Auteur : Haas-Colle Maurice (Boisdefeu Jean-Marie)
Ouvrage : Dubitando 10 « Dubitando ad veritatem pervenimus. » Petite revue d’histoire révisionniste
Année : 2006
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André Schwarz-Bart, escroc littéraire. (avec deux additifs à propos des Bienveillantes, roman de Jonathan Littell) Robert Faurisson. Dans Le Monde du 3 octobre 2006, Patrick Kéchichian signe un article sur la disparition de l’écrivain André Schwarz-Bart. Né le 23 mai 1928 à Metz, ce dernier est mort à Pointe-à-Pitre (Guadeloupe) le 30 septembre 2006. Il était surtout connu pour avoir obtenu en 1959 le prix Goncourt pour Le Dernier des Justes (Paris, Editions du Seuil, 351 p.). Sa famille venait de Pologne. Son père, nous dit-on, avait commencé des études pour devenir rabbin, puis avait exercé le métier de marchand forain. Le succès du Dernier des Justes a été retentissant et a rapporté des sommes considérables à son auteur. Des centaines, peut-être même des milliers d’articles ou d’études ont été consacrés, en France et à l’étranger, à ce que l’on considère volontiers aujourd’hui comme le premier grand livre sur la Shoah. Or l’auteur était un plagiaire, un escroc littéraire. C’est ce qui ressort d’une étude publiée par Francine Kaufmann, professeur à l’Université Bar-Ilan d’Israël, dans la Revue d’histoire de la Shoah, septembre-décembre 2002, p. 68-99. On trouvera dans ce texte une liste d’auteurs juifs systématiquement pillés par notre faussaire : Martin Buber, Manès Sperber, Isaac Babel, Michel Borwicz et d’autres encore. Mais A. Schwarz-Bart avait aussi puisé son bien dans une lettre de Madame de Sévigné racontant comment, en 1676, avait été décapitée et brûlée, pour empoisonnement, la marquise de Brinvilliers. Il avait également reproduit mot pour mot quelques lignes d’un roman du Chinois Lou Sin (ou Lu Xun), La véritable histoire de Ah Q. Péchés véniels, bien entendu, puisque ces vols avaient été commis dans une pieuse intention, celle de nous faire pleurer sur les juifs et leur martyre. « Une méchante accusation de plagiat », écrit aujourd’hui P. Kéchichian à propos des multiples accusations portées en ce sens dès la parution du best-seller. La littérature concentrationnaire regorge de tels vols, plagiats, escroqueries. En un premier temps, comme tous ces récits sont largement fictifs, leurs auteurs procèdent çà et là à de menus larcins dans la littérature non juive, puis, en un second temps, ils se font à leur tour voler par leurs confrères juifs. Il s’ensuit une interminable chaîne de récits, de témoignages, de romans, de films ou même d’ouvrages réputés historiques mais qui ne font que se copier les uns les autres. C’est ce qui peut s’appeler « la circulation circulaire » (Bourdieu) du commerce littéraire, artistique, cinématographique ou universitaire dans le domaine du ragot, du mensonge et du commerce holocaustiques. Les dupes s’imaginent avoir affaire à des témoignages qui se recoupent : la réalité est qu’ils se trouvent devant des inventions de menteurs et de voleurs. Pour ne prendre qu’un exemple, on pourrait écrire une thèse de linguistique sur le seul personnage du « Docteur Mengele dans la littérature juive concentrationnaire ». On y mesurerait à quel point les auteurs juifs ne font que se répéter, parfois à la virgule près. Tous évoquent la figure de ce prétendu bourreau d’Auschwitz à la manière du romancier ou de l’escroc Schwarz-Bart, prix Goncourt 1959. Chez lui comme chez ses compères, ce ne sont que clichés, invraisemblances, histoires à dormir debout et Grand Guignol dans le sperme, le sang et la matière fécale, le tout repris de l’Ancien Testament et du Talmud. A ce titre, Le Dernier des Justes est bien, un an après La Nuit, court récit autobiographique et mensonger d’Elie Wiesel, « le premier grand livre sur la Shoah ». 3 octobre 2006 ...
Gaidoz Henri - Etudes de mythologie gauloise
Auteur : Gaidoz Henri Ouvrage : Etudes de mythologie gauloise Année : 1886 Lien de téléchargement :...