Histoire Ebook - Mot-clé - DubitandoRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearHaas-Colle Maurice - Dubitando 14urn:md5:10266cb5898d1cad77a4f3c1b6d0a80b2012-03-03T23:39:00+00:002017-03-08T18:30:05+00:00balderHaas-Colle MauriceDubitandoRevueRévisionnisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Haas-Colle_Maurice_-_Dubitando_14.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Haas-Colle Maurice (Boisdefeu Jean-Marie)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Dubitando 14 « Dubitando ad veritatem pervenimus. » Petite revue d’histoire révisionniste</strong><br />
Année : 2008<br />
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En Espagne, plus de prison pour les révisionnistes. Le site allemand « Kleine Zeitung » relate à la date du 9 novembre 2007 que le Tribunal constitutionnel espagnol a décidé que l'expression de doutes sur la réalité de l'Holocauste ressortissait de la liberté d'opinion et que la sanctionner était contraire à la Constitution. « Quiconque nie l'Holocauste n'aura plus dorénavant à s'attendre à une peine de prison. Selon les rapports de presse de vendredi, le tribunal constitutionnel a décidé que le paragraphe du Code pénal s'y rapportant devait être changé. Jusqu'ici nier le génocide des juifs par les nationaux-socialistes pouvait entraîner en Espagne une peine allant jusqu'à deux années de prison. Suite à une plainte du néo-nazi Pedro Varela, le tribunal a décidé que l'expression de doutes sur la réalité de l'Holocauste ressortissait de la liberté d'opinion et que la sanctionner était contraire à la constitution. L'exposé détaillé des motifs du jugement est attendu dans les jours prochains. En revanche, la justification d'un génocide, quel qu'il soit, ce qui inclut l'Holocauste, est toujours sanctionnée par une peine pouvant aller jusqu'à deux ans d'incarcération. A l'inverse de l'Autriche et de l'Allemagne où la mise en doute et la négation de l'Holocauste peuvent entraîner des peines de prison pour plusieurs années, il n'existe jusqu'à ce jour aucune législation pénale comparable dans de nombreux pays européens. Une décision de l'UE d'avril 2007 réclame un minimum d'harmonisation des législations pénales en matière de lutte contre le racisme et la xénophobie. » France – Répression de la liberté d’expression Dans sa rubrique « En bref », Le Figaro du 9 novembre 2007, écrit : « Vincent Reynouard, 38 ans, a été condamné hier par le tribunal correctionnel de Saverne (Bas-Rhin) à une peine d’un an de prison ferme pour avoir contesté dans des brochures l’existence de la Shoah. Dans ce fascicule, un texte signé qualifiait notamment de ‘vieux thème de propagande’ le ‘gazage des êtres humains’ ». On aurait aimé que Le Figaro proteste contre cette condamnation ainsi qu’il l’aurait fait si un tribunal turc avait condamné de même un révisionniste turc (c’est-à-dire une personne coupable de contester la version officielle turque de l’ « affaire » arménienne). Deux poids, deux mesures !</p>Haas-Colle Maurice - Dubitando 13urn:md5:eecfa6e16d6610cd3829f8cfbdbbde142012-03-03T23:38:00+00:002017-03-08T18:30:10+00:00balderHaas-Colle MauriceDubitandoRevueRévisionnisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Haas-Colle_Maurice_-_Dubitando_13.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Haas-Colle Maurice (Boisdefeu Jean-Marie)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Dubitando 13 « Dubitando ad veritatem pervenimus. » Petite revue d’histoire révisionniste</strong><br />
Année : 2007<br />
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Justice française, justice couchée (suite) Trois nouveaux exemples de ce que « la justice couche dans le lit du vainqueur ». Robert Faurisson • En novembre dernier, lors d’une émission de la chaîne ARTE, Robert Badinter avait mensongèrement déclaré qu’en 1981 il m’avait fait condamner “pour être un faussaire de l’histoire”. Je l’avais donc poursuivi en diffamation. Le 21 mai 2007, la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris, présidée par Nicolas Bonnal, a décidé que R. Badinter m’avait effectivement diffamé MAIS … DE BONNE FOI. En propres termes, le tribunal a déclaré : R. Badinter “a échoué en son offre de preuve” de la vérité de son assertion (p. 13 du jugement) mais “le bénéfice de la bonne foi” lui sera “reconnu” (p. 16). Il me faut, en conséquence, verser 5 000 euros à R. Badinter pour ses frais d’avocats et payer les dépens du procès. Une raison de force majeure fait que je ne puis malheureusement interjeter appel contre ce jugement crapuleux (je m’expliquerai prochainement à la fois sur cette « raison de force majeure » et sur ce qualificatif de « crapuleux »). • Pour des propos que j’avais tenus à Téhéran lors de la conférence sur « l’Holocauste » (11-12 décembre 2006), Jacques Chirac en personne, alors président de la République, avait saisi le ministre de la Justice de l’époque, Pascal Clément. A la demande de ce dernier, le parquet de Paris a ouvert une enquête judiciaire. Le 16 avril 2007, le lieutenant de police judiciaire Séverine Besse et son assistante, venues de Paris, m’ont interrogé au commissariat de police de Vichy ; selon l’usage, j’ai refusé de répondre à leurs questions et leur ai fait prendre note de la déclaration suivante : « Je refuse de collaborer avec la police et la justice