Histoire Ebook - Mot-clé - MithraRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearDelaage Henri - Doctrines des sociétés secrètesurn:md5:a0c49333a73d0ba1c5a0c1e56a81e5e72017-11-18T00:11:00+00:002018-04-15T06:03:15+01:00balderDelaage HenriFranc-maçonnerieIsisMithra <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Delaage_Henri_-_Doctrines_des_societes_secretes.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Delaage Henri</strong><br />
Ouvrage : <strong>Doctrines des sociétés secrètes ou épreuves, régimes, esprit, instructions, mœurs des initiés aux différents grades des mystères d'Isis, de Mithra, des chevaliers du Temple, des carbonari et des francs-maçons</strong><br />
Année : 1852<br />
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Nécessité de dévoiler les vérités cachées de l'initiation. Ces vérités que nous proclamons au milieu du conflit des intérêts et en présence de l’incroyance, nous les aurions proclamées avec joie sous la dent des bêtes du cirque et au milieu des flammes du bûcher. Dévoiler à un peuple enfant les vérités primordiales du monde avant que la main providentielle de la Religion l’ait jeté dans le creuset du culte pour s’y dépouiller sous l’influence bienfaisante de la civilisation des scories de l’état sauvage, c’est commettre un horrible forfait, c’est le crime que la tradition an-tique nous montre puni en la personne du prophète Prométhée cloué vivant à un rocher, la poitrine ouverte et le cœur saignant sous le bec furieux d’un vau-tour acharné sur cette proie immortelle. Les vents du ciel emportèrent par le monde les soupirs du martyr ; la mer, cette grande désolée redit à tous ses rivages l’écho plaintif de ses gémissements ; mais les dieux furent insensibles à cette immense douleur de la nature, et durant les longues heures des siècles tombant une à une dans l’éternité, livré aux tortures d’une agonie éternelle, l’imprudent qui avait commis le noble crime de trop aimer l’humanité tacha de son sang le rocher du Caucase. Mais quand un peuple, après avoir parcouru les différentes phases de la civilisation, se trouve en présence de la barbarie, cette mort qui frappe les nations caduques ; quand les symptômes de la décadence, qui sont l’indifférence en matière de religion, la vénalité en amour, la passion immodérée des honneurs, la fièvre de l’agiotage, apparaissent visible-ment dans les mœurs d’une société qui, déchirée par ses propres mains, se tord de douleur sur son lit de mort, ils sont bienvenus les pas de l’homme messager de la vérité, qui porte en ses mains bénies le flambeau divin de la tradition dont le feu sacré éclaire l’intelligence, enflamme le cœur et rend au sang stagnant dans les veines flétries la jeunesse, le mouvement et la vie. Homme de tradition, nous nous rattachons par toutes les fibres du cœur aux sublimes institutions du christianisme contre lesquelles protesta la réforme, que railla la philosophie qui ne se doutait pas, dans son ambitieuse ignorance, qu’émanciper un peuple de sang catholique, c’est tout simplement le délivrer de cette providence visible qui prenant l’enfant dès le berceau, de sa main divine guidait ses pas dans la voie lumineuse de la vérité, de la beauté et du bon-heur, pour ne le quitter qu’après avoir rendu son corps à la terre et son âme à Dieu. Homme de croyance, nous vivons du même cœur que la femme, cet être charmant dont l’organisme, doué d’une exquise délicatesse et d’une merveilleuse sensitivité, aspire par tous ses pores le souffle divin de la grâce qui fait vivre l’âme en y mettant un dieu ; la littérature, l’art et la poésie en ce siècle ont consacré leurs plus belles inspirations à cette douce et frêle créature ; les écrivains ont vanté la beauté de ses traits, la noblesse de ses formes, la tendresse onctueuse de son regard, la petitesse de son pied, l’aristocratique élégance de ses doigts effilés, enfin la puissance