Histoire Ebook - Garaudy RogerRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearGaraudy Roger - Les mythes fondateurs de la politique israélienneurn:md5:124fa3766370c55a6608b84ca511741d2012-06-15T15:36:00+01:002017-03-08T14:45:53+00:00balderGaraudy RogerHébraïsmeIsraëlRévisionnismeTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Garaudy_Roger_-_Les_mythes_fondateurs_de_la_politique_israelienne.jpg" alt="" /><br />
Auteurs : <strong>Garaudy Roger</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les mythes fondateurs de la politique israélienne</strong><br />
Année : 1996<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Garaudy_Roger_-_Les_mythes_fondateurs_de_la_politique_israelienne.zip">Garaudy_Roger_-_Les_mythes_fondateurs_de_la_politique_israelienne.zip</a><br />
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POURQUOI CE LIVRE ? Les intégrismes, générateurs de violences et de guerres, sont une maladie mortelle de notre temps. Ce livre fait partie d'une trilogie que j'ai consacrée à les combattre : Grandeur et décadence de l'Islam, dans lequel je dénonce l'épicentre de l'intégrisme musulman : l'Arabie Saoudite. J'y ai désigné le Roi Fahd, complice de l'invasion américaine au Moyen-Orient, comme "prostituée politique", qui fait de l'islamisme une maladie de l'Islam. Deux ouvrages consacrés à l'intégrisme catholique romain qui, tout en prétendant "défendre la vie", disserte sur l'embryon, mais se tait lorsque 13 millions et demi d'enfants meurent chaque année de malnutrition et de faim, victimes du "monothéisme du marché" imposé par la domination américaine. Ces ouvrages s’intitulent : Avonsnous besoin de Dieu ? et Vers une guerre de religion ? (contre le monothéisme du marché). Le troisième volet du triptyque: Les Mythes fondateurs de la politique israélienne, dénonce l'hérésie du sionisme politique qui consiste à substituer au Dieu d'Israël l'Etat d'Israël, porte-avions nucléaire et insubmersible des provisoires maîtres du monde: Les Etats-Unis, qui entendent s'approprier les pétroles du Moyen-Orient, nerf de la croissance à l'occidentale. (Modèle de "croissance" qui, par le truchement du F.M.I., coûte au Tiers Monde l'équivalent en morts d'un Hiroshima tous les deux jours). Depuis Lord Balfour, déclarant, lorsqu'il livrait aux sionistes un pays qui ne lui appartenait pas : "Peu importe le système mis en oeuvre pour que nous conservions le pétrole du Moyen-Orient. Il est essentiel que ce pétrole demeure accessible." (Kimhe John, Palestine et Israël, Ed. Albin Michel, 1973, p. 27), jusqu'au secrétaire d'Etat américain, Cordell Hull : "Il faut bien comprendre que le pétrole d'Arabie Saoudite constitue l'un des plus puissants leviers du monde" (ibidem, p. 240), une même politique assigne la même mission aux dirigeants sionistes israéliens, celle qu'a définie Joseph Luns, ancien secrétaire général de l'O.T.A.N. : "Israël a été le mercenaire le moins coûteux de notre époque moderne." (Nadav Shragaï, Haaretz du 13 mars 1992). Un mercenaire pourtant bien payé puisque, par exemple, de 1951 à 1959, deux millions d'Israéliens ont reçu, par tête, cent fois plus que deux milliards d'habitants du Tiers Monde; et surtout mercenaire bien protégé: de 1972 à 1996, les Etats-Unis ont opposé trente fois leur veto, aux Nations Unies, à toute condamnation d'Israël, alors que ses dirigeants appliquaient leur programme de désintégration de tous les Etats du Moyen-Orient, programme exposé par la revue Kivounim (Orientations) , février 1982, p. 50 à 59, à l'époque de l'invasion du Liban. Cette politique repose, grâce à l'appui inconditionnel des Etats-Unis, sur l'idée que la loi internationale est un "chiffon de papier" (Ben Gourion), et que par exemple, les résolutions 242 et 338 des Nations Unies, qui exigent qu'Israël se retire de la Cisjordanie et du Golan, sont destinées à rester lettre morte, de même que la condamnation unanime de l'annexion de Jérusalem, que même les Etats-Unis votèrent, mais en excluant toute sanction. Une politique aussi inavouable en son fond exige le camouflage que mon livre a pour objet de dévoiler. D'abord, une prétendue justification "théologique" des agressions par une lecture intégriste des textes révélés, transformant le mythe en histoire : le grandiose symbole de la soumission inconditionnelle d'Abraham à la volonté de Dieu, et sa bénédiction de "toutes les familles de la terre", transformé en son contraire tribal : la terre conquise devenant "terre promise", comme chez tous les peuples du