Histoire Ebook - Mot-clé - Les juifs en FranceRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearQuerrioux Fernand - La médecine et les juifsurn:md5:150fd777d710e424d4167d8f52be2f4b2012-02-26T03:19:00+00:002021-12-17T01:09:25+00:00balderQuerrioux FernandEx-LibrisEx-Libris LenculusHébraïsmeLes juifs en FranceMédecineVichy <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Querrioux_Fernand_-_La_medecine_et_les_juifs.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Querrioux Fernand</strong><br />
Ouvrage : <strong>La médecine et les juifs Selon les documents officiels Les juifs en France 2</strong><br />
Année : 1940<br />
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INTRODUCTION. Tout le monde a entendu parler de Carpentras, cette charmante petite ville de notre Provence ensoleillée, célèbre par ses berlingots et parce qu’elle fut le berceau du « taureau de Vaucluse », si néfaste à notre pays. Mais ce que beaucoup d’entre mes lecteurs ignorent, c’est que cette ville possède une église du XVe siècle — l’église Saint-Siffrein — bâtie sur les ruines d’une cathédrale romane, et qui offre la bizarre particularité de posséder une porte, dite « porte Juive ». Le nom viendrait — dit-on — de ce qu’autrefois, à l’entrée de l’église, se trouvaient des échoppes tenues par des juifs qui vendaient des objets de piété aux chrétiens. Mais cette porte offre une autre singularité. Au-dessus du linteau, on voit, sculptée dans la pierre, une boule sur laquelle courent des rats. C’est « la boule aux rats de la porte juive ». A cette époque toute la Provence était dressée contre les juifs, ainsi qu’en témoigne le document qui va suivre ; Carpentras en comptait de nombreux, comme encore de nos jours. Ils s’étaient déjà révélés si avides que le sculpteur, soit par ironie, soit par vengeance tailla cette boule qui, dans son imagination, représentait le monde envahi et rongé par les juifs. UN BIEN CURIEUX DOCUMENT. En effet dès le XVe siècle, les juifs avaient pour mot d’ordre de dépouiller, le chrétien, par n’importe quel moyen. En voici une preuve : La Revue des Études juives, financée par James de Rothschild, a publié en 1880 deux documents qui •montrent les Learned Eiders of Zion à l’oeuvre. Le 13 janvier 1489, Chamor, rabbin des Juifs d’Arles en Provence, écrit au Grand Sanhedrin, siégeant à Constantinople et lui demande avis dans des circonstances critiques. Les Français d’Aix, d’Arles, de Marseille, menacent les synagogues. Que faire ? Réponse : « Biens-aimés frères en Moïse, nous avons reçu votre lettre dans laquelle vous nous faites connaître les anxiétés et les infortunes que vous endurez. Nous en avons été pénétrés d’une aussi grande, peine que vousmêmes. « L’avis des grands Satrapes et Rabbins est le suivant : « A ce que vous dites que le Roi de France vous oblige à vous faire chrétiens : faites-le, puisque vous ne pouvez faire autrement, mais que la loi de Moïse se conserve en votre coeur. « A ce que vous dites qu’on commande de vous dépouiller de vos biens : faites vos enfants marchands afin que peu à peu ils dépouillent les chrétiens des leurs. « A ce que vous dites qu’on attente à vos vies : faites vos enfants médecins et apothicaires afin qu’ils ôtent aux chrétiens leurs vies. « A ce que vous dites qu’ils détruisent vos synagogues : faites vos enfants chanoines et clercs afin qu’ils détruisent leurs églises. • « A ce que vous dites qu’on vous fait bien d’autres vexations : faites en sorte que vos enfants soient avocats, notaires et que toujours ils se mêlent des affaires des États, afin que, en mettant les chrétiens sous votre joug, vous dominiez le monde et vous puissiez vous venger d’eux. « Ne vous écartez pas de cet ordre que nous vous donnons, parce que vous verrez par expérience que d’abaissés que vous êtes, vous arriverez au faîte de la puissance. « Signé : V.S.S.V.F.F. Prince des Juifs, le 21 de Casleu (Novembre 1489). » Ceci nous explique l’invasion juive en France dans les professions désignées dans ce document et tout particulièrement en médecine. LE SERMENT D’HIPPOCRATE La profession de médecin est moralement régie par un ensemble de principes qu’on nomme déontologie. Ce sont ces règles