françaises dans la répression du révisionnisme historique ». Aujourd’hui, 4 juillet, j’apprends par des agences de presse qu’une information judiciaire a été confiée, le 13 juin, au juge d’instruction Marc Sommerer, qui ne manquera donc pas de me convoquer prochainement à Paris. • Pour une interview téléphonique accordée à la chaîne de télévision iranienne Sahar 1 le 3 février 2005, le même tribunal de la XVIIe chambre, présidé par le même Nicolas Bonnal, m’avait condamné, le 3 octobre 2006, à une peine de trois mois de prison avec sursis et au versement de 12 000 euros, soit 7 500 euros d’amende et 1 500 euros pour frais d’avocats à chacune des trois parties civiles (LICRA, MRAP et Ligue des droits de l’homme). Aujourd’hui, en ce même 4 juillet, la XIe chambre de la cour d’appel de Paris, présidée par Laurence Trébucq, a confirmé ces peines non sans ajouter 1 000 euros de frais d’avocats pour chacune de ces parties civiles ; le total des sanctions financières s’élève donc, dans le cas de cette seule affaire, à 15 000 euros. 1 Tout cela sans compter mes propres frais d’avocat, mes frais de voyages, les dépenses diverses, le travail de préparation de ces procès, les audiences. Mais les révisionnistes français ne sont pas à plaindre si l’on compare leur sort à celui des révisionnistes allemands, autrichiens, belges, suisses ou canadiens. 4 juillet 2007</p>Haas-Colle Maurice - Dubitando 12urn:md5:c0b2ea366334dd99f7b8ad91c4bd640b2012-03-03T23:36:00+00:002017-03-08T18:30:14+00:00balderHaas-Colle MauriceDubitandoRevueRévisionnisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Haas-Colle_Maurice_-_Dubitando_12.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Haas-Colle Maurice (Boisdefeu Jean-Marie)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Dubitando 12 « Dubitando ad veritatem pervenimus. » Petite revue d’histoire révisionniste</strong><br />
Année : 2007<br />
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Le procès en diffamation intenté par R. Faurisson à R. Badinter. Le 11 novembre 2006, R. Badinter a déclaré sur Arte : « Le dernier procès que j’aurai plaidé dans ma vie (en 1981) avant de devenir ministre (de la Justice), c’est l’Affaire, c’est le procès contre Faurisson. J’ai fait condamner Faurisson pour être un faussaire de l’histoire. » Il suffit de se reporter au jugement et à la relation qu’en en faite la presse à cette époque pour se convaincre de ce que cette affirmation de R. Badinter est insoutenable : jamais, ni en 1981 ni en aucune autre occasion, il ne s’est trouvé un tribunal pour juger que R. Faurisson était un faussaire. D’où le procès en diffamation qui s’est déroulé en mars-avril 2006 devant la XVIIe à Paris. Lors de ce procès, R. Faurisson et son conseil, Me Delcroix, ont ainsi rappelé certains des attendus du jugement de 1981 auquel se référait R. Badinter mais aussi certains attendus de l’arrêt de la Cour d’appel du 26 avril 2003 : « Les accusations de légèreté formulées contre lui (R. Faurisson) manquent de pertinence et ne sont pas suffisamment établies (…), il n’est pas davantage permis d’affirmer, eu égard à la nature des études auxquelles il s’est livré, qu’il a écarté les témoignages par légèreté ou négligence, ou délibérément choisi de les ignorer, qu’en outre, personne ne peut en l’état le convaincre de mensonge lorsqu’il énumère les multiples documents qu’il affirme avoir étudiés et les organismes auprès desquels il aurait enquêté pendant plus de quatorze ans, (…) la valeur des conclusions défendues par M. Faurisson relève donc de la seule appréciation des experts, des historiens et du public. » (D’où, la loi Gayssot de 1989 !) R. Badinter a bien dû convenir de ce qu’il avait tort mais, excipant de sa bonne foi, il n’en a pas moins demandé au tribunal de … condamner le demandeur à lui verser 5.000.</p>Haas-Colle Maurice - Dubitando 11urn:md5:fb497288aa9ba371b185e7c2a7cc51bb2012-03-03T23:35:00+00:002017-03-08T18:30:28+00:00balderHaas-Colle MauriceDubitandoRevueRévisionnisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Haas-Colle_Maurice_-_Dubitando_11.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Haas-Colle Maurice (Boisdefeu Jean-Marie)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Dubitando 11 « Dubitando ad veritatem pervenimus. » Petite revue d’histoire révisionniste</strong><br />
Année : 2007<br />
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Les Victoires du révisionnisme. Robert Faurisson. Au Président Mahmoud Ahmadinejad. A nos prisonniers de conscience Ernst Zündel, Germar Rudolf, Horst Mahler A Arthur Butz, Fred Leuchter, Barbara Kulaszka, Ahmed Rami, Gerd Honsik, Heinz Koppe Résumé Au procès de Nuremberg (1945-1946), le tribunal des vainqueurs a notamment accusé l’Allemagne vaincue 1) d’avoir ordonné et planifié l’extermination physique des juifs d’Europe ; 2) d’avoir, dans ce but, mis au point et utilisé des armes de destruction massive appelées, en particulier, « chambres à gaz » ; 3) d’avoir, essentiellement par ces armes mais aussi par d’autres moyens, provoqué la mort de six millions de juifs. A l’appui de cette triple accusation, reprise depuis soixante ans par l’ensemble des grands médias occidentaux, on n’a produit aucune preuve qui résiste à l’examen. Le professeur Robert Faurisson en a conclu en 1980 : « Les prétendues chambres à gaz