Moyen-Orient, de la Mésopotamie aux Hittites et à l'Egypte. Il en est de même pour l'Exode, cet éternel symbole de la libération des peuples contre l'oppression et la tyrannie, invoqué aussi bien par le Coran (XLIV, 31-32) que par les actuels "théologiens de la libération". Alors qu'il s'adresse à tous les peuples fidèles à la volonté d'un Dieu Universel, il devient un miracle unique, et le privilège qu'aurait accordé un Dieu partiel et partial à un peuple élu, comme dans toutes les religions tribales et tous les nationalismes, qui prétendent être le peuple élu dont la mission serait d'accomplir la volonté de Dieu: Gesta Dei pert Francos, pour les Français, Gott mit uns, pour les Allemands, Faire Christ Roi, pour Franco, In God We Trust, blasphème inscrit sur chaque dollar, dieu tout puissant du monothéisme de l'argent et du marché. Et puis une mythologie plus moderne: celle de l'Etat d'Israël qui serait "la réponse de Dieu à l'Holocauste", comme si Israël était le seul refuge des victimes de la barbarie de Hitler, alors qu'Itzhak Shamir lui-même (qui offrait son alliance à Hitler jusqu'à son arrestation par les Anglais, pour collaboration avec l'ennemi et terrorisme) écrit: "Contrairement à l'opinion commune, la plupart des immigrants israéliens n'étaient pas les restes survivants de l'Holocauste, mais des Juifs de pays arabes, indigènes à la région." (Itzhak Shamir, Looking Back,Looking Ahead, 1987, p. 574). Il fallait donc gonfler les chiffres des victimes. Par exemple, la plaque commémorative du monument d'Auschwitz disait, en dix-neuf langues, jusqu'en 1994 : quatre millions de victimes. Les nouvelles plaques proclament aujourd’hui : "environ un million et demi". Il fallait faire croire, avec le mythe des six millions, que l'humanité avait assisté là "au plus grand génocide de l'histoire", en oubliant 60 millions d'indiens d'Amérique, cent millions de Noirs (10 tués pour un captif), oubliant même Hiroshima et Nagasaki, et les cinquante millions de morts de cette deuxième guerre mondiale, dont 17 millions de slaves, comme si l'hitlérisme n'avait été qu'un vaste pogrom et non pas un crime contre l'humanité entière. Serait-on antisémite pour dire que les Juifs ont été très durement frappés, mais qu'ils ne furent pas les seuls, sous prétexte que la télévision ne parle que de ces victimes mais pas des autres ? En outre, pour compléter le camouflage, il fallait, par un nom théologique : "Holocauste", donner un caractère sacrificiel à ces massacres réels, et les insérer en quelque sorte dans le plan divin, comme par exemple la crucifixion de Jésus. Notre livre n'a d'autre objet que de dénoncer ce camouflage idéologique d'une politique, pour empêcher qu'on la confonde avec la grande tradition des prophètes d'Israël. Avec mon ami Bernard Lecache, fondateur de la L.I.C.A. (devenue la L.I.C.R.A.) déporté dans le même camp de concentration que moi, nous apprenions, en des cours du soir, à nos compagnons, la grandeur, l'universalisme, et la puissance libératrice de ces prophètes juifs. A ce message prophétique, je n'ai jamais cessé d'être fidèle, même lorsqu'après 35 ans de militantisme au Parti communiste, et membre de son Bureau politique, j'en étais exclu, en 1970, pour avoir dit, dés 1968 : "L'Union soviétique n'est pas un pays socialiste". Comme je dis aujourd’hui : La théologie de la domination de la Curie romaine n'est pas fidèle au Christ, l'Islamisme trahit l'Islam, et le sionisme politique est aux antipodes du grand prophétisme juif. Déjà, lorsqu'au temps de la guerre du Liban, en 1982, avec le Père Lelong, le Pasteur Matthiot, et Jacques Fauvet, nous étions traduits en justice par la L.I.C.R.A. pour avoir montré, dans Le Monde du 17 juin 1982, avec la bienveillance de son directeur, que l'invasion du Liban était dans la logique du sionisme politique, le tribunal de Paris par jugement du 24 mars 1983, confirmé en appel, puis définitivement par la Cour de Cassation, "considérant qu'il s'agit de la critique licite de la politique d'un Etat et de l'idéologie qui l'inspire, et non de provocation raciale... la déboute la L.I.C.R.A. de toutes ses demandes, et la condamne aux dépens." Le présent livre est strictement fidèle à notre critique politique et idéologique d'alors, même si la loi scélérate du "communiste" Gayssot a voulu renforcer, depuis lors, la répression contre la liberté d'expression en faisant du jugement de Nuremberg le critère de la vérité historique et en instituant un "délit d'opinion". Ce projet de loi fut combattu à l'Assemblée