Histoire Ebook - Dutrait-Crozon HenriRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearDutrait-Crozon Henri - Appel au pays Vérité, justice, patrieurn:md5:96dd3b5139f1d42ea469b299576f87782012-10-19T23:27:00+01:002017-03-07T17:20:56+00:00balderDutrait-Crozon HenriAction FrançaiseArméeConspirationDreyfusFranceHébraïsme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Dutrait-Crozon_Henri_-_Appel_au_pays_Verite_justice_patrie.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Dutrait-Crozon Henri (Frédéric Delebecque - Georges Larpent)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Appel au pays Vérité, justice, patrie La loi faussée par la cour de cassation pour réhabiliter un juif</strong><br />
Année : 1906<br />
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La République de Dreyfus. — La France trahie et mystifiée. — La loi faussée par la Cour de Cassation pour réhabiliter un juif. — Le Justicier. — Hommage national au général Mercier. <strong>...</strong></p>Dutrait-Crozon Henri - Joseph Reinach Historienurn:md5:dd37ed1247c95a5cbfb09654f24d424b2012-10-19T23:25:00+01:002017-03-07T17:14:30+00:00balderDutrait-Crozon HenriAction FrançaiseConspirationDreyfusFranceHébraïsmeRévisionnisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Dutrait-Crozon_Henri_-_Joseph_Reinach_Historien.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Dutrait-Crozon Henri (Frédéric Delebecque - Georges Larpent)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Joseph Reinach Historien Révision de "l'histoire de l'affaire Dreyfus" (Tome I, le procès de 1894. - Tome II, Esterhazy)</strong><br />
Année : 1905<br />
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L'ancien capitaine Dreyfus a été condamné, par deux fois, en Conseil de guerre, pour avoir livré à l'Allemagne les documents énumérés dans un bordereau écrit de sa main et découvert chez l'ambassadeur allemand. Lui-même a reconnu, le 5 janvier 1896, avoir trafiqué de ces pièces et, le 19 septembre 1899, en acceptant sa grâce, il a confirmé ses aveux, La défense de ce condamné semblait interdite par la force des choses et par le bon sens. Mais, aussitôt que son parti se fut emparé de l'Etat, dès le mois de septembre 1898, ses instances en revision eurent lieu dans des conditions de faveur inouïes. Les formes coutumières de la justice furent changées, les lois tournées ou violées, toutes les juridictions fatiguées, les garanties doublées et redoublées sans fin. Le procès de Rennes a tenu vingt-cinq audiences, entre le 7 août et le 9 septembre. La première enquête de la Cour de cassation avait excédé deux trimestres ; la nouvelle n'était pas finie après douze mois. L'intérêt de Dreyfus, comparable à celui d'un prince apparenté à la Maison régnante, obligeait donc les juges à prendre et à reprendre, à peser et à repeser, une par une, en leur détail le plus extrême, toutes les minuties de fait, toutes les broutilles de droit. S'ils ne faisaient que leur devoir, on avouera que ce devoir fut bien négligé envers tout autre que Dreyfus ! La justice la plus sommaire était trouvée trop bonne encore pour quiconque avait eu l'audace de se prononcer contre lui ; si l'on ne s'est pas délivré du général Mercier et du lieutenant-colonel du Paty de Clam en les accrochant à quelque lanterne, c'est que le peuple de Paris, même dans les milieux révolutionnaires, ne fut jamais très favorable au faux innocent. Ce que le peuple n'a jamais voulu tenter, l'Etat l'eût fait s'il l'avait pu. Il usa de tous ses pouvoirs. Les disgrâces, les peines disciplinaires elles blâmes furent prodigués à tout le personnel civil et militaire qui s'était permis d'élever des objections contre une doctrine d'Etat : la langue officielle appela vérité les fictions propices au traître, et mensonge l'évidence qui le chargeait ; certaines preuves de son crime, étant trouvées embarrassantes, furent étouffées ou falsifiées, toutes les fois que l'on en trouva le moyen. <strong>...</strong></p>Dutrait-Crozon Henri - Gambetta et la défense nationaleurn:md5:1fe9dde247dcf92a7e46bbd6f77a534d2012-10-19T23:18:00+01:002017-03-07T17:14:38+00:00balderDutrait-Crozon HenriEuropeFranceNapoléon <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Dutrait-Crozon_Henri_-_Gambetta_et_la_defense_nationale.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Dutrait-Crozon Henri (Frédéric Delebecque - Georges Larpent)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Gambetta et la défense nationale 1870-1871</strong><br />
