Histoire Ebook - Loth JosephRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearLoth Joseph - Triades historiques et légendaires des royaumes galloisurn:md5:e637eba595cb08b4b85079af9a6486b82016-10-07T01:10:00+01:002016-10-07T00:20:56+01:00balderLoth JosephCeltesEuropeGraalRoi <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Loth_Joseph_-_Triades_historiques_et_legendaires_des_royaumes_gallois.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Loth Joseph</strong><br />
Ouvrage : <strong>Triades historiques et légendaires des royaumes gallois (Arthur et ses guerriers)</strong><br />
Année : *<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook2/Loth_Joseph_-_Triades_historiques_et_legendaires_des_royaumes_gallois.zip">Loth_Joseph_-_Triades_historiques_et_legendaires_des_royaumes_gallois.zip</a><br />
<br />
Triades des chevaux. du livre noir de Caermarthen. Trois chevaux de butin de l’île de Prydein ; Carnavlawc (Carn-gavlauc, « Pied fourchu »), cheval d’Owein ab Uryen ; Bucheslwm Seri, cheval de Gwgawn Cleddyvrudd (Cleddyv-rudd, « À l’épée rouge ») ; Tavautir Breichir (Tavawt Hir, « Langue longue » ; Breich Hir, « Bras long »), cheval de Kadwallawn ab Kadvan. <strong>...</strong></p>Loth Joseph - Triades des Galloisurn:md5:ad3c4a6c03da9d76c8fc94d574c3ff102016-10-07T01:04:00+01:002016-10-07T00:07:38+01:00balderLoth JosephCeltes <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Loth_Joseph_-_Triades_des_Gallois.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Loth Joseph</strong><br />
Ouvrage : <strong>Triades des Gallois Triades humoristiques, morales et poétiques</strong><br />
Année : *<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook2/Loth_Joseph_-_Triades_des_Gallois.zip">Loth_Joseph_-_Triades_des_Gallois.zip</a><br />
<br />
La triade consiste à grouper trois par trois, sous la même caractéristique, les faits ou les pensées, les personnes ou les choses. Sans aller, avec certains Celtomanes, en chercher le plus illustre modèle, le germe et comme la justification dans le Mystère de la Sainte-Trinité, on pourrait en relever, chez différents peuples, à des époques diverses, d’intéressants exemples. Mais ce qui appartient en propre aux Gallois, c’est le mérite plus ou moins enviable d’avoir élevé la triade à la hauteur d’un genre littéraire et de l’avoir appliquée à toutes les branches de nos connaissances : histoire, droit, philosophie, poétique, musique, morale, satire. En principe, suivant toute probabilité, simple expédient mnémotechnique, la triade nous apparaît au XIe-XIIe en plein épanouissement. A partir de cette époque jusqu’au XVIe siècle, c’est un des genres auxquels s’essayent le plus volontiers les lettrés et les beaux-esprits du pays de Galles. La triade a eu cette bonne fortune d’avoir des partisans fanatiques et des détracteurs passionnés. Pour les premiers, la triade exhale un parfum druidique si capiteux qu’il leur enlève tout sang-froid : la triade, c’est la forme traditionnelle par laquelle l’enseignement des anciens Celtes s’est transmis jusqu’à nous ; le scepticisme à cet égard est un manque de patriotisme, presque un crime de lèse-patrie. Les autres regardent la triade comme le produit monstrueux d’une culture incomplète, où la folle du logis joue le principal rôle aux dépens bien souvent de la saine raison. Si on ne considère que les triades historiques, malgré leur importance à certains points de vue, quoique l’on puisse relever dans divers manuels à l’usage de nos candidats à des artifices mnémotechniques presque aussi discutables, la triade est difficile à défendre : on est obligé d’accorder aux triadophobes qu’il ne serait probablement jamais venu à l’idée d’un Thucydide ni même d’un Henri Martin, de soumettre les faits historiques à cette torture aussi inutile que dangereuse. <strong>...</strong></p>Loth Joseph - La razzia des vaches de Cooleyurn:md5:cf187f309a29329298e1b63f524d707e2016-10-07T00:28:00+01:002016-10-06T23:47:07+01:00balderLoth JosephCeltesEuropeMythologie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Loth_Joseph_-_La_razzia_des_vaches_de_Cooley.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Loth Joseph</strong><br />
Ouvrage : <strong>La razzia des vaches de Cooley</strong><br />
Année : *<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook2/Loth_Joseph_-_La_razzia_des_vaches_de_Cooley.zip">Loth_Joseph_-_La_razzia_des_vaches_de_Cooley.zip</a><br />
<br />
