Histoire Ebook - KadathRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearKadath Chroniques des civilisations disparues - 081urn:md5:c8298dd8277b39b6c4f55c405a7d72392012-03-03T01:23:00+00:002017-03-08T18:33:52+00:00balderKadathCivilisationsEgypteHistoire InterditeRevueSphinx <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_081.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Kadath Chroniques des civilisations disparues</strong><br />
Ouvrage : <strong>081</strong><br />
Année : 1993<br />
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UNE EXCLUSIVITÉ KADATH EN LANGUE FRANÇAISE. « Une répugnance, si forte qu’elle soit, envers une idée, ne prouve rien contre cette idée. » Rémy Chauvin. Il y a maintenant trois ans paraissait, dans le n° 74 de KADATH, un article de John A. West, consacré au Sphinx de Gizeh. Le titre de l’article annonçait déjà la couleur, l’auteur y posant d’emblée une question fondamentale : « Le Sphinx de Gizeh serait-il antédiluvien ? » Pour y répondre, West s’était basé sur les travaux de l’égyptologue symboliste R.A. Schwaller de Lubicz, de l’archéologue Mark Lehner et du géologue K. Lal Gauri, et en était arrivé à une conclusion que nous pouvons résumer en deux points : 1) le Sphinx est plus ancien que les pyramides car, d’une part, le style en est radicalement différent et, d’autre part, le Sphinx a été restauré à plusieurs reprises, et pour la première fois dans le style architectural de l’Ancien Empire ; 2) l’érosion de la surface du Sphinx est le résultat de l’action de l’eau et non, comme on le croit généralement, de celle du vent et du sable. Cette érosion se serait produite durant les 500 premières années d’existence du monument. Sans le dire tout en le disant, West supposait que l’Egypte avait connu un déluge à un moment très reculé de son histoire. L’auteur terminait son article en précisant « qu’il existait une science sacrée dans l’Antiquité, et une ‘Atlantide’ a un jour existé. Le Grand Sphinx de Gizeh est un vestige de cette époque. » De telles conclusions auraient été approuvées par Schwaller de Lubicz ; elles ne pouvaient satisfaire ni Gauri, ni Lehner, ni d’ailleurs la majorité des égyptologues, pour qui le Sphinx de Gizeh est contemporain de la pyramide de Chéphren, ce pharaon de la IVème dynastie (2625-2510 avant J.-C.) dont le Sphinx serait tout bonnement le portrait. Quelque temps plus tard, nous publiions d’ailleurs, dans le n° 76, un « échange de vues autour du Sphinx ». Robert Alen, défenseur de la théorie classique, démontrait, arguments égyptologiques à l’appui, pourquoi le Sphinx était fort probablement une production caractéristique de l’Ancien Empire. John West évoquait, lui, les observations géologiques du docteur Schoch, qui confirmaient parfaitement l’origine préhistorique et antédiluvienne du Sphinx. L’hypothèse d’un Sphinx préhistorique peut sembler bouleversante. Certains estiment qu’elle impliquerait une refonte totale de notre vision du prédynastique, l’origine de la civilisation égyptienne étant alors à rechercher dans l’arrivée en Egypte de représentants d’une civilisation avancée, apportant avec eux des connaissances étrangères aux autochtones de la vallée du Nil. Bien sûr, je ne pourrais qu’être favorable à de telles idées : Osiris sait si j’ai toujours soutenu l’idée d’une influence atlantique (ou atlante si l’on préfère) à l’origine des premières dynasties. Mais lorsqu’on a passé plus de vingt ans dans le giron de KADATH, on ne peut que se méfier des idées trop séduisantes. Ainsi, il n’est peut-être pas nécessaire d’opposer, comme on a un peu trop tendance à le faire, l’égyptologie et les découvertes géologiques de Schoch. Parce qu’enfin, les habitants néolithiques de la vallée du Nil ont très bien pu sculpter, voire simplement retoucher un bloc rocheux dont la forme naturelle évoquait déjà un lion couché à figure humaine. Chéphren n’aurait fait que récupérer le monument (ce qui fut, rappelons-le, une pratique courante durant toute l’histoire de l’Egypte pharaonique). Cette