hitlériennes et le prétendu génocide des juifs forment un seul et même mensonge historique, qui a permis une gigantesque escroquerie politicofinancière, dont les principaux bénéficiaires sont l’Etat d’Israël et le sionisme international et dont les principales victimes sont le peuple allemand – mais non pas ses dirigeants – et le peuple palestinien tout entier. » En 2006, il maintient intégralement cette conclusion. En près de soixante ans, les révisionnistes, à commencer par les Français Maurice Bardèche et Paul Rassinier, ont accumulé, du point de vue historique et scientifique, une impressionnante série de victoires sur leurs adversaires. Vingt exemples sont ici donnés de ces victoires, qui vont de 1951 à nos jours. Le révisionnisme n’est pas une idéologie mais une méthode inspirée par la recherche de l’exactitude en matière d’histoire. Les circonstances font que le révisionnisme est aussi devenu la grande aventure intellectuelle du temps présent. Né en 1929 d’un père français et d’une mère britannique (écossaise), Robert Faurisson a enseigné les lettres classiques (français, latin, grec), puis s’est spécialisé d’abord dans l’analyse de textes de la littérature française moderne et contemporaine et, enfin, dans la critique de textes et documents (littérature, histoire, médias). Il a enseigné, en particulier à la Sorbonne et à l’Université de Lyon. A cause de ses prises de position révisionnistes, il a été interdit d’enseignement. A de multiples reprises il a été condamné en justice. Il a subi dix agressions physiques. En France, presse, radio et télévision lui sont fermées ainsi qu’à tout révisionniste. Parmi ses ouvrages : Ecrits révisionnistes (1974-1998), en quatre volumes (2e édition, LV-2027 p.). <strong>...</strong></p>Haas-Colle Maurice - Dubitando 10urn:md5:f626959c95a5e0e2b80cb449bb11f1472012-03-03T23:33:00+00:002017-03-08T18:30:34+00:00balderHaas-Colle MauriceDubitandoRevueRévisionnisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Haas-Colle_Maurice_-_Dubitando_10.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Haas-Colle Maurice (Boisdefeu Jean-Marie)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Dubitando 10 « Dubitando ad veritatem pervenimus. » Petite revue d’histoire révisionniste</strong><br />
Année : 2006<br />
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André Schwarz-Bart, escroc littéraire. (avec deux additifs à propos des Bienveillantes, roman de Jonathan Littell) Robert Faurisson. Dans Le Monde du 3 octobre 2006, Patrick Kéchichian signe un article sur la disparition de l’écrivain André Schwarz-Bart. Né le 23 mai 1928 à Metz, ce dernier est mort à Pointe-à-Pitre (Guadeloupe) le 30 septembre 2006. Il était surtout connu pour avoir obtenu en 1959 le prix Goncourt pour Le Dernier des Justes (Paris, Editions du Seuil, 351 p.). Sa famille venait de Pologne. Son père, nous dit-on, avait commencé des études pour devenir rabbin, puis avait exercé le métier de marchand forain. Le succès du Dernier des Justes a été retentissant et a rapporté des sommes considérables à son auteur. Des centaines, peut-être même des milliers d’articles ou d’études ont été consacrés, en France et à l’étranger, à ce que l’on considère volontiers aujourd’hui comme le premier grand livre sur la Shoah. Or l’auteur était un plagiaire, un escroc littéraire. C’est ce qui ressort d’une étude publiée par Francine Kaufmann, professeur à l’Université Bar-Ilan d’Israël, dans la Revue d’histoire de la Shoah, septembre-décembre 2002, p. 68-99. On trouvera dans ce texte une liste d’auteurs juifs systématiquement pillés par notre faussaire : Martin Buber, Manès Sperber, Isaac Babel, Michel Borwicz et d’autres encore. Mais A. Schwarz-Bart avait aussi puisé son bien dans une lettre de Madame de Sévigné racontant comment, en 1676, avait été décapitée et brûlée, pour empoisonnement, la marquise de Brinvilliers. Il avait également reproduit mot pour mot quelques lignes d’un roman du Chinois Lou Sin (ou Lu Xun), La véritable histoire de Ah Q. Péchés véniels, bien entendu, puisque ces vols avaient été commis dans une pieuse intention, celle de nous faire pleurer sur les juifs et leur martyre. « Une méchante accusation de plagiat », écrit aujourd’hui P. Kéchichian à propos des multiples accusations portées en ce sens dès la parution du best-seller. La littérature concentrationnaire regorge de tels vols, plagiats, escroqueries. En un premier temps, comme tous ces récits sont largement fictifs, leurs auteurs procèdent çà et là à de menus larcins dans la littérature non juive, puis, en un second temps, ils se font à leur tour voler par leurs confrères juifs. Il s’ensuit une interminable chaîne de récits, de témoignages, de romans, de films ou même d’ouvrages réputés historiques mais qui ne font que se copier les uns les autres. C’est ce qui peut s’appeler « la circulation circulaire » (Bourdieu) du commerce littéraire, artistique, cinématographique ou universitaire dans le domaine du ragot, du mensonge et du commerce holocaustiques. Les dupes s’imaginent avoir affaire à des témoignages qui se recoupent : la réalité est qu’ils se trouvent devant des inventions de menteurs et de voleurs. Pour ne prendre qu’un exemple, on pourrait écrire une thèse de linguistique sur le seul personnage du « Docteur Mengele dans la littérature juive concentrationnaire ». On y mesurerait à quel point les auteurs juifs ne font que se répéter, parfois à la virgule près. Tous évoquent la figure de ce prétendu bourreau d’Auschwitz à la manière du romancier ou de l’escroc Schwarz-Bart, prix Goncourt 1959. Chez lui comme chez ses compères, ce ne sont que clichés, invraisemblances, histoires à dormir debout et Grand Guignol dans le sperme, le sang et la matière fécale, le tout repris de l’Ancien Testament et du Talmud. A ce titre, Le Dernier des Justes est bien, un an après La Nuit, court récit autobiographique et mensonger d’Elie Wiesel, « le premier grand livre sur la Shoah ». 