Histoire Ebook - Sher SachaRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearSher Sacha - L'essor de l'Angkarurn:md5:9b971dce3fac3de99a182809d2384efc2012-08-19T12:30:00+01:002017-03-08T11:20:59+00:00balderSher SachaBolchéviqueCambodgeHébraïsme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Sher_Sacha_-_L_essor_de_l_Angkar.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Sher Sacha</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'essor de l'Angkar (1945-1975) Des rêves de grands soirs de sorbonnards, à la victoire des maquisards</strong><br />
Année : 2008<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Sher_Sacha_-_L_essor_de_l_Angkar.zip">Sher_Sacha_-_L_essor_de_l_Angkar.zip</a><br />
<br />
Alors que le procès de quelques « Khmers rouges » se profile pour l’année 2008, ce livre propose une remise en perspective de la genèse de ce mouvement. L’ascension du mouvement révolutionnaire y est retracée de manière aboutie, depuis les chères études de ces « camarades » en France jusqu’à la fin de la guerre de 1975. Fruit d’un long travail d’archives et d’investigation, le présent ouvrage est tiré de la première partie d’une thèse de sociologie politique achevée en 2002 et soutenue à Nanterre en 2003 (voir l’allocution de soutenance sur : http://khmersrouges.over-blog.fr/50-index.html), laquelle a été retravaillée une première fois en 2003 pour lui faire suivre un plan chronologique et l’étoffer de la documentation entreposée dans les bibliothèques étatsuniennes, puis une deuxième fois d’avril à juin 2007 pour en améliorer la réflexion et l’écriture et y intégrer les trouvailles et les points de vue avisés d’une biographie du seul Pol Pot réalisée par le grand reporter Philip Short. Le lecteur curieux et soucieux de vérification pourra parcourir de nombreuses notes, quarante pages de documents en annexe, et cinquante pages de notices biographiques – particulièrement utiles pour résumer d’un trait la façon dont cette effarante révolution des dogmatiques en vient, dans sa course frénétique, à broyer les ennemis potentiels comme ses enfants les plus prometteurs.. Précision sur la couverture : l’illustration reprend le drapeau officiel du « Kampuchéa Démocratique », et le réinterprète naturellement comme un diagramme saisissant du développement de l’Angkar – le nom que donnèrent les révolutionnaires à leur « organisation » dès 1955. Sacha Sher a déjà publié Le Kampuchéa des « Khmers rouges», essai de compréhension d’une tentative de révolution, 1975-1978, aux éditions l’Harmattan en 2004. <strong>...</strong></p>Sher Sacha - Feu sur « Al-Qaida » !urn:md5:b97b2f2a823dd9ba9f9ed847dd94cfc72012-08-19T12:24:00+01:002017-03-08T11:21:06+00:00balderSher SachaArabieCIAConspirationIslam <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Sher_Sacha_-_Feu_sur_Al-Qaida.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Sher Sacha</strong><br />
Ouvrage : <strong>Feu sur « Al-Qaida » ! Manipulations fumeuses et sans scrupules au service d'un nouvel ordre oriental et mondial</strong><br />
Année : 2007<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Sher_Sacha_-_Feu_sur_Al-Qaida.zip">Sher_Sacha_-_Feu_sur_Al-Qaida.zip</a><br />
<br />
CES MAUVAIS COMPLOTS QUI TOURNENT AU FIASCO. juillet 2007. « Mieux vaut de bons réseaux qu’un mauvais complot », Emmanuel Ratier (Le choc du mois, n°4, septembre 2006, p.31) « Après avoir été horrifié par ces attentats, je me suis tout de suite posé la question du cui bono (à qui cela profite ?) (…) Je n’exclue plus l’idée d’une opération “sous faux drapeau” d’un ou de plusieurs services secrets (…) il n’y (a) pas d’enregistrement vidéo des terroristes lors de leur approche vers les avions (…) Très probablement, les pilotes ont dû perdre le contrôle des avions sous l’action d’une commande à distance (…) Toutes les personnes défaillantes lors du 11 septembre ont été promues et récompensées. Il reste par conséquent l’hypothèse selon laquelle le cercle le plus étroit du gouvernement Bush a été le complice, voire l’auteur de ces faits (…)» Andreas von