hypothèse a d’ailleurs été avancée voici quelques années par un groupe d’archéologues égyptiens. Cela étant dit, il ne faudrait pas non plus banaliser exagérément la question. En effet, la conception d’un tel monument ne correspond pas du tout à ce que l’on sait des populations néolithiques de la région. Dans ce contexte, l’article qui constitue la partie centrale de ce numéro est certainement le bienvenu. Les arguments de son auteur, le professeur Schoch — géologue, membre de la division Science and Mathematics du College of Basic Studies à l’université de Boston — ne vont certes pas clore définitivement la question de l’âge du Sphinx. Mais au moins peut-on dire que nous avons là une étude d’une valeur scientifique incontestable, dont les conclusions ne pourront en aucun cas être négligées. Attention donc, mesdames et messieurs les sceptiques : ce que vous allez lire n’est ni du Barbarin, ni du Slosman. A l’inverse, que les enthousiastes restent prudents : l’étude géologique de Robert Schoch n’est pas le seul élément du dossier. Comme je le rappelais plus haut, l’égyptologie a aussi son mot à dire dans cette affaire, et des points de vue différents ne sont pas nécessairement des points de vue opposés. Nous n’aurons en tout cas pas l’ambition de conclure ici, dans un problème aussi complexe. Le but de ce numéro spécial n’est d’ailleurs pas là. Comme dans les « spéciaux » précédents (voyez par exemple les nos 68 et 72), il s’agit de présenter au lecteur un maximum d’éléments du dossier. Ce n’est déjà pas si mal lorsqu’on sait que la version française de l’article du professeur Schoch constitue une première mondiale... et une exclusivité KADATH. JACQUES GOSSART <strong>...</strong></p>Kadath Chroniques des civilisations disparues - 077urn:md5:af52d94f618672c83c3f19963eaf79322012-03-03T01:22:00+00:002017-03-08T18:34:00+00:00balderKadathAmériquesBagdadCeltesCivilisationsHistoire InterditeRevue <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_077.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Kadath Chroniques des civilisations disparues</strong><br />
Ouvrage : <strong>077</strong><br />
Année : 1973<br />
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LE SAUVETAGE DES TOMBES THÉBAINES : LE PROJET OUSERHAT. Il faut sauver les tombes thébaines Et plus précisément, il faut sauver les peintures qui en ornent les parois. Car ce trésor est menacé et, si l’on n’y prend garde, il n’en restera bientôt plus rien. Tel est en substance le message que lancent Arpag Mekhitarian, secrétaire général de la Fondation Egyptologique Reine Elisabeth, et Roland Tefnin, professeur à l’Université Libre de Bruxelles. Dans une récente communication au Congrès international d’égyptologie de Turin, le professeur Mekhitarian — l’un des meilleurs spécialistes mondiaux en matière de peinture égyptienne — rappelait que, depuis une soixantaine d’années, les égyptologues de sa génération sonnaient en vain l’alarme pour que la nécropole thébaine soit protégée contre le vandalisme. De nombreuses tombes ont en effet été saccagées par des voleurs, qui n’hésitent pas à découper des morceaux de peintures des parois pour les vendre aux plus offrants ! Pourtant, si vous avez visité les tombes thébaines, vous avez pu constater qu’elles étaient toutes défendues par de solides portes métalliques, fermées à double tour par d’impressionnants cadenas. Mais nous sommes en Egypte et, encore à l’heure actuelle, nulle serrure ne résiste sans doute bien longtemps à un honnête bakchich. <strong>...</strong></p>Kadath Chroniques des civilisations disparues - 064urn:md5:43b85389337d538e1cdb2936c11adf7d2012-03-03T01:20:00+00:002017-03-08T18:34:13+00:00balderKadathCivilisationsHistoire InterditeIle de pâquesRevue <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_064.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Kadath Chroniques des civilisations disparues</strong><br />
Ouvrage : <strong>064</strong><br />
Année : 1987<br />