3 octobre 2006 <strong>...</strong></p>Haas-Colle Maurice - Dubitando 09urn:md5:4c4feabdf8bb0a163557755bdc28af212012-03-03T23:32:00+00:002017-03-08T18:30:39+00:00balderHaas-Colle MauriceDubitandoRevueRévisionnisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Haas-Colle_Maurice_-_Dubitando_09.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Haas-Colle Maurice (Boisdefeu Jean-Marie)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Dubitando 09 « Dubitando ad veritatem pervenimus. » Petite revue d’histoire révisionniste</strong><br />
Année : 2006<br />
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Mémoire juive contre histoire. (ou l’aversion juive pour tout examen critique de la Shoah) Robert Faurisson. Elie Wiesel écrit dans ses mémoires : « Les chambres à gaz, il vaut mieux qu’elles restent fermées au regard indiscret. Et à l’imagination » (Tous les fleuves vont à la mer …, Le Seuil, 1994, p. 97). Comme lui, Simone Veil, Claude Lanzmann et bien d’autres sommités juives ont fini par recommander la même discrétion. Après trop de tentatives infructueuses pour relever le défi que leur avaient lancé les révisionnistes (« Montrez-nous ou dessinez-nous une chambre à gaz nazie ! »), ils ont préconisé l’abandon de la méthode historique ou scientifique au profit du recours à « la mémoire ». Ce qu’ils appellent leur « mémoire » n’est qu’un fonds de récits et de témoignages non vérifiés. Comme ils ont normalement tendance à examiner de près ce qu’on leur présente comme véridique, l’historien ou le chercheur scientifique, fussent-ils juifs, seront tenus pour de dangereux fureteurs qui risquent de « contester » et de « réviser ». On les écartera. En particulier, on les tiendra à distance du saint des saints que constituent la Shoah et son corollaire, le très juteux Shoah Business. « Quel avenir pour la mémoire de la Shoah ? » « Quel avenir pour la mémoire de la Shoah ? » C’est sous ce titre que Le Monde de ce jour (15 juin 2006, p. 3) publie un article où il se confirme que la mémoire de la Shoah et le Shoah Business sont à défendre contre toute approche des historiens, quels qu’ils soient. L’article s’ouvre sur le mot d’ « argent ». Evoquant les liquidités de la Fondation pour la mémoire de la Shoah, organisation qu’elle préside, Simone Veil déclare : « Cet argent est l’argent des morts. Nous devons être très rigoureux dans sa gestion. » Il va de soi que « l’argent des morts » va aux vivants et il faut savoir que le banquier David de Rothschild convoite la succession de S. Veil. La dotation de la Fondation ne provient pas des juifs mais de sommes qui ont été versées par notre Caisse des dépôts et consignations, par la Banque de France, par la Poste, par des établissements de crédit et des sociétés d’assurances françaises. Exploitant, en effet, la déclaration du président Jacques Chirac, en 1995, sur le crime commis par la France contre les juifs de 1940 à 1944, un crime « irréparable » mais à réparer, les associations juives s’étaient ruées sur tous ces organismes, les accusant, sans preuves, d’avoir pris part à la spoliation des juifs pendant la guerre. Comme d’habitude en pareille matière, on s’était passé de tout procès. On avait formé sur mesure une commission ad hoc, la « Mission Mattéoli », et l’on avait orchestré un tintamarre médiatique, dont le journal Le Monde, supervisé par l’homme d’affaires Alain Minc, avait en quelque sorte pris la direction. Puis la note avait été présentée aux accusés, qui n’avaient eu d’autre ressource que de verser leurs contributions respectives sans le moindre murmure. Cela dit, s’il est une organisation qui devrait comprendre des historiens, c’est bien, penseront les naïfs, une fondation censée servir en premier lieu l’histoire et la recherche. En théorie, tel est le cas puisque, aussi bien, la première des cinq commissions spécialisées que comprend cette fondation s’appelle « Commission histoire et recherche ». Mais, dans la réalité, cette commission a été confiée à un ambassadeur et, comme le dit l’historienne juive Annette Wievorka, « dès le départ, les historiens ont été écartés des instances dirigeantes de la fondation. » Cette juste remarque, lourde de sens, est à retenir et à méditer. Un précédent : le cas de l’historien israélien fondateur de Yad Vashem Le cas du fondateur de Yad Vashem est hautement significatif. En 1959, le prestigieux historien israélien Ben Zion Dinur a dû, à cause de son respect pour l’histoire, démissionner de son poste de directeur de Yad Vashem (mémorial et institut de recherche de l’ « Holocauste », situé à Jérusalem). Ministre de l’Instruction publique et de la Culture de 1951 à 1955 et fondateur de Yad Vashem en 1953, le professeur Dinur