attractive et charmeresse de son sourire, gracieuse distension des lèvres qui entrouvre doucement sa bouche pour laisser briller dans leur écrin de pourpre les perles de ses dents ; mais nul tressaille-ment électrique de leur âme ne leur apprit que ce charme idéal et sans pareil qui auréole, pour ainsi dire, tout cet être d’une atmosphère d’enivrante ivresse, venait de ce que l’Esprit-Saint, chassé du cœur des hommes par le scepticisme, l’ambition et l’amour des richesses, s’était réfugié en elle, et qu’en conséquence, la grâce de Dieu l’éclairait de ses divines clartés : voilà pourquoi la femme est restée attachée au culte de ses ancêtres et agenouillée au pied des saints autels. Jadis quand les disciples reniaient pour leur maître Jésus couvert de sang, de boue et de crachats, les femmes ne l’abandonnèrent pas, car l’amour de Dieu, chassé du cœur des hommes par celui de l’argent ou le respect humain, reste toujours dans l’âme de la femme, qui, destinée à beaucoup souffrir en raison de sa délicate sensibilité, a besoin comme consolation de beaucoup aimer. <strong>...</strong></p>Dumézil Georges - Naissance d'archangesurn:md5:d68a2758a4d25be2fb9a3a973735f78f2015-04-12T16:24:00+01:002015-04-12T16:34:39+01:00balderDumézil GeorgesMithraMoyen-OrientReligion <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Dumezil_Georges_-_Naissance_d_archanges.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Dumézil Georges</strong><br />
Ouvrage : <strong>Naissance d'archanges (Jupiter Mars Quirinus, III) Essai sur la formation de la théologie zoroastrienne</strong><br />
Année : 1945<br />
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Préface. En observant la disposition de ce livre, les lecteurs auront le sentiment qu'il a été écrit pour répondre à la question suivante : « Qu'est devenu, dans la pensée religieuse de Zoroastre, le système indo-européen des trois fonctions cosmiques et sociales, avec les dieux correspondants ? » C'est bien en effet le problème qui est ici présenté, mais il s'est substitué en cours de recherche à un tout autre énoncé. A maintes reprises nous avions rappelé qu'autour du couple des grands dieux souverains (Mitra et Varuna dans l'Inde, Odhinn et Tyr en Scandinavie, etc.), il existe dans les diverses mythologies indo-européennes ce qu'on peut appeler des dieux souverains mineurs, c'est-à-dire des dieux moins importants dont le domaine reste situé dans la première fonction, dans la souveraineté magico-politique : ce sont, par exemple, Aryaman, Bhaga et les autres Aditya dans l'Inde, Heimdallr, Bragi et quelques autres en Scandinavie. Nous nous sommes proposé d'étudier ces souverains mineurs en commençant par l'Inde, où le groupe des sept Aditya est nettement caractérisé. <strong>...</strong></p>Antaios - 04urn:md5:c4a25d606157c47dfcc5b5a6993582e62015-04-11T23:36:00+01:002015-04-11T23:03:04+01:00balderAntaiosEuropeMithraReligionRevue <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Antaios_-_04.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Antaios</strong><br />
Ouvrage : <strong>04</strong><br />
Année : 1994<br />
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Mysteria Mithrae. <strong>...</strong></p>Antaios - 14urn:md5:50cbf52fef10d863c086d5efe62412832015-04-01T21:30:00+01:002015-04-01T20:46:52+01:00balderAntaiosMithraReligionRevue <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Antaios_-_14.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Antaios</strong><br />
Ouvrage : <strong>14</strong><br />
Année : 1999<br />
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Revue d'études polythéistes fondée en 1959 par Mircea Eliade et Ernst Jünger. Périodique trimestriel. <strong>...</strong></p>Cumont Franz - Les mystères de Mithraurn:md5:41f00701f4982c77109fc363422490c72013-02-22T14:49:00+00:002013-02-22T14:55:21+00:00balderCumont FranzItalieMithraReligion <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Cumont_Franz_-_Les_mysteres_de_Mithra_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Cumont Franz</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les mystères de Mithra</strong><br />