qui dictent la conduite du médecin vis-à-vis de ses malades, de ses confrères ou de la société. Hippocrate, qui traita de la médecine par préceptes, fut l’auteur du premier code de déontologie. Son serment célèbre, qui contient les principes fondamentaux de cette conscience médicale est encore en honneur de nos jours puisqu’il est lu, au moment de la soutenance de leur thèse, par les étudiants de la Faculté de médecine de Montpellier. En voici la formule : « Je jure, par Apollon médecin, par Asclepios, Hygie et Panacée, et je prends à témoin tous les dieux, toutes les déesses, d’accomplir, selon mon pouvoir et ma raison, le serment dont ceci est le texte : d’estimer à l’égal de mes parents celui qui m’a enseigné cet art, de faire v.ie commune et, s’il est besoin, de partager mes biens avec lui ; de tenir ses enfants comme mes propres frères, de leur enseigner cet art, s’ils ont besoin de l’apprendre, sans salaire ni promesse écrite ; de faire participer aux préceptes, aux leçons et à tout le reste de l’enseignement, mes fils, ceux du maître qui m’a instruit, les disciples, inscrits et engagés selon les règlements de la profession, mais ceux-là seulement. J’appliquerai les régimes pour le bien des malades, selon mon pouvoir et mon jugement, jamais pour faire tort ou mal à personne. Je ne donnerai à personne, pour lui complaire, un médicament mortel, ni un conseil qui l’induise à sa perte. De même, je ne donnerai pas à la femme de remèdes capables de tuer son fruit. Mais j’emploierai constamment ma vie, jusqu’à la vieillesse, à garder la femme pure de toute faute. Je ne taillerai pas moi-même ceux qui souffrent de la pierre, mais j’en ferai présent aux Maîtres expert en cet art, en les leur confiant. Dans quelque maison que ce soit où j’entre, j’entrerai pour le salut du malade, fuyant, au plus loin, tout soupçon de malfaisance et de corruption : et cela, qu’il s’agisse des femmes ou des hommes, des enfants ou des serviteurs. Ce que, dans l’exercice où en dehors de l’exercice, et dans le commerce de la vie, j’aurai vu ou entendu qu’il ne faille pas répandre, je le tiendrai en tout pour un secret. Si j’accomplis ce serment avec fidélité, qu’il m’arrive de jouir de ma vie et de mon art en bonne réputation parmi les hommes et pour toujours ; si je m’en écarte et l’enfreins, qu’il m’arrive le contraire. » La fonction du médecin doit être considérée comme un véritable sacerdoce, toute de dévouement, de discrétion, de pitié, de charité, d’honneur et de droiture. Elle exige donc des praticiens intègres et d’une impeccable dignité. « Le médecin est au service des malades. C’est un service sacré », selon la formule du nouveau secrétaire général à la Santé Publique, le docteur Serge Huard. Où était en 1939 la splendeur de la médecine ? Qu’étaient devenus sa gloire et son ornement ? La médecine était tellement corrompue que les groupements professionnels réclamaient à cor et à cri une réglementation rigoureuse. L’ABAISSEMENT DE LA MEDECINE Depuis l’apparition des juifs dans cette profession, on a constaté d’abord des manquements e des abus et enfin des pratiques malhonnêtes qu’ont ravalé la médecine au rang du plus bas commerce. Les juifs ont introduit dans l’exercice de la médecine leur esprit mercantile ancestral ; nous avons assisté là comme ailleurs à la réclame sous toutes ses formes, même les plus éhontées : à l’écran, à la radio, dans la presse Des pages entières de quotidiens vantaient les procédés charlatanesques ou tel « titilleur de nez », des affiches s’étalaient sur les murs côté des réclames pour apéritifs ou pour savon de toilette. Les milieux médicaux se souviennent encore du scandale causé par quelques « grands médecins » de Paris, de Marseille et de certaines villes d’eaux qui, il y a quelques années, acceptèrent, dans un journal américain « The Saturday evening post », de vanter un laxatif : The New Fleischmann’s yeast » moyennant la somme de mille dollars. Toute une page du journal était consacrée à la réclame de ce laxatif : avec l’avis du « maître du jour » et sa photographie au milieu d’une figuration quelquefois importante d’internes, étudiants, infirmières Parmi les médecins qui acceptèrent