avait, pour son malheur, préconisé une étude critique des innombrables récits et témoignages de « survivants ». Historien professionnel de haute volée, le professeur Dinur était entré en conflit avec le lobby des « miraculés » juifs qui n’avaient cure de la critique historique et de la probité scientifique. Ces juifs-là avaient fini par l’emporter et, aujourd’hui encore, l’institut de recherches historiques Yad Vashem n’est composé, bien qu’il s’en défende, que d’historiens et de chercheurs qui servent la « mémoire » juive au détriment de l’histoire. En de rares occasions il est arrivé à des responsables de Yad Vashem de dénoncer de gros mensonges comme celui de « l’inepte histoire de Wannsee » (Yehuda Bauer en 1992) mais, malheureusement, la totalité des historiens israéliens persiste, par exemple, à nous faire croire qu’il existe des témoignages véridiques sur les chambres à gaz nazies alors qu’en réalité une simple analyse de ces témoignages à la manière de Jean Norton Cru démontrerait de façon dirimante que, sur le sujet, il n’existe pas un seul témoignage véridique. Pas un seul document, pas une seule preuve non plus, d’ailleurs. <strong>...</strong></p>Haas-Colle Maurice - Dubitando 08urn:md5:b9a599786ec8d28a864bb4fe02ed4fdd2012-03-03T23:29:00+00:002017-03-08T18:30:51+00:00balderHaas-Colle MauriceDubitandoRevueRévisionnisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Haas-Colle_Maurice_-_Dubitando_08.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Haas-Colle Maurice (Boisdefeu Jean-Marie)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Dubitando 08 « Dubitando ad veritatem pervenimus. » Petite revue d’histoire révisionniste</strong><br />
Année : 2006<br />
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Pour Hossein Amiri. Robert Faurisson. Je n’ai pas encore rencontré Hossein Amiri, qui travaille à l’agence de presse iranienne Mehr News, et je n’ai pas lu le manuscrit de l’ouvrage qu’il s’apprête, m’a-t-il dit, à publier sur « l’Holocauste » et sur le révisionnisme aux éditions du Center for Palestine and Middle East Records and Strategic Studies. Cependant, j’ai pu entretenir avec lui une correspondance qui m’a donné l’impression qu’il milite avec efficacité en faveur du révisionnisme historique et je considère qu’à ce titre il mérite l’appui des révisionnistes du monde entier. Dans le combat que nous menons contre le mythe du prétendu « Holocauste » des juifs, les chercheurs et les militants originaires d’Iran ou des pays arabes restent encore si peu nombreux qu’il faut se féliciter de l’apparition chez les révisionnistes d’un homme comme H. Amiri. Le mythe de « l’Holocauste » ou de « la Shoah » est au fondement de la création, en 1947-1948, de l’Etat d’Israël et il est, avec le temps, devenu l’épée et le bouclier de cet Etat. Pour combattre ce mythe et ses méfaits, le révisionnisme historique se présente comme le seul recours possible. A ce titre, le révisionnisme est l’arme atomique du pauvre et du faible contre le Grand Mensonge des riches et des puissants de ce monde. Sans tuer personne, le révisionnisme pourrait ruiner, jusque dans ses fondations, l’un des plus dangereux mensonges historiques de tous les temps, celui du prétendu génocide des juifs (aux millions de « survivants » !) et celui des prétendues chambres à gaz hitlériennes (qui, en réalité, n’ont existé ni à Auschwitz ni ailleurs !). A partir de 1945, juste à la fin de la deuxième guerre mondiale, les puissances occidentales ont vu s’accélérer la disparition de leurs colonies. Or c’est précisément à cette époque que, par l’effet d’un paradoxe, on a pourtant vu se créer et se renforcer, en pleine décolonisation généralisée, deux phénomènes aberrants, tous deux survenus en 1948 : en Afrique du Sud, l’institution de l’apartheid et, au Proche-Orient, la création, par la violence, d’une entité territoriale, raciste et colonialiste, qui s’est qualifiée d’« Etat juif » et qui s’est dotée d’une « Armée juive ». En Afrique du Sud, l’apartheid a provoqué un tel mouvement de rejet de la part de ce qu’on peut appeler la communauté internationale qu’il a fini par disparaître. Mais l’Etat d’Israël, lui, s’est maintenu sur la terre de Palestine et il est, aujourd’hui plus que jamais, financé et armé par les grandes puissances occidentales, à commencer par l’Allemagne et les Etats-Unis. Il est même devenu une puissance nucléaire. L’anomalie que constitue cette brutale colonisation de la Palestine en plein mouvement de décolonisation sur le reste du globe s’explique aisément. En 1945, abusés par la machine de propagande juive et sioniste, les peuples du monde occidental se sont laissé convaincre que, pendant la deuxième guerre mondiale, Hitler avait tenté d’exterminer les juifs, et cela d’une manière particulièrement atroce et systématique. Hitler avait, paraît-il, réussi à faire ainsi tuer six millions de juifs innocents, en particulier dans des abattoirs chimiques appelés « chambres à gaz ». En 1947, le raisonnement des membres de l’ONU, créée en 1945, a donc été en quelque sorte le suivant : 1) les Allemands ont infligé aux juifs européens l’épreuve d’un martyre sans précédent ; 2) il faut donc impérativement venir en aide aux survivants de cette communauté ; 3) il convient de dédommager ces derniers par tous les moyens possibles ; 4) à souffrance