Nationale d'alors par l'actuel ministre de la Justice. Nous pensons apporter une contribution à la lutte pour une paix véritable, fondée sur le respect de la vérité et de la loi internationale. Courageusement, en Israël même, des Juifs fidèles à leurs prophètes, de "nouveaux historiens" de l'Université hébraïque de Jérusalem, et les partisans israéliens d'une paix juste, après la révélation de leur malfaisance, pour l'Etat d'Israël lui-même, et pour la paix du monde, s'interrogent sur les "mythes" du sionisme politique qui ont conduit aux assassinats commis par Baruch Goldstein à Hébron, et par Ygal Amir contre le Premier ministre Ytzhak Rabin. La vérité est en marche, et rien ne l'arrêtera. Le terrorisme intellectuel d'un "lobby" déjà dénoncé par le Général de Gaulle pour "son influence excessive sur l'information" m'a conduit, en France, à procéder à une pré-publication de ce texte dans un numéro spécial hors commerce, réservé aux abonnés, d'une revue. Ce fait, expression de la situation en France, semble avoir beaucoup plus retenu l'attention des commentateurs que le contenu de mon texte. Je le publie donc aujourd'hui moi-même, sous ma seule responsabilité, sous forme de Samizdat, au sens strict de ce terme qui signifie en russe : "édité par soi-même" Ce livre est déjà traduit et en cours de publication aux États-Unis, en Italie, au Liban, en Turquie, au Brésil. Il est en cours de traduction en allemand et en russe. Le texte français est accessible sur le réseau télématique Internet. Contre les mythologies dévoyées, ce sera une nouvelle contribution à l'histoire critique du monde contemporain. <strong>...</strong></p>Garaudy Roger - Le procés du Sionisme israélienurn:md5:94785034cde3825c531ced82e5241d382012-06-15T15:27:00+01:002017-03-08T14:45:57+00:00balderGaraudy RogerHébraïsmeIsraëlRévisionnisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Garaudy_Roger_-_Le_proces_du_Sionisme_israelien.jpg" alt="" /><br />
Auteurs : <strong>Garaudy Roger</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le procés du Sionisme israélien</strong><br />
Année : 1998<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Garaudy_Roger_-_Le_proces_du_Sionisme_israelien.zip">Garaudy_Roger_-_Le_proces_du_Sionisme_israelien.zip</a><br />
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L'image de la France ternie par ce genre de procès. Mon livre porte sur la politique israélienne et sur ses fondements idéologiques. Je suis accusé : 1·- De diffamation de personnes ou de communautés en raison de leur appartenance ethnique ou religieuse. Or je défie quiconque de trouver une seule ligne de mon livre où le mot juif soit employé dans un sens péjoratif. Je critique uniquement ceux (personne ou parti) qui ont utilisé la religion pour justifier une politique. Si je condamne la politique des talibans, je ne diffame pas l'Islam, je le défends au contraire contre ceux qui le déshonorent. Dans le même esprit, lorsque je critique les talibans israéliens ou pro-israéliens, précisément pour leur instrumentation de la religion juive au service d'une politique de guerre, ma lutte contre eux fait partie de ma lutte contre l'antisémitisme que je considère comme un crime punissable par la loi, et que leur politique est en train de déchaîner. 2· Je suis accusé aussi de minimiser les crimes d'Hitler alors que ce sont mes adversaires qui les minimisent : a - en les réduisant à ses seuls crimes contre les juifs alors que sa guerre a coûté 50 millions de morts. b - en faisant une fixation obsessionnelle contre une de ses méthodes de meurtre, en occultant une multitude d'autres formes d'assassinat. "Comment se sont déroulées les séances de cet absurde jugement ?” C'est la question que me posait Yehudi Menuhin lorsqu'il reçut le texte du jugement contre lequel je fais aujourd'hui Appel. Le grand musicien n'était pas le seul à dénoncer l'absurdité du procès : l'ancien président de la République Suisse, M. Chevallaz, historien d'origine, caractérisait déjà ce procès comme un nouveau maccarthisme et une nouvelle "chasse aux sorcières". Il parle d'Inquisition. 