de contribuer au lancement de ce laxatif, on compte une majorité de juifs. Nous avons encore sous les yeux la photographie d’un spécialiste de l’intestin en train de faire un lavage d’estomac. Ce patient n’est autre que le beau-frère du médecin. Par hasard sans doute, il est propriétaire d’hôtel dans la ville d’eaux du spécialiste et l’assistant — car il y a un assistant — est le maître d’hôtel de cet astucieux commerçant. Comme nous sommes loin de ce que dit le secrétaire général à. la Santé Publique : « Le médecin français doit être le plus réputé, le plus instruit », mais aussi « le plus intègre, le plus dévoué qui soit ». Malheureusement en 1940, que de consciences molles, que d’appétits dévoyés, que de malades exploités, grugés et même ruinés par des praticiens indignes ! Ainsi ce médecin-juif des hôpitaux de Paris, qui prenait comme honoraires, il y a dix ans, la somme de 10.000 francs pour faire un pneumothorax. Le malade ne peut payer que la moitié comptant. A quelque temps de là ne pouvant s’acquitter du solde, ce malade dont l’état empire se voit traduit en justice, poursuivi, traqué par son créancier implacable. Cette lamentable histoire se termine par la mort de ce malheureux à l’hôpital. Et ce cas dont nous parle un de nos confrères français de la banlieue-sud : « Un jour je suis appelé d’urgence auprès d’une malade : ménage d’ouvriers, habitation modeste de deux pièces. La malade se plaint d’un violent point de côté et paraît très inquiète. Après un examen qui ne révèle absolument rien d’organique, je me hâte de la rassurer. Mais la patiente insiste, me demande si je suis sûr de mon diagnostic et finit par me faire le récit suivant : « Je sens bien que je ne suis pas très malade, mais je désirais en avoir le coeur net. Un de vos confrères sort d’ici et a déclaré à mon mari que j’étais atteinte d’une pleurésie purulente (3 litres de pus dans le côté il faut que je sois transportée d’urgence dans sa clinique, sinon, demain matin je serai morte Le prix de l’intervention ? — 4.000 frs pour l’opération, à payer tout de suite. Plus les frais de clinique pendant environ un mois. Vous n’avez pas cette somme ? — Oh en raclant bien les fonds de tiroir... ! Et puis vous trouverez certainement quelqu’un pour vous prêter l’argent nécessaire. La vie vaut bien un sacrifice... Or, il n’y avait aucun signe de pleurésie purulente et il n’était même pas possible d’invoquer une erreur de diagnostic. Faut-il vous dire que le premier médecin était juif et propriétaire de la clinique où il voulait envoyer la pleurésie purulente... imaginaire. Un autre médecin-juif, propriétaire d’une clinique, fait entrer chez lui une femme qui doit être opérée d’hémorroïdes par un de ses coreligionnaires. Il la garde trois semaines sans inter venir et les frais d’hospitalisation sont payés régulièrement. Enfin il se décide à opérer. La Malade au bout d’une dizaine de jours va très mal. Le mari à bout de ressources demande un délai pour payer ce qui reste dû : il est obligé de signer une reconnaissance de dettes. Sur ce la malade est expédiée à l’hôpital où elle meurt 48 heures après. Nous connaissons de nombreux malades traités pendant des mois et parfois des années entières, souvent sans nécessité par ces disciples de la science sans conscience. <strong>...</strong></p>Pemjean Lucien - La presse et les juifsurn:md5:db8bdfa56f79cb8971360836defe89ce2012-02-26T03:15:00+00:002021-12-17T00:49:52+00:00balderPemjean LucienEx-LibrisEx-Libris LenculusFranceHébraïsmeLes juifs en FrancePropagandeRévolutionVichy <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Pemjean_Lucien_-_La_presse_et_les_juifs.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Pemjean Lucien</strong><br />
Ouvrage : <strong>La presse et les juifs Depuis la révolution jusqu'à nos jours Les juifs en France 3</strong><br />
Année : 1941<br />