Táin bó Cúalnge. tel est le titre de la grande épopée irlandaise que M. Windish a publiée en 1905. Ce titre peut paraître étrange. En effet, l’expédition entreprise en Ulster par la reine Medb a pour but la conquête, non d’une vache, mais d’un taureau, un taureau d’une nature supérieure et qu’on pourrait appeler surnaturelle. Ce taureau était la septième forme d’un porcher des dieux ou, si l’on veut, des génies de Munster. Ce porcher avait eu d’abord une forme humaine, puis était devenu successivement corbeau, cétacé (c’est-à-dire phoque ou baleine), guerrier éminent, fantôme, ver, en dernier lieu taureau. Comment se fait-il donc que le titre de la pièce parle de vaches ? Pour le comprendre, il faut se rendre compte de la façon dont a été composée la pièce dont il s’agit. Ce qui reste de la littérature épique irlandaise dans les souvenirs des paysans irlandais peut avec raison être traité de folk-lore. Mais les vieilles compositions épiques que quelques manuscrits nous ont conservées sont l’oeuvre d’une corporation savante, les filid, c’est-à-dire voyants, dits aussi fáithi, c’est-à-dire prophètes. La principale fonction des filid dans la société irlandaise consistait à réciter le soir après dîner un court morceau épique en prose entremêlé de vers qui étaient chantés avec accompagnement de la harpe. Une notable partie de ces morceaux racontait les détails de l’expédition entreprise contre l’Ulster par Medb, reine de Connaught. Au VIIe siècle de notre ère, Senchân Torpeist, chef des filid d’Irlande, imagina réunir un certain nombre de ces petits morceaux en une grande compilation qui fut écrite. L’usage ancien était de ne pas employer l’écriture et de tout confier à la mémoire. Nous savons par Jules César que telle était de son temps la coutume des druides en ce qui concernait leur enseignement. Cet enseignement pouvait durer vingt ans, et consistait principalement pour le maître à faire apprendre à l’élève un grand nombre de vers. Le traité irlandais intitulé Livre de l’Ollam, Lebar Ollaman, nous apprend que pour les filid les études étaient moins longues, et que cependant leur durée régulière était de douze ans. <strong>...</strong></p>Loth Joseph - Les Mabinogionurn:md5:10c2fb1309e562ff19486a36a07525be2016-10-07T00:25:00+01:002016-10-06T23:27:43+01:00balderLoth JosephCeltesFranceMythologieRoi <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Les_Mabinogion.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Loth Joseph</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les Mabinogion Du Livre Rouge de Hergest avec les variantes du Livre Blanc de Rhydderch Traduits du gallois avec une introduction, un commentaire explicatif et des notes critiques</strong><br />
Année : 1889<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook2/Loth_Joseph_-_Les_Mabinogion.zip">Loth_Joseph_-_Les_Mabinogion.zip</a><br />
<br />
Préface. Cet ouvrage n’est pas une simple réédition de l’ouvrage paru en 1889, sous le titre de : Les Mabinogion traduits en entier en français pour la première fois avec un commentaire explicatif et des notes critiques. La publication de nouveaux textes des mêmes romans conservés dans des manuscrits dont quelques-uns sont plus anciens que le Livre Rouge, publiés par M. Gwenogvryn Evans sous le titre de The White Book Mabinogion (Les Mabinogion du Livre Blanc) rendait nécessaire une révision sérieuse du texte de l’unique manuscrit qui avait servi de base à mon oeuvre. J’ai conservé néanmoins le Livre Rouge comme base de cette nouvelle traduction, d’abord parce qu’il est complet ; en second lieu, parce que les nouveaux textes remontent ou à la même source avec des traits souvent plus fidèles de l’archétype, ou à des sources voisines. Ils sont particulièrement intéressants au point de vue orthographique et linguistique. Je les ai étudiés avec soin et tout en profitant de leçons parfois meilleures que celles du Livre Rouge, j’ai constaté, non sans satisfaction, que ces textes confirmaient sur bon nombre de points mes hypothèses. C’est un nouveau et sérieux titre que s’est acquis M. Gwenogvryn Evans à la reconnaissance des celtistes, ce volume est le septième de la série des Old-welsh Texts qu’il a publiés seul ou en collaboration avec sir John Rhys, le professeur de celtique bien connu d’Oxford. On trouvera plus loin tous les détails nécessaires sur ces textes. Quoique ma traduction ait été estimée consciencieuse et exacte par des juges compétents, elle présentait certaines défectuosités, quelques lacunes même sans grande importance, il est vrai, que j’ai été heureux de faire disparaître par une révision sévère. La comparaison d’Owen et Lunet, de Peredur, de Gereint et Enid avec les romans correspondants de Chrétien de Troyes, ne m’a pas été non plus inutile, même au point de vue du sens. Les notes critiques ont été corrigées et notablement augmentées ; il en est de même des notes explicatives, pour lesquelles j’ai profité des nombreux travaux parus en si grande abondance, depuis quelques années, sur la matière de Bretagne. Dans ce nouveau travail, j’ai suivi les mêmes principes que dans le premier. <strong>...</strong></p>