Année : 1916<br />
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Le 4 septembre 1870, la nouvelle de la capitulation de Sedan et de la captivité de l'empereur Napoléon m'étant parvenue à Paris la veille, le Corps législatif fut envahi, mis dans l'impossibilité de délibérer, et la République fut proclamée à l'Hôtel de Ville. Un gouvernement dit de Défense nationale fut constitué de la façon suivante : Le général Trochu, président; comme membres, des députés du Corps législatif, Emmanuel Arago, Adolphe Grémieux, Jules Favre, Jules Ferry, Léon Gambetta, Garnier-Pagès, Glais-Bizoin, Eugène Pelletan, Ernest Picard, Henri Rochefort, Jules Simon, tous élus de Paris. <strong>...</strong></p>Dutrait-Crozon Henri - Précis de l'Affaire Dreyfusurn:md5:6f215a013ba2c0db75c97e8ea6e0f6af2012-10-19T22:22:00+01:002017-03-07T17:14:49+00:00balderDutrait-Crozon HenriAction FrançaiseAllemagneConspirationDreyfusFranceHébraïsmeRévisionnisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Dutrait-Crozon_Henri_-_Precis_de_l_Affaire_Dreyfus.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Dutrait-Crozon Henri (Frédéric Delebecque - Georges Larpent)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Précis de l'Affaire Dreyfus Avec un répertoire analytique</strong><br />
Année : 1924<br />
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Bien avant l'arrestation de Dreyfus, on avait eu la preuve officielle que les attachés militaires allemand et italien s'occupaient personnellement d'espionnage. Le 30 août 1890, un archiviste de la section technique de l'artillerie, nommé Boutonnet, avait été condamné à cinq ans de prison pour avoir livré des documents à l'Allemagne. A la vérité, l'ambassadeur d'Allemagne, M. de Münster, avait donné sa parole d'honneur que Boutonnet n'était en relations avec aucun agent de l'ambassade, mais les aveux du coupable montrèrent la valeur de ce démenti diplomatique. M. de Münster promit alors que les attachés militaires allemands s'abstiendraient à l'avenir de tout trafic avec les officiers ou les employés français. Cependant. en 1892, un nommé Greiner, du ministère de la marine, fut surpris porteur de documents confidentiels, au moment où il entrait à l'ambassade des Etats-Unis. Greiner fut condamné, le 6 septembre 1892, à vingt ans de travaux forcés et on eut la preuve que l'attaché allemand était en rapports avec le traître par l'intermédiaire de l'attaché américain, le capitaine Borup. Toutefois, le ministère de la guerre luttait contre cet espionnage. Une annexe du 2e bureau de l'état-major de l'armée, désignée officiellement sous le nom de « section de statistique », dénommée aussi parfois « bureau des renseignements », s'occupait spécialement du contre-espionnage. Le chef de la section de statistique, en 1894, était le lieutenant-colonel Sandherr, assisté du commandant Cordier, du commandant Henry, des capitaines Matton et Lauth et de l'archiviste Gribelin. Le colonel Sandherr entretenait des agents à l'étranger, mais, de plus, il avait des « agents doubles », c'est-à-dire des agents jouant le rôle d'espions et chargés de transmettre aux attachés militaires de faux renseignements. Ces agents communiquaient à la section de statistique les questionnaires qu'ils recevaient des attachés militaires et la section de statistique leur fournissait des réponses, mi-exactes, mi-erronées, ou dilatoires, mais dûment contrôlées par les services compétents de l'état-major, de telle sorte qu'aucune information préjudiciable à la défense nationale ne pût être fournie. En outre, à l'ambassade d'Allemagne, une femme de ménage, Mme Bastian, celle qu'on a appelée « la voie ordinaire », recueillait les papiers que l'attaché militaire jetait au rebut, et les faisait parvenir, dans un « cornet », au bureau des renseignements. A l'origine, Mme Bastian remettait ses cornets à l'agent Brücker ; celui-ci ayant été « brûlé », fin 1893, après