Année : 1913<br />
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Ce livre n'a pas la prétention d'offrir un tableau de la chute du paganisme. Il n'y faudra pas chercher des considérations générales sur les causes profondes qui amenèrent le succès des cultes orientaux en Italie; nous ne tenterons pas d'y montrer comment leurs doctrines, ferment de dissolution bien plus actif que les théories des philosophes, décomposèrent les croyances nationales sur lesquelles reposaient l'Etat romain et toute la vie antique, et comment la destruction de l'édifice qu'elles avaient désagrégé, fut achevée par le christianisme. Nous n'entreprendrons pas d'y suivre les phases diverses de la lutte entre l'idolâtrie et l'Église grandissante. Ce vaste sujet, que nous ne désespérons pas de pouvoir aborder un jour, n'est pas celui que nous avions à traiter dans cette monographie; elle ne s'occupe que d'un épisode de cette révolution décisive : elle essaie de faire voir avec toute la précision possible comment et pourquoi une secte du mazdéisme faillit sous les Césars devenir la religion prédominante de l'empire. La civilisation hellénique ne parvint jamais à s'implanter chez les Perses, et les Romains ne réussirent pas davantage à se soumettre les Parthes. Le grand fait qui domine toute l'histoire de l'Asie antérieure, c'est que le monde iranien et le monde gréco-latin restèrent toujours rebelles à une assimilation réciproque, séparés par une répulsion instinctive autant que par une hostilité héréditaire. Toutefois, la religion des mages, qui fut la plus haute expression du génie de l'Iran, influa à trois reprises sur la culture occidentale. Le parsisme avait eu d'abord une action très sensible sur la formation du judaïsme, et quelques-unes de ses doctrines cardinales furent répandues par l'intermédiaire des colonies juives dans tout le bassin de la Méditerranée, et se firent plus tard accepter par l'orthodoxie catholique. Le mazdéisme agit plus directement sur la pensée européenne, lorsque Rome eut conquis l'est de l'Asie-Mineure. Depuis un temps immémorial des colonies de mages, émigrés de Babylone, y vivaient obscurément et, combinant leurs croyances traditionnelles avec les conceptions helléniques, elles avaient élaboré peu à peu dans ces régions barbares un culte original malgré sa complexité. On le vit, au début de notre ère, surgir brusquement de l'ombre et s'avancer simultanément dans les vallées du Danube et du Rhin et jusqu'au cœur de l'Italie. Les peuples d'Occident sentirent fortement la supériorité de la foi mazdéenne sur leurs vieilles pratiques nationales, et les foules accoururent vers les autels du dieu exotique. Mais les progrès du conquérant furent arrêtés lorsqu'il prit contact avec le christianisme. Les deux adversaires reconnurent avec étonnement les similitudes qui les rapprochaient, sans en apercevoir l'origine, et ils accusèrent l'Esprit de mensonge d'avoir voulu parodier la sainteté de leurs rites. Le conflit entre eux était inévitable, duel ardent, implacable, car son enjeu était la domination du monde. Personne ne nous en a raconté les péripéties, et notre imagination seule se représente les drames ignorés qui agitèrent l’âme des multitudes, alors qu'elles hésitaient entre Ormuzd et la Trinité. Nous ne connaissons que le résultat de la lutte : le mithriacisme fut vaincu, et sans doute il devait l'être. Son échec n'est pas dû uniquement à la supériorité de la morale évangélique ou de la doctrine apostolique sur l'enseignement des mystères ; il n'a pas péri seulement parce qu'il était encombré par l'héritage onéreux d'un passé suranné, mais aussi parce que sa liturgie et sa théologie étaient restées