Auteur : De Boisandré André du Quesnay
Ouvrage : Petites études sociales Socialistes et juifs La nouvelle internationale
Année :1903
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Je dois avant tout adresser mes bien vifs et bien sincères remerciements aux amis connus et inconnus qui ont bien voulu m'aider à répandre le premier fascicule de ces petites études sociales. Grâce à eux, près de soixante mille exemplaires de l’État-major socialiste ont été vendus ou distribués dans l'espace d'un mois à peine, et j'ose espérer qu'il en résultera quelque bien. Quant à cette nouvelle étude, elle n'est que le complément naturel et logique de la première. Après avoir peint ad vivum les meneurs du mouvement socialiste et montré, par des faits, ce qu'il fallait penser au Juste de leur légende d'apôtres, je prouve que le parti socialiste ou, tout au moins, la fraction la plus nombreuse et la plus puissante du parti socialiste, n'a plus rien à l'heure actuelle d'un parti indépendant et autonome; j'établis que, depuis plusieurs années, les Jaurès, les Millerand et consorts ont mis leur influence, leur talent d'orateur, leurs journaux et, d'une façon générale, toutes les forces et toutes les ressources du parti qu'ils dirigent au service de la juiverie internationale. Et je saisis l'occasion d'affirmer ici que je n'avance rien que je ne sois en état de prouver. Il m'est revenu que des ouvriers ayant lu dans l’État-major socialiste que le baron Millerand était un capitaliste assez sérieux pour posséder quatre immeubles de rapport dans Paris, essayaient de douter encore et disaient : — " Il faudrait nous dire où ils se trouvent, ces immeubles ! " Ma réponse à cette objection sera des plus simples. Un Bottin spécialement consacré aux châteaux, maisons de rapport, fermes, métairies, chasses et propriétés de toute nature de messieurs les socialistes, offrirait, j'en suis convaincu, un très vif intérêt, et je ne dis pas que je n'entreprendrai point un jour une publication de cette nature. Mais, chaque chose en son temps. Pour ce qui concerne ces brochures, ou bien j'y dis la vérité, ou bien je mens. Si je mens, je diffame. Or la diffamation est punie par les tribunaux. Si j'ai diffamé M M. Millerand, Jaurès et Cie, que ces messieurs me poursuivent devant une juridiction où la preuve est admise. Je les en mets au défi... ...
Gaidoz Henri - Etudes de mythologie gauloise
Auteur : Gaidoz Henri Ouvrage : Etudes de mythologie gauloise Année : 1886 Lien de téléchargement :...