20 professeurs des plus grandes Universités italiennes, de Rome, de Turin, de Naples, de Milan, de Pise, de Florence, dans la Stampa du 28 mars 1998, protestent contre le jugement sous le titre: Ce livre n'est pas raciste! "La condamnation, en France, de Roger Garaudy pour avoir écrit un livre sur Les Mythes fondateurs de la politique israélienne, constitue un épisode grave de répression culturelle. Dans les considérants de la sentence le philosophe français a été condamné pour contestation de crimes contre l'humanité. Mais cela, justement est absurde, et constitue un motif de grande préoccupation: il est notoire que cet écrivain est étranger à toute forme de racisme; c'est une aberration qui révèle un risque de barbarisation (imbarbarimento) du climat culturel en Europe, de l'avoir condamné pour avoir discuté et réinterprété sur la base notamment d'une vaste documentation, puisée souvent chez les auteurs juifs - l'ampleur et les modalités spécifiques de ce qu'il reconnaît comme le martyre des juifs et les crimes immenses d'Hitler contre les juifs. Nous sommes favorables à une discussion libre sur les thèses de Garaudy - ce qui, évidemment ne signifie pas que nous les partageons et nous protestons contre ce jugement pour délit d'opinion et contre la Loi qui l'a inspiré : la loi Gayssot. Nous exprimons notre crainte pour les risques que courent la culture et l'édition non seulement en France, mais dans le reste de l'Europe si se répandait la mode, pour les tribunaux, de se substituer à ce qui relève de la recherche scientifique." Je me réjouis de cet Appel, demandé conjointement par moi-même et par nos adversaires, car malheureusement, les événements ont vérifié ma thèse sur les dangers d'une interprétation intégriste de la Bible et de l'histoire, de la transformation du mythe en histoire. Mes prévisions sur le rôle d'Israël comme détonateur d'une troisième guerre mondiale, sont vérifiées dans les faits par la politique de M. Netanyahou. La traduction de mon livre en 29 pays a montré que des millions d'hommes et de femmes ont conscience de ce danger. L'ouverture des archives israéliennes a permis à des historiens israéliens de détruire ces mythes, et de passer, en Israël même, de la mythologie à l'histoire. Des historiens de toutes les nations ont protesté contre la tentative d'étouffement de mes réflexions sur la malfaisance de cette mythologie. Ce qui reste du premier procès, issu de la Loi Gayssot, c'est que l'image de la France comme patrie des droits de l'homme et de la liberté d'expression, a été ternie auprès des nations. J'espère que ce procès, en appel, permettra de restaurer cette image. <strong>...</strong></p>Garaudy Roger - L'Avenir : mode d'emploiurn:md5:69765d05f0924d940f2579da1652919d2012-06-15T15:21:00+01:002017-03-08T14:46:06+00:00balderGaraudy RogerHébraïsmeIsraëlRévisionnisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Garaudy_Roger_-_L_Avenir_mode_d_emploi.jpg" alt="" /><br />
Auteurs : <strong>Garaudy Roger</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'Avenir : mode d'emploi</strong><br />
Année : 1998<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Garaudy_Roger_-_L_Avenir_mode_d_emploi.zip">Garaudy_Roger_-_L_Avenir_mode_d_emploi.zip</a><br />
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Le but de ce livre : Arrêter la marche au chaos Le XXe siècle est derrière nous, avec ses incendies ses ruines, ses déserts. Le XXIe siècle, s'il continue cette marche au chaos, ne durera pas cent ans. Que faire ? Ce livre essaie d'apporter un commencement de réponse à cette question : comment bâtir le XXIe siècle pour qu'il n'assassine pas nos petits enfants ? Nous ne sous-estimons pas l'immensité de la tâche. Nous vivons l'angoisse de tout un cycle historique où l'Occident a cru constituer la seule culture et la seule civilisation et, en sa qualité de peuple élu, imposer au monde sa domination. Il faut donc retrouver le moment où s'est produite l'erreur d'aiguillage, et les successives catastrophes qui en ont résulté : trois sécessions de l'Occident conduisent à un monde cassé. Deux millénaires à repenser et un troisième à bâtir pour en créer l'unité. Une entreprise folle ! Oui, mais qu'il est nécessaire d'aborder au moment où la sagesse des sages nous a conduits au bord du gouffre. Prendre conscience de l'absurdité de ce qui est, et de ce que l'on peut faire pour retrouver un sens à nos vies, un sens à notre monde. - Mais, direz-vous, ce n'est pas mon métier d'être philosophe ! - Ni le mien d'être veilleur de nuit. Mais j'ai vu le feu prendre aux maisons voisines et la tempête le pousser vers vous. Alors, ayant vécu la totalité du siècle maudit, je n'ai pas voulu mourir sans pousser ce cri d'éveil. Debout ! Ouvrez vos yeux. Il les faut clairs pour voir l'horizon. Il faut aussi des mains pour empoigner la barre, tourner le dos à la nuit, et n'attendre pas midi pour croire au soleil. <strong>...</strong></p>