exceptionnelle, remède exceptionnel : il n’est certes pas normal d’accorder à un peuple, ne fûtce qu’en partie, une terre qui appartient à un autre peuple mais, pour les juifs, qui ont tant souffert, il sera fait une exception au détriment … des Palestiniens. (Pourquoi pas au détriment des criminels européens, se demandait l’historien britannique Arnold Toynbee, qui, lui, croyait en « l’Holocauste »). Il est normalement interdit de s’emparer du bien d’autrui, de chasser par la violence un peuple de sa terre, de chercher à asservir ce peuple, de lui refuser le droit à un Etat, à une armée, à une monnaie, de lui dicter sa loi, de l’enfermer dans des bantoustans, de le contenir dans une prison dont les murs sont bien plus élevés et bien plus redoutables que « le mur de Berlin ». C’est pourtant ce que, de 1948 à nos jours, au mépris des droits les plus élémentaires, les juifs de la Diaspora sont venus accomplir en terre de Palestine. Ils ont bafoué toutes les promesses faites à l’ONU de respecter, en partie, les droits des Palestiniens et, par la suite, ils ont tenu pour nuls et non avenus tous les rappels à l’ordre de l’ONU. Aujourd’hui, celui qui leur résiste par les armes, les juifs et les sionistes l’appellent « terroriste ». Celui qui dénonce leur colonialisme, ils le déclarent « antisémite ». Celui, enfin, qui prouve que leur « Holocauste » ou « Shoah » n’est qu’un mythe, ils le dénoncent comme un « négateur » ou un « négationniste », qu’animerait l’esprit diabolique du doute. « Terroriste », « antisémite », « négateur » ou « négationniste », ces mots-là vous impriment sur le front la marque de Caïn. Mais le devoir de l’historien ou du chercheur est d’aller voir de près la réalité qui se cache derrière ces insultes. Et cette réalité, c’est que juifs et sionistes ont menti et continuent de mentir. Leur prétendu « Holocauste » est un mensonge historique, qui leur est extraordinairement profitable et qu’il leur faut sauvegarder à tout prix. Ce mensonge exorbitant et cette arnaque aux dimensions quasi planétaires aggravent à la fois le cas des sionistes, qui sont venus voler et tuer les Palestiniens, et celui des juifs de la Diaspora, qui approuvent le sionisme et le financent. Hitler a effectivement tenté d’expulser les juifs hors d’Europe. Bien d’autres pays avant l’Allemagne, à travers les millénaires et jusque dans les temps modernes, avaient voulu procéder à l’expulsion des juifs de leurs propres territoires. Sur les motifs de ce rejet quasi universel, il est recommandé de lire la première page du livre du juif Bernard Lazare, L’Antisémitisme, son histoire et ses causes, publié en 1894. En résumé, pour cet auteur, c’est par leur comportement même, en tout lieu et en tout temps, que les juifs, d’abord bien accueillis, ont suscité à la longue l’impatience et la révolte des indigènes. <strong>...</strong></p>Haas-Colle Maurice - Dubitando 07urn:md5:02b10cd8df235583471bc344e53e89672012-03-03T23:27:00+00:002017-03-08T18:32:21+00:00balderHaas-Colle MauriceDubitandoRevueRévisionnisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Haas-Colle_Maurice_-_Dubitando_07.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Haas-Colle Maurice (Boisdefeu Jean-Marie)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Dubitando 07 « Dubitando ad veritatem pervenimus. » Petite revue d’histoire révisionniste</strong><br />
Année : 2006<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Haas-Colle_Maurice_-_Dubitando_07.zip">Haas-Colle_Maurice_-_Dubitando_07.zip</a><br />
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La fronde des intellectuels français. On sait que de nombreux intellectuels français viennent de prendre position contre les lois liberticides (dont la loi Gayssot) qui frappent leurs concitoyens. Leurs pétitions et les réactions qu’elles ont provoquées (la plus saugrenue étant l’embrigadement de A. Klarsfed par N. Sarközy) ont été largement diffusées et il n’est pas utile que nous les reproduisions. Il n’en est pas de même des réactions des laissés-pour-compte du politiquement correct comme celles du professeur Faurisson ou de Dieudonné Mbala Mbala, réactions que nous nous empressons donc de reproduire ci-après. Des rodomonts ? Robert Faurisson Dans le texte intitulé « Liberté pour l'histoire ! » (AFP, 12 décembre 2005), les 19 signataires avaient fièrement conclu : « Nous demandons l'abrogation de ces dispositions législatives indignes d'un régime démocratique. » Puis, dans la pétition intitulée « La liberté de débattre » (Marianne, 24 décembre 2005, p. 29), 25 signataires ont, non moins fièrement, conclu : « C'est pourquoi nous demandons l'abrogation de toutes les lois (Gayssot, Taubira, Accoyer ...) qui ont pour objet de limiter la liberté d'expression ou de qualifier des événements historiques. » Mais le communiqué du 30 janvier 2006 de « Liberté pour l'histoire » (président : René Rémond) marque un retrait. On n'y demande plus d'abrogation mais l'on va « proposer, dans les jours qui viennent, des modifications dans la rédaction de (certains) articles des lois » en question. Par ailleurs, dans ce communiqué, on commence par affirmer que « les motivations des signataires ne sont (...) nullement corporatistes » mais pourtant, dans la suite, on parle d'organiser « la défense des (seuls ?) enseignants d'histoire qui pourraient être