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L’ÎLE DE PÂQUES, TRENTE NUMÉROS PLUS TARD... De cette minuscule île de Pâques, quelque 165 km2 tout au plus, deux cent soixante-cinq ans après sa découverte, on ignore toujours... le nombre exact des statues si fameuses ! C’est à peine imaginable et pourtant ce constat est bien réel. Evidemment, des inventaires sont connus mais, pour avoir été dressés aux temps héroïques des premières expéditions — ceci dit sans contester leur valeur documentaire — ils sont incomplets, contradictoires et maintenant obsolètes. Ô combien plus important que la seule vaine satisfaction de détenir un chiffre exact à l’unité près, il y a le fait qu’un méticuleux recensement et un examen des innombrables singularités de la grande statuaire de l’île, ne peuvent qu’étoffer notre connaissance de ceux qui en furent les maîtres d’oeuvre. On comprend mal, dès lors, qu’une telle étude ne soit point disponible. Et de se perdre encore davantage en conjectures si, comme notre ami Jean Bianco le pense, ces informations étaient en outre susceptibles de contribuer à lever le voile du mystère de l’écriture pascuane... <strong>...</strong></p>Kadath Chroniques des civilisations disparues - 062urn:md5:1ff14be935f3d3fc4d806c6510ed248a2012-03-03T01:19:00+00:002017-03-08T18:34:24+00:00balderKadathAtlantideCivilisationsEgypteGlozelGrèceHistoire InterditeRevue <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_062.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Kadath Chroniques des civilisations disparues</strong><br />
Ouvrage : <strong>062</strong><br />
Année : 1986<br />
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Qui ne connaît le Déluge de Noé ? Sait-on qu’il fut précédé de nombreux autres déluges, provoqués par les destructions successives des grands glaciers quaternaires ? On en retrouve la trace dans toutes les mers du monde, chaque fois à des profondeurs identiques : — 110 et — 55 mètres. Ces catastrophes naturelles de la préhistoire sont relatées par les textes anciens et confirmées par les plus récentes découvertes scientifiques. Ces déluges eurent une influence directe sur la disparition des premiers hommes, et sur la naissance des premières civilisations. André Capart — assisté ici par les connaissances archéologiques de son épouse — est professeur émérite d’océanographie à l’Université Catholique de Louvain, et directeur honoraire de l’Institut Royal des Sciences Naturelles de Belgique. Il est le fils du grand égyptologue Jean Capart et aussi membre du Comité d’Honneur de KADATH. <strong>...</strong></p>Kadath Chroniques des civilisations disparues - 027urn:md5:28dd24b01b6878c3cace87301d5271712012-03-03T01:18:00+00:002017-03-08T18:34:30+00:00balderKadathArchéoastronomieCivilisationsEgypteHistoire InterditeHéligolandRevueTibet <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_027.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Kadath Chroniques des civilisations disparues</strong><br />
Ouvrage : <strong>027</strong><br />
Année : 1978<br />
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Ami lecteur, ce numéro est celui de notre cinquième anniversaire. Nos abonnés du premier jour se souviendront de mars 1973, où parut notre premier numéro. Comme chaque année, nous leur réitérons notre gratitude. Comme chaque année aussi, nous faisons à nouveau appel à eux : sans votre réabonnement, rien ne pourra se faire. Nous comptons sur vous. Au hasard des numéros — et nos sondages le confirment — certains articles peuvent sembler n’avoir avec notre objectif premier que des rapports peu évidents. Croyez-nous, dans l’optique d’une compréhension globale du passé, ils étaient nécessaires. Cela étant, il est vrai aussi que nous voulons revenir à plus d’« orthodoxie kadathienne ». Nous comptons nous enfoncer à nouveau dans cette protohistoire qui fut le creuset des civilisations, mais aussi le lieu où se passèrent les événements qui font que les civilisations disparues sont, précisément, mystérieuses. Faites-y attention : Egypte prédynastique, Sahara fertile, plateau d’Anatolie, préhistoire arabique, astrologie chaldéenne, vous découvrirez bientôt les rapports inattendus qu’ils peuvent avoir eu entre eux, rapports que confirmeront les analyses non-conformistes des mythes et des traditions qui s’y rapportent. La reconstitution de ce puzzle servira de toile de fond à plus d’un article à venir. KADATH. <strong>...