Histoire Ebook - Mot-clé - AngeRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearMaréchaux Bernard-Marie - La réalité des apparitions angéliquesurn:md5:791671eb270da002dd8cd76bdbd414932024-02-03T23:58:00+00:002024-02-04T00:15:44+00:00balderMaréchaux Bernard-MarieAnge <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Marechaux_Bernard-Marie_-_La_realite_des_apparitions_angeliques.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Maréchaux Bernard-Marie</strong><br />
Ouvrage : <strong>La réalité des apparitions angéliques</strong><br />
Année : 1901<br />
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Préface. Parmi les sollicitations qui me sont venues de me livrer à ce nouveau travail, je ne puis passer sous silence celle vraiment trop flatteuse, qui m’a été adressée par M. le professeur de l'Etat hongrois Alfred Van Mons. <strong>...</strong></p>Bitterlich Gabrielle - Calendrier des Saints Angesurn:md5:9e29fb4e2b426a3b68baee73e47b679d2022-01-14T15:57:00+00:002024-02-04T14:27:42+00:00balderBitterlich GabrielleAngeCalendrierCatholiqueChristianismeEx-LibrisEx-Libris Lenculus <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Bitterlich_Gabrielle_-_Calendrier_des_Saints_Anges.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bitterlich Gabrielle</strong><br />
Ouvrage : <strong>Calendrier des Saints Anges Pour tous les jours de l'année</strong><br />
Année : 1988<br />
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Introduction. La Sainte Écriture nous parle très souvent des anges, mais ne nous renseigne guère sur l’organisation de ces myriades d’êtres spirituels. Les noms mêmes des divers choeurs angéliques n’ont été révélés que progressivement. Quand les Livres de l’Ancien Testament font allusion aux esprits célestes, ils s’en tiennent presque toujours à l’appellation générale d’anges, c’est‑à‑dire "messagers." Les séraphins sont mentionnés uniquement au chapitre VI d’Isaïe. Les Chérubins, dont l’existence nous est révélée en premier lieu par la Genèse, apparaissent dans d’autres Livres, notamment le Livre des Psaumes et celui d’Ezéchiel. Quant aux Trônes, aux Dominations, etc, Saint Paul est le seul à y faire allusion, sans pour autant préciser leurs missions respectives ni leur hiérarchie. On comprendra donc que les penseurs les plus profonds et les plus saints - tels Denys l’Aréopagite, Saint Grégoire le Grand, Saint Thomas d’Aquin - tout en écrivant de très belles pages sur le monde angélique, aient été bien souvent contraints de s’en tenir à des hypothèses. D’où des divergences. Il est utile par conséquent - et même recommandable - de recourir aux révélations privées, sous réserve qu’elles ne contredisent pas le dogme catholique. Remercions Dieu d’avoir envoyé à notre secours, en cette période si troublée et si dangereuse, Mechtilde Thaller et Gabrielle Bitterlich, deux âmes victimes, stigmatisées l’une et l’autre, qui nous ont laissé d’admirables révélations. La première, décédée le 30 novembre 1919, était allemande ; la seconde, décédée il y a quelques années, était autrichienne. Beaucoup de nos lecteurs, sans doute, connaissaient déjà Mechtilde, Thaller grâce à un ouvrage de Friedrich von Lama, traduit en français par les éditions suisses Christiana intitulé Les Anges. Gabrielle Bitterlich, quant à elle, est restée à peu près inconnue, malgré l’importance considérable de ses écrits, à l’origine d’une œuvre approuvée par les autorités ecclésiastiques. C’est en premier lieu grâce à l’écrivain belge Jean Jongen que nous avons pu nous en procurer une partie appréciable, traduite en français par ses soins au cours des années 1959 à 1961. <strong>...</strong></p>Swedenborg Emanuel - La sagesse angélique sur le divin amoururn:md5:2562e0127ab9fdccb5cf929ee4b8c47a2018-04-27T13:54:00+01:002018-04-27T13:04:41+01:00balderSwedenborg EmanuelAnge <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Swedenborg_Emanuel_-_La_sagesse_angelique_sur_le_divin_amour.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Swedenborg Emanuel</strong><br />
Ouvrage : <strong>La sagesse angélique sur le divin amour</strong><br />
Année : *<br />