les victimes d'incriminations sur la base desdites lois » et l'on ne parle pas des Français dans leur ensemble alors que, dans le même texte, on se pique de défendre « le droit pour tous d'accéder à la connaissance des acquis historiques résultant d'un travail scientifique libéré du poids des circonstances ». Faut-il comprendre que tous les Français doivent avoir le droit de lire les bons auteurs (comme M. Pétré- Grenouilleau qu'on nous cite en exemple) sans pour autant avoir le droit d'écrire librement à leur tour sur l'histoire ? Dans trois jours, Georges Theil va comparaître devant la cour d'appel de Limoges pour avoir enfreint la loi Gayssot. En première instance, il a été condamné à une peine d'emprisonnement de six mois sans sursis et à une avalanche de peines financières. A cette heure, il n'a toujours reçu aucune réponse des 45 signataires que, dans une lettre expédiée à la mi-janvier, il avait appelés à lui venir en aide, avant le 3 février 2006, sous la forme qui leur semblerait appropriée. Sa lettre était accompagnée du texte intégral du jugement de condamnation. 31 janvier 2006 <strong>...</strong></p>Haas-Colle Maurice - Dubitando 06urn:md5:b24f79c57a6114b72f46f5e1a4667e452012-03-03T23:25:00+00:002017-03-08T18:32:27+00:00balderHaas-Colle MauriceDubitandoRevueRévisionnisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Haas-Colle_Maurice_-_Dubitando_06.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Haas-Colle Maurice (Boisdefeu Jean-Marie)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Dubitando 06 « Dubitando ad veritatem pervenimus. » Petite revue d’histoire révisionniste</strong><br />
Année : 2005<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Haas-Colle_Maurice_-_Dubitando_06.zip">Haas-Colle_Maurice_-_Dubitando_06.zip</a><br />
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L’ONU met le révisionnisme au ban de l’humanité. Robert Faurisson. Ce 1er novembre, à l’unanimité et sans vote, les représentants des 191 nations constituant l’ONU ont adopté (ou laissé adopter) un projet de résolution israélien qui proclame le 27 janvier « Journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de l’Holocauste ». En outre, ce projet « Rejette tout déni de l’Holocauste en tant qu’événement historique, que ce déni soit total ou partiel » (« Rejects any denial of the Holocaust as an historical event, either in full or part »). L’existence du révisionnisme historique se voit ainsi reconnue par le monde entier, ce qui prouve sa force de vie, mais, en même temps, cette décision fait que les révisionnistes se trouvent frappés d’interdiction morale par tous les pays du monde. Quant à l’Etat du Vatican, qui, lui, ne possède pas de siège à l’ONU, il avait, dès 1992, déclaré : « Il n’y a pas révisionnisme historique qui puisse remettre en cause l’abîme d’inhumanité de l’Holocauste » (« Non c’è revisionismo storico che possa rimettere in discussione l’abisso disumano dell’Olocausto ») ( L’Osservatore Romano, 7 novembre 1992). L’histoire des sociétés et des religions est riche de prohibitions, de proscriptions, d’excommunications mais, tandis que, jusque dans un récent passé, les victimes pouvaient, du moins en principe, espérer trouver un refuge en dehors de leur pays ou de leur groupe d’origine, ici la condamnation est, pour la première fois au monde, de caractère universel. Par là il se confirme que le révisionnisme historique est de nature exceptionnelle et aussi que les juifs, une fois de plus, sont capables d’obtenir d’exorbitants privilèges. Un tour de passe-passe de l’Etat juif C’est par un tour de passe-passe que la délégation israélienne est parvenue à faire adopter son projet de résolution. Elle a procédé à la manière de ces associations qui, en France, sous couvert d’une campagne contre la pédophilie, ont obtenu l’interdiction légale, sur Internet, de la pédophilie et … du révisionnisme. En un premier temps, elles ont demandé : « La pédophilie n’est-elle pas une horreur en soi ? » La réponse a été oui. En un deuxième temps, elles ont ajouté : « La pédophilie sur Internet n’est-elle pas à proscrire par une loi spécifique ? » La réponse, là encore, a été oui. En un troisième temps, ces associations ont alors conclu : « Battons-nous, en conséquence, pour obtenir une loi contre la pédophilie et … le révisionnisme (appelé « négationnisme ») ». Pour sa part, le 1er novembre 2005, le président en exercice de l’Assemblée des Nations unies, le Suédois Jan Ellasion, a fait preuve d’habileté en demandant qui était opposé au projet de résolution en vue de rappeler la mémoire de l’ « Holocauste ». Aucun bras ne s’étant levé, il a déclaré, sans recours préalable à un vote quelconque, que la résolution était adoptée, une résolution qui contenait en l’une de ses dispositions la condamnation de toute forme de révisionnisme. Le texte a été approuvé par les Etats-Unis envers et contre les garanties de liberté d’opinion prévues par le Premier amendement de leur constitution. Et surtout ce projet israélien a été adopté par les pays arabo-musulmans, y compris l’Iran. Tous ont approuvé ou laissé passer avec de molles restrictions verbales un projet d’origine juive condamnant jusqu’au droit à la libre recherche sur un sujet historique. Cette résolution ne revêt qu’un caractère politique et non juridique. Cependant, comme