</strong></p>Kadath Chroniques des civilisations disparues - 025urn:md5:581d837144f34cce1cb2c8139e0062b32012-03-03T01:16:00+00:002017-03-08T18:34:37+00:00balderKadathAtlantideCivilisationsHistoire InterditeIndonésieRevue <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_025.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Kadath Chroniques des civilisations disparues</strong><br />
Ouvrage : <strong>025</strong><br />
Année : 1977<br />
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Perseverare diabolicum... Etalant partout son ignorance dans tous les domaines, Jean-Pierre Adam est de ceux qui persévèrent. Il ne rate plus aucune occasion de donner sa propre définition de groupes tels que le nôtre. Ainsi dans Science et Vie (avril 1977) nous traitant de « secte », il nous attribue « la théorie de la race supérieure des « Grands Anciens occidentaux » ! Dans les Cahiers Rationalistes (août 1976), il s’inquiète même de ce que « ça prend une très mauvaise tournure dans certains mouvements comme le mouvement GRECE, comme le mouvement KADATH belge, qui cherchent à restaurer la théorie raciste d’Allemagne nazie, et ils ne s’en cachent même pas, d’ailleurs ». Pauvre lecteur, vous n’aviez donc pas remarqué ? Suite à notre droit de réponse, ledit Adam, avec l’humour irrésistible qui le caractérise, fait amende honorable : « Les Grands Anciens dont KADATH recherche l’Héritage après l’Ahnenerbe n’étaient pas blonds aux yeux bleus, nous nous étions grossièrement trompés : ils étaient de petite taille et avaient la peau verte » (Cahiers Rationalistes, juin-juillet 1977). Parlant de nazisme, M. Adam oublie de citer son maître, le Dr. Goebbels, lorsqu’il préconisait (à la suite de Voltaire, il est vrai) : « Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose ». Mais, à l’intention de gens pareils, nous préférons Schiller disant que « contre la stupidité, les dieux eux-mêmes luttent en vain ». Le groupe Atlantis fut bien sûr gratifié du même traitement — bien qu’il n’atteigne jamais la virulence qui nous est allouée. Il avait eu le malheur de ne pas non plus avaler les couleuvres du livre d’Adam, contrairement à l’Union Rationaliste, qui lui avait décerné un prix. En lisant notre cahier Atlantide, le lecteur verra qu’une controverse peut être conçue de manière positive. A titre de comparaison, voici, démonté par François Dupuy-Pacherand, le mécanisme mental de J.-P. Adam vis-à-vis de la question (Atlantis n° 290, septembre 1976 — voir aussi le n° 292, mars 1977) : « Après avoir cité dans le plus grand désordre, et très brièvement, diverses hypothèses en cours (dont quelques-unes assez contestables) sur les rapports qui ont pu exister entre l’Atlantide, l’Europe ancienne, et le continent américain, M. J.-P. Adam écrit ensuite (page 60) : « Toutes ces propositions, on s’en doute, relèvent de la fantaisie la plus totale et le lecteur sensé est assuré d’y trouver autant de sujets d’hilarité que dans la lecture du meilleur Allais. Le danger existe cependant et il est dû à l’extrême variété des hypothèses émises ; à supposer qu’un jour la preuve soit fournie de la relation entre l’Amérique et une civilisation occidentale, la crétoise par exemple, il se trouvera toujours un glorieux énergumène pour se dresser en criant : Je vous l’avais bien dit ! ». Cette citation mérite qu’on s’y arrête car elle résume et démontre admirablement l’incroyable partialité de l’auteur, et on peut s’en montrer stupéfait. Que parmi les nombreuses hypothèses actuelles l’une d’elles puisse se révéler exacte, dans l’avenir, et M. Adam s’en déclare par avance exaspéré. Ce qui tendrait à montrer : 1° que notre auteur n’est pas tellement certain