Histoire Ebook - Mot-clé - Proche-OrientRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearThierry Amédée - Saint Jérome La Société chrétienne à Rome et l'émigration romaine en Terre Sainte Tome 2urn:md5:c7b82adc8a761d5e6eb49b12f22397912022-10-16T21:27:00+01:002022-10-16T20:35:06+01:00balderThierry AmédéeChristianismeProche-OrientRome <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Thierry_Amedee_-_Saint_Jerome_La_Societe_chretienne_a_Rome_et_l_emigration_romaine_en_Terre_Sainte_Tome_2.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Thierry Amédée Simon Dominique</strong><br />
Ouvrage : <strong>Saint Jérome La Société chrétienne à Rome et l'émigration romaine en Terre Sainte Tome 2</strong><br />
Année : 1867<br />
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Livres IX. Douleurs au couvent de Bethléem. Fermeté de Panla. Rufin et Mélanie se liguent avec l’évéque de Jérusalem contre Jérôme. <strong>...</strong></p>Thierry Amédée - Saint Jérome La Société chrétienne à Rome et l'émigration romaine en Terre Sainte Tome 1urn:md5:d6d5d8f12e3dd651a49346310795471d2022-10-16T18:20:00+01:002022-10-16T20:26:19+01:00balderThierry AmédéeChristianismeProche-OrientRome <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Thierry_Amedee_-_Saint_Jerome_La_Societe_chretienne_a_Rome_et_l_emigration_romaine_en_Terre_Sainte_Tome_1.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Thierry Amédée Simon Dominique</strong><br />
Ouvrage : <strong>Saint Jérome La Société chrétienne à Rome et l'émigration romaine en Terre Sainte Tome 1</strong><br />
Année : 1867<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook3/Thierry_Amedee_-_Saint_Jerome_La_Societe_chretienne_a_Rome_et_l_emigration_romaine_en_Terre_Sainte_Tome_1.zip">Thierry_Amedee_-_Saint_Jerome_La_Societe_chretienne_a_Rome_et_l_emigration_romaine_en_Terre_Sainte_Tome_1.zip</a><br />
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Préface. Aucun nom dans l’antiquité chrétienne n’est plus illustre que celui de saint Jérôme, et aucun Père de l’Église n’a compté plus d’historiens, de commentateurs, de critiques depuis le moyen Age jusqu’à nos jours. <strong>...</strong></p>Baruteil Pierre - La race de vipères et le rameau d'olivierurn:md5:6aa6fedf39804ae2d19755b6899abf892016-06-26T09:00:00+01:002021-12-12T23:42:22+00:00balderBaruteil PierreAllemagneBabyloneChristChristianismeConspirationCrime rituelEspagneEx-LibrisEx-Libris LenculusFranceHébraïsmeIsraëlKahalMarraneMédecinePologneProche-OrientPropagandeProvenceRacesReligionRothschildRussieSatanismeTalmud <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Puig_A_-_La_race_de_viperes_et_le_rameau_d_olivier.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Baruteil Pierre (Puig A.)</strong><br />
Ouvrage : <strong>La race de vipères et le rameau d'olivier Solution de la question juive</strong><br />
Année : 1897<br />
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Préface. Le 22 octobre 1895, à l'instigation de ses amis les Antisémites d'Algérie, M. Edouard Drumont ouvrit dans la Libre Parole un concours dont voici le sujet : « Des moyens pratiques d'arriver à l'anéantissement de la puissance juive en France, le danger juif étant considéré au point de vue de la race et non au point de vue religieux. » Le concours fut clos le 1er juin 1896. Le jury pour juger les Mémoires se composa de : MM. Maurice Barrès, ancien député. Colonel comte Gaston de Brémond d'Ars. Paul de Chamberet. Théodore Denis, député. Julien Dumas, députe. Docteur Dupouy. Urbain Gohier, rédacteur au Soleil. Vicomte d'Hugues, député. Bernard Lazare, publiciste. (Il dut se retirer à partir du 18 juin.) Millevoye, rédacteur en chef de la Patrie. De Montfort, député, auteur d'une proposition de loi relative aux conditions de naturalisation des étrangers. Nemours Godré, rédacteur à la Vérité. De Pontbriand, député, auteur d'une proposition de loi relative aux conditions de naturalisation des étrangers. Rouyer, ingénieur des Arts et Manufactures. Edmond Turquet, ancien député, ancien sous‑secrétaire d'État aux Beaux-Arts. Charles Vincent, rédacteur à la Gazette de France. Colonel Wilbois. Ces messieurs devaient avoir à juger environ 150 manuscrits. Les résultats du concours furent proclamés le 7 novembre 1896. Le 6 du même mois l'auteur du présent Mémoire, recevait de M. le Président du jury, la lettre suivante : « Paris, 6 novembre 96, Monsieur Puig. Vous avez appris par le journal de ce matin, que la Commission vous a, dans sa séance d'hier soir, décerné une première médaille de vermeil. Votre Mémoire m'a vivement intéressé par votre magistrale et savante étude du Talmud. Je serais fort heureux, Monsieur, de faire votre connaissance. Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de mes meilleurs sentiments. E. Rouyer, Président de la Commission du Concours de la Libre Parole ». Avant de répondre à la question du concours, l'auteur a voulu s'assurer de l'identité du prévenu, ainsi que de la réalité et de la gravité de ses crimes. À cette fin, remontant jusqu'aux origines des Juifs, il les suit dans leur évolution, dans leurs vicissitudes et leurs différents états sociaux, et dans leurs pérégrinations sur tous les points de l'univers où la main de Dieu les a rejetés jusqu'à nos jours. Il les étudie : dans leur corps, aux points de vue ethnologique, physiologique, etc ; dans leur âme : par leurs aptitudes intellectuelles et morales ; d'après le Talmud toujours en vigueur, il fait l'analyse et la synthèse psychologique de leur esprit, il en donne la définition, en développe les conséquences contre les non-Juifs ; il en montre le but, (lequel n'est autre que la domination universelle assise sur la négation de tous nos droits) non moins que les moyens de l'atteindre, et l'état actuel de la puissance juive dans le monde entier ; enfin après avoir réfuté les erreurs juives, tant spéculatives que pratiques, il indique les moyens d'en conjurer les effets désastreux, ou d'arriver à l'anéantissement de la puissance juive en France, le danger juif étant considéré au point de vue de la race et non au point de vue religieux. <strong>...</strong></p>Lenormant François - La magie chez les Chaldéens et les origines accadiennesurn:md5:f30e97d4038b890adeca280b3956a7022013-02-09T03:04:00+00:002013-02-09T03:08:04+00:00balderLenormant FrançoisMagieProche-Orient <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Lenormant_Francois_-_La_magie_chez_les_Chaldeens_et_les_origines_accadiennes_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Lenormant François</strong><br />
Ouvrage : <strong>La magie chez les Chaldéens et les origines accadiennes</strong><br />
Année : 1874<br />
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L'histoire de certaines superstitions constitue l'un des chapitres les plus étranges, mais non l'un des moins importants de l'histoire de l'esprit humain et de ses développements. Quelque folles qu'aient été les rêveries de la magie et de l'astrologie, quelque loin que nous soyons maintenant, grâce au progrès des sciences, des idées qui les ont inspirées, elles ont exercé sur les hommes, pendant de longs siècles, et jusqu'à une époque encore bien rapprochée de nous, une influence trop profonde et trop décisive pour être négligée de celui qui cherche à scruter les phases des annales intellectuelles de l'humanité. Les siècles les plus éclairés même de l'antiquité ont ajouté foi à ces prestiges ; l'empire des sciences occultes, héritage de la superstition païenne survivant au triomphe du christianisme, se montre tout-puissant au moyen âge, et ce n'est que la science moderne qui est parvenue à en dissiper les erreurs. Une aberration qui a si longtemps dominé tous les esprits, jusqu'aux plus nobles et aux plus perspicaces, dont la philosophie elle-même ne s'est pas défendue, et à laquelle, à certaines époques, comme chez les Néoplatoniciens de l'école d'Alexandrie, elle a donné une place de premier ordre dans ses spéculations, ne saurait être exclue avec mépris du tableau de la marche générale des idées. Il importe de l'étudier avec attention, d'en pénétrer les causes, d'en suivre les formes successives, et de déterminer à la fois l'influence que les croyances religieuses des différents peuples et des différents âges ont eue sur elle, et l'influence qu'à son tour elle a exercée sur ces mêmes croyances. D'autres chercheront à établir — et c'est, sans contredit, une des faces les plus curieuses de l'histoire des sciences occultes — la part de faits réels