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AVANT-PROPOS. Si la presse avait existé du temps d’Ésope, c’est d’elle que le fameux philosophe n’eût pas manqué de dire qu’elle était à la fois la meilleure et la pire des choses. Aux informations, aux distractions, aux enseignements, aux idées, aux lumières qu’elle offre journellement au public, se mêlent en effet mille faussetés, mensonges, excitations et poisons de toute espèce. Source de vérité, de concorde et de progrès, elle est en même temps une source d’erreur, de désunion et de décadence. Tout dépend de la façon dont elle est comprise et dirigée. Or, il faut bien le dire, depuis qu’elle existe, depuis qu’elle fonctionne librement, ce sont plutôt de pernicieuses influences qui l’ont guidée. Les mauvais génies du pouvoir et de l’exploitation du labeur humain ont vite réalisé le parti qu’ils pouvaient tirer d’une force susceptible, en façonnant à leur gré l’opinion publique, de servir leurs ténébreux desseins. Ils se sont ingéniés à l’assujettir, les uns par les prébendes et les faveurs, les autres par l’irrésistible instrument de corruption qu’est l’or. Et c’est ainsi que, graduellement, depuis la Révolution française, la presse, qui a pris chez nous comme ailleurs un développement considérable, s’est presque totalement asservie aux puissances d’argent, à la tête desquelles trône la finance juive. Nous n’avons pas l’intention, dans ces pages hâtives, de faire l’historique de la vassalisation du journalisme depuis Théophraste Renaudot jusqu’à nos jours. Ce que désire surtout le Français d’aujourd’hui, si éprouvé par le cruel désastre qu’il vient de subir, c’est connaître exactement les causes de son malheur. Il sait que la presse, en général, a joué un rôle prépondérant dans la formation de la mentalité qui a permis à certains clans occultes de provoquer la catastrophe. On lui a dit et répété qu’au premier rang de ces clans maléfiques se trouvait la Judéo-Maçonnerie et il voudrait qu’on lui mît les points sur les i, qu’on lui expliquât le mécanisme de cette main-mise sur la direction de nos organes de propagande et de diffusion, et qu’on lui citât des faits précis, des exemples probants, des noms irrécusables. C’est ce que nous nous proposons de faire ici, après des recherches et des vérifications qui ne laissent aucune place à l’imagination ni à la fantaisie. Mais, pour bien faire comprendre le processus de la subordination de la presse aux intérêts et à l’autorité d’Israël, il est nécessaire que nous remontions un peu dans le passé. Nous ne nous y attarderons pas, désireux de donner au plus tôt satisfaction à l’impatiente curiosité de nos lecteurs. L. P. <strong>...</strong></p>Montandon George - Comment reconnaître le juif ?urn:md5:f02a3a86308a4b09d03d16ddf4a0afc92012-02-26T02:44:00+00:002021-12-17T00:34:00+00:00balderMontandon GeorgeAnthropologieEx-LibrisEx-Libris LenculusHébraïsmeLes juifs en FranceRacialismeTaxinomie racialeVichy <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Montandon_George_-_Comment_reconnaitre_le_juif.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Montandon George</strong><br />
Ouvrage : <strong>Comment reconnaître le juif ? Avec dix clichés hors texte suivi d’un portrait moral du juif Les juifs en France 1</strong><br />
Année : 1940<br />
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Caractères physiques du juif. Un individu au facies juifu s’assied devant vous au café, et vous vous dites : « Voilà un Juif », mais si vous vous demandez à quoi vous l’avez reconnu, il vous est souvent difficile de préciser. Un compagnon va prendre place auprès du premier individu ; il est très différent d’aspect. Vous vous dites cependant : « Un second Juif ! ». Mais, cette fois, vous avez encore plus de peine à expliquer votre certitude. Nous allons tenter de montrer pourquoi et en quoi les Juifs diffèrent fort entre eux et sont pourtant reconnaissables. Pour cela, il faut d’abord donner un aperçu très rapide de l’histoire des Juifs, puis de la situation des races voisines au sein desquelles s’est créé le type judaïque ou juifu. BRÈVE HISTOIRE DES HÉBREUX. Il ne faut pas confondre Hébreux, Israélites et Juifs. Environ vers l’an 4000 avant notre ère ; la Mésopotamie (vallées du Tigre et de l’Euphrate, en Asie antérieure) était occupée par les Sumériens, qui faisaient partie d’une population dite « asianique » aujourd’hui disparue, ni européenne, ni turque, ni sémite. C’est alors que débouchèrent en Mésopotamie, on ne sait d’où, peut-être