de la solidité éternelle de ses propres négations ; 2° que pour lui, une éventuelle vérité, parce qu’elle pourrait le contredire, devient une pensée tellement insoutenable qu’elle en devient à ses yeux « un danger » ... On peut encore remarquer que celui qui pourrait s’écrier, dans le cas décrit par M. Adam : « Je vous l’avais bien dit », ne saurait être légitimement qualifié d’ « énergumène » puisque ses vues seraient en principe vérifiées. Le côté déplaisant et tendancieux de cette façon d’argumenter est tellement anormal qu’il prétend ridiculiser d’avance, et de façon quasi-injurieuse, des chercheurs qui pourraient cependant avoir raison dans le futur. Est-ce ainsi que l’on peut prétendre défendre l’archéologie de « l’imposture », et se réclamer d’une école scientifique et rationnelle ? ». KADATH <strong>...</strong></p>Kadath Chroniques des civilisations disparues - 024urn:md5:0ddf33d500eaff7434510cdc6eba9f522012-03-03T01:15:00+00:002017-03-08T18:34:43+00:00balderKadathCarnacCivilisationsHistoire InterditeRevue <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_024.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Kadath Chroniques des civilisations disparues</strong><br />
Ouvrage : <strong>024</strong><br />
Année : 1977<br />
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De l’avis unanime des auteurs un tant soit peu éclairés, les mégalithes, c’est « quelque chose en trop », quelque chose qu’on a superposé à la société néolithique existante. Cela se ressent à Carnac plus qu’ailleurs. Trop c’est trop. Les Bretons eux-mêmes se montrent hostiles à ce déferlement de pierres. Ce n’est pas eux. Cela ne les concerne pas. Carnac n’est que partie des 50.000 monuments mégalithiques répartis sur une douzaine de pays européens (sans parler des autres continents). Rien que pour les grands alignements, où on estime que les menhirs se succédaient tous les quatre mètres, le calcul montre qu’ils devaient être 4000 au Grand-Ménec, 2500 à Kermario, 800 à Kerlescan et 400 au Petit-Ménec. Ajoutez-y les autres pierres dressées, sans oublier celles qui gisent au fond du golfe du Morbihan, et pour une surface « portable » de mille kilomètres carrés, vous arriverez à un chiffre dépassant largement les dix mille. Tout cela va vous être présenté, exemples à l’appui. On vous montrera que les néolithiques ont fait usage des mégalithes bretons, sans en être pour autant les protagonistes. On vous expliquera qu’il y a là un gigantesque quadrillage pour des observations astronomiques qui ne seront redécouvertes qu’à la Renaissance. On vous démontrera enfin, que les monuments ne sont pas l’oeuvre d’ « élèvesparanoïaques de conquistadores venus du Proche-Orient » (selon le mot d’Aimé Michel). Et qu’ici, à Carnac, ce ne sont sans doute pas quarante, mais bien quatre-vingts siècles qui nous contemplent ... Si les constructeurs, en choisissant la pierre, ont voulu créer une « éternité palpable », ils peuvent se vanter d’avoir atteint leur objectif. Mais pourquoi cette gigantesque carte de visite ? Ce clin d’oeil : quelle nécessité vis-à-vis du futur ? KADATH. <strong>...</strong></p>Kadath Chroniques des civilisations disparues - 019urn:md5:d85f7f10dba6f7136be0f21f94aafc722012-03-03T01:14:00+00:002017-03-08T18:34:50+00:00balderKadathCivilisationsEgypteHistoire InterditeIndeMayaRevue <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_019.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Kadath Chroniques des civilisations disparues</strong><br />
Ouvrage : <strong>019</strong><br />
Année : 1976<br />
