Auteur : Rohling Auguste
Ouvrage : Le Juif-Talmudiste Résumé succinct des croyances et des pratiques dangereuses de la juiverie présenté à la considération de tous les chrétiens
Année : 1888
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Le nom de Talmud. - La synagogue de nos jours est le produit naturel de l’École pharisaïque, l’héritière légitime de toutes les doctrines que les phariséens ont répandues parmi les juifs du temps de Jésus-Christ et plus tard. Pour prévenir l’oubli de ces doctrines, un rabbin, nommé Judas, en composa vers l’an 150 après Jésus-Christ un livre qui fut appelé Mišna. Or, Mišna signifie : la loi répétée, la seconde loi, parce que la première loi, celle des cinq livres de Moïse, y est en quelque sorte répétée ; la Mišna ayant pour but d’expliquer les difficultés de la première loi dans son sens le plus vrai, et d’en remplir les prétendues lacunes. Dans les siècles suivants, le livre de la Mišna fut enrichi de différents commentaires par les écoles juives de la Palestine et de Babylone. Ces commentaires de la Mišna s’appellent la Gemara, et la Gemara, réunie à la Mišna, porte le nom de Talmud, c’est-à-dire, livre des dogmes et de la morale des juifs. Les commentaires édités en Palestine vers l’an 230 après Jésus-Christ, en un volume in-folio, forment le Talmud de Jérusalem ; la Gemara de Babylone, avec ou sans la Mišna, fut appelée le Talmud de Babylone. Elle fut achevée vers l’an 500 après Jésus-Christ et contient 14 volumes in-folio. Les juifs s’occupent surtout du Talmud de Babylone ; c’est de lui qu’il s’agit, quand on ne fait pas expressément mention de celui de Jérusalem. En prenant en main un Talmud imprimé dans le cours du dernier siècle, on est tout étonné d’y trouver une foule de feuilles laissées en blanc ou marquées d’un cercle. Dans les anciennes éditions, ces endroits étaient remplis d’invectives contre le Christ, contre la Sainte-Vierge Marie, et contre les Apôtres, ainsi que de la déclaration, que par les non-juifs il fallait surtout entendre les chrétiens. Lorsque ces derniers en eurent connaissance, et qu’ils eurent manifesté leur indignation, le synode juif polonais ordonna en 1691 de remplacer à l’avenir ces passages par des pages vides ou par un cercle, et d’enseigner oralement dans les écoles ce qui avait rapport aux chrétiens, comme par exemple, que les chrétiens étaient très corrompus, et qu’on ne devait pratiquer à leur égard ni justice ni charité. L’avocat Hartw. Rodowsky fait la remarque, que c’est une expérience parvenue jusqu’à nos jours, qu’a la vérité il y a des juifs qui n’ont jamais lu le Talmud, mais que cependant les principes pernicieux du Talmud sont répandus par ceux qui les connaissent, parmi leurs coreligionnaires, et que ceux-ci les acceptent comme prescriptions divines et les suivent consciencieusement. Nous observons finalement que les éditions de Vienne (édit. complète), d’Amsterdam 1644 (déjà passablement tronquée), celles de Sulzbach (1769), de Varsovie (1863), de Prague (1839), toutes mutilées, ont servi pour le livre présent. Le mode de citation est le même pour toutes ces éditions. Une citation avec Ven. signifie qu’elle manque ordinairement dans les éditions nouvelles. ...
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