mal expliqués et de connaissances physiques maintenues à l'état d'arcanes qu'elles ont pu embrasser. Pour nous, notre ambition est seulement de scruter les origines de la magie dans un de ses plus antiques foyers, et de tracer le tableau de ce qu'elle était en Chaldée. Le témoignage unanime de l'antiquité grecque et latine aussi bien que la tradition juive et arabe désignent l'Egypte et la Chaldée comme les deux berceaux de la magie et de l'astrologie constituées à l'état de sciences, avec des règles fixes, raisonnées et formulées en systèmes, telles qu'elles se substituèrent, à partir d'une certaine époque, aux pratiques moins raffinées, et d'apparence moins savante, des goètes et des devins primitifs. Mais ce que les écrivains classiques ou les Livres Saints rapportent des sciences occultes dans ces deux contrées si antiquement civilisées est bien vague et bien douteux; on ne sait clans quelle mesure il faut l'admettre, et surtout on n'y voit pas apparaître nettement les traits propres qui distinguaient la magie et l'astrologie des Egyptiens de celles des Ghaldéens et des Babyloniens. Quant aux dires des écrivains orientaux du moyen âge, ils sont tellement remplis de fantastique, l'esprit critique et les caractères d'authenticité y font tellement défaut, que la science ne peut y attacher aucune valeur sérieuse. <strong>...</strong></p>Guys Henry - Un dervich algérien en Syrieurn:md5:b72fe6adf0fd65ab9f414ff8717342e22012-12-12T22:23:00+00:002017-03-07T13:56:50+00:00balderGuys HenryAlgérieChristianismeHébraïsmeIslamProche-OrientSyrie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Guys_Henry_-_Un_dervich_algerien_en_Syrie.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Guys Henry</strong><br />
Ouvrage : <strong>Un dervich algérien en Syrie Peinture des moeurs musulmanes, chrétiennes et israélites; Confirmée par un séjour de 36 années dans cette partie de l'Asie</strong><br />
Année : 1854<br />
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Un musulman, honoré du titre de Fakih, fut enlevé de l'Algérie, son pays natal, à la suite de notre conquête, et enfermé dans le fort de l'ile Sainte-Marguerite, sur les cotes de la Provence. <strong>...</strong></p>Ollivier Georges - L'accession des juifs au pouvoirurn:md5:c8a9f1f1360b47e4ff0de2024a3ec7772012-09-29T01:47:00+01:002017-03-08T08:47:42+00:00balderOllivier GeorgesAmériquesEuropeEx-Libris LenculusFranceHébraïsmeProche-OrientR.I.S.S. <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Ollivier_Georges_-_L_accession_des_juifs_au_pouvoir.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Ollivier Georges</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'accession des juifs au pouvoir</strong><br />
Année : 1936<br />
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Mesdames, Messieurs, Au temps heureux de la prospérité où l'on pouvait jouer à la Bourse avec des chances de gagner, il m'arrivait de demander à des amis bien placés - ces bons amis. comme nous en avons eu tous, qui nous ont donné tant de tuyaux crevés - : pourquoi telle valeur a-t-elle baissé, pourquoi telle autre a-t-elle monté ? - C'est, me répondait-on, que le groupe X... ou Y... a agi. Je cherchai dès lors à me renseigner sur la composition de ces fameux groupes, sur leurs relations et j'arrivai assez vite à comprendre qu'ils s'emboîtaient les uns dans les autres comme des poupées russes, qu'en remontant la filière, on devait arriver à un très petit nombre de groupes principaux et à un nombre bien peu élevé de chefs de file. Mais, impossible d'en savoir plus long : la plupart des gens de bourse me donnaient l'impression de ne rien savoir. Ceux qui savaient se taisaient. J'avais renoncé à mes recherches quand M. Léon de Poncins m'offrit son petit livre : Les Juifs, maîtres du monde. <strong>...</strong></p>Fabre d'Olivet Antoine - La cosmogonie de Moyseurn:md5:8acc806623fd66acce6cb4d2e26ad8042012-09-25T14:01:00+01:002017-03-08T08:50:18+00:00balderFabre d'Olivet AntoineHébraïsmeProche-Orient <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Fabre_d_Olivet_Antoine_-_La_cosmogonie_de_Moyse.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Fabre d'Olivet Antoine</strong><br />