d’une Arabie pas déserte comme aujourd’hui, des Sémites appelés Accadiens, qui contribuèrent à créer la civilisation assyrienne. Ces Accadiens étaient flanqués de tribus nomades également sémitiques, dont la petite tribu (famille au sens large, avec ses tenants et aboutissants) d’Abraham, ancêtre des Hébreux. Cette tribu - et c’est ici que commence l’histoire des Hébreux - passa de la Mésopotamie dans le pays de Chanaan (la Palestine), sur le bord de la Méditerranée. Au bout de plusieurs siècles, un grand concours de tribus nomades d’Asie envahirent l’Égypte, alors hautement civilisée. Ces tribus asiatiques, dites les Hyksos, ne produisirent pas que des ravages, car ce sont les Hyksos qui introduisirent le cheval en Afrique. Tout comme les Cimbres et les Teutons ravageant l’ancienne Gaule entraînèrent avec eux des tribus par le territoire desquelles ils passèrent, les Hyksos entraînèrent les Hébreux avec eux vers l’Égypte. Ces derniers s’y attardèrent après que les Hyksos eurent été rejetés en Asie, l’épisode des Hyksos se passant autour de l’an 2000 avant notre ère. <strong>...</strong></p>Les nouvelles éditions française - Les juifs en France Historique et quatre volumesurn:md5:3341ed901269e48f93b8bf1a7c4cae8a2012-02-26T00:38:00+00:002022-01-15T02:42:50+00:00balderCollectif d'auteursEx-LibrisEx-Libris LenculusFranceHébraïsmeLes juifs en FranceVichy <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Les_nouvelles_editions_francaise_-_Les_juifs_en_France_Historique_et_quatre_volumes.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Montandon George - Querrioux Fernand - Pemjean Lucien - Rebatet Lucien Romain</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les juifs en France Historique et quatre volumes Comment reconnaître le juif ? La médecine et les juifs. La presse et les juifs. Les tribus du cinéma et du théâtre.</strong><br />
Année : 1941<br />
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Les Nouvelles Editions Françaises. Robert Denoël a fondé les Nouvelles Editions Françaises le 20 novembre 1940, en transformant la dénomination de sa société « La Publicité Vivante », qui datait du 15 octobre 1937. Il crée cette enseigne un bon mois après la réouverture des Editions Denoël : elle n’est donc pas destinée à remplacer temporairement sa maison fermée par les Allemands du 17 juin au 15 octobre 1940, comme on l’a dit, mais à publier des ouvrages imposés par l’occupant. Pourquoi y publie-t-il aussi Les Beaux Draps ? Auguste Picq expliquait que le pamphlet de Céline avait servi de « faire-valoir » aux N.E.F. Je suppose que les livres pour enfants de Thornton Burgess, publiés pour la première fois en 1933 par les Editions Denoël et Steele et remis en vente en 1940 avec l’adresse des Nouvelles Editions Françaises, avaient aussi cette fonction. Les quatre volumes publiés entre novembre 1940 et mars 1941 dans une collection au titre bien compromettant : « Les Juifs en France », ont été vendus à moins de 3 000 exemplaires. Au cours de son procès, en juillet 1945, Denoël dira qu’il a arrêté cette collection après le quatrième volume, « en voyant les mesures prises contre les Juifs ». Le fait est que trois autres titres annoncés au second plat de couverture des quatre premiers n’ont jamais paru. Les Nouvelles Editions Françaises, domiciliées au 21, rue Amélie, c’est-à-dire dans le bâtiment accolé à celui des Editions Denoël, n’avaient pas d’existence légale : c’est en transformant le ‘‘19’’ en ‘‘21’’ sur un acte d’association provisoire (cf. Chronologie, 23 janvier 1941) que Denoël, ou George Hagopian, son homme d’affaires, entérinent une situation de fait (les volumes étaient bien entreposés à cette adresse) mais sans la notifier au Registre de commerce. Les rares documents à l’en-tête des N.E.F. que l’on possède portent tous la signature de Robert Denoël. Maurice Bruyneel dit Albert Morys avait bien, en février 1941, signé le prière d’insérer des Beaux Draps avec le titre de « secrétaire général », et Auguste Picq, le comptable des Editions Denoël, pris en main les comptes de la société, il n’en demeure pas moins qu’un seul homme a, comme dans toutes ses entreprises, présidé aux destinées des Nouvelles Editions Françaises, et ne s’en est d’ailleurs pas caché à la Libération : Robert Denoël. <strong>...