Bülow, ex-secrétaire d’Etat à la Défense allemand (Le choc du mois, n°4, septembre 2006, p.6). « Deux géants américains s'associèrent avec la DEFENSE via l'AGENCE DE PROJETS DE DEFENSE AVANCÉE sur un projet destiné a faciliter la récupération "à distance" d'avions américains détournés. Brillant à la fois dans l'opération et la conception, le projet qu'on a appelé a tort "HOME RUN", permettait à un contrôleur d'entendre les conversations dans le cockpit, sur un avion-cible puis de prendre le contrôle total de l'appareil à travers un système entièrement informatisé, le tout, dirigé a distance. (…) En évitant de rendre public les boîtes noires, il est donc impossible d'entendre des conversations qui auraient peut-être indiqué que les "pilotes n'arrivaient plus a contrôler leurs appareils !!!» Normand Villeneuve, La pyramide du WTC, 2006. Il était un temps où, quand l’utilisation des réseaux ne suffisaient plus à fortifier un pouvoir, on avait recours à des complots sanglants. JFK le lumineux aveuglait-il les hommes de l’ombre mafieux de la finance et le pouvoir de l’ombre du complexe militaro-industriel ? Arrosé de balles… Corps refroidi… Bush était-il trop isolationniste, trop proche en affaires des Saoudiens (contrairement à Gore), bronzait-il insouciant au soleil de Floride sans souci de renflouer les caisses des services secrets et de la police, et de conquérir le Monde ? Douche glaciale… Et une fois mouillée, la poule – pour ne pas dire le pigeon –, était cernée d’une nuée sombre de conseillers venus l’exciter, la pomper, la piquer et lui donner l’aspect rougi et repoussant du vautour charognard. Mais, à force de « smoking guns » (pistolets laissés fumants), les moustiques intrigants allaient finir par s’évanouir ou se montrer plus discrets, ne réservant leurs coups montés qu’avant des échéances importantes (en France ou en Algérie). Les coupables, trop visibles après des opérations trop voyantes, ou laissant trop la place au soupçon à l’égard des autorités, faute de preuves et de revendications associées à un code, allaient se heurter à trop de vigilance et trop de colère, de la part des militants comme des autorités, et il en était bientôt terminé de ce monde trop complaisant qui menait à d’impitoyables complots. Le signal avait été donné par le ministre de l’Intérieur algérien Noureddine Yazid Zerhouni, qui, après la découverte de détonateurs à distance dans les véhicules avait remis en cause la thèse de l’attentat suicide classique: « il est fort probable que les terroristes conducteurs des trois voitures aient sauté avec leurs charges d’explosifs à leur insu » (Al-Qaïda recrute chez les marginaux de l’Algérie AP | 18.04.2007 | 16:45 ). Une nouvelle catégorie était enfin abondamment utilisée. Celle des « kamikazes malgré eux », déjà en vogue après les attentats de Londres. Décidément, ces attentats d’Alger du 11 avril 2007 n’avaient ni queue ni tête. Comme tous ces attentats commis des « 11 ». Cette obsession des dates et des anniversaires n’a d’ailleurs rien d’arabe ou de musulman – ils ne fêtent pas leurs anniversaires – allait souligner le 2 juillet 2007 sur Radio classique Alain Bauer, le spécialiste en sécurité et membre de l’IRIS, récemment rapproché de Sarkozy, en pleine vague d’attentats déjoués par la police britannique, plus vigilante que jamais, après avoir déjà flairé une main cachée derrière les faux kamikazes deux ans auparavant, et à l’approche de l’anniversaire des attentats du 7 juillet de Londres. A travers Bauer, la France semblait prévenir les futurs auteurs d’un coup tordu qu’elle ne se laisserait pas embobiner. <strong>...</strong></p>Sher Sacha - Brouillamini à Baliurn:md5:e9e47a13792983d63641a4a843b2603b2012-08-19T12:16:00+01:002017-03-08T11:22:11+00:00balderSher SachaCIAConspirationHébraïsmeIslamÉtats-Unis <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Sher_Sacha_-_Brouillamini_a_Bali.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Sher Sacha</strong><br />
Ouvrage : <strong>Brouillamini à Bali - Examen de la valeur des premiers bruits sur les attentats de 2002</strong><br />
