Histoire Ebook

Auteur : De Villejoie Antoine
Ouvrage : La vérité tirée du chapeau
Année : 2001

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Cet ouvrage qui se veut le "livre vérité" est l’histoire vraie d’une "imposture” et d’une "spoliation" magnifiquement orchestrée par des gens sans scrupules. Une "famille Poirot-Mulmann" qui se fait appeler "de Fontenay" et qui se croit au dessus des lois parce que de "notoriété publique" et qui se sert abusivement des médias pour asseoir une réputation basée sur le mensonge, la fabrication de faux documents et de leur usage permanent n’hésitant pas à commettre des actes de concurrence déloyale d’une audace incroyable. Comme le démontre Antoine de VILLEJOIE, tout débute par le dépôt d’une fausse Assemblée Générale du Conseil d’Administration du "Comité Miss France” qui destituait le Président Fondateur du “Comité Miss France”, Guy Rinaldo, au profit d’un personnage imaginaire, un certain Meurice Gilkin de Waleffe soit-disant descendant de Maurice de Waleffe décédé en 1946 ! Ce dernier n’ayant eu aucun descendant et de plus le nom "de Waleffe" était un pseudonyme utilisé à des fins professionnelles par celui qui a créé les concours de "Miss". D’autant plus que selon la loi française un pseudonyme ne peut être transmis ou utilisé par un membre de la famille de celui qui l’utilisait. Curieuse Assemblée Générale à laquelle les membres n’ont jamais été convoqués ni réunis et n’ont bien sûr pris aucune décision d’exclusion du Président-Fondateur et pour cause dans les statuts du “Comité Miss France” déposés en 1954, une décision ne peut être prise qu’ à la majorité des membres du bureau. Ce sont donc trois membres sur quatre qui auraient dû voter cette décision. En sachant que deux des membres étaient d’une part la propre sœur du Président Rinaldo et le second son meilleur ami …le quatrième membre étantt …Geneviève Mulmann …cqfd ! ! ! Depuis lors tous nouveaux documents ou décisions pris par Geneviève Mulmann et consors au nom du "Comité Miss France" créé en 1954 doivent être considérés comme "nuls et non avenus" Geneviève MULMANN et Xavier POIROT plus connus sous le nom des " DE FONTENAY " continuent à “sévir” dans le monde des "MISS" en tentant de s’approprier en toute "illégalité "le titre de "MISS FRANCE" et en faisant croire que le monopole de l’élection de "MISS FRANCE" leur est maintenant attribué et ce malgré l’Arrêt définitif de la Cour d’Appel de Paris, qui en date du 09 juin 1977 aurait dû mettre fin à la "guerre des Miss" car les attendus de la Cour résumaient bien l’affaire : " …Considérant que l’organisation de concours de beauté ne relève nullement du domaine des œuvres de l’esprit : qu’il en est de même de l’appellation "Miss France - Miss Europe", qui dépourvue en outre de toute originalité, ne peut, pas plus que la manifestation au cours de laquelle ce titre est décerné, prétendre bénéficier de la protection de la loi du 11 mars 1957, qu’aucune des parties n’est fondée à se prévaloir d’une autorité lui conférant un privilège ou une exclusivité… … qu’en l’état de la législation en vigueur, les activités de cette nature peuvent être exercées concurremment par plusieurs organismes sous réserve pour chacun d’eux de s’abstenir de tout agissement fautif à l’égard des autres…" Cette décision claire en soi et qui fait jurisprudence en la matière est définitivement valable juridiquement en fait et même en droit. Si l’on comprend bien cet Arrêt, l’organisation de concours de beauté est libre, aucun monopole ne peut être approprié par qui que ce soit et l’on peut attribuer un titre générique (Miss…, Reine…, Duchesse… etc) à toute candidate élue. Rien n’empêche à plusieurs organismes d’élire une " Miss " quelconque. L’important, estime la Cour, est qu’il n’y ait aucun acte de concurrence déloyale qui puisse prêter à confusion. Malheureusement, il semble que certaines personnes ont beaucoup de mal à accepter et à respecter cette décision du Tribunal qui pourtant est irréversible. Michel Le Parmentier. Président de l’Association Internationale des Concours de Beauté pour les Pays Francophones (Montréal). ...