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II y a de cela près de deux ans, KADATH — alors toute jeune revue — organisa dans une modeste salle louée pour la circonstance, une réunion publique de ses lecteurs. Quelques fidèles de la première heure y avaient répondu. Cette assemblée ne fut en fin de compte, qu’une aimable rencontre qui ne déboucha sur rien de bien concret, l’infrastructure faisant cruellement défaut. Entre-temps, un objectif important nous accapara, et c’est vers lui que convergèrent tous nos efforts : nous définir avec clarté, et asseoir la réputation de notre revue dans le petit monde de l’archéologie. Nous pensons, dans la mesure de nos moyens, avoir atteint ce premier but, témoins les échos qui nous parvinrent. Témoin aussi, l’allure courtoise et de haut niveau que prit l’émission télévisée de Jean-Marie Mersch, « Carrefour-17 » (le 30 mai dernier), où nous fûmes confrontés avec des hommes d’université, et où le dialogue s’avéra possible, et même souhaitable. Mais on n’est jamais trop lorsqu’il s’agit d’entreprendre une tâche d’ « honnête homme ». Nous croyons donc qu’il est opportun maintenant d’ouvrir d’autres portes, et d’élargir le débat. KADATH a grandi, grâce à ses lecteurs, et grâce aussi aux nouveaux collaborateurs qui rejoignirent nos rangs. Nous savons par le courrier, qu’il en est que la simple lecture de KADATH ne suffit plus, et qui voudraient des rapports plus directs avec notre groupe, soit parce qu’ils disposent d’informations complémentaires, soit parce qu’ils sont eux-mêmes auteurs d’un travail original. Un de nos collaborateurs va donc mettre sur pied un groupe de travail avec ceux qui désirent « en faire plus ». Mais entendons-nous bien : il n’est pas question de réunir une joyeuse amicale de KADATH, mais bien de créer un « laboratoire », dont la tâche serait tant l’étude de ce qui a été fait que de ce qui reste à faire. Et il reste beaucoup à faire... Cet atelier, dont les activités seront parallèles à celles de notre équipe, tiendrait des séances régulières, et ses résultats pourraient paraître dans la revue. Des membres du comité de rédaction y assisteront. Afin d’organiser avec efficacité un tel laboratoire, nos lecteurs intéressés sont priés de nous en informer rapidement, en nous signalant le jour de la semaine qui leur agréerait le mieux pour une première rencontre, étant bien entendu que la date de celle-ci n’est pas encore fixée. Nous serions désireux de connaître leur spécialité éventuelle et leurs suggestions. Après quoi, notre équipe reprendra personnellement contact avec eux. KADATH. <strong>...</strong></p>Kadath Chroniques des civilisations disparues - 018urn:md5:c08b1eee0636ea9b43a64b4ab81914df2012-03-03T01:13:00+00:002017-03-08T18:34:59+00:00balderKadathArchéoastronomieCivilisationsHistoire InterditeMayaRevue <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_018.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Kadath Chroniques des civilisations disparues</strong><br />
Ouvrage : <strong>018</strong><br />
Année : 1976<br />
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Nos lecteurs ont eu le temps de constater qu’il y a eu un pépin lors du dernier numéro : la couverture. Sans préavis, il nous fut annoncé que le papier gaufré d’usage ne se fabriquait plus dans notre coloris, n’étant plus suffisamment demandé. Il a fallu se rabattre in extremis sur une couleur voisine, et nous en avons profité pour choisir un papier de qualité meilleure. Mais nous n’avions pu nous en expliquer, et depuis, il s’avère que les avis sont partagés. Or le drame, c’est que nous restons à la merci d’un autre changement. Notre maquettiste a donc préconisé, pour un avenir non encore défini, une couverture blanche, avec impression des titres et du dessin en une couleur. Des épreuves ont été faites, et il faut reconnaître que cela a de la classe. Mais c’est vous qui ferez pencher la balance. Ecrivez-nous, donnez votre avis, et n’hésitez pas, éventuellement, à faire d’autres suggestions. De toute façon, si changement il y a, ce ne sera pas avant la fin de cette série : jusqu’au numéro 20 inclus, fin 1976, nous garderons notre présentation, ceci à l’intention surtout de ceux qui tiennent à faire relier leur collection. Encore une bonne nouvelle pour terminer. Dorénavant, des échanges sont prévus avec des revues qu’anime le même esprit que nous : QUESTION DE et NOUVELLE ECOLE à Paris, BRES en Hollande. Pour situer cette « nouvelle école », qui n’a rien de dogmatique