trop asiatiques pour que l'esprit latin les accueillît sans répugnance. Pour une raison inverse, la même guerre, engagée à la même époque dans l'Iran entre les deux rivaux resta pour les chrétiens sans succès, sinon sans honneur, et, dans es états des Sassanides, le zoroastrisme ne se laissa jamais sérieusement entamer. Mais la défaite de Mithra n'anéantit pas sa puissance. Il avait préparé les esprits à accepter une foi nouvelle, venue comme lui, des bords de l'Euphrate, et qui avec une tactique différente reprit les hostilités. Le manichéisme apparut comme son successeur et son continuateur. Ce fut le suprême assaut livré par la Perse à l'Occident, assaut plus sanglant que les autres, mais qui était condamné à se briser finalement contre la force de résistance de l'empire chrétien. Cette rapide esquisse mettra en lumière, je l'espère, l'importance qu'offre l'histoire du mithriacisme. Rameau détaché du vieux tronc mazdéen, il a conservé à beaucoup d'égards les caractères de l'ancien culte naturaliste des tribus iraniennes, et par comparaison il nous fait mieux comprendre la portée, si discutée, de la réforme avestique. D'autre part, il a, sinon inspiré, du moins contribué à préciser certaines doctrines de l'Eglise, comme les idées relatives aux puissances infernales et à la fin du monde. Ainsi ses origines et son déclin concourent à nous expliquer la formation de deux grandes religions. Au temps de sa pleine vigueur, il exerça une influence non moins remarquable sur la société et le gouvernement de Rome. Jamais peut-être, pas même à l'époque des invasions musulmanes, l'Europe ne fut plus près de devenir asiatique qu'au III e siècle de notre ère, et il y eut un moment où le césarisme parut sur le point de se transformer en un khalifat. On a souvent insisté sur les ressemblances que la cour de Dioclétien offre avec celle des Chosroès. Ce fut le culte solaire, ce furent en particulier les théories mazdéennes, qui répandirent les idées sur lesquelles les souverains divinisés tentèrent de fonder l'absolutisme monarchique. La rapide diffusion des mystères persiques dans toutes les classes de la population servit admirablement les ambitions politiques des empereurs. Il se produisit un débordement soudain de conceptions iraniennes et sémitiques, qui faillit submerger tout ce qu'avait laborieusement édifié le génie grec ou romain, et, quand le flot se retira, il laissa dans la conscience populaire un sédiment épais de croyances orientales, qui ne s'éliminèrent jamais complètement. Je crois en avoir dit assez pour indiquer en quoi le sujet que j'ai essayé de traiter, méritait qu'on lui consacrât des recherches approfondies. Bien que cette étude m'ait de toutes façons entraîné beaucoup plus loin que je ne le prévoyais au début, je ne regrette pas les années de labeur et de voyages qu'elle m'a coûté. La besogne que j'avais entreprise ne laissait pas d'être malaisée. D'un côté, nous ignorons jusqu'à quel point l'Avesta et les autres livres sacrés des Parsis représentent les idées des mazdéens d'Occident; de l'autre, nous n'avons guère que ce commentaire pour interpréter la masse considérable de monuments figurés qui ont été peu à peu recueillis. Les inscriptions seules sont un guide toujours sûr mais leur contenu est, somme toute, assez pauvre. Notre situation est à peu près celle où nous serions s'il nous fallait écrire l'histoire de l'Église au moyen âge en ne disposant pour toute ressource que de la Bible hébraïque et des débris sculptés de portails romans et gothiques. Dès lors, l'exégèse des représentations mithriaques ne peut souvent atteindre qu'un degré plus ou moins grand de vraisemblance. Je ne prétends pas être toujours arrivé à un déchiffrement rigoureusement exact de ces hiéroglyphes, et ne veux attribuer à mes opinions que la valeur des arguments qui les soutiennent. J'espère cependant avoir fixé avec certitude la signification