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Première partie : L’amour est la vie de l’homme. 1. L’homme sait que l’amour existe, mais il ignore ce que c’est que l’amour ; que l’amour existe, il le sait d’après le langage commun, par exemple, en ce qu’on dit : Un tel m’aime, le roi aime ses sujets, et les sujets aiment leur roi ; le mari aime son épouse, la mère aime ses enfants, et réciproquement. Pareillement, on aime sa patrie, ses concitoyens et son prochain. Il en est de même des choses : on aime une chose ou une autre. Cependant, malgré l’usage universel de ce mot, peu de personnes savent ce que c’est que l’amour. Quand l’homme médite sur l’amour et qu’il ne peut s’en former une idée, il dit que ce n’est rien, ou seulement une chose qui influe par la vue, l’ouïe, le toucher et la fréquentation, et ainsi émeut. Il ignore totalement que l’amour est sa vie même, non seulement, la vie de tout son corps et de toutes ses pensées en général, mais aussi celle de chacune de leurs parties. Le sage peut le percevoir quand il est dit : si tu éloignes l’affection qui appartient à l’amour, peux-tu penser ou faire quelque chose ? La pensée, la parole et l’action ne se refroidissent-elles pas selon que se refroidit l’affection qui appartient à l’amour ? Ne s’échauffent-elles pas quand l’affection s’échauffe ? Mais le sage perçoit par l’expérience et non par la connaissance que l’amour est la vie de l’homme. <strong>...</strong></p>Swedenborg Emanuel - La sagesse angélique sur la Divine Providenceurn:md5:5aad6c9fb417e2178bc9fefa7180f0142018-04-27T13:40:00+01:002018-04-27T12:45:33+01:00balderSwedenborg EmanuelAnge <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Swedenborg_Emanuel_-_La_sagesse_angelique_sur_la_Divine_Providence.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Swedenborg Emanuel</strong><br />
Ouvrage : <strong>La sagesse angélique sur la Divine Providence</strong><br />
Année : 1897<br />
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La Divine Providence est le Gouvernement du Divin Amour et de la Divine Sagesse du Seigneur. 1 - Pour que l’on comprenne ce que c’est que la Divine Providence, et qu’elle est le Gouvernement du Divin Amour et de la Divine Sagesse du Seigneur, il est important qu’on sache ce qui a déjà été dit et montré sur le Divin Amour et sur la Divine Sagesse dans le Traité sur ce sujet ; ce sont les propositions suivantes : Dans le Seigneur le Divin Amour appartient à la Divine Sagesse, et la Divine Sagesse appartient au Divin Amour, No 34 à 39. Le Divin Amour et la Divine Sagesse ne peuvent qu’être et exister dans d’autres, créés par eux, No 47 à 51. Toutes les choses de l’Univers ont été créées par le Divin Amour et par la Divine Sagesse, No 52, 53, 151 à 156. Toutes les choses de l’Univers sont des récipients du Divin Amour et de la Divine Sagesse, No 55 à 60. Le Seigneur devant les Anges apparaît comme Soleil ; la Chaleur qui en procède est l’Amour, et la Lumière qui en procède est la Sagesse, No 83 à 88 ; 89 à 92 ; 93 à 98 ; 296 à 301. Le Divin Amour et la Divine Sagesse, qui procèdent du Seigneur, font un, No 99 à 102. Le Seigneur de toute éternité, qui est Jéhovah, a créé de lui-même, et non du néant, l’Univers et toutes les choses de l’Univers, No 282 à 284 ; 290 à 295. Ces propositions sont démontrées dans le Traité intitulé la sagesse angélique sur le divin amour et sur la divine sagesse. <strong>...</strong></p>Brasey Edouard - Enquête sur l'existence des anges rebellesurn:md5:a60cd7c444e38b8b345c131f5d77a7e02017-08-10T23:41:00+01:002018-04-15T08:03:20+01:00balderBrasey EdouardAnge <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Brasey_Edouard_-_Enquete_sur_l_existence_des_anges_rebelles.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Brasey Edouard</strong><br />
Ouvrage : <strong>Enquête sur l'existence des anges rebelles</strong><br />
Année : 1995<br />
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Introduction. À l'ombre des anges rebelles. Nous sommes Lumière. Nous venons tous de la Lumière à notre naissance, et à notre mort nous retournons tous à la Lumière. Nous sommes Lumière, et pourtant l’Ombre est là. Froide, effrayante, ténébreuse, elle est un gouffre noir où tout semble négation, mort et désespérance. L’Ombre est un pôle obscur opposé au pôle lumineux de la Lumière, et il est tentant de lire dans cette opposition un combat, une exclusion, une frontière à jamais tracée. D’un côté, un univers de Lumière, de chaleur, de paix et de vie. De l’autre, un monde d’Ombre et de mort, empli de frissons et de grincements de dents. Là-haut, le ciel. En bas, l’enfer. Ici, le bien, là-bas, le mal. Pourtant, au plus sombre du plus sombre, une lueur soudain naît. Au plus profond de la nuit, un oiseau chante et salue l’arrivée de l’aurore. Et voici que le foyer des ténèbres n’est plus que l’ombre portée des formes qu’ici-bas éclaire l’astre lumineux. Voici que l’Ombre ne cherche plus à éclipser la Lumière, mais à la sculpter, la soutenir, la mettre en relief. Evoquer l’Ombre, c’est tendre vers la Lumière. Suivre le chemin des enfers, c’est accéder au ciel. Considérer le bien et le mal, c’est jouer avec les deux faces d’une même pièce de monnaie. Nommer le diable, c’est encore nommer Dieu. <strong>...</strong></p>Guénon René - La Langue des Oiseauxurn:md5:c015a35759718ea64e6172c3757e7a592012-04-07T11:25:00+01:002017-03-08T17:07:05+00:00balderGuénon RenéAngeIslamLangue des Oiseaux <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Guenon_Rene_-_La_Langue_des_Oiseaux.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Guénon René</strong><br />