il est prévu que le Secrétaire général devra régulièrement rendre compte des mesures prises dans le cadre de cette décision, les révisionnistes auront des raisons de craindre pour eux des suites d’ordre judiciaire ou administratif, par exemple, en ce qui concerne la police des frontières et des aéroports ou les autorisations de séjour en certains pays ou les délivrances de visas. Cette résolution justifiera moralement et facilitera les mesures d’extradition prises à l’encontre des révisionnistes. Les précédents ne manquent pas avec 1) le mandat d’arrêt européen ; 2) la quasi-livraison du révisionniste René-Louis Berclaz par la Serbie à la Suisse ; 3) la livraison du révisionniste Ernst Zündel par les Etats-Unis au Canada, puis par le Canada à l’Allemagne ; 4) la livraison du révisionniste belge Siegfried Verbeke par les Pays-Bas à l’Allemagne ; 5) la livraison du révisionniste Germar Rudolf par les Etats-Unis à l’Allemagne. En Autriche, ce 11 novembre, le semi-révisionniste David Irving, citoyen britannique, a été arrêté par la police et se trouverait en prison à Vienne. Pour tout révisionniste notoire il est déjà périlleux de sortir des frontières de son pays d’origine. En pareil cas, soit l’Etat d’Israël, soit l’Allemagne peuvent réclamer au pays de transit l’extradition du voyageur. Est actuellement en préparation à la Knesseth une loi qui permettra à Israël d’exiger (« to demand ») la livraison de tout révisionniste aux fins de jugement par une cour, siégeant à Jérusalem, qui appliquerait au délinquant la loi juive antirévisionniste de 1986. <strong>...</strong></p>Haas-Colle Maurice - Dubitando 05urn:md5:3af245b659f18107a2cabbea5a47d9212012-03-03T23:23:00+00:002017-03-08T18:32:34+00:00balderHaas-Colle MauriceDubitandoRevueRévisionnisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Haas-Colle_Maurice_-_Dubitando_05.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Haas-Colle Maurice (Boisdefeu Jean-Marie)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Dubitando 05 « Dubitando ad veritatem pervenimus. » Petite revue d’histoire révisionniste</strong><br />
Année : 2005<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Haas-Colle_Maurice_-_Dubitando_05.zip">Haas-Colle_Maurice_-_Dubitando_05.zip</a><br />
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Il y a dix ans, la capitulation de Jean-Claude Pressac. Robert Faurisson. Financé, en France, par le couple Klarsfeld et, aux Etats-Unis, par le rabbin Michael Berenbaum (responsable scientifique de l'Holocaust Memorial Museum de Washington), Jean-Claude Pressac avait connu la gloire en 1993-1995, en particulier avec le lancement, à grand fracas, de son livre Les Crématoires d'Auschwitz, la machinerie du meurtre de masse, ouvrage édité en 1993 aux frais du contribuable français et sous l’égide du Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Le caractère grotesque de sa thèse et de son livre était patent. Néanmoins, à l’époque, historiens officiels et journalistes des grands médias avaient rivalisé dans la louange. En la circonstance, une fois de plus, ils s’étaient déshonorés à vouloir nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Dans le camp d’Auschwitz existait ce que les internés appelaient « Radio chiotte »; ailleurs, à la même époque, dans un camp de prisonniers français situé à Ludwigsburg, se diffusait un petit journal interne intitulé « Camp-Cans ». Il est humain que, dans toute prison, dans tout lieu clos, circulent rumeurs, cancans et bouteillons des plus absurdes ; et puis cela permet aux anciens de se rendre intéressants, surtout auprès du nouveau venu, par le colportage d’horreurs fictives qui s’ajoutent à des réalités parfois déjà nauséabondes. Mais il est inadmissible qu’encore aujourd’hui, soixante ans après la guerre, historiens et journalistes persistent avec un tel ensemble à se faire l’écho de pareilles insanités au point même qu’ils donnent l’impression de s’être mis au service d’une « Super Radio chiotte internationale » ou d’un « Super Camp-Cans international ». En ce qui concerne J.-C. Pressac, ces professionnels de l’histoire et de l’information officielles ont, par la suite, aggravé leur cas en ne soufflant mot d’abord de la déroute de leur héros le 9 mai 1995, à la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris, puis de l’acte de capitulation qu’il a signé le 15 du mois suivant et, enfin, de sa mort prématurée, le 23 juillet 2003, à l’âge de 59 ans. Se mettant une nouvelle fois à l’unisson, tous les anciens thuriféraires ont respecté l’omerta. Ces mêmes médias qui avaient encensé J.-C. Pressac se sont tous abstenus de signaler, ne fût-ce que d’une phrase, la disparition de leur ancien héros. Dans les deux cas, celui d’une promotion assourdissante et celui d’un silence total, il n’y a eu ni ordre ni orchestration ni consigne ni complot. Quand un sujet comme celui de l’« Holocauste » et des « chambres à gaz nazies » est devenu un tabou, chacun sait la conduite à tenir : ce sera celle de la servilité à l’égard du lobby qui détient la bourse, manie le fouet et qui d’un mot, celui d’ « antisémite », peut ruiner votre carrière, votre réputation, votre vie. Sent-on qu’il en plaira au maître, on dansera sur la place ; verra-t-on le maître froncer le sourcil, on rentrera à la maison ou à la niche. <strong>...</strong></p>