générale des images sacrées qui ornaient les cryptes mithriaques. Quant aux détails de leur symbolisme recherché, on peut difficilement les élucider, et il faut souvent savoir pratiquer Yars nesciendi. Ce petit volume reproduit les « Conclusions » qui terminent le tome premier de mes Textes et monuments figurés relatifs aux mystères de Mithra. Allégées des notes et des renvois qui leur servent de justification, ces pages se bornent à résumer et à coordonner ce que nous savons sur les origines et les caractères de la religion mithriaque. Elles suffiront au lecteur désireux de s'orienter sur la question. Les incertitudes et les lacunes de la tradition ne permettaient pas de donner à toutes les parties de cette reconstitution une égale solidité. Ceux qui voudront éprouver la stabilité des bases sur lesquelles elle repose, devront recourir aux discussions critiques de mon « Introduction », qui ont pour but de déterminer le sens et la valeur des documents écrits et surtout des monuments figurés réunis dans mon recueil. Pendant la longue préparation de cet ouvrage, j'ai dû souvent mettre à contribution cette solidarité qui unit à travers le monde tous les hommes de science, et j'y ai rarement fait appel en vain. La prévenance d'amis dévoués, dont plusieurs ne sont déjà plus, a souvent devancé l'expression de mon désir, et m'a offert spontanément ce que je n'eusse peut-être pas osé solliciter. J'ai essayé dans le corps du livre complet de rendre à chacun ce qui lui revient. Je ne veux point ici faire le dénombrement de mes collaborateurs et en leur distribuant des remercîments banals, sembler les payer de leur obligeance. Mais c'est avec un sentiment de profonde gratitude que je remémore les services qui m'ont été prodigués depuis plus de dix ans, et qu'arrivé au terme de ma tâche, je songe à tous ceux qui m'ont aidé à l'accomplir. 1er Décembre 1899. <strong>...</strong></p>Saintyves Pierre - Essais de folklore bibliqueurn:md5:2b38cf80d8d738b268f168e5ae47cfe02012-12-25T01:45:00+00:002017-03-07T13:15:14+00:00balderSaintyves PierreChristianismeHébraïsmeMithraMythologie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Saintyves_Pierre_-_Essais_de_folklore_biblique.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Saintyves Pierre</strong><br />
Ouvrage : <strong>Essais de folklore biblique Magie, Mythes et Miracles Dans l'ancien et le nouveau testament</strong><br />
Année : 1922<br />
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Les neuf morceaux de ce recueil ont été rédigés à des époques bien différentes. Le plus ancien L'eau qui jaillit du rocher est sorti d'un essai d'interprétation d'une scène des bas-reliefs mithriaques publié en 1909 dans la Revue des Traditions Populaires. <strong>...</strong></p>Détré Henri-Charles - Rituel de l'ordre Martinisteurn:md5:9efeff55c2a8abf09d688078d77ed23e2012-10-05T12:43:00+01:002017-03-08T08:40:56+00:00balderDétré Henri-CharlesEgypteHermétismeHébraïsmeIsraëlKabbaleMartinismeMithraRituel <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Detre_Henri-Charles_-_Rituel_de_l_ordre_Martiniste.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Détré Henri-Charles (Téder)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Rituel de l'ordre Martiniste</strong><br />
Année : 1913<br />
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Quand, à la décadence de l'Art Royal, les Rosicruciens d'Angleterre déposèrent dans le symbolisme neuf d'une Corporation ouvrière le secret de leurs opérations. ils crurent que la tradition de leur art passerait aux générations futures dans toute sa pureté. Tout ingénieuse qu'elle était, l'intention de ces Adeptes ne fut pas remplie; nulle part la Science sacrée ne supporta de plus graves mutilations que dans le sein de cette Corporation. qui finit par descendre au rang d'une société ignorante de sa propre nature et de son but primitif. Martinez de