyla_Bienheureux.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Chiesa viva</strong><br />
Ouvrage : <strong>Karol Wojtyła Bienheureux ?.. Jamais !</strong><br />
Année : 2010<br />
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Qui est Karol Wojtyla, ou Jean-Paul II? Je pense qu’on pourrait le définir la dernière “vedette” du siècle qui a pulvérisé tous les records de popularité. C’est certainement le trait le plus évident de son pontificat: une foule immense à chaque étape, avec des hosannas et des alléluias à sa personne. C’est pourquoi toutes les hyperboles semblent inadéquates, telles que superstar, super vedette, ayatollah, etc. Il ne pouvait donc pas ne pas susciter d’étonnement un pape qui parle, qui regarde, qui touche, qui salue comme un leader qui porterait la soutane, un Pape skieur qui descend à skis unis et même sur des pentes glacées, un Pape qui mit le chapeau des chasseurs alpins, qui chantait des chansons profanes, qui escaladait des montagnes, un Pape en somme complexe et poète, un style qui le fit même considérer comme un histrion aux tendances théâtrales, toujours à contre-courant à cause de son aversion irréductible à se conformer aux comportement extérieurs traditionnels, au point de mettre fin à la grandeur des audiences générales, chantant et dansant même en public, se mêlant aux foules de tous les continents, et changeant la solitude des temps passés par une participation personnelle aux travaux quotidiens des hommes. Bien sûr, ce n’est qu’un aspect de son pontificat, qui cependant, comme l’a écrit Gianni Baget Bozzo, «ce spectacle de masse ne sert à rien et à personne. Les voyages permanents, la multiplicité des interventions, semblent couvrir un immobilisme substantiel, et le Pape est toujours plus perçu comme l’auteur d’une restauration au visage humain graduelle». On pourrait très bien le qualifier de “séducteur”, mais sûrement pas à la manière du Christ! Si beaucoup ne firent que des éloges de Wojtyla, beaucoup d’autres au contraire prirent les distances de son action, couverte d’ombres au point de laisser perplexes, comme son incapacité à distinguer ce qui est dogme de foi de ce qui est au contraire une contingence historique; un Pape aux béatifications contestées, un Pape qui, selon Hans Küng, est le plus contradictoire du XXe siècle, un Pape que son “dialogue” inter-religieux fit entrer dans une mosquée et rendit très ouvert aux autres religions, un Pape qui opéra le rapprochement des Juifs et des catholiques et qui alla même jusqu’à déposer au “Mur des lamentations” la prière du pardon, etc.. <strong>...</strong></p>