l'affaire de la femme Millescamps (condamnée le 3 janvier 1894), Mme Bastian entra directement en relations avec les officiers: ce fut d'abord le capitaine Rouin qui reçut les papiers et ensuite, après son départ du service, son successeur, le commandant Henry. Le commandant Henry triait les papiers, reconstituait ceux qui étaient écrits en français et donnait au capitaine Lauth ceux qui étaient écrits en langue étrangère. Les papiers, une fois reconstitués, étaient remis au chef de service. On suivait donc de très près les agissements des attachés militaires et lorsque, en décembre 1893, le général Mercier prit possession du ministère, le colonel Sandherr le mit au courant de la situation, lui rendant compte qu' « un vaste système d'espionnage était organisé contre nous » par l'attaché militaire allemand Schwarzkoppen, puissamment secondé par l'attaché italien Panizzardi. Le général Mercier se fit remettre une lettre caractéristique, dite « des forts de la Meuse », qui avait été saisie par la voie ordinaire et qui était adressée, de Berlin, par Schwarzkoppen à son intérimaire à Paris. Le général Mercier porta la lettre au président du conseil; ministre des affaires étrangères, M. Casimir-Périer, en le priant de faire, à l'occasion, des représentations aux ambassadeurs. Dans le courant de 1894, les renseignements se précisèrent et firent connaître que les attachés militaires avaient à leur solde un officier du ministère. La « voie ordinaire» livra successivement: Un télégramme du 25 décembre 1893, adressé par l'état-major allemand à Schwarzkoppen, ainsi conçu: « choses aucun signe d'état-major », et le brouillon de la réponse de Sehwarzkoppen, du commencement de 1894 : "doute. preuve, Jettrede service, etc.", dans laquelle Schwarzkoppen disait que lui aussi avait eu des doutes sur l'origine des documents, mais qu'il allait se faire présenter, ou s'était fait présenter, la lettre de service de son correspondant, ajoutant: « qu'il vaut mieux n'avoir aucune relation avec les corps de troupe, que les documents n'ont d'importance qu'autant qu'ils proviennent du ministère» ; Une lettre de janvier 1894, dite "lettre Davignon", adressée par Panizzardi à Schwarzkoppen et dans laquelle il est question d'un «ami» qu'a Schwarzkoppen au ministère, au bureau du colonel Davignon ; Une lettre de mars 1894, de Panizzardi à Schwarzkoppen, où il dit avoir reçu des choses intéressantes de leur correspondant; Une lettre d'avril 1894, dite « ce canaille de D. », où il est question de la livraison de plans directeurs. En outre, l'attaché militaire espagnol, le marquis de Val Carlos, qui était en relations avec Schwarzkoppen et Panizzardi, avertissait, en mars et avril, un agent civil du bureau des renseignements, nommé Guénée, « qu'il y avait un loup dans la bergerie », et, en juin, le commandant Henry qu'un officier du 2e bureau, ou ayant appartenu au 2e bureau, renseignait Schwarzkoppen et Panizzardi. L'agent Guénée rendit compte au service des renseignements des confidences de M. de Val Carlos dans deux rapports des 28 mars et 6 avril 1894. Ces renseignements si précis déterminèrent à organiser une surveillance sur les officiers; Elle n'amena aucun résultat. <strong>...</strong></p>Dutrait-Crozon Henri - Appel au pays Le général Mercier Justicier de Dreyfusurn:md5:da2f5d9880fcc9d4b233411c26ce857c2012-10-19T22:11:00+01:002017-03-07T17:21:20+00:00balderDutrait-Crozon HenriAction FrançaiseArméeConspirationDreyfusFranceHébraïsmeRévisionnisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Dutrait-Crozon_Henri_-_Appel_au_pays_Le_general_Mercier_Justicier_de_Dreyfus.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Dutrait-Crozon Henri (Frédéric Delebecque - Georges Larpent)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Appel au pays Le général Mercier Justicier de Dreyfus</strong><br />
Année : 1906<br />
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La découverte de la trahison. - Le procès de 1894. - La communication des pièces secrètes. - Les aveux de Dreyfus. - Le procès Zola. - La première revision. - "Je reste un accusateur." - Rennes. - La deuxième revision. - "Ma conviction n'est nullement ébranlée." <strong>...</strong></p>