Pasqually et son disciple Louis-Claude de Saint-Martin, contemporains des derniers Rosicruciens d'Angleterre, ne virent pas la nécessité de confier à des associations vénales les Traditions hermétiques qu'ils conservaient; mais ils réunirent autour d'eux un petit nombre d'Hommes de Désir, prêts à faire le sacrifice de leur personnalité, sans autre espoir de récompense que de transmettre à quelques disciples, soigneusement choisis, les enseignements lumineux des Hiérophantes de l'Antiquité et de leurs successeurs, les Kabbalistes et les Docteurs Hermétiques du Moyen Age. Le Martinisme vécut obscurément. loin des convulsions des sociétés. au moins dans le Cercle extérieur et absorbé dans la contemplation des grands mystères de la Nature, jusqu'à ce que le mouvement universel vers l'idéalisme eût apporté partout un témoignage éloquent en faveur de l'opinion avancée par les observateurs sincères : à savoir, que le matérialisme est incapable de répondre aux besoins impérieux de l'homme de science; que le cléricalisme est odieux à l'homme qui a de véritables sentiments religieux; qu'un cœur pur se révolte devant la lutte répugnante entre une philosophie Impotente et une théologie corrompue, et demande que toutes deux soient à jamais ensevelies sous le souverain mépris de l'homme. Aujourd'hui des milliers d'hommes et de femmes cherchent un refuge dans la Sagesse des Anciens, dans la Science de ce temps qui ne connut ni persécution religieuse, ni intolérance scientifique, de ce temps où la sagesse d'un initié aux Mystères Égyptiens, la richesse d'un adorateur de Moloch et l'habileté d'un sectaire de Mithra travaillèrent avec la plus sublime harmonie à la construction d'un Temple érigé au Dieu d'Israël, temple dans lequel une Idolâtre, le belle Reine de Saba, et un autre idolâtre, Alexandre le Grand, vinrent adorer le Saint des Saints. En présence de ce retour fatal vers la Sagesse de l'Antiquité qui a produit Rama, Krishna, Hermès, Moïse, Pythagore, Platon et Jésus, le Martinisme, dépositaire des Traditions sacrées, sort de son obscurité volontaire et ouvre ses sanctuaires de science aux Hommes de Désir capables de comprendre ses symboles, encourageant celui qui est ardent, détournant celui qui est faible, jusqu'à ce que la sélection spéciale de ses Supérieurs inconnus soit complète; alors, le Martinisme dissoudra ses Assemblées et retournera à son sommeil séculaire. Le présent Rituel renferme la philosophie de Notre Vénérable Maitre, basée essentiellement sur les théories empruntées aux Egyptiens par Pythagore et son École. Il contient, dans son symbolisme, la clef qui ouvre le "monde des Esprits qui n'est pas fermé"; secret ineffable, incommunicable, uniquement compréhensible au véritable Adepte. Ce travail ne profane pas la sainteté du voile d'Isis par d'imprudentes révélations. Car celui-là seul qui est digne et qui est versé dans l'Histoire de l'Hermétisme, de ses doctrines, de ses rites, de ses cérémonies et de ses hiéroglyphes, pourra pénétrer la secrète, mais réelle signification du petit nombre de symboles offerts ici à la méditation de l'Homme de Désir. <strong>...</strong></p>Eydoux Henri-Paul - En Plein Londres... Un Temple de Mithraurn:md5:b4e9932bd21fed6d8ca4150344d74b8f2011-12-16T11:55:00+00:002017-03-08T20:03:27+00:00balderEydoux Henri-PaulAngleterreEx-Libris LenculusLondresMithra <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Eydoux_Henri-Paul_-_En_Plein_Londres._Un_Temple_de_Mithra.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Eydoux Henri-Paul</strong><br />
Ouvrage : <strong>En Plein Londres... Un Temple de Mithra</strong><br />
Année : 1967<br />