Ouvrage : <strong>La cosmogonie de Moyse Traduction des 10 premiers chapitres de la Genèse, et de ses 243 versets.</strong><br />
Année : 1815<br />
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La principiation. 1. Dans le Principe, Ælohîm, LUI-les-Dieux, l'Être des êtres, avait créé en principe ce qui constitue l'existence des Cieux et de la Terre. 2. Mais la Terre n'était qu'une puissance contingente d'être dans une puissance d'être ; l'Obscurité, force astringente et compressive, enveloppait l'Abîme, source infinie de l'existence potentielle ; et l'Esprit divin, souffle expansif et vivifiant, exerçait encore son action génératrice au-dessus des Eaux, image de l'universelle passivité des choses. 3. Or, il avait dit, LUI-les-Dieux ; la Lumière sera, et la Lumière avait été. 4. Et, considérant cette essence lumineuse comme bonne, il avait déterminé un moyen de séparation entre la Lumière et l'Obscurité. 5. Désignant, LUI-les-Dieux, cette Lumière, élémentisation intelligible, sous le nom de Jour, manifestation phénoménique universelle, et cette Obscurité, existence sensible et matérielle, sous le nom de Nuit, manifestation négative et nutation des choses : et tel avait été l'occident, et tel avait été l'orient, le but et le moyen, le terme et le départ, de la première manifestation phénoménique. 6. Déclarant ensuite sa volonté, il avait dit, LUI-les-Dieux : il y aura une expansion éthérée au centre des eaux ; il y aura une force raréfiante opérant le partage de leurs facultés opposées. 7. Et LUI, l'Être des êtres, avait fait cette Expansion éthérée ; il avait excité ce mouvement de séparation entre les facultés inférieures des eaux, et leurs facultés supérieures ; et cela s'était fait ainsi. 8. Désignant, LUI-les-Dieux, cette expansion éthérée du nom de Cieux, les eaux exaltées : et tel avait été l'occident, et tel avait été l'orient, le but et le moyen, le terme et le départ, de la seconde manifestation phénoménique. 9. Il avait dit encore, LUI-les-Dieux : les ondes inférieures et gravitantes des cieux tendront irrésistiblement ensemble vers un lieu déterminé, unique ; et l'Aridité paraîtra : et cela s'était fait ainsi. 10. Et il avait désigné l'aridité sous le nom de Terre, élément terminant et final, et le lieu vers lequel devaient tendre les eaux, il l'avait appelé Mers, immensité aqueuse : et considérant ces choses, LUI l'Être des êtres, il avait vu qu'elles seraient bonnes. 11. Continuant à déclarer sa volonté, il avait dit, LUI-les-Dieux : la Terre fera végéter une herbe végétante, et germant d'un germe inné, une substance fructueuse portant son fruit propre, selon son espèce, et possédant en soi sa puissance sémentielle : et cela s'était fait ainsi. 12. La Terre avait fait pousser de son sein une herbe végétante et germant d'un germe inné, selon son espèce, une substance fructueuse possédant en soi sa puissance sérnentielle selon la sienne : et LUI, l'Être des êtres, considérant ces choses, avait vu qu'elles seraient bonnes. 13. Et tel avait été l'occident, et tel avait été l'orient, le but et le moyen, le terme et le départ, de la troisième manifestation phénoménique. 14. Déclarant encore sa volonté, il avait dit, LUI-les-Dieux : il y aura dans l'Expansion éthérée des cieux, des Centres de lumière, destinés à opérer le mouvement de séparation entre le jour et la nuit, et à servir de signes à venir, et pour les divisions temporelles, et pour les manifestations phénoméniques universelles, et pour les mutations ontologiques des êtres. 15. Et ils seront, ces Centres de lumière, comme des foyers sensibles chargés de faire éclater la Lumière intelligible sur la terre : et cela s'était fait ainsi. 16. Il avait déterminé, LUI, l'Être des êtres, l'existence potentielle de cette Dyade de grands foyers lumineux ; destinant le plus grand à la représentation du jour, et le plus petit à celle de la nuit ; et il avait déterminé aussi l'existence des facultés virtuelles de l'Univers, les étoiles. 17. Les préposant dans l'expansion éthérée des cieux, ces foyers sensibles, pour faire éclater la Lumière intelligible sur la terre. 18. Pour représenter dans le jour et dans la nuit, et pour opérer le mouvement de séparation entre la lumière et l'obscurité : et considérant ces choses, LUI, l'Être des êtres, il avait vu qu'elles seraient bonnes. 