mais se retrouve dans une certaine manière d’appréhender les choses, je citerai pêle-mêle, au gré des articles, quelques constatations et caractéristiques communes. Certaines recherches ont été délibérément freinées. Les connaissances techniques vont plus vite que le savoir sur l’homme lui-même. Certaines réalités ne peuvent encore, dans l’état actuel de la recherche, être soumises à la méthode expérimentale. D’où un esprit de tolérance, mais aussi une lutte implacable contre la confusion; un esprit gnostique, mais sans esprit messianique ; une analyse mais aussi une synthèse scientifiques, dans une vision non-réductrice de l’homme. A ce vaste programme, nous tentons, modestement, d’apporter notre contribution. KADATH <strong>...</strong></p>Kadath Chroniques des civilisations disparues - 017urn:md5:73a94b1905f4ab37718e238f81452edc2012-03-03T01:12:00+00:002017-03-08T18:35:07+00:00balderKadathCivilisationsCoréeHistoire InterditeRevueStonehenge <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Kadath_Chroniques_des_civilisations_disparues_-_017.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Kadath Chroniques des civilisations disparues</strong><br />
Ouvrage : <strong>017</strong><br />
Année : 1976<br />
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Ami lecteur, en ce troisième anniversaire de KADATH, nous vous proposons un numéro de transition. De grandes énigmes ont été abordées, et il en reste pas mal encore. Des domaines ont été survolés, et des théories confrontées. Il semble bien, au travers des livres publiés et recensés durant les dix dernières années, que l’archéologie nouvelle, que nous appelons de nos voeux, n’en soit qu’à ses balbutiements. Cela ne nous a qu’à moitié surpris. Mais l’audience de KADATH grandissant, nous avons atteint, maintenant, en maints domaines, la source même des événements. Cela se reflétait sporadiquement dans de récents numéros, et les gens attentifs n’ont pas manqué de nous en féliciter. Il semble donc que, outre notre rôle de mise en ordre dans ce méli-mélo incroyable, on attende de nous autre chose. Nous y sommes prêts, simplement, pareille performance ne s’obtient pas en quelques mois. Nous poursuivons notre mise en ordre, bien sûr, et c’est le rôle du comité de rédaction. Mais le comité d’honneur a, pour sa part, pris à coeur d’assumer un rôle plus que figuratif. Ces gens qui font l’événement en archéologie nouvelle, ont relevé le défi. Défi, car ils ne sont ni journalistes, ni compilateurs. Ce sont des chercheurs, et avant tout les auteurs d’un ou plusieurs livres. Pour exposer dans le détail le résultat de leurs travaux, il faut un livre, et le résumer en un article tient souvent de la gageure. Ils ont pourtant accepté de jouer le jeu. Désormais, à côté des articles de synthèse, vous trouverez donc une bonne proportion d’analyses, sur un sujet bien déterminé. Après les inscriptions runiques du Paraguay, vous trouverez bientôt, par son inventeur lui-même, une tentative de déchiffrement de l’écriture maya. Et voici aussi les traditions se rapportant au cratère du lac Bosumtwi en pays dogon. Toutes choses destinées à éclairer sous un jour nouveau, tel ou tel aspect de la recherche archéologique. Nous vous proposerons par la suite une étude inédite sur le mythe du dieu mexicain Quetzalcoatl, les recherches astronomiques d’Alexander Thom en Bretagne mégalithique, la controverse d’André Pochan et Jean-Philippe Lauer sur le sens des pyramides d’Egypte, etc. Et tout cela de première main, par les protagonistes eux-mêmes. Contrairement à ce qu’on trouve dans les revues d’archéologie classique, où la découverte (ô combien estimable) d’une nouvelle villa galloromaine ne fait qu’enfoncer des portes largement ouvertes, les études que nous vous proposons sont autant de coups de boutoir dans la version conformiste des choses. Pour nous, notre conviction est ferme : ce sont ces pièces-là qui seront, demain, les bases de l’archéologie non réduite à quelques schémas préétablis. KADATH. <strong>...</strong></p>