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Les guerres, détruisant cruellement le présent, mettent parfois à nu des pages enfouies de l’histoire. Bien qu’ils souhaitent de toutes autres méthodes d’investigation, les archéologues y trouvent leur compte. En Allemagne, l’anéantissement du centre de Cologne a entraîné de grandes découvertes. En France, la destruction de quartiers et de maisons à Marseille, Strasbourg, Amiens, a laissé le champ libre à d’importantes recherches sur le passé antique de ces villes. En Angleterre, les terribles bombardements de Londres ont permis de mettre au jour des vestiges de Londinium — le Londres romain. Ceux-ci, la plupart dans Les fouilles du temple de Mithra vues de l’Ouest. la Cité, étaient écrasés sous de lourdes constructions qui ne laissaient aucun espoir de les retrouver un jour. En 1954, une grande société — « la Legenland Property Company « — entreprit de construire, sur l’emplacement d’immeubles dévastés, un building de quatorze étages à usage de bureau. Le site, connu sous le nom de Bucklersbury House, est en plein coeur de la Cité, entre deux rues bien connues : la Queen Victoria Street, qui va du pont de Blackfriars à Manson House (la résidence du lord-maire) et au Royal Exchange, et, d’autre part, la Cannon street, qui partant de la cathédrale Saint-Paul, permet d’atteindre directement le Pont de Londres et la Tower, la fameuse « Tour de Londres ». Ces deux rues sont coupées par Walbrook, une artère qui doit son nom à une petite rivière, aujourd’hui enterrée, tout comme la Bièvre ou le ruisseau de la Grange-Batelière à Parts. On savait que ce cours d’eau, naturellement à ciel ouvert à l’époque romaine, y avait joué un rôle important. On avait, au siècle dernier, trouvé sur En Plein Londres... Un temple de MITHRA Par Henri-Paul Eydouxses rives les restes d’un grand bâtiment antique, dont l’exploration n’avait malheureusement pu être poursuivie en raison des travaux de voirie et de construction. De même, quand la Queen Victoria Street avait été, en 1869, percée à travers le vieux Londres, on avait découvert notamment une grande mosaïque romaine. C’était donc sur un site chargé de promesses archéologiques qu’allait se construire l’immeuble de quatorze étages. Il fallait, pour en faire les fondations, creuser profondément. Si des vestiges étaient recelés dans le sol, ils seraient nécessairement atteints par les pelleteuses. Le « Roman and Mediaeval London Excavation Council », toujours à l’affût des bribes du passé londonien, veillait jalousement. II avait placé sur le chantier une équipe de fouilles dirigée par W.F. Grimes, un grand spécialiste de l’Antiquité, aujourd’hui professeur d’archéologie à l’Université, aidé par sa femme, elle aussi archéologue, et avec la collaboration de Norman Cook, l’actuel curateur du Musée du Guildhall. UN IMMENSE PUBLIC S’INTERRESSE AUX TROUVAILLES Des recherches faites dans de telles conditions sont, on peut le penser, des plus difficiles. Même si les entrepreneur s ont respectueux des restes du passé passé, ils ont tenus par des délais impératifs et les puissants moyens mécaniques qu’ils emploient risquent de compromettre irrémédiablement les gisements L’équipe de W.F. Grimes avait obtenu les entrepreneurs un délai pour faire ses fouilles. Ce délai était tout près d’expirer, Lorsque les restes d’un bâtiment important apparurent. Devrait-on abandonner leur dégagement, au demeurant difficile et peu spectaculaire ? Le 18 septembre, la terre livra une sculpture fort belle : une tête d’homme grandeur nature ; elle était coiffée d’un bonnet phrygien. C’était là l’indice certain d’un culte de Mithra, ce dieu venu des montagnes de Phrygie, qui fut vénéré à travers tout l’empire romain. D’ailleurs, on avait mis au jour dans les parages, au siècle dernier, un relief mithraïque offert par un certain Upius Silanus, vétéran de la IIe légion Augusta, qui tenait garnison en Angleterre. <strong>...</strong></p>Gasquet Amédée Louis Ulysse - Essai sur le culte et les mystères de Mithraurn:md5:539a348771e60aa265e87158733f8a6f2011-12-16T11:35:00+00:002018-04-11T20:51:42+01:00balderGasquet Amédée Louis UlysseMithra <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Gasquet_A_-_Essai_sur_le_culte_et_les_mysteres_de_Mithra.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Gasquet Amédée Louis Ulysse</strong><br />