19. Et tel avait été l'occident, et tel avait été l'orient, le but et le moyen, le terme et le départ, de la quatrième manifestation phénoménique. 20. Ensuite, il avait dit, LUI-les-Dieux : les Eaux émettront à foison les principes vermiformes et volatiles d'une âme de Vie, mouvante sur la terre, et voltigeante dans l'expansion éthérée des cieux. 21. Et LUI, l'Être des êtres, avait créé l'existence potentielle de ces immensités corporelles, légions de monstres marins, et celle de toute âme de Vie, animée d'un mouvement reptiforme, dont les eaux émettaient à foison les principes, selon leur espèce, et celle de tout oiseau à l'aile forte et rapide, selon son espèce : et considérant ces choses, LUI-les-Dieux, il avait vu qu'elles seraient bonnes. 22. Il avait béni ces êtres, et leur avait déclaré sa volonté, disant : propagez-vous et multipliez-vous, et remplissez les eaux des mers ; afin que l'espèce volatile se multiplie sur la terre. 23. Et tel avait été l'occident, et tel avait été l'orient, le but et le moyen, le terme et le départ, de la cinquième manifestation phénoménique. 24. Et LUI-les-Dieux avait dit encore, la Terre émettra de son sein un souffle de vie selon son espèce, animé d'un mouvement progressif, quadrupède et reptile, Animalité terrestre, selon son espèce, et cela s'était fait ainsi. 25. Il avait donc déterminé, LUI, l'Être des êtres, l'existence potentielle de cette Animalité terrestre, selon son espèce, et celle du Genre quadrupède, selon son espèce ; et considérant ces choses, il avait jugé quelles seraient bonnes. 26. Continuant ensuite à déclarer sa volonté, il avait dit, LUI-les-Dieux : nous ferons Adam, l'Homme universel, en notre ombre réfléchie, suivant les lois de notre action assimilante ; afin que, puissance collective, il tienne universellement l'empire, et domine à la fois, et dans le poisson des mers, et dans l'oiseau des cieux, et dans le quadrupède, et dans toute l'animalité, et dans toute vie reptiforme se mouvant sur la terre. 27. Et LUI, l'Être des êtres, avait créé l'existence potentielle d'Adam, l'Homme universel, en son ombre réfléchie ; en son ombre divine il l'avait créé ; et puissance collective, l'avait identifié ensemble mâle et femelle. 28. Il avait béni son existence collective, et lui avait déclaré collectivement sa volonté, disant : propagez-vous et multipliez-vous ; remplissez la Terre et subjuguez-la ; tenez universellement l'empire et dominez dans le poisson des mers, et dans l'oiseau des cieux, et dans toute chose jouissant du mouvement vital sur la Terre. 29. Et il lui avait également déclaré, LUI-les-Dieux, voici : je vous ai donné, sans exception, toute herbe germant d'un germe inné, sur la face de la Terre entière, ainsi que toute substance portant son fruit propre, et possédant en soi sa puissance sémentielle, pour vous servir d'aliment. 30. Et à toute animalité terrestre, à toute espèce de volatile, d'être reptiforme se mouvant sur la terre, et possédant en soi le principe inné d'un souffle animé de vie, j'ai donné en totalité l'herbe verdoyante pour aliment. Et cela s'était fait ainsi. 31. Alors considérant toutes ces choses qu'il avait faites en puissance, comme présentes devant lui, il avait vu, LUI-les-Dieux, qu'elles seraient bonnes selon leur mesure. Et tel avait été l'occident, et tel avait été l'orient, le but et le moyen, le terme et le départ, de la sixième manifestation phénoménique. <strong>...</strong></p>Sans Concession 27 - 28 - 29urn:md5:d005ee68a8c78828ba1e060dce99f9372012-09-20T21:44:00+01:002017-03-08T09:37:00+00:00balderSans ConcessionAllemagneProche-OrientRevueRévisionnismeSeconde guerre mondialeTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Sans_Concession_27_-_28_-_29.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Sans Concession</strong><br />
Ouvrage : <strong>Numéros 27 - 28 - 29</strong><br />
Année : 2007<br />
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Nucléaire au Proche-Orient le cynisme juif. Lourdement condamné... Bruno Gollnisch n'a pas compris que l'Holocauste" est une (contre) religion. Sur le front... Honneur à Ernst Zündel. 1940-1944 quand l'amitié franco-allemande était devenue réalité. Oradour : nouveau recul des gardiens du mythe. <strong>...</strong></p>