Ouvrage : <strong>La Langue des Oiseaux</strong><br />
Année : 19**<br />
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Il est souvent question, dans diverses traditions, d’un langage mystérieux appelé « langue des oiseaux » : désignation évidemment symbolique, car l’importance même qui est attribuée à la connaissance de ce langage, comme prérogative d’une haute initiation, ne permet pas de la prendre littéralement. C’est ainsi qu’on lit dans le Qur’an : « Et Salomon fut l’héritier de David ; et il dit : O hommes ! nous avons été instruit du langage des oiseaux (‘ullimna mantiqat-tayri) et comblé de toutes choses… » (XXVII, 15.) Ailleurs, on voit des héros vainqueurs du dragon, comme Siegfried dans la légende nordique, comprendre aussitôt le langage des oiseaux ; et ceci permet d’interpréter aisément le symbolisme dont il s’agit. En effet, la victoire sur le dragon a pour conséquence immédiate la conquête de l’immortalité, figurée par quelque objet dont ce dragon défendait l’approche ; et cette conquête de l’immortalité implique essentiellement la réintégration au centre de l’état humain, c’est-à-dire au point où s’établit la communication avec les états supérieurs de l’être. C’est cette communication qui est représentée par la compréhension du langage des oiseaux ; et, en fait, les oiseaux sont pris fréquemment comme symbole des anges, c’est-à-dire précisément des états supérieurs. Nous avons eu l’occasion de citer ailleurs la parabole évangélique où il est question, en ce sens, des « oiseaux du ciel » qui viennent se reposer sur les branches de l’arbre, de ce même arbre qui représente l’axe passant par le centre de chaque état d’être et reliant tous les états entre eux. Dans le texte qur’anique que nous avons reproduit ci-dessus, le terme aç-çaffat est considéré comme désignant littéralement les oiseaux, mais comme s’appliquant symboliquement aux anges (al-mala’ikah) ; et ainsi le premier verset signifie la constitution des hiérarchies célestes ou spirituelles. Le second verset exprime la lutte des anges contre les démons, des puissances célestes contre les puissances infernales, c’est-à-dire l’opposition des états supérieurs et des états inférieurs ; c’est, dans la tradition hindoue, la lutte des Devas contre les Asuras, et aussi, suivant un symbolisme tout à fait semblable à celui auquel nous avons affaire ici, le combat du Garuda contre le Naga, dans lequel nous retrouvons du reste le serpent ou le dragon dont il a été question tout à l’heure ; le Garuda est l’aigle, et, ailleurs, il est remplacé par d’autres oiseaux tels que l’ibis, la cigogne, le héron, tous ennemis, et destructeurs des reptiles. Enfin, dans le troisième verset, on voit les anges récitant le dhikr, ce qui, dans l’interprétation la plus habituelle, est considéré comme devant s’entendre de la récitation du Qur’an, non pas, bien entendu, du Qur’an exprimé en langage humain, mais de son prototype éternel inscrit sur la « table gardée » (al-lawhu-l-mahfuz), qui s’étend des cieux à la terre comme l’échelle de Jacob, donc à travers tous les degrés de l’Existence universelle. De même, dans la tradition hindoue, il est dit que les Devas, dans leur lutte contre les Asuras, se protégèrent (achhan dayan) par la récitation des hymnes du Veda, et que c’est pour cette raison que les hymnes reçurent le nom de chhandas, mot qui désigne proprement le « rythme ». La même idée est d’ailleurs contenue dans le mot dhikr, qui, dans l’ésotérisme islamique, s’applique à des formules rythmées correspondant exactement aux mantras hindous, formules dont la répétition a pour but de produire une harmonisation des divers éléments de l’être, et de déterminer des vibrations susceptibles, par leur répercussion à travers la série des états, en hiérarchie indéfinie, d’ouvrir une communication avec les états supérieurs, ce qui est d’ailleurs, d’une façon générale, la raison d’être essentielle et primordiale de tous les rites. <strong>...</strong></p>