Ouvrage : <strong>Essai sur le culte et les mystères de Mithra</strong><br />
Année : 1899<br />
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Le culte et les mystères de Mithra s'introduisirent à Rome, à l'époque où la République à son déclin, après avoir réalisé l'unité du monde ancien aux dépens des patries particulières, était mûre déjà pour la domination de César. De tous les points du bassin oriental de la Méditerranée, pacifié et asservi, d'Egypte, de Syrie, de Perse et de Chaldée, commençaient à affluer vers la capitale les cultes orientaux et les superstitions étrangères. Cybèle et Isis avaient précédé Mithra. Au temps de Cicéron et de Jules César, la colonie juive avait pris assez d'importance pour préoccuper les hommes d'État et inquiéter le pouvoir. Bientôt, à la suite de ces Palestiniens et d'abord confondus avec eux, les premiers disciples du Christ, précédant l'apôtre Paul, vont aborder aux ports italiens et prendre pied sur ce sol, où, quatre siècles plus tard, l'emblème de la croix couvrira l'empire de son ombre. Il semble que toutes ces religions
d'Orient aient, dès lors, l'obscur pressentiment que l'unité politique prépare la voie à l'unité morale et que dans cette ville, abrégé de tous les peuples rendez-vous de toutes les croyances et de toutes les superstitions, va s'élaborer la crise religieuse qui doit donner au monde un Dieu universel. C'est en vain que les pontifes et les empereurs essaient d'opposer une digue à cette invasion, qu'ils multiplient contre les nouveaux venus les précautions législatives, et qu'ils consignent dans les faubourgs de la banlieue ces dieux étrangers. Le flot déborde tous ces obstacles, et bientôt par la lassitude et avec la complicité des pouvoirs publics, les cultes nouveaux parviennent à s'implanter dans l'enceinte sacrée et sur les sept collines. Les temps étaient propices pour la propagande de ces étrangers. La vieille religion officielle se mourait au milieu de l'indifférence générale. A bout de sève, elle avait perdu toute prise sur les âmes, toute action sur les consciences. Il n'en restait que les rites, la liturgie, les gestes extérieurs. Cette mythologie fripée n'imposait plus même aux enfants et aux vieilles femmes. Condamnée déjà par Platon et par les philosophes, au nom de la morale, elle était un objet de dérision pour ceux-là mêmes qui acceptaient et recherchaient les sacerdoces publics. Tandis que le paysan italien restait encore fidèle à ses divinités locales, rustiques et familières, dont il ne se défit jamais complètement, la société des honnêtes gens et des lettrés ne comptait guère que des athées comme César et Lucrèce ou des platoniciens comme Cicéron et Virgile. Les aventures des dieux ne servaient plus que de matière aux vers ingénieux des poètes, de thèmes plastiques aux sculpteurs et aux peintres, de sujets pour les tableaux vivants, obscènes ou sanglants, de la scène et de l'amphithéâtre. Scenam de coelo fecistis, écrivait avec raison un des plus fougueux adversaires du paganisme. Ces dieux pourtant, malgré le discrédit qui les atteint, continuent à être invoqués jusqu'à la fin du paganisme ; on leur rend les mêmes honneurs ; on leur fait les mêmes sacrifices. Mais les mêmes noms recouvrent des conceptions bien différentes ; le sens qui s'attache à ces dénominations vieillies s'est modifié en même temps que le sentiment du divin. Pour certains théologiens, les anciens dieux sont réduits à la condition de démons subalternes qu'on relègue dans les astres ou qui circulent, messagers invisibles, entre ciel et terre ; pour d'autres, ils prêtent leur personnalité méconnaissable aux abstractions de la théosophie alexandrine. <strong>...</strong></p>