Année : 2009<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Sher_Sacha_-_Brouillamini_a_Bali.zip">Sher_Sacha_-_Brouillamini_a_Bali.zip</a><br />
<br />
Un tour d’horizon des premières nouvelles qui ont porté sur le déroulement des attentats de Jalan Legian, Kuta Beach, sur l’île de Bali, le 12 octobre 2002 à 23h05, révèle de profondes divergences entre elles. L’incompatibilité des différents récits ainsi que le recul historique nous amènent à considérer de manière dubitative de nombreux « faits » qui furent rapportés. Leur origine et leur véracité semblant improbable, il doit être loisible de les considérer comme des bruits, voire, pour les plus répandus, comme des rumeurs. Mieux, les preuves d’incertitudes, de peccadilles, de paranoïa, de parjures, de présomptions et de palinodies abondent qui montrent que face à un événement particulièrement tragique comme celui-ci, la vérité chemine sur un terreau humain peu solide et même particulièrement marécageux et miné. Nous nous intéresserons aux différentes versions ou revendications qu’ont catalysées ces événements dévastateurs et à leur signification sociologique (fonds de croyances, situation géographique et sociale du locuteur, intérêts personnels et politiques en jeu). Nous tenterons d’éclaircir les origines ou le contexte de leur lancement, les moteurs et les courroies de transmission qui les ont propulsées, les facteurs et les forces qui leur ont fait prendre telle ou telle direction, et les conditions de leur propagation plus ou moins rapide et de leur amplification plus Au terme de cette étude, nous ne construirons pas forcément une version définitive et authentifiée de ce qui a pu se passer. Non seulement parce que la chose n’est pas aisée, et que les méthodes explorées, à la fois inductives et déductives, ne permettent pas forcément d’arriver concrètement à une commune conclusion, comme l’avait remarqué sur ce sujet l’enquêteur et analyste politique Hermawan Sulistyo à l’approche « souvent sophistiquée », mais aussi parce que des regards portés sur l’histoire de l’Indonésie montrent bien que les violences terroristes – qui ont d’ailleurs déjà visé une boîte de nuit en 1976 à Medan, entraînant l’arrestation du groupe Timzar Zubil –, peuvent à la fois être attribuées à de réelles luttes armées hostiles aux influences étrangères (finance chinoise) ou revendiquant clairement la volonté d’instaurer un futur État islamique indonésien ou régional séparé, et être assimilées à des manoeuvres politiques entourées de mystères et d’ambiguïtés, destinées par exemple à frapper les communistes ou à isoler l’opposition radicale islamique – voir les précédents de l’armée secrète dirigée par les frères Kartosuwirjo, de Tanjung Priok, du Talangsari, du Komando Jihad, et des incendies anti-chinois de 1998 dans le quartier de Glodok vraisemblablement menés par des milices avec l’accord indifférent de la police et de l’armée. Néanmoins, nous espérons apporter quelques jalons, car, comme l’a écrit Gabriel Rabhi sur rue89.com le 5 février 2009, « il est impératif d’étudier avec la plus grande impartialité tous les attentats qui influent lourdement le déroulement de l’histoire d’une région, d’un pays ou du monde. Mais étudier des attentats ne signifie pas écouter les versions officielles ou les possibles revendications, il s’agit surtout d’expliquer la version officielle et les revendications en décortiquant les preuves, les événements en eux-mêmes, le contexte politique, médiatique, les réactions des responsables politiques et les conflits d’intérêt ». <strong>...</strong></p>Sher Sacha - 11 septembre : Le grand bluffurn:md5:f70506b5049e8e3e25ab9aaa29ee8e282012-08-19T12:14:00+01:002017-03-08T11:22:18+00:00balderSher Sacha11 septembre 2001ConspirationHébraïsme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Sher_Sacha_-_11_septembre_Le_grand_bluff.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Sher Sacha</strong><br />
Ouvrage : <strong>11 septembre : Le grand bluff</strong><br />
Année : 2004<br />
<br />
Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Sher_Sacha_-_11_septembre_Le_grand_bluff.zip">Sher_Sacha_-_11_septembre_Le_grand_bluff.zip</a><br />
<br />
Remarques sur le titre. La question revient sans arrêt de savoir s’il y a eu tromperie de la part du gouvernement états-unien sur l’identité des criminels et sûr la réalité de l’enchaînement des événements. C’est ce que nous avons voulu sousentendre par le mot bluff, qui porte le sens de tromperie et de poudre aux yeux et dont l’origine est anglo-américaine. Par ailleurs, puisque les dirigeants de l’hyperpuissance nord-américaine se montrent toujours aussi dominateurs après le 11-septembre, et que cet événement est devenu un récit fortifiant destiné à rehausser l’image du drapeau étoilé, l’acception de bluff en tant qu’esbroufe et que vantardise semble également pouvoir être retenue. Mais surtout, puisqu’un bluff est une parole ou un acte prémédité, la question est de savoir si le 11-septembre n’est pas, à la fois une manoeuvre rhétorique utilisée à tour de bras et une manipulation planifiée depuis le début dans le but, notamment, de justifier le déploiement de forces militaires importantes au service d’objectifs méprisables. Quelques mots sur l’auteur L’auteur, modeste historien, n’a aucun projet ou préjugé politique, religieux ou ethnique. Il n’est pas agent de la D.G.S.E., de la C.I.A., du Mossad, du F.S.B., de la Chine ou de l’Europe. Il ne défend aucun empire ni aucune instance internationale censée nous sauver des Etats-Unis. Il juge certes l’administration américaine actuelle criminelle, mais ne soutient pas les grands mouvements d’opposition à M. Bush, n’a que méfiance pour la faconde des démocrates ex-avocats ou procureurs John Kerry et John Edwards, ne sait presque rien du fils de bonne famille Ralph Nader, et se demande si le keynésien Lyndon Larouche projette uniquement de protéger la constitution des Etats-Unis. Ce n’est donc pas demain que l’auteur sera invité à dîner par les gens de la haute. Ni par les gens de Bobigny, qu’on l’accusera de vouloir désespérer, puisqu’il remet en question la puissance de l’organisation d’Oussama Ben Laden. L’auteur n’est ni guidé par une sensibilité juive qui verrait en Georges Bush un digne héritier spirituel et financier des nazis, dont il aurait utilisé les méthodes pour battre Al Gore et perpétrer son propre équivalent de l’incendie du Reichstag, ni n’est mû par une islamophobie qui le porterait à croire qu’Oussama Ben Laden ait tout coordonné depuis ses caves d’Afghanistan, sans téléphone satellite, et en dépit de la « limitation de ses activités » par les taliban sur ordre des services pakistanais en 1998. Et il n’imagine pas non plus, par exécration du lobby sioniste, que le « prince des ténèbres » Richard Perle et que le n°2 du Pentagone, « l’éminence grise » des néo-conservateurs Paul Wolfowitz, aient été capables à eux seuls de paralyser la défense aérienne nordaméricaine depuis la résidence secondaire du premier en France (pour peu qu’il s’y trouvait alors accompagné du second, absent des bureaux du Pentagone le 11 septembre). L’explication officielle du 11-septembre le laisse simplement insatisfait. Et d’autres hypothèses lui paraissent également peu fondées. Il estime donc intéressant d’examiner la validité des diverses thèses en présence en procédant à une reconstitution élémentaire des faits. Une démarche de ce type est à ses yeux d’autant plus urgente et vitale que la version officielle sert de distraction voire d’absolution morale à des irresponsables qui ignorent le droit international et détournent la notion de guerre préventive pour renverser des gouvernements qui ont le mauvais goût de leur déplaire ou pour conquérir sans scrupules des pays qui ont le malheur d’apparaître comme d’importantes sources de profits, et ce grâce à l’impunité conférée par l’action anesthésiante de leurs vils courtisans et de ceux qui prennent pour argent comptant ou qui revendent toute information sur un danger terroriste islamiste planétaire. Il y a eu conspiration, mais de la part de qui ? <strong>...</strong></p>