</strong></p>Rebatet Lucien Romain - Les tribus du cinéma et du théâtreurn:md5:cc7cbed0fc7a2080e2de35001154cff42012-02-25T01:52:00+00:002022-01-10T22:39:15+00:00balderRebatet Lucien RomainCinémaEx-LibrisEx-Libris LenculusHébraïsmeLes juifs en FranceThéâtre <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Rebatet_Lucien_Romain_-_Les_tribus_du_cinema_et_du_theatre.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Rebatet Lucien Romain (François Vinteuil - François Vinneuil)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les tribus du cinéma et du théâtre Les juifs en France 4</strong><br />
Année : 1941<br />
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CHAPITRE PREMIER. COMMENT LES JUIFS ONT EU LA VOCATION DU CINÉMA. Je vais aborder ici l’un des chapitres les plus classiques, les plus ahurissants aussi de l’invasion juive en France. Pour montrer avec une clarté suffisante les étapes de cet incroyable fléau, il est nécessaire, je crois, de déborder un peu le cadre de cette collection. Le cinéma est essentiellement international Juifs qui l’ont saccagé chez nous appartenaient à l’espèce la plus insaisissable, la plus vagabonde. Il faudra franchir de temps à autre les frontières de notre pays pour bien découvrir la trame de leurs méfaits. Le cinéma a vu le jour en France. Ses précurseurs s’étaient nommés Étienne Marey, magnifique chercheur au nom trop peu connu, Émile Reynaud, Démeny, Le Prince. Au printemps 1895, les frères Auguste et Louis Lumière faisaient breveter le premier appareil de projection, et donnaient en décembre suivant, boulevard des Capucines, la première représentation publique de cinéma, devançant de six mois Edison qui poursuivait en Amérique des études parallèles aux leurs. On ne doit pas oublier non plus que deux autres pionniers de la photographie animée qui travaillaient à cette époque aux Etats-Unis s’appelaient Eugène Lauste, Parisien de Montmartre, et Jean- Acmé Le Roy, descendant d’émigrés français. Les premiers vulgarisateurs de la découverte, en même temps scénaristes, metteurs en scène, comédiens, opérateurs et exploitants de films ont été Charles Pathé et Léon Gaumont. Le premier artiste véritable du cinéma fut le délicieux bricoleur-poète Georges Méliès, créateur du premier studio et d’innombrables et féeriques truquages. Le premier commanditaire de films fut un honnête industriel du nom de Grivolas, offrant un million à Charles Pathé, qui avait débuté dans des baraques de fêtes foraines. Jusque-là, nous n’avons été qu’entre Aryens. Dans leur Histoire du Cinéma1, si vivante et si prodigieusement documentée, Maurice Bardèche et Robert Brasillach nous ont fait le tableau le plus pittoresque de l’entrée du Juif dans le « septième art » La chose se passa en Amérique aux alentours de 1900. Il y avait dans les ghettos de New-York et de Chicago quelques petits Juifs du nom de Marcus Loew, Adolphe Zukor, William Fox, Cari Laemmle, nomades débarqués d’autres ghettos obscurs de l’Europe orientale ou des impasses les plus sordides de Withechapel. Ils étaient tous fripiers, brocanteurs ou revendeurs de fourrures maquillées, plus ou moins receleurs ou carambouilleurs. Ces faméliques vagabonds étaient prêts à n’importe quoi. Ils n’avaient rien à perdre, ni réputation ni fortune. Ils tenaient l’Amérique pour la terre de tous les miracles. Avec les bénéfices de quelques petites filouteries et quelques centaines de dollars d’emprunt, ils se jetèrent frénétiquement sur la nouvelle découverte. On a beaucoup parlé de leur hardiesse. Le mot d’astuce conviendrait mieux. Les Lumière, Edison considéraient au plus leur admirable invention comme une curiosité scientifique, intéressante sans doute pour les laboratoires, mais dont le succès de spectacle serait bien vite épuisé. Edison, il est vrai, devait revenir de son erreur et défendre ses prérogatives avec une âpreté au gain fort remarquable. Mais les brocanteurs juifs étaient déjà solidement installés dans la place, plusieurs fois millionnaires et maîtres des premiers « circuits » de salles obscures. <strong>...</strong></p>